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 the fireflies ft. marlow

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MessageSujet: the fireflies ft. marlow   the fireflies ft. marlow EmptyMer 18 Avr - 10:42

« - mais putain mais qu’est-ce que je fous là ? » dak marchait à pas lourds dans les rues boisées et élégantes de… où était-il déjà ? il l’ignorait absolument. Il était passé par ce portail qu’il avait trouvé avec ajay, suite et fin de longues séances de Questions répétitives et tumultueuses auprès de personnes, certaines enterrées et d’autres terrassées. Alors tout ce tintouin pour trouver d’autres univers ? ce n’était pas si terrible. Cette ville-là ne valait pas oriel, la bonne détraquée, la folle mangeuse d’hommes ; quand elle engloutissait, c’était pour de bon, et dakota était tombé dans ses bras, avec une facilité déconcertante. Alors le voilà maintenant, faisant tâche dans ce monde si dorée, se faufilant entre les anciens et les nouveaux riches. Ce lieu n’attirait guère le jeune homme. il préférait de loin la pourriture des abysses que la blancheur brillante qui se reflétait au soleil. Alors que faisait-il ici ? se retrouvait-il déchanté de ses convictions solides ? avait-il inventé ce personnage sanglant qui ne rêvait que de semer le trouble alors qu’en vérité, le seul désir qui battait en lui était d’être reconnu dans le monde entier et de couler des jours tranquilles ? heureusement pour le nulls, ce n’était rien de tout cela. Dak visitait et crachait, c’était une chose, il avait découvert cet autre monde, et pour lui il ne représentait rien d’autre qu’un nouveau terrain de jeu. Lui qui semait la discorde partout où il se présentait, entrainant parfois avec lui quelques innocents comme noa, en vérité, explorait cette terre inconnue à la recherche de bêtises à faire, de gens à provoquer, d’ennuis à avoir. Parce que dak était comme ça. Parce que, s’étant éloigné de bebe, la seule chose qu’il pouvait maintenant ressentir était une espèce de vengeance malodorante qui le dévorait malgré lui. la seule solution qu’il avait trouvé pour atténuer le mal qui rongeait son cœur, c’était de provoquer la zizanie. Il fut convaincu que son choix était intelligent, et il en fut davantage certain quand il vit cette délicieuse paire de hanches se balader en face de lui. Pulpeuse comme il les aimait, avec un air de garce. Elle était brune, et élancée, et la voilà maintenant rentrée dans un café. Le gosse avait alors trouvé sa distraction de la journée.

Il entra dans une sorte de brasserie de luxe, où tous les bedonnants et où toutes les princesses déchues semblaient attendre la mort, et s’installa sur une chaise surélevée, non loin de sa proie, qu’il ne quittait pas des yeux. C’était drôle comme on pouvait penser qu’il était plus intéressé par la belle que par ces loups qui l’entouraient, et pourtant dak était bien plus accroché à ces êtres grisonnants. Pourquoi ? parce qu’il était curieux, parce qu’il était sans cesse dans la provocation aussi, et qu’il se ferait un malin plaisir à botter le cul de ces lords quand tout le monde autour le lèche. Le gamin pouffa de rire dans son coin, attirant les quelques regards désabusés de ses voisins et attendit une minute, puis deux, puis trois, allant jusqu’à sept, son chiffre porte-bonheur. Quand il constata que la petite sauterelle allait finir dans l’assiette de ces vieillards, bowers se leva de son tabouret comme un vilain justicier, laissa son verre d’eau intact sur le comptoir, emprunta une chaise qui devait certainement être occupée à ce moment-là (mais il s’en foutait) et s’installa au milieu des trois penauds étonnés, juste en face de cette dame prisonnière. « - bien le bonjour messieurs. » dak attrapa un verre de vin à moitié plein et l’engloutit, comme pour se donner du courage, il n’aimait guère cet alcool, et il le fit bien voir. « - j’ai pas votre âge, mais j’chercherai bien une petite madame comme ça, bien en chair pour me tenir compagnie comme vous autre. j’suis bien plus jeune c’est vrai, mais je n’me sens pas moins seul que vous. » le marmot retint un ricanement maladroit, glissant un bras dans le cou du vioc qui était le plus proche pour l’étreindre douloureusement. « - où c’est qu’on peut en trouver des filles comme ça ? » demanda-t-il en pointant la brune du menton. « - j’suis pas du coin vous voyez, j’aimerai bien avoir quelques tuyaux. » pourquoi de l’argent aussi tant qu’on y était ?

Les bougres n’osaient pas répondre, ils ne cessaient de se regarder entre eux, gesticulant sur leur siège, la bouche marmonnant et l’air fuyard, comme s’ils avaient été démasqués mais que quelque chose d’encore plus grave se dissimulait entre eux. Dakota n’en avait rien à foutre en réalité de tout ça, il n’avait aucun but particulier, seulement que la jolie nana qu’il avait croisé dans la rue, se souvienne de lui, même si ce ne sera qu’en simple anecdote. Après tout, qui pouvait savoir ce qu’ils comptaient lui faire ? peut-être avait-elle aussi l’habitude ? peut-être aimait-elle les corps défraîchis ? le môme grimaça un instant avant de reprendre son sourire difforme « - je pourrais aller voir mon papi aussi. Vous savez qu’il aime bien mettre sa main dans mon pantalon avant de dormir ? » ; un sourcil se haussa « - vous êtes comme mon papi vous ? »

Ce fut certainement la provocation de trop. Et toujours pas de réponses, si ce n’était encore plus de gestuelle, s’ajoutant à ça quelques balbutiements qui soufflaient des « non », « jamais de la vie » ou « quelle insolence ». L’une des victimes du nulls, leva le bras, alors que tout le restaurant semblait ahuri par le spectacle offert, comme pour appeler le service. Eh quoi ? ils voulaient foutre dehors le môme ? mais il ne repartirait pas sans trophée.

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« Dying young and I'm playing hard that's the way my father made
his life an art drink all day and we talk 'til dark ... »





Prunelles figées sur les traits fardés, le miroir comme témoin de la superficialité d’une poupée. Cohérence certaine avec l’artificiel de cette société aux teintes contrastées et aux saveurs salées. La môme au visage peinturé, elle se scrute sous les grésillements d’un néon bousillé, les rétines accolées à cette apparence faussée. Le corps moulé dans la dentelle, arme vermeil dans une routine blême. Puis la robe qu’elle enfile, tissu bien trop fin, bien trop court pour cacher ses intentions de condamnation. La poupée venimeuse elle est prête à attaquer, injecter une morphine particulière dans les veines serrées. Vendeuse de liberté qui se nourrit des drogués à la volupté pour contrer la précarité. Elle a la gueule des jolies effarouchées, des  innocentes à la pureté immaculée. Mensonge grandiloquent quand on gratte la surface de la jolie pour découvrir la pourriture en dessous. Car Marlow, elle a des saveurs de poésie, mais elle est moisie. Gamine opportuniste qui s’invente sous le risque. Elle attire comme elle étire. Chaque fil des pantins désarticulés, chaque nerf des vicelards bien cachés. Mecs fortunés, fils à papa, bourgeois qui s’enterre sous un confort si aisé. Tous des proies à dévorer, à dépouiller pour des précieuses heures pour persister… Car les sabliers s’écoulent et que la vie en découle… Et que l’injustice n’est pas un supplice dans cette société où la supériorité n’est que banalité. Les corps ne cessent de s’entasser dans les bas quartiers, les paupières de se fermer pour un au délà à perpétuité. Et ça la môme aux airs de princesse elle ne peut pas l’encaisser, elle ne peut pas faire semblant quand les souvenirs viennent l’assommer. Quand la mélancolie se mélange à l’inertie. Entre les bras de Morphée et ses draps recroquevillés. Puis ce visage tendre et tiré, les paupières fermées, la mère qui a pas pu souffler mais qui a payé les conséquences des frais. Bien trop cher payer. Fantôme passager qui lui rappelle que tout éphémère et que la mort peut bien être amer. Alors la poupée se vide les pensées et réajuste son costume de damné. Puis les clés qui pivotent et la fauve est lâchée…

Elle rôde ainsi la prédatrice, à la recherche de proies apeurées. Entre les lumières bipolaires et les étrangers qui errent. Puis elle rentre sans se soucier dans un bar réputé, les hanches qui roulent et les lèvres rosées. Et directement elle s’assoit au bar, un sourire charmant ne quittant plus ses lippes pincées tandis que déjà elle bat des cils pour attiser la curiosité des hommes à proximité. Commandant un verre, elle croise ses jambes délicatement quand son regard rôde lentement. Et de suite, elle le remarque ce gosse un peu trop déviant. Le visage marqué et les cheveux mi longs, de la malice dans ses prunelles ambrées et le désir de défier. Provoquer le monde entier pour se marrer, créer un peu d’anarchie pour une dose de folie… Il s’impose directement le sale gosse dans le lieu ennuyant, avec un rire oppressant. Tandis qu’il vogue tout doucement et qu’il choisit trois vieillards dans leur coin pour se divertir pleinement. Et Marlow elle guette par instant, ses prunelles se baladant tout autour pour trouver une bambi paumée. Mais y’a cette curiosité étrange envers l’orphelin qui la pousse toujours à le scruter en coin. Lui qui importune les riches avec sa présence défaillance. Comme un pion sur cet échiquier grandiloquent. Puis le geste vers sa direction, le rictus cannibale qui se retrousse sur sa bouche bestiale. Elle joue l’indifférente la jolie, celle qui ne voit rien, celle qui se brûle les lippes d’un alcool beaucoup trop fort pour elle. La frêle poupée en retrait qui se crève de timidité. Mais quand les vieux décident de dégager le môme un peu trop revêche, elle s’impose la jolie dans tout son mépris. Se levant doucement, elle s’approche la fauve, les talons claquant et la robe qui remonte sous ses mouvements. Et elle s’assoit tranquillement entre les esprits échauffés et les mines troublées avec son sourire carnassier. « Vous semblez bien agités messieurs, je me suis dit qu’un peu de compagnie féminine vous ferez le plus grand bien. » Elle joue avec les mots l’ingénue, avec son éloquence décousue. Puis l’opportunisme pur, l’envie de pousser le vice jusqu’à l’excès, peut être même provoquer le môme qu’elle fait semblant d’ignorer. « Lequel de vous serait-il prêt à offrir un verre à une jeune femme qui a envie de s’amuser ce soir ? » Elle hausse un sourcil, se baissant légèrement pour que les étrangers se nourrissent de son décolleté un peu trop marqué, alors qu’elle garde toujours ce même rictus d’affamé et qu’elle lance les dès de ce jeu un peu trop prenant. Juste pour voir qui sera le perdant.

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MessageSujet: Re: the fireflies ft. marlow   the fireflies ft. marlow EmptyLun 21 Mai - 22:37

Il avait été seul dans ce bar à jouer de ses mots trop aiguisés et maintenant voilà qu’une jolie poulette se joignait à la partie. Dak n’était pas vraiment étonné. Il avait senti l’arnaqueuse à plein nez puisque de toute manière, pour lui, les femmes étaient toutes des opportunistes à différents degrés. Toutes, sauf les filles des nulls, qui étaient pures, innocentes et sincères. La menace grondait déjà quand il était entré dans ce brouhaha et s’était rapprochée il y a peu. Maintenant, tous les regards étaient dressés et suivaient les mouvements de courbes féminines trop mises en valeur. Dakota mentirait s’il disait qu’il n’était pas en train de regarder ce qu’il pourrait faire avec cette femme, simplement il ne s’avouera jamais satisfait. Il ne mangeait pas de ce pain-là. Il aurait pu avec bebe, mais comme bebe était dehors maintenant et séparé de son dakoko, il faisait ce qu’il voulait. Bowers aimait s’amuser, et plus que tout il aimait s’éclater sur le dos des autres qui avaient mal. Il fallait marquer les esprits, il fallait que les gens se souviennent de lui, en bien ou en mal, peu importait vraiment, et plus que tout, il fallait qu’ils recroisent ce môme dans la rue. Il y en avait pourtant un que dak ne voulait lui-même pas revoir : c’était gali. Il l’avait certainement bien trop fait souffrir et par-dessus tout, il était assurément bien trop jeune pour avoir ce genre d’idées morbides. Pourtant il les avait eues, et il les avait exécutées. Dakota n’éprouvait guère de remords envers gali, il avait même espéré que ce dernier revienne, s’étant rendu compte qu’il s’était bien attaché au gosse. Une jolie histoire de syndrome de Stockholm. Mais ça avait été loin d’être le cas, et dak aujourd’hui encore, redoutait.

La voici la pie, qui s’installa entre ces messieurs alors que dak regagna à nouveau une place à la même table, avant de se faire définitivement éjecter des lieux. Il avait pris un air outré alors que les vieillards se montraient tous émerveillés devant une paire de seins. Le nulls leva les yeux au ciel avant de tirer une gueule jusque par terre, les mains jointes sous son menton avant de tapoter l’épaule de la lady de son pouvoir « - scusez m’dame, mais au vue de la tête de ces gars-là, vous n’êtes pas vraiment leur genre. Ils sont plus, garçon de 10 ans, en chemise de nuit sans petit slip en dessous. » les lardons n’osaient pas réagir, tentant de se montrer plein de désir envers la jeune femme (et ils en éprouvaient assurément) pour prouver le contraire de ses dires. L’exécrable bambin continua sa course aux problèmes. « - et d’ailleurs je trouve ça bien impoli de demander à boire, alors que je cherche également à me faire payer un verre. Vous auriez pu attendre votre tour. » une technique de drague ? certainement pas. quoique dakota ne dirait certainement pas non si la madame lui demandait de croquer dans le fruit défendu. Pour l’instant, il était plutôt assoiffé de quelque chose de fort, mais comme il n’avait pas un sous, il était devenu assez difficile de résoudre son caprice. Son œil s’illumina alors d’un trait inquiétant. Il fixa à nouveau la brunette avant de passer avec insistance, sa langue sur sa lèvre, vieux tic mais très efficace pour attirer l’attention. « - et si tu me payais un verre miss ? j’pourrais bien te rendre la pareille en commençant un petit jeu. » ouais, le p’tit jeu du mec endetté qui ne sait pas comment se faire libérer de sa dette et qui du coup fait des petits cadeaux à la bonne dame. Dak n’y pensait pas. Il comptait picoler et se tirer d’ici vite fait pour écumer d’autres bars et provoquer d’autres croulants. Cependant, il fallait avouer qu’ici il était tombé sur un jackpot en éblouissant sa vue d’une magnifique cendrillon qui, certainement, ne manquait pas de caractère.
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