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 city rat (georgia)

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MessageSujet: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyDim 21 Oct - 23:53

Unserious/Agnès coucou les ratons minikr comme vous vous en doutez vu les premières infos que je lâche péniblement ( :oopsie: ) c'est Camille/Grim qui m'a vanté vos mérites et je n'ai pas pu m'empêcher de cliquer sur le bouton "s'inscrire". en espérant que ma petite poupée toxique vous plaira, lalala.

Georgia Eleanor Foleyfc : Lily James ; ©️️️ moonlight ; SIGAN ; unique
18%LOYALE
26%CYNIQUE
5%ALTRUISTE
13%RANCUNIÈRE
47%COURAGEUSE
34%IRASCIBLE
2%POLIE
75%TOXIQUE
   
Nom complet Georgia, le son chevrotant d'un vinyle qui perce le silence, une de ses reliques d'un temps disparu, l'hologramme qui se confond avec des bouts de réalité, de concret. On my mind, Georgia elle pousse comme une fleur indésirable, un lys à l'odeur trop entêtante, des notes de musiques en cacophonie, elle étale ses pétales sur le moindre bout d'autre qui voudra un peu d'elle, sourire aux lèvres tordues, les yeux toujours fondamentalement tristes. Eleanor, elle est quasi sûre que c'est dans une chanson aussi, quelque chose de mélancolique avec beaucoup de cordes, elle saurait pas dire si c'est juste un souvenir erroné d'une époque qui n'a jamais existé ou bien réel, bien palpable, toile, doigts et encrier. Surnoms Jinx c'est le surnom, la poisseuse, celle qu'aurait pu crever dès la naissance mais qui avait survécu, celle qui avait eu le cul bordé de nouilles ou juste trop noirci par les balles pour encore faire la différence entre chance et destin. Naissance Y a vingt-trois ans en plein hiver, dans la chaleur d'un appartement cossu de New Brasilia, le cri à percer les tympans et l'oreille bientôt contre le sein de sa mère, padam padam, à écouter les battements de coeur jouer des symphonies en ut mineur. Héritage culturel Pas d'attaches, l'âme vagabonde, pas d'héritage si ce n'est l'accent irlandais et les mots gaéliques qui fusent par habitude, d'avoir trop entendu ses parents et leurs éclats, réminiscence de leurs origines, fadó. Statut Célibataire, détachée, elle n'a rien à offrir, rien à envier à ceux dont les bouches forment une entité indissociable, elle n'a rien à donner d'autre que du néant, de l'horreur, elle abhorre ce corps qu'elle couvre sous trop d'habits, le bras manquant qui déséquilibre sa silhouette. Ne trouve aucune beauté dans le reflet que lui renvoie le miroir. Orientation Elle n'y a jamais pensé, elle n'a jamais aimé. Elle suppose qu'elle préfère les femmes, depuis gamine, les pupilles accrochées aux ombres des ballerines à se rêver chausson pour ne faire qu'un avec elles, les yeux prêts à lécher discrètement la courbe de chaque sein. Les hommes, elle en a peur depuis toujours, la panique au creux du bide quand l'un d'eux s'approche trop, pénètre dans sa bulle, y laisse germer son odeur putride, de la sueur, du tabac, du musc. Elle suppose qu'elle préfère les femmes, oui. Finances $$$$$$, à deux doigts de crever la bouche ouverte.

Univers Sigan, paradis devenu enfer, elle rêve parfois de s'envoler loin même si ça veut dire mourir, glisse ses envies de suicide dans ses tranches de quotidien. Sigan, c'est moins beau quand on n'a pas un sou en poche, quand tout l'autour devient hostile, inhospitalier, Sigan ça chante moins fort quand on n'a plus de voix. Occupation(s) Réparatrice de robots, c'est la seule chose qu'elle ait vraiment eu envie de faire, George, le premier truc qui lui soit apparu comme une évidence. Depuis gamine, en fait. Ses astuces, elle les doit à Guil, l'aide aussi, parce qu'être mécano et manchot c'est pas évident tous les jours. Réparatrice de robots, donc, et comme ça n'permet pas de vraiment arrondir les fins de mois, elle s'occupe des morts, aussi. Thanatopractrice on appelait ça, avant, avant de vivre quasi éternellement. Parce que la mort. La mort. La mort c'est comme la pluie, c'est froid, c'est triste mais c'est nécessaire. Thanatopractrice, elle prépare, elle répare, encore, des corps ou des robots c'est du pareil au même. Elle fait en sorte qu'ils soient pas trop laids, pas trop pâles, pas trop durs. Elle se tue à la tâche, passe de l'atelier à la morgue et file le soir venu dans un pub huppé pour servir des cocktails à des vieilles qui ressemblent à des jeunes et qu'alignent les centaines d'heures sur leur avant-bras. Particularités le bras gauche manquant, ça saute aux yeux quand on la voit pour la première fois, ça pique un peu le coeur quand on fait preuve de trop d'empathie. Elle recouvre toujours son épaule d'une coque de cuir faite sur mesure par Guil, s'amuserait presque de l'infirmité qui a fait grimper les talents de l'autre main, à quasiment faire croire qu'elle n'était pas gauchère à l'origine. La peau du ventre zébrée d'ivoire, trop d'années passées à se penser anomalie, à ne pas s'accepter, à s'honnir de toutes ses forces. À vouloir que ça s'arrête. Lien(s) cosmique(s) Ce n'était qu'un rêve. Un rêve récurrent. Celui de ne plus être seule, de tenir une main dans l'obscurité. De pouvoir se terrer dans ses rêves quand la réalité devenait trop brutale. Celui de serrer un corps imaginaire contre le sien, battre du même pouls, voir des mêmes yeux, celui d'imaginer un monde où ils coexisteraient et où elle n'aurait plus jamais à se sentir rejetée, abandonnée, délaissée. Elle avait huit ans et lui aussi, sa seule compagnie à chaque fois qu'elle fermait ses yeux pour ne plus voir son lit d'hôpital, pour ne plus sentir la présence fantôme du membre qui lui manquait déjà. Keywords android lover + gaelic + tabac + morne silhouette + fatalisme + personne + anecdotique & transparente + éternelle 


we are all astronauts

I. Maman t'es douce. Y a tes mains qui se promènent sur le ventre, l'enveloppent comme un gros ballon de baudruche, pressent l'électricité sur les parois épidermiques. Maman t'es tendre. Quand tu caresses, quand tu respires, quand j'entends ton coeur de l'intérieur, qui bat férocement pour rythmer mon début de vie, tu seras forte ma fille, padam padam. Maman, c'est rose ici, c'est cotonneux, c'est plein de jolis rêves à baigner dans la lumière tamisée de ton rideau de peau. Me laisse pas sortir, s'il te plait. Me laisse pas sortir, me noyer dans mes cauchemars. La gamine que je suis ouvre les yeux sur cinq ans de vie, seule au fond de son lit. Je leur dis quoi, aux monstres qui veulent m'avoir ? Je leur dis qu'ils sont dans mon crâne, maman ? Que tu m'as bien prévenue qu'il fallait que je les chasse, que je sois forte, que je tienne tête ? Tu seras forte ma fille, mais c'est pas totalement vrai, maman. J'ai la cage thoracique qui menace d'imploser, les yeux qui cherchent dans le noir une trace de lumière, n'y voient que des ombres terrifiantes. Je passe des nuits sans dormir, le cul posé sur mon matelas. Je commence à parler toute seule. Ou avec lui. J'sais même plus. Tu seras folle, ma fille

II. Jinx. C'est son surnom depuis trop de temps déjà, depuis toujours à peu près, la poissarde, malchance qui colle aux baskets, elle parierait pas sa vie sur un ticket de loto. Toujours perdante, au fond du seau, elle aligne les déceptions, les ratés, les faux raccords. Elle enchaine les jamais quand elle attend des toujours. C'est comme ça, comme ça qu'elle s'est retrouvée sans parents, à se barrer avant d'être foutue en foyer, comme ça qu'elle a dégoté l'appartement miteux qui lui sert de quartier général, les trois boulots qui lui permettent à peine de se payer des barres protéinées. Son cadre de référence c'est l'impossible, l'insurmontable, les épreuves qui s'enchainent sans jamais aucune récompense pour avoir survécu, pour avoir triomphé. Jinx, un jour elle deviendra Luck, peut-être, en attendant elle traine du côté des poubelles, se conforte dans l'idée que sa place est bien là, à pourrir pendant qu'on fait pas gaffe, qu'on r'garde pas.

III. Guil, j't'aime. Peut-être autant que maman avant, que papa jamais, je t'aime à te décrocher le ciel et te l'offrir sur un plateau. Guil, je te donnerais tout ce que j'ai pour que tu vives comme moi, que tu aies les mêmes droits, pour de vrai, une vie à toi et pas à mes côtés. Guil, tu sais, maman ne faisait pas confiance aux androïdes, elle t'avait embauché à contrecoeur parce que j'avais insisté, parce que j'avais levé des grands yeux vers elle et que j'avais demandé s'il te plait. Même gamine je te trouvais beau, Guil, beau comme un rêve, éternel et éphémère, t'es bien le seul homme qui m'ait jamais fait peur, qui m'ait pas donné envie de courir dans la direction opposée, de troquer mon calme contre une panique mesurée, digérée, contre une frayeur justifiée. Guil, t'es plus rien maintenant, t'es même plus payé, pourquoi tu restes, pourquoi tu pars pas, pourquoi tu te terres dans les bas-fonds de Casma, pourquoi t'aspires pas à rêver un peu, à faire mieux ? T'es trop bien, Guil. Trop bien pour moi.

IV. Bancale. C'est moche, ce vide à la place du bras. Elle voit bien que Guil pense ça aussi, même s'il ne le dit jamais, même s'il ment un peu trop bien pour une créature de plastique. Bancale, elle a pourtant gardé ses pointes de ballerine, les chausse parfois quand elle a besoin de s'évader, planer, faire glisser le chausson râpé sur les lames vermoulues de son plancher. Elle est tombée pas mal de fois, un peu trop souvent pour les nommer. Elle a vacillé, tangué, chuté. Elle s'est cassé la patte, presque le nez, à faire des pirouettes sans savoir se réceptionner. Et puis le temps manque, quand on n'en a pas. Quand on troque chaque minute de sa vie pour un peu plus de temps sur le bras. Le temps manque alors elle ne danse plus vraiment, se contente de regarder des hologrammes virevolter quand elle a l'âme nostalgique, un peu trop souvent. Bancale, elle se recroqueville, cache son bras contre elle en se rêvant étoile. Alors qu'elle n'est que bancale.

V. Papa. T'es un connard. Papa, t'as pas su faire c'qu'il fallait, t'as pas su m'enlacer, me protéger, t'as pas su me préserver de la dure réalité. À trop croire que ma peau est dure, que c'est une carapace aux écailles solidement soudées entre elles. Parce que ce n'est pas le cas, papa, j'ai le cuir mou comme si je venais de passer une vie dans la baignoire, à nager dans des eaux troubles, j'ai l'épiderme pénétrable, une lame percerait dedans, facilement, même un cure-dent. J'aimerais que tu sortes de ta prison pour m'apprendre des trucs, me dire comment ne pas avoir peur, comment continuer de respirer sans m'asphyxier, j'aimerais que tu me protèges un peu plus, un peu mieux, j'aimerais fêter au moins un autre anniversaire avec toi, mais ça fait quinze ans qu't'es plus là. Encore combien, papa, combien d'années à attendre que t'aies purgé une peine stupide, toi et maman vous avez pas voulu me blesser. Je pense. J'sais pas, papa.
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MessageSujet: Re: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyDim 21 Oct - 23:53

Life on MarsBut her friend is nowhere to be seen
Now she walks through her sunken dream
To the seat with the clearest view
And she's hooked to the silver screen

better three hours too soon than a minute too late
is there
life on Mars


Itinéraire

"Il faut partir". Il avait lâché la sentence, Guil, dans l'intimité de leur tête-à-tête, habitués depuis deux jours à manger des clous dans des assiettes. Chaque syllabe parfaitement accouplée à celle d'avant. Il faut partir et ç'avait sonné comme un ultimatum, comme une prière, une requête discrète parce qu'il ne se l'était jamais permis avant, jamais avec autant de ferveur, parce qu'il n'avait encore jamais osé lui imposer une décision, tout pétri de son humilité d'androïde. Huit ans c'est pas assez pour décider de ce qu'il faut faire quand sa vie part à vau-l'eau, quand les seules personnes qu'on n'a jamais aimées se retrouvent derrière des barreaux. Le luxueux loft devient poussière dans le reflet de ses yeux, comme si elle était déjà partie, comme s'il n'y avait plus d'elle, ici, qu'un fantôme sinuant dans les couloirs à la recherche de son éden. "Ok", deux lettres et une ribambelle de questions dont elle savait pertinemment que les réponses seraient étrangères à Guil, où, quand, comment, pourquoi. Surtout la dernière. Pourquoi ne pas attendre les policiers, pourquoi ne pas se rendre à l'évidence, purger une peine factice, empiler les cartes en attendant que le temps passe. Pourquoi ne pas se contenter de ça, un ersatz de vie en patientant sagement, pourquoi ne pas vouloir être placée ailleurs, quelque part où on n'essaierait pas de lui couper un bras.
C'était parti d'une bonne intention, pourtant. Des parents réticents à voir leur princesse se transformer en machine à billets, le compteur au poignet comme si sa vie en dépendait. Parce qu'elle en dépend, factuellement, concrètement, quand on grandit en sachant pertinemment qu'une seconde se monnaye, qu'une heure se joue à la sueur. C'est con pourtant, con parce que papa et maman ont toujours eu les moyens de se craquer des heures entières sur le dos d'autres personnes, parce qu'ils sont bien nés et qu'elle a bien grandi, parce qu'il aurait suffi de rester dans le rang pour passer une belle vie pastel sans jamais manquer de rien. C'est con parce que l'enfer est pavé de bonnes intentions, ouais, d'une envie de bien faire, laisser son nom dans des mémoires, ne pas se contenter d'un code-barre sur les veines. C'est con parce que ç'avait tout d'une bonne idée, du plan originel jusqu'à la réalisation, tout d'un projet parfaitement huilé, d'une réussite absolue. Pas du foutu cauchemar que c'était devenu.
Elle avait dit "ok", Georgia, parce que c'était ça ou rien, Guil ou le néant, partir ou crever, se faire analyser par des soi-disant scientifiques qui n'auraient fait qu'étaler les évidences, dire que ses parents étaient décidément timbrés, qu'y avait une tare dans la famille et qu'on pouvait facilement éliminer la lignée. Bien sûr, c'est pas Guil qui lui a mis cette idée derrière la tête. C'est elle toute seule, elle et son cerveau de huit ans bien trop en avance, elle et ses drôles de rêves, l'impression de ne jamais vraiment être seule, micro-organismes dans le coin du crâne. C'est elle qu'est folle. Et ça non plus, ça ne vient pas de Guil.

Bien sûr, on l'a retrouvée. Bien sûr, on lui a remis un compteur au poignet, celui qui restait. Évidemment, on l'a laissée se démerder. Huit ans, c'est bien peu mais aussi, c'est bien assez. 





Les outils semblent froids au creux de sa main. Peut-être plus que le corps, quand elle y réfléchit bien. Ça devrait devenir mécanique depuis le temps, une routine finement rodée au fil des silhouettes dénudées qui passent sur sa table, ça devrait couler de source, être devenu aussi naturel que respirer. Il y a toujours ce moment pourtant, cet entre-deux gênant, comme s'ils se découvraient mutuellement alors qu'elle se répète que ce n'est pas le cas, serine l'idée comme un vieil adage, grave entre deux neurones que la vie a quitté ce corps.
Peut-être qu'elle arriverait à se distancier si la personne lui était étrangère, si elle n'avait jamais vu le visage, croisé ses yeux, si elle n'avait jamais connu ses lèvres animées de la ferveur expressive d'un cerveau qui s'exprime, si elle n'avait jamais observé les mains délier tout ce que les mots n'auraient jamais su expliquer. Merde. Merde quoi. Merde. Elle soulève à peine l'avant-bras, habituée à voir le nombre d'heures glacé sur zéro, irrémédiablement . Ses dents agacent sa lèvre inférieure alors qu'elle se prend à imaginer quelqu'un d'autre à la place du macchabée, son visage en technicolor, les pastels transformés en fluos baveux et le visage déformés par l'immobilité. Parce que ça change tout de se transformer en cadavre, ça donne des impressions de poupée de chiffon, d'étrangeté figée dans une dimension parallèle. Ça brise, de penser à l'humain qu'il y avait derrière. Elle avait toujours bien aimé Lee. En dehors du fait que c'était sûrement le mec le plus têtu du monde, capable des plus grandes envolées pour prouver qu'il avait raison, il était le plus loyal aussi. À vider sa capsule pour les autres. Les copains, les amis. "Putain, Lee", elle souffle, les yeux dans le vide, son matériel en suspension dans l'air, à attendre qu'elle veuille bien creuser la chair. Ses doigts tremblent, elle a besoin d'une bouffée d'air. La porte claque derrière elle quand elle sort, et le bruit se brise encore dans ses oreilles alors qu'elle s'effondre dans la ruelle, son bras s'échouant douloureusement contre le sol pour l'affubler d'une égratignure sanguinolente. Elle plisse les yeux, oblige ses paupières à rester fermées. Aisling. Elle sait qu'il sera là si elle les rouvre. Il a toujours su la trouver. "J'ai", elle commence, le bout des doigts qui tapote nerveusement contre son genou. Son membre écorché a foutu du sang sur la toile de son pantalon, elle sent déjà la poisse de l'hémoglobine coller au tissu. Elle a : besoin, envie de lui. Elle a la haine contre lui aussi, oui, parce que ç'a toujours été ça, un rapport bizarre entre l'attirance et l'effroi, entre l'affection et le désamour. Ça sera toujours ça, sûrement. "J'ai pas b'soin d'mon ami imaginaire", qu'elle lâche froidement, le pire mensonge de tous les temps. Comme prétendre qu'elle n'a pas besoin de son coeur. Mais tout ce qu'elle veut, c'est le faire partir. Qu'il ne prenne pas part à ce genre de moments, ceux où elle préfèrerait s'enfoncer dans la terre, ceux où elle s'asphyxie sous les bouffées d'air, ceux où elle disparait derrière ses monstres. Ceux où elle est seule, vraiment seule. Parce qu'il lui a obéi, parce qu'il l'a laissée.

Ils la laissent toujours, tous. Fatalement.
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MessageSujet: Re: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyLun 22 Oct - 0:18

AH
LA JUMELLE DE GRIM
UNE POTE DE CAMILLE
je - bienvenue ???? hâte de voir la suite de cette beauté tbe je suis déjà amoureuse de ce que je peux lire, en tous cas. on se trouvera des liens, c'est assuré yooo
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Candide Ogawa
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MessageSujet: Re: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyLun 22 Oct - 16:42

bienvenue et courage pour ta fiche coeur
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MessageSujet: Re: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyLun 22 Oct - 17:01

gnjmhgklhsdklmghdkfshgoiehotjzeopiflmsdjkqlgjsdlkhglksdhg
j'ai même pas le temps de te dire tout mon bonheur parce que je retourne en cours mais JOTEM kisseu kisseu kisseu
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MessageSujet: Re: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyLun 22 Oct - 17:41

Loni Lov a écrit:
AH
LA JUMELLE DE GRIM
UNE POTE DE CAMILLE
je - bienvenue ???? hâte de voir la suite de cette beauté tbe je suis déjà amoureuse de ce que je peux lire, en tous cas. on se trouvera des liens, c'est assuré yooo

alooors j'ai lu un peu ta fiche et ohlala je veux un lien évidemment tbe et merci pour cet accueil de reine que je ne mérite définitivement pas ty

Candide Ogawa a écrit:
bienvenue et courage pour ta fiche coeur

Merci :lovya:

Grim Mercury a écrit:
gnjmhgklhsdklmghdkfshgoiehotjzeopiflmsdjkqlgjsdlkhglksdhg
j'ai même pas le temps de te dire tout mon bonheur parce que je retourne en cours mais JOTEM kisseu kisseu kisseu

calmos avec les onomatopées :intello:
jotem aussi, tu sais bave
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MessageSujet: Re: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyLun 22 Oct - 20:23

les amis de nos amis sont nos amis.
la jumelle de grim est trop classe ( j'ai un faible pour son surnom, il est carrément cool ??), j'ai hâte de lire la suite de ta fiche ! et puis son métier est trop bien, il nous faudra un lien avec un de mes autres comptes qui est un androïde. aaaa
bienvenue sur sod ! rougit I love you
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Ana Washburn
Ana Washburn
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MessageSujet: Re: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyLun 22 Oct - 20:43

elle a l'air tellement cool yeux yeux
trop pressée de lire la suite, et qu'on se trouve des liens avec mon (mes bientôt ok) siganais cute cute
puis lily est tellement belle I love you
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MessageSujet: Re: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyLun 22 Oct - 21:51

Youuuuuu bunnies
Georgia est tellement parfaite + ce prénom snshbsbsghvsdgh + Lily + toi toujours hh hh hh
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MessageSujet: Re: city rat (georgia)   city rat (georgia) EmptyLun 22 Oct - 23:53

JE METS TOUTES LES ONOMATOPÉES QUE JE VEUX NAMEOH
(Et je te coeur encore bcz tu es parfaite)
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