Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 (lona#1) that girl has always been half goldess, half hell

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
Invité
Anonymous
Invité

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
Dans la gorge de la sirène, un hurlement reste enfoui. Loni possède toutes les colères du monde dans ses circuits et bien qu'elle ne puisse toutes les définir, elle désire les exprimer. Peut-être ne possède-t-elle aucun coeur à proprement parler, peut-être n'est-t-elle qu'une machine selon certain, mais la blonde ressent les choses sans pouvoir les exprimer au travers des larmes comme les humains peuvent le faire. Comme Gali a pu le faire, lorsqu'elle s'est aventurée de force chez Nikita, brisant presque le cadrage de la porte pour voir l'homme qui a fait d'elle la personne qu'elle est, aujourd'hui. Loni n'aime pas être ignoré, et encore moins les mensonges. Elle sait que plus les emoticons sont nombreux dans les messages de l'ancien prostitué, plus les larmes peuvent être nombreuses dans ses yeux. Et elle les a vu, dans ses yeux. Elle les a vu, contre ses joues, tandis que Nikita contemplait sa porte fracassée en se disant peut-être que la décoration était mieux, ainsi. La blonde ne lui a pas posé la question ; son avis ne lui importait pas, tandis que Gali essayait de lui couiner des réponses à ses folles questions, et que, au travers des sanglots brisés, le prénom d'Ajay est ressorti.
Loni aimait Ajay.
Loni a décidé, à cet instant, qu'elle ne l'aimait plus.
Et surtout, qu'elle avait le devoir de lui dire. Le devoir d'aller le voir, et lui maudire à la gueule toutes les horreurs qu'il pouvait bien avoir fait, et à quel point, en tant d'homme, il était pitoyable.
Loni ne se rend pas souvent sur Altea. Elle craint ce monde autant qu'elle l'aime, certainement. La peur de perdre suffisamment d'énergie pour ne pas revenir à temps sur Sigan reste présente, tout autant que la liberté de se promener sans crainte d'être intercepter par la police pour sa puce rouge la comble. Elle avance d'un pas rapide alors, dans les rues, comptant chaque seconde, qu'importe si le timer qu'elle porte, artificiel mais fonctionnel, est éteint. Contre ses fines cuisses, le tissu de son short, certainement trop court selon l'avis général des gens ou alors, trop long selon le regard des hommes, effleure sa peau. À chaque pas, la ligne de la fesse se dessine, s'accentue, capture les regards et les sourires complices. Loni ne les observe pas. Loni dévisage droit devant, la colère dans les données, incapable de se calmer. Elle ne sait toujours pas, qu'importe les mois écoulés, comment libérer les tempêtes qui prennent place en elle de manière convenable. Loni ne cherche pas à être convenable, de toute manière. Elle désire simplement être. Qu'importe de quelle manière. Elle n'a pas besoin d'être respectée, d'être douce ou encore, charmante. Elle veut simplement exister, ressentir et d'exprimer. Elle veut simplement être humaine.
Les rues d'Oriel Nord sont sales, comme les gens qui s'y trouvent. Certains portent des courbes plus appuyés et d'autres, des vêtements un peu plus coûteux, bien que leur dent sont sales. La blonde les trouve fascinant. Loni les trouve écoeurant. Elle aimerait parfois les agresser pour connaître leur histoire, et ne serait pas surprise de reconnaître certaines fois, surtout celle des hommes, si biens vêtus qui, de manière coupable mais gourmande, cherchent une chair chaude pour oublier la femme froide chez eux.
Lorsqu'une main froide caresse la courbe de sa fesse gauche et capte son attention, Loni ne se demande pas son histoire, pourtant. Elle n'est pas curieuse, mais plus que furieuse. Sa main droite, finement manucuré et abordant plusieurs bagues coûteuses - elle possède les goûts de Gali, après tout - part en coup de vent et atterrit contre la joue finement rasée de l'homme plutôt élégant, pourtant. Une exclamation quitte les lippes de l'homme et il porte ses mains à l'endroit où l’androïde l'a giflé avec une force excédant celle d'un humain. oh pardon, je vous ai fait mal ? qu'elle siffle entre ses lèvres pulpeuses, s'approchant avec douceur pourtant, la fureur dans les yeux. L'homme se laisse brièvement berné, à peine une seconde, mais suffisamment pour qu'elle s'empare de ses doigts, prétextant vouloir voir l'état de sa joue, avant de les serrer furieusement dans les siens. Si elle entend un bref craquement, Loni ne cille pas. Le visage reste angélique, les lippes cachent les crocs aiguisés de la sirène. je crois que vous avez un problème avec vos doigts monsieur. il faudrait vraiment aller voir un docteur. Le visage est doux. Les yeux sont purs. Mais l'âme est sale. Loni fait une moue désolée, comme si le coeur y était vraiment. Mais le coeur n'est pas, dans ce corps. Et peut-être faire voir vos MANIÈRES par la même occasion, PERVERS. Cette fois-ci, c'est la pointe de l'escarpin qui échoue contre le pied de l'homme, fort.
Revenir en haut Aller en bas
Ana Washburn
Ana Washburn
Date d'inscription : 10/09/2018
Messages : 226
Pseudo : bermudes.
Avatar : kaya scodelario
multi : nephtys (n. scott) -- ishiro (a. hyoseop) -- nikita (g. yoo) -- jelly (hani) -- joshua (dohwan) -- lava (momo) -- nimh (a. seyfried) -- baby blue (bbh)
Réputation : 6

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
Diana est assise sur son majestueux fauteuil, dans son bureau. Elle attend que Nova daigne sortir, et laisse entendre un désintérêt total pour ce qu’elle lui raconte lorsqu’elle le fait pas. Depuis que Diana lui a apprit qu’elle pourrait pas avoir d’enfant, elle a l’impression que Nova fait tout pour rester plus proche d’elle qu’avant. Comme pour la consoler, ou une autre connerie comme ça. Diana a pas besoin de sa pitié, ni de celle de quiconque d’autre, d’ailleurs. C’est pas comme si elle comptait réellement avoir un gosse un jour. Les jambes croisées sous le bureau, elle tape du pied rapidement. Et le regard qu’elle finit par lancer à Nova, en plein milieu d’une de ses nombreuses phrases, montre son ennuie et son agacement. Nova finit par sortir, et Diana espère que c’est parce qu’elle a compris le message, qu’elle va pas revenir rapidement. Elle ouvre un dossier qu’est devant elle. C’est une liste de plusieurs noms. Des clients, principalement. Des clients qui lui font confiance pour leur conseiller la fille qui leur correspondrait le mieux. Diana sourit. La plupart de ces clients terminent avec Lava. Parce que c’est des clients qu’elle connaît assez pour qu’ils lui fassent confiance. La réciproque est bien souvent présente, dans ces cas là. Diana fait confiance à ces hommes pour être assez doux pour pas choquer Lava. Quoique Lava serait probablement pas choquée si un mec s’amusait avec elle de façon violente, elle se dirait probablement que c’est comme ça, que c’est son job. Pire, elle serait probablement heureuse de le faire, du moment qu’elle est sûre de pouvoir continuer à voir son Theo après. C’est la raison pour laquelle Diana lui donne jamais des hommes violents. Nova, aucun soucis, elle sait encaisser, elle sait se défendre si ça va trop loin. Beaucoup de ses filles, savent, se défendre. Lava, c’est pas le cas. Lava, ça l’étonnerait pas qu’un jour, elle se mette à mordre, parce qu’elle se sent en danger et qu’elle sait pas quoi faire d’autre. Parfois, Lava lui rappelle un animal enragé qui connaît rien aux règles sociales. Et c’est un peu ce qu’elle est. Diana essaye de l’aider. Mais quand elle est arrivée, Lava avait déjà tant d’années passées à vivre comme ça, que c’est compliqué. La seule personne qui pourrait réellement la faire changer, Diana le sait, tout le monde le sait, c’est Theo. Et peut-être Ajay. Parce que Lava est attachée à Ajay, d’une façon que Diana peut comprendre, un peu.
Lorsque la porte de son bureau s’ouvre, elle lève les yeux et voit Nova, de nouveau. Diana se mord la lèvre inférieur, pour se retenir de lui dire d’aller se faire voir chez les elfes. Diana remarque vite qu’un truc cloche. Nova prend pas immédiatement la parole, l'assomme pas sous un flot de mots incohérents et inutiles. Elle la regarde juste, et elle semble essoufflée. “Quoi ?” Qu’elle lui aboie presque dessus. Diana est pas du genre patiente. Elle peut l’être. Vraiment. Mais quand quelqu’un veut, d’une façon évidente, lui dire quelque chose et qu’il le fait pas. C’est le genre de truc qui peut vite la mettre hors d’elle. “Y’a Dorian qu’est là. J’crois qu’il veut te parler. Ou faire son lourd avec certaines filles.” Diana hausse les sourcils, et un rictus amusé se forme sur son visage. Dorian est un grand malade. Il sait pas dans quoi il se met en venant la voir ici. Elle se lève, ferme son bureau à clé, et demande à Nova de retourner chez elle et d’empêcher Lava de venir. Il faudrait pas qu’elle croise Dorian. Si Diana peut faire en sorte que ce pervers remette jamais les yeux sur sa précieuse Lava, elle le fera. Elle dévale les escaliers, et se retrouve à surplomber une scène qui la laisse perplexe. Une jeune fille est là. Belle jeune fille. Blonde, habillé comme une de ses filles, voir presque plus dénudée. Diana aime pas montrer trop de chair de ses filles, pas avant que les hommes ait payé pour voir plus. Elle descend quelques escaliers, mais reste en retrait. Elle voit Dorian s’approcher de cette fille. Et elle est à deux doigts d’intervenir. Mais Dorian se prend une claque. Et une belle. Très belle. Alors Diana intervient pas. Elle finit de descendre tranquillement les escaliers et s’appuie au bar, pas très loin de la scène, juste assez pour pas être dans la périphérie de vision de Dorian. La fille parle, et Diana rit, un peu, silencieusement. Elle entend, comme probablement tout le monde, le bruit des doigts de Dorian craquer, et pense rapidement que c’est peut-être le moment d’intervenir. Change d’avis rapidement. Après tout, il a vendu la virginité de Lava a un connard violent, juste parce qu’il a payé le plus cher. Et elle lui en veut toujours. Pas qu’il existera réellement un jour où elle lui en voudra plus du tout. Dorian est un connard, et par nature, Diana aime pas les connards. Lorsque le talon de la blonde atterrit, avec force, sur le pied de Dorian, Diana décide enfin d’intervenir. Pas pour Dorian, non. Juste parce qu’elle a vu un client assez régulier, à l’entrée, ressortir en voyant la violence de la scène, qui attire pas mal de regards. Diana se doute, cependant, que ce soit la jeune fille et pas la scène, qui attire les regards. Elle s’approche des deux, et pose une de ses mains sur sa hanche. “Dorian, quel déplaisir de te voir. T’as rien à faire ici, barres-toi.” Elle attend qu’il atteigne -difficilement- la porte, pour lui crier un “Va voir un docteur, j’crois que t’as les doigts cassés”. Elle a essayé de le dire sans trop de rire dans sa voix. C’est pas gagné. Elle se tourne vers la blonde assez rapidement. “Bonjour. Je peux vous aider ?” Pour une raison qu’elle arrive pas à pointer, cette gamine lui rappelle un vaste mélange étrange entre Lava et Galileo. Qu’elle sait plus comment appeler. Probablement Gali. Il sera toujours Leo pour elle. Elle regrette quelques secondes, aussi, de pas avoir laisser Dorian aux mains de cette jeune blonde. Peut-être qu’elle aurait pu définitivement se débarrasser de lui, et juste dire à Ajay qu’elle “était pas là quand c’est arrivé”.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
Dans l'esprit constitué de données et de possibilités nombreuses, plusieurs scénarios intéressants se dessinent déjà, pour Loni et surtout, pour ce pervers. La colère est une chose qu'elle ne cesse de ressentir pour une quantité de raisons hallucinantes, et bien qu'elle ne parvient pas souvent à en comprendre les causes, Loni la laisse souvent la dominer complètement, ne serait-ce que pour se sentir bien, par la suite. Les remords sont souvent étouffés. La blonde ne les comprend pas encore. Elle ne comprend toujours pas le fait qu'elle puisse faire un geste si, au final, elle en vient à regretter la chose. Pourquoi une personne, après tout, ferait-elle une chose, si c'est pour s'en vouloir, par la suite ? Elle ne comprend pas. Elle ne comprend pas la vague d'émotions qui la prend, parfois, face aux paroles trop brusques qu'elle dit, et aux réactions blessées des gens. Les détails sont encore trop subtiles, trop minime, pour elle. Elle les dévisage au travers d'une glace déformante, sans réellement parvenir à voir ce qui se dessine de l'autre côté, bien qu'elle a conscience que la chose existe. Si elle devrait s'y attarder et y prêter plus attention, essayer de comprendre, l'androide préfère pourtant se détourner et continuer son chemin. Elle n'a pas de temps, après tout, pour de minimes remords. Pour regretter chaque chose qu'elle fait simplement à cause des répercussions, sur les autres. Loni n'aime pas avouer être dans le tord. Elle n'aime pas y penser, encore moins l'envisager, qu'importe ses mots, ses actes, ses gestes. Elle n'aime pas dire, avouer qu'elle ne sait pas, parfois, ce qu'elle fait. Qu'elle ne connait pas certaines choses et que, par ce fait, peut-être agit-elle de la mauvaise manière. Ce sont les autres qui sont dans le tord. Ce sont les autres les responsables. C'est lui, pour sa main contre ses fesses, pour son sourire lubrique et ses envies, dans ses yeux, qu'elle peut lire comme les données d'un ordinateur. C'est Ajay, pour avoir fait pleurer Gali, car il est parfait, qu'importe ses imperfections, et qu'il n'est responsable de rien, selon elle, car il est lui, tout simplement. Loni est incapable d'avouer que dans une histoire, il peut y avoir plusieurs responsables, dont les personnes qui comptent pour elle, dont elle-même.
La moue cruelle contre ses lippes se tord lorsqu'une femme sublime se glisse près d'eux. Le regard de chat de Loni se pose sur elle, froid, l'étudiant attentivement, tandis qu'elle se mord presque la langue pour ne pas lui dire de dégager. Si elle avait encore ses griffes, elle lui donnerait certainement un coup de patte. Mais la blonde possède quelque chose qui ressemble à la solidarité féminine, car elle ressent le besoin de faire parti de quelque chose d'être comme les vraies femmes, bien qu'elle ne s'entend que très rarement bien avec les personnes du même sexe qu'elle. La blonde passe son temps à défendre les droits de la femme, tandis que son cercle est principalement constitué d'hommes. pardon ? qu'elle dit, la voix aiguë, scandalisée, tandis que la femme annonce à l'homme qu'il devrait quitter les lieux. D'un léger mouvement, elle se tourne face à la femme en question, oubliant de laisser son pied sur celui de l'homme ; il en profite pour s'éloigner d'un pas boitant. Lorsque Loni remarque la chose, il s'est déjà éloigné de plusieurs pas. qu'elle s'indigne, fort, pour capter son attention. La conversation n'est toujours pas terminée. Elle ne l'a pas décidé. Elle ne l'a pas dit. Mais l'homme accélère le pas, la femme lui dit autre chose, et Loni la dévisage de nouveau, furieuse cette fois-ci.
Comment peut-elle oser décider d'une chose à sa place ? Je n'avais pas fini avec lui. qu'elle affirme, fort, en posant ses bras contre sa poitrine, remontant bien son buste, par la même occasion, bien que l'action ne soit pas intentionnellement. Vous pouvez m'aider en commençant à vous mêler de vos affaires. J'en avais pas fini, avec lui. Elle lance un regard vers la porte, mais l'homme a déjà quitté les lieux, forcément. Loni inspire brusquement par les narines - le geste ne lui est pas utile, mais il est comme un tic, va savoir pourquoi - avant de tourner ses yeux vers la femme, de nouveau. D'un geste impérieux, elle garde le menton haut et ramène une mèche de cheveux derrière son oreille, la puce légèrement à découvert. Ou alors dites moi où se trouve le prétendu King des lieux que je lui dise ma manière de penser. Dans ses circuits, trop de rages. Loni a besoin de se défouler sur une personne. Dorian est parti, maintenant. C'est dommage, il lui aurait permis de se libérer d'un peu de colère et d'être plus compréhensible avec Ajay.
Revenir en haut Aller en bas
Ana Washburn
Ana Washburn
Date d'inscription : 10/09/2018
Messages : 226
Pseudo : bermudes.
Avatar : kaya scodelario
multi : nephtys (n. scott) -- ishiro (a. hyoseop) -- nikita (g. yoo) -- jelly (hani) -- joshua (dohwan) -- lava (momo) -- nimh (a. seyfried) -- baby blue (bbh)
Réputation : 6

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
C’est pas vraiment qu’elle regrette son choix. Elle aurait pu le laisser se faire buter par la jolie blonde, qui allait probablement prendre son temps. Et à qui ça avait l’air de procurer bien du plaisir. Mais si elle avait fait ça, Dorian aurait arrêté de recruter de belles filles, et Diana aurait dû les recruter elle-même. Parce que, faut dire ce qu’il est. Elle le supporte pas Dorian, du tout. Dorian est un connard égoïste et égocentrique, qui pense que ses filles sont de la viandes fraîches à vendre au plus offrant. Mais pour une raison que Diana voit simplement comme du sexisme, la plupart des personnes qui apportent des filles aux Nulls les apportent aux hommes. Dorian est un homme, Diana non. Les autres types, elle les laisse tranquille. Parce qu’ils traitent bien leur filles. Pas aussi bien que Diana le fait, bien entendu. Personne traite ses filles aussi bien que Diana le fait. Mais personne les traite aussi mal que Dorian le fait. Y’a ça, et le fait que Dorian soit assez bas, dans la hiérarchie. Et dans l’estime d’Ajay, d’ailleurs. Diana peut donc aller lui chourer ses filles sans aucun soucis. C’est un peu comme si, Dorian était le pêcheur, allait pêcher les poissons pour les torturer, alors que Diana elle, rachète les poissons et les tue avec mercie. En les préparant pour les remettre à l’eau sans difficulté. Sa comparaison fait pas trop de sens, mais y’a de ça, dans l’idée. Aucune fille raisonnable préférerait être avec Dorian plutôt qu’avec Diana. Même les filles qui savent pas ce que c’est, la raison, préfèrent Diana. Lava, pour pas les citer. Donc non, elle pouvait pas vraiment laisser la blonde faire ce qu’elle voulait de Dorian. Même si le show en aurait presque valu la chandelle. Puis, bon, y’a les clients, aussi. Et c’est une chose de vouloir l’assassinat en place publique d’un connard de renom. C’est une autre d’effrayer des clients qui pourraient la payer des centaines de Stellars pour une voir une fille danser. Elle peut pas perdre ce public de choix juste pour un désir personnel. Que ce soit le sien, celui de cette blonde, ou même les deux réunis. Lorsque la gamine, elle a l’air jeune, se retourne vers elle, elle a l’air contrariée. Elle est presque boudeuse. Et Diana a l’impression de se retrouver devant Lava quand elle a pas ce qu’elle veut. Quoique, c’est pas quelque chose qu’elle voit souvent. Lava se contente du minimum. Des compliments et Theo. Cette fille pourrait croire qu’on vit d’amour et d’eau fraîche si Theo fait partie du lot. La fille devant elle, c’est une moue de petite fille qui essaye de paraître grande, et qu’a un visage de grande qu’elle lui sert. C’est particulier. Diana pense directement à l’argent qu’elle pourrait lui apporter. Et elle sait que ça ferait un petit tas. Mais elle voit aucun tatouage sur elle, elle doit pas faire partie des Nulls. Diana doute même qu’elle soit prostituée, tout court, d’ailleurs. Elle se comporte comme une diva pourrie gâtée de six ans. Pas comme une prostituée renfrognée. Diana connaît la différence. Elle l’a apprit entre Leo avant, et Gali maintenant. Elle répète qu’elle n’en avait pas fini avec Dorian, et Diana sourit, un peu gentiment, un peu sévèrement. Elle maitrise ce genre d’expressions, vu qu’elle les utilise à répétition avec ses filles. Et par ses filles, faut entendre Nova, principalement. La fille ramène une mèche derrière son oreille et Diana hausse un peu les sourcils. Pas assez pour que ce soit évident. Elle a pas de tatouages, mais elle a un truc qui lui sort de la tempe. C’est dégueulasse. Diana fait pas de réflexion. Diana est classe. Elle a vaguement entendu parler de puces, et que c’était lié à des androïdes. C’est ça, que cette fille est ? Un robot ? Et lorsqu’elle continue de parler, Diana oublie tout sur ses réflexions sur “comment un robot peut avoir l’air aussi réel ?” “elle a une conscience ?” et plein d’autres choses comme ça, pour penser au King. A Ajay. Diana élargit un peu son sourire. Si cette gamine veut voir Ajay, qu’elle est remontée comme ça, et vu ce qu’elle vient de faire à Dorian. Presque, ça donnerait envie à Diana de lui indiquer exactement où aller pour le trouver. Juste pour se régaler du spectacle. Mais elle le fait pas. “Votre façon de penser sur ? Ses collaborateurs ?” Elle pense à Dorian. Elle se doute bien que c’est pas la raison de la venue de cette furie blonde. Oh, puis, après tout. “Il est pas là pour le moment. Y’a que moi. Et mes filles. Et quelques clients. Puis, le King reçoit pas des gens, comme ça, venus de nulle part. Vous êtes qui ? Je pourrais peut-être lui transmettre le message lorsqu’il sera là ?” En toute sincérité, Diana sait pas où il est. Et Diana a pas vraiment vraiment envie de savoir, non plus. La rupture, pause, qu’importe comment il le perçoit, avec Gali, ça lui a pas fait du bien. Et Diana aime pas se frotter à lui quand il est en manque de Gali, il finit toujours par lui raconter ô combien il l’aime et ô combien il a été con. Et Diana, ça l’emmerde, un peu. Elle passe derrière le comptoir rapidement, sans perdre la fille des yeux. “J’sais pas trop si vous pouvez boire ou quoi mais, j’vous sers un truc si vous voulez.” Elle pose ses coudes sur le bar et lui sourit. Gentiment. Comme elle a sourit à Lava, les premières fois, quand elle essayait encore de l’apprivoiser.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
La machoire se serre lorsqu'elle remarque le regard peu discret allant à sa puce. Loni lève le menton un peu plus haut, malgré elle, et défie la femme du regard, car c'est plus fort qu'elle. Elle la défie de dire quoique ce soit, de faire quoique ce soit, en rapport à cela. Loni ne l'aime pas, sa puce. Elle envisage parfois de la faire retirer pour mieux se mêler à la foule. Pour mieux se perdre parmi les gens. Elle a, après tout, déjà un timer sur le bras, et il fonctionne à merveilles. La blonde n'a pas envie d'être simplement vu comme une machine. Elle a trop longtemps été la voix de l'autre côté du fil, tandis que les hommes et les femmes et ceux entre deux appelaient, pour un peu de douceur. Elle a trop longtemps été un secret, cachée quelque part, dans un endroit qu'elle ne connait même pas. Même aujourd'hui, elle se cache encore. Et pourtant, elle a envie d'hurler à la face entière du monde qu'elle existe. Comme un enfant qui ne devrait pas être née, elle devrait se taire. Elle devrait se faire discrète. Elle est née dans l'interdit. Elle ne devrait pas exister. Jacò, Gali et Mew lui ont donné une chance de le faire, d'exister. Même Brian et - et Daniil. Cinq hommes lui ayant donné ses premiers battements de coeur, ses premiers souffles, bien qu'elle ne possède ni coeur, ni poumons. Et elle les aime, pour ça. Si elle comprend bien l'émotion, du moins, chose qu'elle doute fortement, elle les aime. Plusieurs choses restent encore flous, dans sa vie. Mais au moins, elle en possède une, de vie. Elle existe. Elle ne devrait pas et pourtant, elle est là. Et Loni compte bien profiter de la chose, apprendre et découvrir, et surtout, ne jamais se taire. Elle a besoin que les gens sachent qu'elle existe autant que le fait même. C'est plus fort qu'elle. Tout comme elle ressent le besoin d'exprimer chacune de ses émotions bien qu'elle ne les comprend pas elle-même. Rien ne doit rester étouffé. Rien ne doit rester cacher.
Loni n'est plus un vilain petit secret. Elle brille, immense, et elle désire se faire entendre, exister aux yeux de plus de gens possibles, pour le nombre de jours qu'il lui reste, car aujourd'hui pourrait être le dernier. Elle ne sait pas. Elle ne veut pas savoir. La mort lui fait peur. Beaucoup de choses lui font peur.
Le regard des autres, étrangement, en fait parti., qu'importe si elle ne dévoile pas la chose. Qu'importe si elle est si fière, le corps bien droit, à demi nue, tandis qu'elle dévisage la femme qu'elle ne connait pas. La sirène est en guerre contre le monde entier, car elle ressent ce besoin d'être parfaite, d'exister et aussi, de prouver qu'elle a le droit d'exister, aux yeux de tous. Elle veut se dévoiler parfaite et avoir toutes les réponses, ne pas être fragile et hésitante, car elle sait comme les hommes peuvent être des requins, tout comme elle sait que les femmes, elles, sont pires. Elles sont des pirahnas. Des vautours de la pire espèce. Elles n'attendent pas que les corps soient carcasses avant de les dévorer. Elles aiment la chair fraiche. Elles apprécient les dernières secondes de vie encore plus que les premières bouchées de leur repas.
Elle le sait. Elle ressent la même chose. Loni a envie de détruire le monde qui s'offre à elle autant qu'elle désire en faire partie. C'est une chose qui lui vient de Daniil, peut-être, ou simplement d'elle-même. Elle se cherche une place autant qu'elle désire détruire toute chose qu'elle ne possède pas. Ce qui lui fait peur, ce qui lui est inconnu.
La moue se pince, la réponse tombe. Loni fronce du nez, brièvement, agacée. Il aimerait oui. Mais non. Elle jette un regard autour d'elle, dévisage une table une seconde, ayant l'envie de la balancer contre la fenêtre, uniquement pour détruire l'un des biens du King. Gali a, après tout, fait un commentaire à propos d'une baie vitrée. Elle est certainement détruire par la faute d'Ajay. L'homme ne mérite que cela. Mais la femme parle de nouveau, et Loni reporte son regard sur elle. Les lèvres restent pincées. Que toi ? qu'elle souffle, agacée pour un rien. Agacée de voir une femme parler d'elle-même de la sorte. Tes filles ? Passer le message ? Elle choisit les mots, pour être en colère. Loni inspire brusquement par la nez, bien que la chose ne lui sert pas, et la suit des yeux, tandis qu'elle va derrière le bar. Au final, les lèvres se tordent pour forcer un sourire délicat qui n'a rien de doux, malgré le visage qui devient angélique, et Loni laisse sa tête penchée légèrement sur le côté, quelques mèches allant devant son tendre minois Non merci. Je préfère lui dire moi même. Hurler, plutôt. Le frapper, peut-être. Délicatement, bien évidemment, car elle se doute que Gali est assez stupide pour l'aimer encore, et retomber dans ses bras rapidement. Elle désire seulement le voir pleurer autant que son patron le fait, en ce moment. Et elle ne ressent aucune gêne pour partager l'information. Un verre de ses larmes, c'est possible ? qu'elle peste, la voix venin, en prenant doucement place sur un tabouret, les cuisses effleurant le bois du comptoir, totalement à découvert. Elle prend le temps de les croiser, lentement, avant de poser ses bras, délicats sur le comptoir également. Son regard, azur, s'accroche à celui, sombre de l'autre femme. Je peux savoir où se trouve son bureau ? J'aimerais lui laisser un message. Si doux visage, si délicat sourire. Elle ressemble à un ange. Il ne faut pas se laisser berner. Elle a encore du sang, sous son escarpin. Ne t'inquiète pas. J'en ai le droit. I'm his little kittty. Elle fait un léger mouvement de poignet, mimant un chat, la pointe de la langue sortie, un miaulement entre les lippes, un clin d'oeil léger, sur la figure.
Revenir en haut Aller en bas
Ana Washburn
Ana Washburn
Date d'inscription : 10/09/2018
Messages : 226
Pseudo : bermudes.
Avatar : kaya scodelario
multi : nephtys (n. scott) -- ishiro (a. hyoseop) -- nikita (g. yoo) -- jelly (hani) -- joshua (dohwan) -- lava (momo) -- nimh (a. seyfried) -- baby blue (bbh)
Réputation : 6

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
Diana se doute bien que cette fille est pas d’un danger extrême pour Ajay. Si elle voulait lui faire du mal, ou le tuer, ou autre possibilités logique en sachant qui est Ajay, elle lui aurait pas demandé clash où il était. Et elle lui aurait certainement pas dit que c’était pour qu’elle lui “dise sa manière de penser”. Elle ressemble plus à une amoureuse transie et blessée qu’à quelqu’un de réellement dangereux. Diana se sert un verre en écoutant ce que la blonde lui répond. Et si, à l’arrière de son crâne, se posent plein de questions sur les robots, elle y fait pas attention, vraiment. Diana est quelqu’un qui a une facilité déconcertante à n’éprouver aucun intérêt pour les choses qui ne la touchent pas directement. Elle veut pas lui parler de ses partenaires. Elle aurait pu. Diana aurait aussi des trucs à redire, si elle devait être tout à fait honnête. Dorian virerait. Ainsi que pas mal des gros barbares dont tuer est la seule réelle occupation. Pire, le seul réel plaisir. Diana trouve que les Nulls excellent en prostitution, alors pourquoi pas rester là dessus ? Pourquoi pas virer tout le côté violents meurtres du gang ? Puis, ça leur permettrait de rester dans la légalité et de faire des doigts à tous les policiers, juges, et autres représentants de l’ordre public lorsqu’ils essayent de les arrêter. Puis, aussi, peut-être que s’il se concentrent sur la prostitution, Diana pourra avoir une augmentation, et prendre plus de place dans le gang. Elle a laissé tomber l’idée de devenir la Queen du King très rapidement. Mais ça lui déplairait pas d’être la princesse. Vraiment. La blonde répète sa phrases en questions, et Diana hoche la tête, à chaque fois. Peut-être qu’elle est débile ? C’est pas méchant, juste. C’est un robot, non ? Elle sait plus si c’est Ajay ou Gali qui lui a parlé des IA, androïdes, Diana a jamais rien compris. Diana les appelle les robots, c’est plus simple. Enfin, l’appelle, elle, un robot. Parce que depuis que l’un des deux lui en a parlé, elle avait presque oublié leur existence. Again, c’est pas quelque chose qui la concerne, c’est pas quelque chose qui l’intéresse. Peut-être qu’en tant que robot, cette blonde comprend pas tout ce qu’elle lui dit ? Et d’un autre côté, elle a l’air d’être assez vive, en général. Elle a l’air d’être assez forte, aussi, pour casser les doigts de Dorian comme ça, juste avec ses doigts qui semblent si fins. Finalement, elle refuse son aide. Et Diana hausse juste les épaules. Tant pis pour elle. Elle sait pas où est Ajay. Et même si elle le savait, elle lui aurait jamais dit. Après tout, Diana est souvent un SAS de choix pour les gens qui veulent voir Ajay lorsqu’elle est dans les parages. Qu’il le veuille ou non. Qu’il le sache, ou non, d’ailleurs. Surtout quand il va mal. Et ça inclue ces derniers temps, depuis la dispute avec Gali.
Lorsque la blonde répond à sa question de si elle veut, peut, boire, Diana hausse les sourcils. Son sourire se transforme en petit rire. Elle est marrante, cette fille. Et manifestement, elle en veut à Ajay, vraiment. Beaucoup. Diana se demande quelques secondes ce qu’il a bien pu faire à un jeune fille comme elle pour qu’elle finisse par le détester autant. Avant de se souvenir que c’est pas ses affaires, et que, de toute façon, elle s’en fou. Elle se remet à parler, avec une voix presque charmeuse, lorsqu’elle demande où est son bureau. Elle veut lui laisser un message. Et à la rigueur, Diana pourrait lui dire. Mais elle sait pas si elle va le faire. Parce que vu le personnage, elle serait fortement capable de juste foutre le bordel, renverser tous les dossiers, le bureau, et déchirer des trucs importants. Et Diana peut pas laisser ça arriver. C’est pas possible. Lorsqu’elle passe au tutoiement d’une manière assez inattendue et pour lui dire des mots qui le sont encore plus. Kitty ? His little Kitty ? Elle est complètement dingue, cette fille. Diana se redresse, le visage doux, et fronce un peu les sourcils, observant de nouveau la fille devant elle. Ses cheveux blonds sont magnifiques, et ses yeux le sont aussi. Elle est habillée comme l’une de ses filles le seraient. Elle a des manières qui lui rappellent Gali, et un comportement qui se rapproche de celui de Lava en quelques points. Et puis y’a ce truc qui sort de sa tempe, mais elle reste pas longtemps dessus, ça lui donne des frissons. Comme lorsqu’elle voit un gros bouton pullulant sur une belle peau. “Little Kitty ? C’est un surnom ou quelque chose ? T’façon, j’peux pas vous aider. Ou alors faut me dire c’que vous lui voulez, avant.” Elle s’arrête quelques secondes, prends le verre qu’elle s’est servie et retourne face à la blonde, de l’autre côté du bar, du côté de la scène. “C’est drôle ces manières que vous avez. Un type que j’connais a les mêmes.” Gali est plus qu’un type qu’elle connaît. Mais elle sait jamais trop comment le représenter aux autres. Un ami ? Pas vraiment. Un ancien employé ? Ouais, mais pas vraiment non plus. Un p’tit con prétentieux qui s’prend pour une Queen ? Certes. Mais ça pourrait choquer les gens, qui connaissent ni Gali, ni Diana. Ni le genre de relation qu’ils avaient, à l’époque.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
Loni ne connait pas grand chose à la vie. Les maigres choses - pourtant nombreuses - qu'elle a apprise lui viennent d'un ancien prostitué, d'un homme simplet trop dévoué à sa famille, d'un garçon blessé par la vie et d'un androide qui, lui-même, apprend encore la vie. Elle agit comme si elle savait tout, pourtant. C'est une chose que Gali lui a montré. C'est quelque chose que Daniil a toujours fait, à ses yeux. Celle d'avoir toutes les forces du monde alors qu'au final, il n'est qu'un petit garçon, encore, qui demande un peu de tendresse, qu'importe s'il mord lorsque l'on tente de lui en donner, les premières secondes. Daniil est meurtri par la vie ; il se fait meurtrier par ses mots. Même Gali possède des mots violents. Mew également. Il n'y a que Brian qui est délicat. Et Loni essaie de l'écouter, parfois, pour être également délicate. Pour comprendre les choses, son coeur, ses émotions et les gens, avant de montrer les crocs et les griffes et d'agresser le monde entier. Mais c'est une chose qu'elle peine à faire, encore. Loni est en guerre contre le monde ; elle se débat pour se créer une place dans un monde qui n'a pas voulu sa création. On l'a mise dans l'univers alors qu'elle ne devait pas y être. Elle est une erreur, une faille, un problème qui ne devrait pas exister. La blonde se demande, parfois, ce que les flics feraient avec elle. Elle sait que certains voudraient glisser leur doigt puant sous sa culotte pour quelques caresses abusées. Elle sait, parfaitement, que certains oseraient jouer avec elle, user de tactique pour parvenir à leur faim. Loni a entendu trop de choses pour croire que les homme sont bons. Elle voit tout, dans leurs yeux pervers, le moindre envie, la moindre sueur lubrique, contre leur tempe. Elle sent, contre sa peau trop douce, les regards voraces qui massacrent la pureté de sa peau. Loni voit le pire, chez les hommes. Elle peine à voir le meilleur. Elle ne le comprend pas. La subtilité de l'être humain lui échappe. Le fait qu'une personne puisse posséder non pas que des mauvais côtés, mais des bons également. Que le pervers lui demandant des histoires étranges à propos de pieds et souhaitant être traité comme une sous merde est un bon père de famille qui cherche de l'attention, simplement. Elle ne comprend pas. Les détails, les subtilités. Et si les hommes sont pourtant évidents, dans ces détails minimes, les femmes sont plus discrètes.
C'est une étrange histoire. Le fait que Loni les défende si fort alors que, au fond, elle les connait si peu. Elles sont plusieurs dans son entourage, pourtant. La blonde les dévisage de loin, dans un mot, et ne s'approche que pour exister, fort, sans demander permission et ne serait-ce que pour une seconde. Elle s'évade rapidement. Elle les défend fort, leur parle si peu. Peut-être qu'une part d'elle sait que, face à elles, elle n'est que fausse. Peut-être qu'elle doute de sa propre personne. Loni est pleine de doutes. Plein d'interrogations, incapable de se comprendre encore, incapable de s'ajuster au monde. Elle essaie avec les manières des autres, pour le moment, le temps de trouver son propre chemin. Elle ne sait pas encore marcher correctement sans tomber. Sans blesser les autres.
Elle tient les apparences en place. Autant avec son corps sorti d'un rêve avec son esprit, sorti d'une tempête. Son regard, félin, reste posé sur la femme face à elle. Loni la trouve sublime. Elle aime la teinte de sa peau, si différente de la sienne. L'androide se demande si elle aurait pu avoir un corps comme cela. Elle se pose encore souvent la question, sachant qu'elle pourrait changer de corps, justement. Elle ne se sent pas encore tout à fait elle, à l'intérieur. La blonde ne se l'est pas tout à fait appropriée. Elle ne sait pas comment. Peut-être a-t-elle également peur de le faire en sachant qu'elle peut le perdre à tout moment.
Si la brune lui pose une question indirecte à propos de ses intentions, Loni ne lui accorde aucune réponse. Elle ne lui en doit pas, de toute manière. La blonde reste silencieuse, le regard curieux mais morne appuyer sur son visage, sans ciller. Elle n'en a pas besoin. Et elle sait qu'un regard insistant peut rendre les gens mal à l'aise. Elle profite de la chose sans la moindre gêne. La suite des mots touche sa curiosité, pourtant. Les paupières s'agitent, les cils également. Les coudes glissent contre le comptoir au point où le corps s'y allonge presque, la tête penchée sur le côté. oh vraiment ? et qui donc ? La bouche se tord une nouvelle fois en une moue trop prononcée, tandis que les sourcils se froncent. parce que je suis unique. Elle désire l'être si fort, unique. Elle sait qu'elle l'est. personne ne m'égale. Le regard coule le long du corps de la brune, encore. Un sourire se glisse sur les lippes, quelque chose dans l'oeil. Le chat joue. tu ressembles à une queen. dommage que le king préfère les dramaqueen. ou plutôt tant mieux. qui a besoin d'un homme ? certainement pas toi La moue se tord, encore. Loni passe d'un visage à un autre. j'ai des envies de régicide. envie de lui couper la tête. de lui retirer ses cheveux un à la fois, et ses ongles aussi. de lui ouvrir le crane pour voir à quel point le cerveau qui s'y trouve est minuscule, pour comprendre pourquoi il est si con.
Revenir en haut Aller en bas
Ana Washburn
Ana Washburn
Date d'inscription : 10/09/2018
Messages : 226
Pseudo : bermudes.
Avatar : kaya scodelario
multi : nephtys (n. scott) -- ishiro (a. hyoseop) -- nikita (g. yoo) -- jelly (hani) -- joshua (dohwan) -- lava (momo) -- nimh (a. seyfried) -- baby blue (bbh)
Réputation : 6

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
Leo lui manque, parfois. Elle l’avouera jamais. Parce qu’elle le détestait. Et elle l’adorait. Et que leur relation était un genre de “va te faire voir, moi non plus” qu’ils étaient les seuls à comprendre totalement. Vu de l’extérieur, c’était juste de la haine. Et personne comprenait que malgré ça, Diana choisisse de garder Leo prêt d’elle, pour plusieurs trucs. Mais Diana le respectait énormément, à l’époque. Diana a toujours respecté Leo. Elle lui a toujours trouvé un truc particulier, en plus, qu’elle a jamais retrouvé dans aucune de ses filles, après qu’il soit parti. Ces mimiques, par exemple, qu’elle retrouve là, face à elle, chez une blonde aux yeux bleus, qui lui rappelle plus Lava que Gali. C’est une vision étrange. Mais Diana aime bien les choses étranges, parfois, tant qu’elles sont pas trop bizarres. Tant qu’elles sont pas trop hors du communs, tant que Diana sait qu’elle peut finir par les comprendre. Diana supporte pas se retrouver face à une situation qu’elle peut pas comprendre. Elle trouve ça particulièrement frustrant. De pas réussir à comprendre une situation dans son ensemble. La blonde répond pas à sa question, et Diana n’y apporte pas d’attention particulière. Après tout, si elle désire pas répondre, qu’elle réponde pas. Diana lui dira pas où trouver Ajay, et ne lui laissera jamais lui parler. Et elle est douée pour jouer le sas de protection d’Ajay. Surtout quand il est dans des états comme celui dans lequel il est actuellement. Puis, en toute sincérité, même si elle lui avait dit, Diana lui aurait probablement pas laissé rencontrer Ajay. Parce qu’elle a l’air capable d’une violence inouïe, cette jolie jeune femme. Et que ça pourrait très mal se terminer, très rapidement, si elle essayait de s’en prendre à Ajay comme elle s’en est prise à Dorian. Ce qui, si il faut en croire ce qu’elle dit, est exactement ce qu’elle semble vouloir faire. Elle a l’intention de le faire pleurer assez pour pouvoir boire un verre de ses larmes. Et Diana connaît assez Ajay pour savoir qu’il lui faudrait déployer beaucoup d’efforts pour remplir un verre entier de larmes d’Ajay. Même lorsqu’il est une loque sur un canapé en train de boire de l’alcool, il pleure rarement. Non, la jeune femme réagit plutôt à la remarque sur la personne avec qui elle la compare. Et la façon dont elle allonge presque le haut de son corps sur le bar est presque féline. Aguichante. Diana la trouve hypnotisante, presque. Elle a un truc en plus. C’est amusant, ce qu’elle répond. Diana en sourit. D’un sourire maîtrisé. Diana a toujours des sourires très maîtrisés. Tout ce qu’elle fait, l’est. Le moindre geste est d’une maîtrise totale. Elle sait toujours ce qu’elle fait, et pourquoi elle le fait. C’est une réflexion d’enfant, qu’elle a. De penser qu’elle est unique, que personne ne l’égale. Parce qu’une fois adulte, on se rend compte qu’autant unique que l’on soit, on est toujours égalé ou surpassé par quelqu’un. Ce qui est bien, c’est que Diana n’a jamais eu à vivre ça. Depuis son enfant, on lui a répété qu’elle n’était bonne qu’à être mariée, et lorsqu’elle a réussi à s’échapper, elle a pas eu le temps de retrouver cette sensation d’être meilleure que, qu’elle a rencontré Ajay. Et Ajay la surpasse, de loin, dans bien des points. Mais c’est pas son rôle, de lui parler de ça, de lui apprendre ça. Du tout. Et lorsque la blonde reprend, Diana hausse légèrement les sourcils en comprenant soudainement ce à quoi tout ça rime. Cette fille connaît Gali. La Dramaqueen du King. Et si elle sent son égo légèrement reboosté par l’idée que quelqu’un puisse la comparer à une Queen, elle en prend pas compte, pas pour le moment. Elle parle, de nouveau, et les descriptions précises de ce qu’elle veut faire à Ajay amusent Diana. Parce qu’elle comprend. Parce que tout semble clicker dans son cerveau. Elle s’assoit sur un des tabourets hauts du bar. L’horaire fait que la salle n’est pas encore totalement remplie. Et Nova, en voyant que Diana était occupée, à pris soin de s’occuper des quelques clients qui étaient occupés. Diana pose le verre sur le bar, et croise une jambe, gracieusement, pose ses mains jointes, au dessus. Comme la femme distinguée qu’elle est. Et avec un sourire doux et charmeur, elle finit par lâcher un petit rire amusé. “Comment va Gali ? J’espère qu’Ajay reprendra vite ses esprits et retournera vers lui. Ils méritent de vivre une belle histoire. Je crois.” Après tout, Diana est loin de connaître ça, les belles histoires. Et celle de Gali et d’Ajay est la seule qu’elle semble apercevoir aux alentours. La seule autre vraie histoire d’amour qu’elle connaît bien, c’est celle de Lava et de Theo. Et c’est loin d’être la relation la plus saine qu’elle connaisse. Une relation malsaine, et pas des plus belles. Alors que Gali et Ajay, c’est différents. Gali est Ajay, y’a une sorte d’évidence, pour tout le monde. “Faut pas qu’il déprime trop, Gali. Il a la force de caractère d’un titan. Et il est temps qu’il s’en serve.” Elle le respecte, Gali, pour ça. Et c’est une des choses qu’elle aime particulièrement, chez lui. Il faut pas qu’il se laisse abattre, il vaut mieux que ça.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
Loni n'aime pas se sentir petite. Elle n'aime pas se sentir inférieure ou encore, gamine. C'est quelque chose, dans le regard des gens. Une petit sympathie, ou alors un air. Une manière qu'ils ont de parler, ou alors, de tendre l'oreille. Il y a ça, et les pervers. Loni ne trouve que très rarement le juste milieu. La blonde en vient à, certaines fois, préfèrer les pervers. Elle a de bonnes raisons, au moins, socialement, pour les frapper. Pour les faire taire d'un coup de talon sur le pied ou alors, d'un coup d'ongle bien aiguisé, dans la chair. Elle aime les voir saigner, quand ils osent la toucher. Elle aime les voir se tordre de douleur, après un sourire lubrique, contre leur lippe. Mais les regards. Les regards presque doux, ceux qui sont presque - elle ne sait pas. Loni ne sait pas les nommer, ces regards. Ceux qui sont sympathiques, mais pas dans un sens qui devrait être apprécié. De toute manière, Loni ne désire l'aide de personne. Elle n'a pas besoin qu'on lui tende les doigts. Si elle désire appeler à l'aide, elle sait parfaitement vers qui se tourner. L'androide n'a pas besoin de gens qui la jugent pour trouver de l'aide. Elle les déteste, tous. Ceux qui posent leur iris sur sa carcasse robotique et ose se faire des idées, sur elle. Elle arrive presque à les lire, dans leur yeux. Elle voit, ce qu'ils pensent. Et elle leur crache sur les pieds. Loni, elle aime juger les gens. Elle aime aussi le regard des gens. Mais elle déteste lorsque eux l'observent, avec ce jugement, cette chose qu'elle ne comprend pas, dans leur regard. Elle les déteste aussi fort qu'elle se déteste, parfois de ne pas se comprendre. C'est comme si, d'un regard, ils lui disaient je te comprends. Qu'ils savaient ce qu'elle ne sait pas.
C'est quelque chose qu'elle sent, dans le regard de Diana. Quelque chose qui change. Et Loni, toujours plus ou moins allongée contre le comptoir à en faire son trone, la dévisage et attend ses mots, la suite. Mais la femme agit doucement, délicatement. Elle calcule chacun de ses gestes et Loni, de ses yeux bioniques, calculent chacun de ses mouvements. Elle l'étudie et enregistre certains gestes qu'elle trouve intéressants et en méprise d'autres. Pince ses lèvres, lorsqu'elle s'assoit face à elle, qu'elle croise jambe et doigts. La petite blonde lève le menton, doucement, comme son corps. Sa poitrine effleure le bois du comptoir et s'y pose, comme s'il était fait à cette usage. Elle sent, contre sa tempe, un regard qui coule le long de son buste. Loni adresse un regard en coin, noir, à l'homme qui ose dévisager sans grande discrétion, et il détourne l'oeil. Il a certainement vu son assault d'un peu plus tôt. Les lèvres se tordent et elle tourne ses yeux vers Diana de nouveau, tandis que la femme parle.
Le corps se tend, à la mention de Gali. Le corps aborde d'étranges réactions. Humaines, certainement. Loni a vu plusieurs personnes les aborder. Mais elle ne se fait toujours pas à la chose. À la tension, forte, qui la traverse et la fige, le temps d'une seconde, tandis qu'elle n'arrive pas à identifier précisément quelle émotion la traverse. Mais les sourcils se froncent, tout au moins, et elle serre les dents. L'androide juge qu'elle n'apprécie pas qu'on parle de lui ainsi, alors qu'il est sien, surtout venant d'un inconnu. Elle étudie la femme des yeux, presque en colère, incertaine de leur lien et surtout, furieuse que la femme présume des choses sur lui. Gali est fort, et il n'a certainement pas besoin de ton autorisation pour le savoir ou s'en servir. qu'elle peste, à lever le menton, pleine de défi, de conviction. Tout comme il n'a pas besoin d'Ajay Loni ne connait pas grand chose à la vie, mais elle même a conscience de son mensonge. Les lèvres se pincent un peu plus forts et le nez se fronce, légèrement. Il va très bien. Il ne déprime pas du tout. Mais elle en ajoute, Loni, car elle est possessive, protectrice, et qu'elle n'aime pas l'idée que les gens sachent que Gali pleure et déprime, quelque part, avec des cernes immenses sous les yeux. Je peux savoir ce qui te donne le droit de présumer quoique ce soit sur lui ? La tempête est toujours là. La chatte sort ses griffes et protège.
Revenir en haut Aller en bas
Ana Washburn
Ana Washburn
Date d'inscription : 10/09/2018
Messages : 226
Pseudo : bermudes.
Avatar : kaya scodelario
multi : nephtys (n. scott) -- ishiro (a. hyoseop) -- nikita (g. yoo) -- jelly (hani) -- joshua (dohwan) -- lava (momo) -- nimh (a. seyfried) -- baby blue (bbh)
Réputation : 6

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
Cette fille semble avoir une relation particulière avec Gali. Une relation que Diana arrive pas vraiment à comprendre. Elle le protège comme un chien protègerait la maison de son maître, sauf que, bah. Elle a rien d’un chien. Elle est jolie, très jolie. Presque trop jolie pour être humaine. Ce qu’elle n’est pas, si Diana a bien suivi ce que lui a dit quiconque lui ait parlé des robots, androïdes, qu’importe leur nom. Diana sait plus, si c’est Gali ou Ajay, qui lui en a parlé. Probablement Ajay. Et c’est d’ailleurs probablement parce que c’est lui qui lui en a parlé, qu’elle ne s’en souvient plus bien. Il a dû placer ça entre une plainte à propos de Gali et une autre plainte, de nouveau à propose de Gali. Donc, l’information a dû être traitée comme une plainte à propos de Gali, et rester dans le fond de son cerveau au cas où elle aurait à s’en resservir. Mais pas de façon assez juste pour qu’elle se souvienne des mots qu’il a utilisé. D’ailleurs, elle dit chien. Parce qu’il lui semble que les chiens sont plus fidèles, mais si elle devait se fier qu’à sa façon de se comporter, elle la comparerait plutôt à un félin. Puis, pas n’importe lequel. Le genre prêt à attaquer à la première occasion. Juste pour attaquer, défendre, ou répondre à quoique ce soit qu’elle considèrerait comme danger. Pas chat patapouf assis dans le canapé d’une grand mère qui aime les papouilles. Cette fille semble pas aimer ça du tout, les papouilles, d’ailleurs.
Qu’importe le lien qu’ils ont, lorsque la blonde lui répond, Diana sourit, un peu. Légèrement. Relation très particulière, indeed. Il semblerait qu’elle soit prête à tout pour défendre l’honneur, ou ici l’orgueil, de Gali. Bien que ce qu’ait dit Diana n’avait rien de méchant, ou de mal placé. C’était de la bonté de coeur pure et dure. Comme Diana sait si bien le faire. Et Diana comprend en quoi elle lui rappelle Lava. Outre les cheveux outrageusement blonds. Elle a un côté enfantin. Un côté tellement jeune qu’elle comprend pas, ou mal, lorsque Diana dit quelque chose. Il arrive aussi souvent à Lava, de s’énerver alors qu’il y a aucune raison. Mais l’esprit de Lava fonctionne comme celui d’un enfant, très simplement. Quelque chose comme ce qu’elle vient de dire, qui passerait pour n’importe qui comme une tentative de réconfort, passerait pour Lava, tout comme pour cette fille, comme un genre d’ordre étrange. Elles sont trop simples. Et Diana, ça la fait sourire. Peut-être de manière un peu maternelle, peut-être de manière un peu supérieur, aussi. Quand elle sourit comme ça, Lava la trouve jolie. Nova la trouve dédaigneuse. Tout le monde a sa propre interprétation, de ce sourire qu’arbore Diana, quand elle semble comprendre quelque chose qui lui donne envie de sourire, comme ça.
La façon dont elle lève le menton, pour essayer de montrer une supériorité qui n’existe pas lui fait penser à Gali. A l’époque où il faisait la diva face à Diana, en l’écoutant rarement, et en la laissant pourtant, et avec le menton fier et levé, ramasser ses conneries derrière lui. Ce qu’elle dit après transforme son sourire en un sourire en coin amusé. Parce que, bien sûr que si, que Gali a besoin d’Ajay. Et qu’Ajay a besoin de Gali. Et les Nulls, de toute manière, ont besoin de cette relation, d’après Diana. Parce que Ajay prendrait probablement le risque de finir en taule, loin de Gali pour le reste de ses jours, juste parce que les Nulls sont hors la loi quasiment tout le temps. Et que Diana, qui voudrait qu’ils restent sur des trucs légaux, qui frôlent juste avec l’illégalité, et bah, ça va dans son sens. Leur amour va dans le sens de ce qu’elle veut. La fille continue, et le sourire amusé de Diana s’élargit, bien qu’elle tente, qu’à moitié, de le cacher. Bien sûr que non, il va pas bien. Et bien sûr que si, il déprime. Comme Ajay le fait, d’ailleurs. Et lorsque la blonde finit ses paroles irréalistes, Diana approche un peu le haut de son corps d’elle. Pas trop, parce qu’elle a pas envie de finir comme Dorian. Mais un peu. Son sourire se transforme en quelque chose de plus doux, de moins amusé. Qui ressemble plus à ce qu’elle utilisait à l’époque, pour essayer d’expliquer à Lava, que non, vendre sa virginité à un porc parce qu’il a payé cher, c’est pas quelque chose de normal.
“Je le connais bien. Depuis longtemps. Il travaillait ici avant, tu sais ? Et j’ai longtemps été là pour l’aider, l’écouter, nettoyer ses conneries derrière lui. Je sais quand il va mal, et quand il va bien. Et après ce qu’Ajay a fait, je sais qu’il va mal.” Elle se recule de nouveau, se remet dans sa position initiale, assise, les mains jointe sur ses genoux pliés. “Je suis pas contre Gali, dans cette dispute, ni pour lui. Je pense qu’ils ont pas été les plus futés du monde, ni l’un ni l’autre. Mais Ajay était le plus âgé. Et Gali est. Bah. Gali. Je suppose qu’Ajay aurait pu réagir autrement.” Et Diana aime parler d’Ajay, comme ça. Elle le fait rarement, très rarement, et qu’avec des personnes qu’elle pense être assez loin des Nulls pour pas que ça pose problème à son image de King. Et cette fille semble être de ce monde, Sigan. Et n’avoir aucun lien avec les Nulls autre que Gali, qu’est lié à Ajay. Puis, c’est pas comme si elle disait vraiment du mal de lui. Diana est douée avec les mots. Et pour dire ce qu’elle veut dire d’une façon polie et qui reste dans les clous de la subalterne qu’elle est.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell Empty
Revenir en haut Aller en bas
 
(lona#1) that girl has always been half goldess, half hell
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
 Sujets similaires
-
» she was half human, half universe (shade)
» —a girl is a gun.
» ‹ primadonna girl
» Katkar + Who the hell are you ?!
» london + primadona girl

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
ANTIGRAVITY :: through the valley of the shadow of death :: Let the record spin :: IRP :: RPS TERMINÉS OU ABANDONNÉS-
Sauter vers: