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 flashback - when he mourns let him the dead always need a price ((iseult))

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when he mourns let him
the dead always need a price
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flashback - summer 2012

Il y avait des silences dans cette maison. Trop de silences. De ceux qui pèsent, de ceux qu’on voudrait couper, arrêter, combler mais qu’on garde presque religieusement. Le manoir n’était pas endroit où rire. Il ne l’avait jamais vraiment été. Le manoir était étouffant. Lourd. Oppressant. À vous étouffer. Le manoir n’était pas un endroit où vivre. C’était pourtant l’endroit où il vivait. L’endroit où il évoluait, un compteur indécent au bras, chaque matin une dose de temps l’attendant dans ses quartiers. L’endroit où il errait, quand il n’arrivait pas à fuir, de nombreuses excuses au bout des lèvres comme aller chez les Vane, ou encore comme l’université, préférant se consacrer à ses cours, même s’ils le rapprochaient un peu plus de ce métier, de ce moule dans lequel son père voulait le voir fondre, se conforter.  Le manoir … Il ne le supportait plus depuis qu’il avait dix ans. Si ce n’était avant. Mais alors qu’il avait dix ans … On entendait encore des rires dans l’endroit. Des rires et les enfants étaient tous unis. Heureux. Bonheur factice qu’il avait vu détruit sous ses yeux. Et pourtant. Et pourtant, appuyé contre le balcon de sa chambre, son regard perdu dans les splendeurs du jardin dans lequel il aimait se perdre, il ressassait encore ce bonheur. Il s’y accrochait douloureusement à ces souvenirs du passé. À l’époque où il était encore jeune, mais qu’il regardait avec adoration Yvain dans son berceau qui tendait ses petites mains vers lui. Cette douce époque où ses rires retentissaient dans le manoir, accompagnés d’autres. Il se revoyait heureux, naïf, jouant avec Hippolyte qui l’entrainait dans ses frasques. À l’époque où Viviane se voyait déjà grande, maitresse de maison à entrainer les jumeaux avec elle, tandis qu’Iseult courait partout pour échapper à Viviane se refusant à jouer à la dinette. À cette douce et lointaine époque où il échappait à cette fratrie vivante, cherchant à avoir l’attention d’Acanthe, si belle, si grande, qui veillait sur tout le monde, dans ce cocon protecteur. Ce tombeau.

Mais ce temps était terminé depuis longtemps. Lointain. Presque irréel. Acanthe était la première à avoir disparu. La seule à avoir eu le droit de reposer dans le mausolée. La seule légitime. La seule véritable erreur de cette série de morts. Acanthe avait été la première à subir les affres de la colère du paternel. Le roi couronné n’avait pas apprécié les écarts de sa femme. Il n’avait pas apprécié ces enfants qui auraient du porter son nom, être sa descendance, n’être qu’une farce. Indigne de vivre à ses yeux. Le secret gardé. Une seule qui porte son nom, outre Hyacinth, l’unique, le vrai. Une seule qui porte son nom et de nombreux morts. Bientôt un nouveau cadavre. Bientôt un nouveau fantôme. Le temps des rires était oublié. Il voulait oublier Hyacinth, il faisait tout pour. Froid. Détaché, son regard perdu. Il ne voulait plus s’attacher. Souffrir. Il ne voulait plus voir la lumière s’éteindre dans les yeux d’un proche, comme Acanthe. Triste Acanthe. Il l’avait vu flétrir sous ses yeux, fleur fragile. Il avait vu son père broyer sa vie. Il avait vu son père récupérer son temps, spectacle cruel. Il ne voulait plus ressentir cette douleur dans son cœur. Il ne voulait plus. Alors il s’était détaché des autres. Il avait arrêté de jouer avec Hippolyte, arrêté de passer du temps avec Viviane pour garder Amaryllis et Hermien, arrêté de faire des couronnes de fleurs pour tout le monde, la dernière entre les mains d’Iseult, arrêté de veiller sur Yvain. Il était devenu étranger du monde dans lequel ses frères et sœurs grandissaient. Les deux plus âgés pensaient que c’était le choc. Hyacinth était celui qui avait trouvé le corps d’Acanthe la nuque rompue en bas des escaliers après tout. Mensonge. Les plus jeunes pensaient que c’était le poids de cet héritage, quand le roi, le seigneur, son père avait annoncé qu’il serait le seul à porter son nom, le seul héritier, sa main sur l’épaule de Hyacinth, qui tremblait encore à ce moment là. Il n’avait que dix ans à l’époque.

Il tremblait toujours. Sous le regard de son père il tremblait toujours. Même maintenant, la vingtaine entamée, son regard voilé presque continuellement, il tremblait toujours. Sous le poids de la présence paternel, sous l’étouffement maternel, sous le poids des souvenirs. Acanthe dormait toujours dans le mausolée familial, triste honneur qu’elle seule avait eu. Mais Hippolyte avait cessé de rire pour toujours aussi. Et Viviane n’arpentait plus la maison pour y instaurer l’ordre. Non ils n’étaient plus là. Les jumeaux non plus n’étaient plus là. Inséparable jusque dans la mort. Le manoir était devenu silencieux, triste. Jamais un mot au dessus de l’autre. Et bientôt … Bientôt il y aurait un autre corps là sous les fleurs du jardin. Un autre fantôme, là dans le creux de ses souvenirs. À réclamer vengeance qu’il ne pouvait donner. Fantôme encore bien vivant. Fantôme qui venait presque d’outrepasser ses droits, la porte de ses quartiers claquant contre le mur tandis qu’elle entrait dans ses appartements, le surprenant les larmes au coin des yeux. Mais les larmes avaient vite disparu, un sourcil élégamment haussé, sa longue pipe chinoise claquant d’un bruit mat contre le bois de sa table. Un éclat de soleil dans ses cheveux blonds, et un éclat de soleil pour cacher la nostalgie à la voir essayer de lui parler de nouveau. « Iseult ? Que puis-je pour toi ? » Froid. Loin. De cette politesse glaciale qui allait avec son rang. Froid, glacial pour protéger son cœur des derniers éléments de douleur que cette famille pouvait lui infliger. Elle allait bientôt mourir Iseult. Et il ne ferait rien contre. Hélas.


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flashback - summer 2012

Elle est forte Iseult, elle ne pleure pas. Elle fronce les sourcils devant son reflet, inspire et expire, respire. Elle respire pour vivre Iseult, trop vite trop vite et sa tête tourne un peu, elle s'accroupit en attendant que ça passe. Elle a le cœur qui s'emballe, les pensées qui s'agitent et trop d'excitants dans les veines – trop de café ingéré pour se donner du courage. Elle aura seize ans bientôt, une adulte qu'on l'appellera, une morte de plus au compteur et même pas sa place dorée dans le mausolée. Non, Acanthe Acanthe la seule regrettée et Hyacinth le tant aimé, mère ne lui parle plus et sa colère s'est mêlée à la peur. Angoisse. Ça va arriver, elle ne sera pas l'exception, elle n'en est pas, pas comme Acanthe. Elle est une erreur, une parmi d'autres et son regard évite celui de son petit-frère depuis six mois. Son heure approche et le stress domine ; elle n'a pas le temps d'aimer. Yvain est toujours si gentil, si curieux, si ignorant et elle a mal de ne rien lui avoir dit. Elle a mal de ne penser qu'à elle, mais ce n'est pas de sa faute s'ils ne sont jamais dans la même pièce. Elle le connaît si peu, toujours dehors à chercher les traces de ses amis ou celles des tournois de r fighting. Elle ne savait pas Iseult, elle ne savait rien avant. Trois ans. C'est difficile de réaliser malgré tout et pourtant inconsciemment, elle est devenue plus égoïste, plus maligne, plus sournoise. Elle a observé sa mère pour le peu de temps qu'elles ont passé ensemble et elle a voulu apprendre de la meilleure. Elle se demande encore comment elle fait, pour se regarder dans son miroir tous les matins. Elle est toujours si belle, si bien apprêtée, son sourire vicié comme tatoué sur ses lèvres pour dire "tout va bien". Elle a appris de la meilleure.

Sauf qu'aujourd'hui, c'est horrible. Sa crise de panique ne passe pas et elle ne sent bientôt plus ses doigts, son regard se brouille et sa gorge brûle – elle ne respire pas. Elle a peur de se tromper et de manquer sa chance, elle a peur de lui faire trop confiance quand il pourrait signer son arrêt de mort plus vite. Elle ne connaît pas Hyacinth parce qu'ils ne parlent pas, tous les deux. Ils ne se sont jamais rien confié, pas même le déroulement d'une journée et parfois elle s'en veut encore, d'avoir essayé de s'accrocher. à ses jambes lorsqu'elle n'était pas plus haute que trois pommes, puis à ses basques lorsqu'elle n'était qu'une ado en quête d'attention, mais que ce soit l'un ou l'autre, il l'a toujours ignoré. Des sourires fugaces, des politesses, des excuses pour s'éclipser et c'est pire que d'avoir été repoussée. Elle aurait préféré qu'il s'énerve ou qu'il s'agace, mais pas qu'il la descende au rang d'insignifiance. Pas quand elle est supposée être sa petite sœur. Trevor ne traite pas Melany comme ça, ils sortent manger des glaces et faire du shopping ensemble, ils rient et se tapent, mais c'est toujours bon enfant. Iseult aurait voulu avoir un frère comme Trevor.

Elle se calme enfin et se passe deux ou trois coups d'eau sur le visage en répétant son texte une énième fois, dans sa tête. Elle sait ce qu'elle doit faire et ça ira, ça ira. Elle inspire une dernière fois et c'est une adolescente plus que déterminée qui sort de ses quartiers en fonçant droit vers ceux de son aîné. Un endroit qui lui a toujours été interdit de façon tacite, mais aujourd'hui elle se fiche bien des envies de ce jeune homme et encore plus de son intimité. Entrée fracassante pour ne pas être ignorée, elle est heureuse et presque fière de lui avoir décroché un regard tandis qu'elle referme la porte derrière elle. Peut-être qu'il y a eu un écho dans le couloir, mais dans ce manoir trop grand, elle doute qu'on puisse les surprendre. « iseult ? que puis-je pour toi ? » et sincèrement, elle n'y croit toujours pas. « comme si tu n'avais pas, ne serait-ce qu'un infime doute sur le pourquoi de ma présence ici, sin. » son ton est un mélange de sarcasme tandis qu'elle essaie, une première fois, de marquer son affection en l'appelant par son diminutif. Elle devrait être froide et odieuse, mais elle réduirait ses chances à néant. « je vais m'en aller et ... » son coeur s'emballe de nouveau et pas une seule fois elle ne détourne les yeux, fascinée et à la fois intimidée par la prestance de l'Aenerys. Il la déstabilise, mais elle ne peut pas reculer ni renoncer, non, elle ne veut surtout pas renoncer à la vie lorsqu'elle pense avoir une chance. « je viens demander ton aide. je ne pourrai pas m'enfuir seule, sans rien... sin ? » elle a quelques cordes à son arc pour le convaincre et s'il faut, elle les utilisera toutes. est-ce que ses aînés sont déjà venus le voir pour ça aussi ? est-ce que certains ont su, avant de mourir ? elle se le demande. « s'il te plait, n'es-tu pas mon frère ? » elle tremble un peu, de peur ou de nervosité, les deux peut-être. sans aucun doute, mais son regard est ferme et sa voix reste stable, elle est forte iseult. elle ne pleure pas – pas encore.


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flashback - summer 2012

Il n’y en avait plus beaucoup des âmes damnées dans ce manoir. Plus que celles qui y étaient enchainées. Condamnées à y vivre, le secret lourd entre eux comme une chaine autour de leur cou. Il n’y en avait plus beaucoup des âmes damnées, vivantes, plus beaucoup des gens dans cet endroit qui avait été si animé, si vivant. Il ne restait que sa mère infanticide jusqu’aux tréfonds de son âme, ses enfants en tribus pour un peu d’affection. Il ne restait que son père, le roi, l’empereur, le régent de la famille, le bourreau, celui qui tenait la lame de l’épée de Damoclès au dessus de leur tête, sans aucune culpabilité pour arrêter sa main, son geste. Il ne restait que lui, le regard brumeux, vide, les actions de la famille gravées dans sa mémoire, incapable d’oublier, de ne pas se souvenirs, des fantômes dans ses rêves, dans ses pas, devant ses yeux. Il restait aussi pour le moment le tendre Yvain, encore jeune, devenu silencieux. Yvain qui ne le regardait pas dans les yeux, Hyacinth n’arrivant même pas à lui en vouloir. Ne pouvant pas lui en vouloir. Yvain une douzaine d’année qui baissait les yeux en le croisant, parce que sa mère sans doute avait du lui rappeler qu’il n’était rien à côté de l’héritier. Il restait aussi pour le moment Iseult. Iseult qui cherchait encore à rattraper le passé, Iseult qui cherchait encore de l’affection chez une mère qui l’avait déjà sacrifié sur l’autel du dieu de la mort. Iseult qui cherchait encore à lui parler, tandis qu’il s’effaçait à chaque fois, des prétextes au bout des lèvres, des sourires contrits qui sonnaient faux.

Iseult qui allait bientôt disparaître, futur fantôme à venir lui éreinter ses nuits, à venir lui éreinter sa vie à demander vengeance là où il ne pouvait rien. Iseult futur fantôme pourtant encore bien vivant qui venait d’entrer en trombe dans sa chambre. S’imposant. S’imposant bien vivante, bien là, tandis qu’il essuyait des larmes traitres face aux souvenirs d’un passé qui s’était éteint en même temps qu’Acanthe. Triste Acanthe. Et il essuyait ses larmes, se montrant superficiel, faux, se montrant tel qu’il devait être. Héritier d’un empire. Héritier sobre, froid. Héritier au dessus de tout. Même des sentiments. Héritier pourtant mis à mal. Mis à mal devant Iseult, si douce, si réelle, battante, comme toujours. Toujours à vouloir être différente, à vouloir réussir. Iseult avait les traits d’une déesse de la victoire, Niké si belle. Ou encore d’Athéna. Mais bientôt Iseult ne serait plus qu’une ombre dans le monde d’Hadès et même Perséphone ne pourrait rien pour elle. Déesse déchue, froidement assassinée pour ne pas avoir le sang assez pur. Iseult qui lui serrait le cœur tandis qu’il la questionnait sur sa présence, sa main se serrant sur sa pipe chinoise, dernier cadeau de sa mère qu’il s’était pris à affectionner. « Comme si tu n'avais pas, ne serait-ce qu'un infime doute sur le pourquoi de ma présence ici, Sin. » Le masque s’étiolait sur sa réponse, et elle aurait presque pu voir sa grimace quant à son surnom ainsi apposé entre ses lèvres. Elle n’avait pas le droit. Il aurait voulu lui dire qu’elle n’avait pas le droit. Pas le droit de le confronter avec un nom pareil. Sin, affection tendre entre les lèvres de Noora et d’autres, il n’avait pas le même sens entre les lèvres de sa sœur. C’était comme une condamnation.

« Je vais m'en aller et ... » Bien sûr. Elle savait. Il aurait du s’en douter. Elle n’était pas stupide. Pas assez stupide pour concevoir qu’on ne pouvait pas disparaître ainsi. Et si la mort d’Acanthe avait été médiatisée, justifiée, les autres ces enfants inconnus, Hippolyte, Vivianne, Hermien et Amaryllis, ils n’avaient pas tout simplement cessé d’être. Il aurait fallu être stupide pour le croire. Ou juste se voiler la face. Hyacinth rêvait de se voiler la face, de ne pas savoir, de ne pas être lucide. Il n’arrivait pas à faire face, à y faire face. « Je viens demander ton aide. Je ne pourrai pas m'enfuir seule, sans rien... Sin ? » La situation était cruelle. Bien sûr. Il était l’enfant intouchable, le seul ayant survécu. Le seul légitime. Le seul ayant le sang assez pur. Et c’en était cruel. « S'il te plait, n'es-tu pas mon frère ? » Si. Comme il était le leur. À ces quatre enfants. À ces quatre enfants morts et enterrés dans le jardin. À Acanthe aussi qui reposait seule dans le mausolée. Il était aussi leur frère. Et il n’avait rien fait, n’avait rien pu faire. Le rendant cruel. Sans aucun doute qu’il devait être cruel aux yeux d’Iseult. Tellement. À savoir. À fermer les yeux. À ne rien faire. Cruel Hyacinth.

« Je ne peux rien pour toi Iseult. Tu devrais le savoir. » Il la condamnait. Et ce n’était pas lui l’être cruel dans l’histoire. C’était sa sœur. Iseult. Elle était cruelle de lui demander ça. Juste un peu d’aide. Elle ne comprenait pas qu’il jouait sa vie aussi. Elle ne comprenait pas qu’il était pieds et poings liés. Sans doute encore plus surveillé qu’eux tous. Il était comme un pantin entre les mains du patriarche. Funambule marchant sur le fil de sa propre vie jusqu’à ce qu’on se lasse de lui. Il avait plus de temps certes, mais son destin était comme le leur, entre les mains du seigneur, de Kleitos Aeneris. « Je ne peux pas t’aider … Je ne veux pas t’aider. » Mensonge. Il rêvait de l’aider. Rêvait de penser qu’au moins un enfant de cette fratrie s’en soit sorti. Mais il mentait Hyacinth. Parce qu’il ne pouvait pas l’aider. Quitte à continuer à passer pour l’être cruel. Il se refusait juste à lui de donner de l’espoir vain. Iseult allait mourir. Entre les mains de cet homme, elle allait mourir.


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