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 (mélia) - every roses has its thorn.

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wonderland/kass vous êtes l’amour, je vous love de fou jpp dnjeznbdezj je suis accro à vous j’crois

mélia whiteley -fc : selena gomez ; ©️️️ tumblr  ; Rockets  ; unique
(mystères)
(jalousie)
(sourire)
(sauvagerie)
(douceur)
(force)
(nuances)
(passion)
   
Nom complet (mélia whiteley) Surnoms prénom si court – qu’elle ne voit pas l’utilité de l’affubler d’un (stupide) surnom. pourtant, il y a longtemps, un garçon têtu s’accrochait à l’idée de l’appeler (mé.) lors des moments partagés. (ces jours-ci, ce surnom n'est plus qu'un souvenir ; des effluves d'une période perdue) ; aujourd’hui – c’est une autre histoire. mélia ; c'est devenue le sujet (xx-a1) puis finalement, c'est cette gamine qui répond au nom de scène de ( gigi ) – gigi. a l'apparence plus sensuelle, aux regards brasiers, aux paroles enflammées (imposture) --- Naissance et ça gonfle les poumons pour la première fois, ça hurle, ça pleure pour la première fois, le (11.11) sous les couleurs trop vives mais si floues d’un (cosmopolis) éclatant – et mélia ; c’est des années volées à la dix-neuvième dépassée des quatre-saisons. (vingt-et-une) années qu’elle s’efforce de survivre dans un univers qui se plaît à lui graver la peau d’épines, qui s’amuse à briser ses ailes - mais qui n'arrivera jamais à éteindre la flamme au fond de l'enfant.  Héritage culturel des richesses oubliées – des origines métissées perdues dans la mémoire des défunts. (il se murmure qu’un héritage ancestral de plusieurs parties du monde rayonnent dans ses ronces. certaines retenues, d’autres oubliées – et mélia, elle est un peu de bulgarie, un peu de mexique, un soupçon d’italie et quelques rayons d’asie) mais mélia – c’est surtout une gamine à ( altéa ). Statut elle ne possède pas. ne se laisse pas possédée --- mélia, elle n’appartient à aucun être, à aucune ville, aucun univers. (même si on se plaît à le croire) -- c'est une âme trop libre, un peu sauvage ; un cœur trop épris d’une liberté qu’elle recherche sans cesse. amante de la lune, envoûtée par la vie. Orientation mélia, c'est l'amour fracassé - trop fort. elle n'arrive pas à aimer assez ; elle aime trop, en dit peu. mélia, elle a le regard qui s’attarde sur le particulier ; celui qu'on refuse de voir pour le beau. elle s'envoûte de certains enfants de mars ; ne vois pas le bon, ne vois pas le mauvais – elle aime les sourires de ces gamines de venus, les courbes de ces gamines – mélia, elle s’éprend des émotions. elle se fracasse sur des sentiments, elle se laisse envoûter par les sensations. sans réellement les comprendre ; Finances $$$$$$.

Univers une enfant volée à (altéa) – la reine mère. la douce. altéa, la bien-aimé, la (trop) colorée. monde qu’elle ne supportait pas lorsque l’âge était ingrat. altéa, la regrettée qui ne se trouve plus que dans ses souvenirs. dans ses rêves, lorsqu'elle pleure à la lune --- un monde aux couleurs effacées – par (sigan) l’infectée – sigan l’empoisonnée. sigan la détestée, sigan la fausse. Occupation un passé gardé sous silence qui ne ressort (à ses dépens) que lorsque la curiosité du bourreau s’éveille – mais, mélia disparaît pour laisser place à gigi l’envoûtante, la charmeuse – chanteuse pour jeunes à succès sur les scènes siganaises. Particularités mélia, c’était une gamine au pouvoir surprenant, qu’on destinait à un grand avenir parmi les wardens, mais qui hélas, n’est plus qu’un nom trainé dans la boue. devenue botchers suite à sa disparition, elle apporte honte sur la famille lawson – parce que mélia, elle aurait pu devenir médecin avec son don, manipulation des corps (pouvoir qu’elle ne maîtrise plus lorsque ses émotions sont trop fortes) --- c’est la peau hâlée gravée à l’encre du destin, à la chute de la poitrine, ancrée par une rose, un couteau et ses multiples épines (cicatrices) ; c’est aussi une tâche de naissance sur l’omoplate droite, des grains de beauté en forme de constellation. (cygnus)Liens cosmiques mélia ; c’est une poupée abîmée à la destinée gribouillée ; fil d’une vie dessiné par la main d’un enfant à la vue un peu trop éblouie. qui roule plein fard au hasard --- mélia, elle n’est point comblée, n’est point vide. un peu des deux et ça donne le vertige. et l’enfant de l’univers s’amuse à mettre des pièces qui ne conviennent pas au puzzle. un peu de vide dans le comblé, un peu de tout dans le rien. --- et ça s’amuse, ça rit. ça dessine, ça efface, ça rend fier, ça peint les regrets. 2012. c’est un je qui se transforme en nous ; avec ce (cluster), mélia a appris à ne plus se sentir moins seule dans une foule de monde. quatre personnes qui lui sont reliées – (noora, (jordan) leo, dylan, tarjei, cahen). --- 2015. un mauvais tournant, tout dégage. c’est une profonde tristesse qui s’abat sur elle lorsque la (jumelle cosmique) n’est plus ; partie d’elle arrachée, mélia qui s’amuse à faire la belle au bois dormant pendant cinq mois – avant de se réveiller plus terne ; moins éclatante. --- 2017 ; elle est joueuse la vie, si amusante qu’elle prend l’épiderme de la gamine abîmée pour un tableau (forme de regret face au désespoir) ; et lors d’un de ses concerts, mélia, elle voit d’une seconde à l’autre ; une rose et un couteau se gravée à la chute du cœur ; (soulmate) inconnue qui réside à sigan (nikita bae) – et mélia, pleure les souffrances qui lui sont causées lorsque la science passe avant l’enfant. Keywords clyde ; friendships ; supernova ; books ; chocolate ; nights ; moon ; eiji ; songs ; silent ; live ; galaxies ; cahen ; red ; lipstick ; jacket ; heels ; soulmate ; destiny ; freedom.


we are all astronauts

savage
sweetheart

nov. 1997 a.c

qu’il est rieur, le destin. qu’il est comique, l’enfant. il arbore un sourire presque satisfait lorsque son tracé couleur obsidienne se fissure. un peu de rouge. un peu de bleu. et oh, ça s’écarte. c’est joli. on garde. pauvre tracé solitaire qui se divise joyeusement. c’est l’explosion d’une âme en deux. ce n’est pas qu’une enfant, mais deux.

petites jumelles cosmiques (perdues) dans l’univers.
c’est un onze novembre – 11:11pm qu’elles naissent.

(mélia whiteley) sur altéa la colorée.
(jordan geneva) sur sigan la mystérieuse.

l'existence de l'autre gardée sous le silence d’un univers joueur. c’est la vague à l’âme. des flots mouvants. ça ne s’arrête jamais. ça rêve, ça imagine une autre vie. c’est oppressant – c’est un autre regard, un autre sourire, un autre monde. et jamais, elles ne se sentiront seules – bénédiction (malédiction).

l’enfance est douce. l’innocence conservée. elle est dorée (un peu plaquée). elle est choyée, gamine (trop) aimée. trop. trop. (que la chute en est plus douloureuse) ; les whiteley. c’est la famille du coin. petite famille modeste. un père, une mère. une enfant. mélia. c’est la gamine du quartier au sourire solaire ; les yeux si brillants qu’ils rivalisent avec le soleil. elle se passionne d’un tout, d’un rien.


déc. 2004 a.c

sept ans. juste, sept ans. (si jeune)

sept ans et tout dégage. sept ans, ça vole en un millier d’éclats. ses parents ne sont plus. décédés. corps abandonnés sur l’asphalte usé – pertes déchirantes pour l’innocence. c’est l’éclat qui se perd. les causes sont floues. mauvais endroit, mauvais moment qu’ils expliquent. (balles (perdues) pour les époux). mais c’est une sombre histoire de gangs qui s’y cache.

et l’affaire whiteley n’est qu’un dossier dans le bureau des affaires classées sans suites.

et mélia. on lui vole son monde.
elle ne sait pas pourquoi. elle se retrouve sans rien – on ne lui explique pas comment.
plus de parents. plus de vie. plus de foyer.

parce que l’éclatant n’était que superficiel. les sourires de maman cachaient les maux. les rires de papa cachaient la peine et la fatigue des boulots enchaînés – sans jamais respirer. situation bancale pour une gamine qui se pensait stable.


fév. 2005 a.c

loin de l’éclatant de son enfance ; mélia se retrouve piégée à oriel.

(elle est si jeune, elle ne mérite pas ça)

il n’y a personne pour garder l’enfant. pas de famille. personne. et mélia, elle se retrouve à l’orphelinat. s’en suit deux années à pleurer en silence. loin des autres. lorsque le sourire n’est plus efficace ; deux années à regarder par la fenêtre, espérant voir papa et maman venir la chercher. mais rien. juste. rien. et ça ricane. (ils ne reviendront jamais de toute façon) (ne rêve pas mélia. t’es coincée avec nous).

mélia, dans son sommeil, elle rêve d’une vie meilleure – d’une autre vie

c’est oppressant, une torture. ça n’aide pas beaucoup à changer la situation. et de son jeune âge, elle sait que plus rien ne sera comme avant.


nov. 2007 a.c

neuf ans.
et mélia, elle a arrêté d’attendre à la fenêtre. parce qu’elle a compris que ça ne servait à rien – juste à gâcher du temps ; à bouffer de la vie déjà trop indécise. alors, elle a avancé.
tracé pas très droit. toujours un peu bancal, mais qui continue son chemin. mélia, c’est le sourire qui s’est de nouveau inscrit sur ses lèvres ;
(sourire bancal, sourire vrai, sourire mensonge. sourire)
c’est l’éclat qui s’est de nouveau allumer dans l’abysse. comme l’éclat d’un espoir. que la vie meilleure ne sera faite que par ses mains.

mélia, elle a dix ans. lorsque le tournant de son coup de crayon se fait plus arrondi. quand sa silhouette charme les yeux (rapaces) des lawson – et ils promettent monts et merveilles ; use d’un charme que l’orphelinat adore. et c’est rapide, trop rapide.
et quelque temps plus tard, elle quitte l’orphelinat pour leur foyer.
mélia, c’est un nom sur une liste. parce qu'il y a d’autres enfants avant elle. des garçons qu'elle n’approche pas beaucoup au départ. et –
ils sont plus grands, plus imposant – et quand bien même le sourire, la méfiance bouillonne en ses ronces. (…)


juin 2009 a.c

deux ans qu’elle vit chez les lawson – et mélia, (presque) pas une fois elle n’a pensé à prendre la porte pour ne jamais revenir.
(sauf lorsqu’elle se perdait dans le parc pour regarder le ciel)

cohabitation chaotique entre eux. méfiance portée en certaines personnes quand un arrive à conquérir le cœur de l’enfant.

et il réside un certain paradoxe dans la vie qu’elle mène ; les journées s’enchaînent, elles s’écoulent sans qu’elle ne puisse s’en rendre compte. une (fausse) routine installée – un rythme de vie attrapé au vol sans vraiment savoir si un jour elle atterrira. mais, elles ne se ressemblent jamais. chaque levé de soleil apporte son lot de caprices, tandis que chaque coucher apporte les doutes, les peurs.
et dans la maison, il n’y a pas un jour calme – quand ce n’est pas lawrence qui fait des siennes, c’est charlie. quand ce ne sont pas les parents, c’est clyde.

clyde. gamin borné qui a sût abattre les murs de la méfiance. et si les débuts ont été compliqués ; mélia, elle s’est très vite liée à lui. gamine paumée qui trouve enfin une faible lueur éclatante dans ce tunnel. clyde qui. qui aide un peu, beaucoup. clyde, qui réussit en silence à faire garder les larmes. clyde à qui elle sourit réellement – qui n’a pas le droit à ses faux sourires. clyde qui. à osé. clyde qui lui offre son premier vélo – magnifique engin d’un rouge éclatant. cadeau (volé) offert comme ça. qui a gravé le visage poupée d’un sourire magnifique, d’un feu d’artifice dans les prunelles.
parce que c’est juste clyde.

et quelques mois plus tard, c’est mikkel qui arrive. tout aussi paumé, trop innocent à ses yeux. gamin qu’elle couve secrètement du regard tant l’affection grandit en son sein.



2012 a.c

et ça vole en éclats ; année qui semble vouloir prendre autant de tournants que possible.

elle a quinze ans, mélia, lorsqu’elle passe le processus révélant alors des traces de sa capacité (don qui fait grincer, don qui fait jalouser). dotée du don de manipulation des corps un peu trop présent, un peu trop fort pour son jeune âge. la gamine est envoyée sur cosmopolis pour le début de formation –  l’adolescente ne le cache pas ; se met en ligne de mire des parents pour laisser mikky et clyde hors d’atteintes ; une des ressources principales de la famille, elle fait la fierté cupide d’un couple qui se voit gratifié d’éloges de la part d’amis.

mais mélia, elle n’oublie pas – cependant, elle ne sait pas. elle ne sait plus d’où elle vient. monde qui visite ses rêves chaque nuit ? cosmopolis, ville éclatante ou oriel, la malfamée ? elle n’en sait rien. ne s’y accroche pas – vit, s’envole là où le vent l’emporte.
mais elle n'oublie pas clyde, elle n'oublie pas mikky.
elle n'oublie pas (sa vie).

et alors qu’elle s’entraîne durement en cours spé – c’est quelque chose d’autre qui vient troubler le quotidien. ce sont des visages qu’elle croise sur des surfaces réfléchissantes ; des ombres, des silhouettes.
et c’est flippant au début. ça déconcentre. et elle ne comprend pas tellement – mets ça sur le coup de la fatigue – mais il n’en est rien.
ces visages sont réels. si réels. – autant que celui qui lui ressemble traits pour trait.


2013 a.c

c’est progressif. ombres, silhouettes, visages – et plus encore.
ce n’est plus sauvage, éphémère.
ça reste plus longtemps, se grave un peu plus sur l’âme déjà fissurée. la communication qui se fait doucement. des écrits. des prénoms qui se font connaître. des visages qui marquent plus que les autres.
(jordan. noora. dylan. leonor. tarjei. cahen)
et c’est le je qui deviens nous.

et mélia, elle ne sait pas si elle doit se sentir chanceuse.
ou si c’est une malédiction.
elle est partagée, paumée. elle ne sait pas.  

parfois (souvent) mélia, elle déteste jordan.
ne la supporte pas lorsqu’elle se fait trop présente. lorsqu’elle semble prendre la vie trop facilement. sans embûches ; elle n’aime pas lorsqu’elle arrive à prendre contrôle sur son corps pour l’aider. ce qui se fait trop souvent à son goût. petit jeu de la part de la siganaise – mais elle ne l’aide pas plus que ça puisqu’à chaque fois. mélia récolte les emmerdes. des lourdes, des plus simples. quoiqu’il en soit, le résultat est le même. ce n’est pas bon. et chaque fois, jordan revient comme si de rien était. sourire aux lèvres pour se faire pardonner.
mélia, elle comprend d’où vient ces images dans son sommeil – et plus le temps passe, plus elle a l’impression qu’elle la narguait – elle et sa pauvre petite vie. ressentiment qui grandissait à chaque fois en silence, lorsqu’elle était seule. pourtant. mélia, elle ne pouvait nier la connexion entre elles.
(elle aurait tout fait pour elle)

parmi ces visages, il y en a un qui attire son regard plus que d’ordinaire – des yeux d’un bleu si perçant. un visage qui ne laisse pas indifférent. gamin qui se surnomme cahen.

cahen qui réveille en elle une attirance. douce, dangereuse. (pas si) secrète. puisque la (jumelle cosmique) le convoite tout autant.
pourtant, c’est avec lui qu’elle converse le plus, c’est lui qu’elle croise le plus souvent au détour d’un miroir. et mélia, elle baisse les yeux. laisse son cœur s’affoler dans sa poitrine dans le secret. demi-sourire sur les lèvres lorsque le contact se rompt.

mais, elle recule mélia. sourire timide sur les lèvres alors que l’appartenance résonne parmi les visages. et ça rit, ça félicite. ça blague un peu – (pas le bon monde, mais sinon ouais, qu’il a dit). paroles qui résonnent encore et encore dans la tête. puis, le regard (si adoré) qu’elle fuit pour ne pas avoir mal. et pourtant, la souffrance est partagée, mais ignorée.

alors. mélia, elle tire sa révérence. pour quelque temps – quitte temporairement. juste le temps d’oublier. juste le temps de souffler – n’arrive cependant à pas rompre le lien avec sa sœur. ce qui entraîne de nombreuses disputes. et puis finalement, plus rien.

et c’est un temps loin de tout ça qui lui fait du bien. parce qu’elle a autre chose à penser. elle a son avenir encore ballottant entre ses mains – la barque pas encore solide, pas encore stable. et ce ne sont pas ces personnes qui lui offriront une rive tranquille


mar. 2015 a.c

un temps. deux temps.
c’est flou. ça se fissure.
ça fait mal. ça se brise.
ça explose. souffrance.

âme déchue qui explose en plein vol. comme un vase de cristal. une infinité de morceaux perdus dans l’ailleurs. sans trop comprendre comment, ni pourquoi. et son âme se déchire si facilement, comme du papier déchiré. et puis plus rien. noir total. sans raisons pour expliquer – coma de deux mois dans lequel elle se plonge.
(et mélia, elle a perdu sa jumelle cosmique.)
(les raisons restent inconnues)

elle se réveille. un peu éteinte, terne. pourtant, le sourire gravé depuis l’enfance reste sur les lèvres – couverture. un masque qui veut dire que tout va bien. tout va bien ; elle se confond dans son mensonge. mélia, longtemps elle avait imaginé vivre seule et maintenant que c’est le cas, elle ne se sent pas aussi complète. une partie d’elle lui a été enlevée –

et jordan, elle est partie.
emportant avec elle les rires et la voix trop lumineuse.
emportant avec elle le trop et la prestance.
emportant avec elle, les souvenirs.
laissant pourtant, quelques prédictions lancées pour s’amuser.

et mélia. de sa chute, elle rencontre une lumière. elle vacille, chancelante. mais ça l’attire. elle est comme le papillon de nuit face à la lumière – mélia. elle tombe. pour lui. pour eiji. au début, c’est doucement puis au fil du temps, c’est flagrant. une histoire qui dure huit mois – sans poser des mots sur ce qu’ils ressentent. c’est profond, pourtant. le plus, lui fait peur – et dans un sourire, dans un dernier baiser. mélia, prends la porte. juste pour prendre de la distance, pour réfléchir.


mai 2016 a.c

mélia. je prédis pour toi, une perte, une venue sur un ailleurs.
ça partait d’une soirée ; des visages réunis – des personnes en cercle. et puis il y a eu des frissons, des rires gênés, puis le déni. – une prédiction de la défunte devenue réalité lorsque mélia est tombée sur une faille. elle n’avait que dix-huit ans. à l’aube de son âge d’or.
levé de soleil volé, c’est sans chercher à le faire, sans le vouloir, qu’elle s’est perdue mélia.
abandonnant altéa la colorée pour un monde qu’elle ne voyait que dans ses rêves.
sigan. la rêvée. sigan, la détestée.

ça c’est passé trop rapidement – elle n’a pas compris ce qu’il lui arrivait. la seconde d’avant, elle partait rejoindre clyde, la seconde d’après, elle se retrouve aspirée, propulsée parmi une foule de gens.
(et elle ne s’attend pas ce qu’on lui réserve.)

elle traîne mélia, elle erre dans les rues, se cache, se terre comme une louve – elle vole pour survivre (talent qu’elle a vu ce propagé chez les lawson et mélia, elle ne les remerciera jamais assez pour ça, pour avoir vu faire, pour avoir appris théoriquement) sauf qu’un jour, la gamine se fait chopper. prise la main dans le sac, elle est récupérée par les flics – sauf que. après soixante-seize heures enfermée comme un vulgaire animal dans sa cellule, c’est un homme qui se présente à elle. un des flics, qui lui promet de l’aider à sortir. et mélia, elle se méfie. mais les mots doux la trahissent et lorsqu’elle se rend compte de la supercherie, lorsqu’elle se refuse à lui. elle ne récolte qu’insultes et blessures. (blessures qu’elle soigne sans le savoir)
et mélia, elle a l’impression de pourrir dans sa cellule, elle demande à sortir, mais on ne l’écoute pas, puis un jour, elle est emmenée de force par des individus – puis plus rien.

projet xx-a1 – top secret.

les seules choses qui arrivent à la faire tenir sont les quelques reflets dans les surfaces réfléchissantes. les souvenirs du sourire de clyde ; les baisers et le regard d’eiji, mikky. même les lawson lui manquent ; tout lui manque d’altéa. et c’est grâce à cette idée qu’elle réussit à tenir ; c’est grâce à eux qu’elle se bat.
alors mélia, elle se dit que sa seule chance de survie, c’est de coopérer – d’accepter ; alors elle accepte, elle essaye, enchaînent les échecs – et mélia, elle arrive à tenir aussi. grâce à cette femme ; toujours tirée à quatre épingles, le sourire aussi rare qu’une oasis dans le désert – mais cette femme, elle s’attache à mélia. ce qui n’est pas au goût de tout le monde.
et un jour, un soir, elle ne sait pas très bien, elle lui autorise une sortie. en pleine nuit et mélia, elle n’a jamais été aussi heureuse de respirer l’air extérieur, elle n’a jamais été aussi heureuse de voir les étoiles, la lune. alors elle court, elle court à s’en faire saigner les pieds, elle court à s’en brûler les poumons. et c’est peut-être gravé dans les étoiles ; mais son visage ne passe pas inaperçu – et c’est gigi qui résonne. gigi qu’on acclame ; gigi la retrouvée. alors on demande gigi. on réclame gigi.
et mélia, sa seule chance de (sur)vivre ; c’est d’incarner le rôle de sa sœur défunte. et même si l’idée ne l’enchante guère, elle le fait. à partir de ce moment-là, elle est décidée. (elle est gigi) ; on la reconnaît, on la ramène – et mélia, elle touche enfin sa liberté (mensongère) mais qu’importe.
et cette femme, elle accepte.
(toujours sous haute surveillance)

et sa supercherie dure des mois. idole des jeunes ; elle retrouve une vie à peu près normale, faux compteur sur l’avant-bras (et elle croit que les chiffres s’accumulent dans le vent alors qu’ils ne servent qu’à une personne). mélia rencontre pour la première fois noora, mais quelque chose ne va pas et elle n’arrive pas à mettre le mot dessus ; l’envie de lui demander de l’aide est présente, mais cette distance la fait reculer.

et mélia, elle brille de mille feux pendant si longtemps qu’elle en oublie presque qu’elle est sous contrôle, ses apparitions répétées sont dans le radar de ce gouvernement, mais de cet homme en particulier. (qui ne cesse de compter les minutes écoulées, avec l’espoir de mettre enfin la main sur elle) son premier concert, c’est un tracé noir qui s’ancre dans l’âme – une rose et son couteau s’encre en elle – destinée reliée. soulmate qu’elle ne connaît guère –
et mélia, les nuits deviennent compliquées. insomnies, paralysies nocturnes, cauchemars, elle vit un véritable enfer – sans savoir que le vrai l’attend, tapi dans l’ombre.

fin 2017 ; (disparaît à nouveau) prisonnière du scientifique.


fév 2018 a.c

error 404
aucune actualité concernant le sujet xx-a1 à ce jour.
aucune actualité concernant gigi à ce jour.







(white lies)

sage comme un carnage. ; mélia. c’est la pureté dissimulée sous ce rouge carmin. ce rouge provocant. c’est le joyau, pur, étincelant, précieux, de l’innocence. une profondeur (trouble) bien cachée par cette surface, toujours en mouvement. mélia, c’est beaucoup de secrets.
c’est un masque. un sourire constant, elle est un peu sauvage, un peu méfiante envers le monde, elle se veut indomptable. fière comme le vent. un peu pocahontas. l’impatience qui vit au bout des doigts, le mystérieux dans les prunelles, elle a l’amour fragile, qui aime trop fort, qui ne connaît pas le juste-milieu. c’est l’enfant joyeux, le teint lumineux. lumière vacillante dans la pénombre. et quand elle ne rit pas, elle est apaisante mélia. ce n'est pas le silence gênant –
non, mélia, elle ne fait pas dans le bizarre, elle fait dans le malaise. si mélia est blessée, elle tente de le cacher. mais la voix n’est pas le regard. alors sa transparence n’est pas infaillible. (les yeux, portes ouvertes sur l’âme.)
témoins d’une souffrance silencieuse d’être délaissée sur le côté, de tous les côtés.
alors elle ferme les yeux mélia, geste anodin pourtant si instinctif. si répétitif.
mais mélia, c’est aussi le pas assez comme elle. le complexe qui revient, encore et encore. de n’être pas assez. mais elle ne veut pas être plus. elle veut juste être.
mélia, c’est l’insolente insouciance d’une enfant, celle qui veut vivre comme bon lui semble. c’est celle qui veut être maître de son destin, celle qui veut vivre pour elle, pas pour les autres. celle qui se bat. pourtant, à ces autres, elle donne. elle est généreuse, donne sans compter, (presque à donner sa vie) sans rien attendre en retour. c’est une âme, encagée dans une prison de fer – c’est l’oiseau en cage. cette cage tellement grande qu’elle peut voler à sa guise, liberté mensonge. elle baigne dans la liberté illusoire . alors qu’importe, elle aura beau voler, elle sera toujours en cage. et ça elle le sait, elle s’en est rendue compte. et mélia, elle se bat pour que la porte s’ouvre, pour qu’elle puisse enfin sortir. qu’elle puisse décider pour elle-même. l’indépendance qu’elle veut, pour laquelle elle se bat.
l’enfant, c’est l’ambitieuse, c’est l’autonome, la battante. elle ne cherche pas le plus, elle n’est pas de ceux qui veulent plus. elle veut ce qu’elle peut avoir, de ses propres mains. elle s’acharne, elle se fait, elle se façonne à sa manière. elle désire être ce qu’elle veut. elle n’a besoin de personne pour avancer, elle a toujours avancée seule à ses yeux. ça continuera encore et encore. jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus marcher. et même là. elle continuera d’avancer, sans s’arrêter, sans se retourner. le futur, le but.
au fond, elle veut juste exister mélia, ne plus être l’abandonnée par la vie.
c’est le talent qui se cache, c’est l’imagination débordante, enfouie sous le sourire d’une gamine. mélia, c'est des mains en or, une vision cosmique d’un monde qu’elle seule peut voir.
c’est la fidélité, la loyauté à toute épreuve. (même lorsqu’elle est mal placée) parce qu’au final, elle a juste les mots pour seule arme. alors qu’importe les menaces qu’elle balance, il n’y aura jamais les gestes derrière. parce qu’elle est la douceur, qu’elle n’arrive pas à faire de mal.
la franchise ; ce sont les mots qui peuvent blesser, qui enragent parfois. mais c’est aussi la bouche qui est menteuse. qui cache. elle ment mélia, quand elle doit se protéger, quand elle doit se cacher. elle ment comme elle respire, on croit aux ça va alors que son cœur hurle de souffrance. mélia, c’est aussi la voix qui se tait quand il le faut.
mélia, c’est aussi le manque. le manque de beaucoup de choses. elle manque. elle manque d’attention, elle manque de confiance en elle, elle manque de sûreté, elle est bourrée de complexes mélia. le truc typique des filles, pas assez grande, pas assez jolie, trop ceci, trop cela. pourtant, elle a le mérite d’être naturelle, mélia. elle n'est pas superficielle, elle est tout ce qu’il y a de plus vrai. sauf ses mensonges.
elle veut juste être elle, le sourire sur les lèvres carmin, la gentillesse sans faille (même avec la souffrance accumulée), il n’y a pas de méchanceté chez elle, juste de la maladresse, de la rancœur. la taquinerie qui fait rire, l’espièglerie d’une enfant, la curiosité d’une âme qui grandit.

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désastre, des astres“ she was made of shattered stars and broke the moon.”
( you were once wild. don’t let them tame you )
galaxies
in her soul


“she’s soft, she’s gentle, but there is a wild flame that exists within her that water cannot put out.”

l’odeur est nauséabonde. elle sent le renfermer, l’air est saturé par les effluves de produits dont elle ignore les noms, mais qu’elle connaît, par l’odeur de son aftershave qui lui est insupportable. et par l’odeur particulière de son sang. qui lui donne des envies de vomir tripes et boyaux. (de la souffrance, du désespoir)
et elle est là, allongée sur la table, bâillonnée, attachée, sans avoir la possibilité de s’échapper, de se défendre – la respiration qui se fait si lourde, si bruyante, si douloureuse, si rapide –
un. deux. un. deux.
elle est aussi rapide que le tic-tac d’un pendule. (si douloureuse) chaque inspiration lui arrache une grimace, chaque expiration lui donne l’impression d’y avoir un poids lourd. elle a les poumons en feu. le cœur qui saigne, qui implose dans la cage aux ronces ; le sang qui affluent à vitesse grand v dans les sillons bleus. elle a la peur au ventre, ça se tord, se contorsionne à l’intérieur. ça donne la gerbe, ça donne envie de pleurer. envie de hurler, de se sauver.
le corps est si fatigué, si lourd. elle n’a plus aucune force. qu’elle arrête de se débattre contre ses liens, ses mains qui lâchent prise autour de la table (d’expériences)
un entre-deux désagréable, parce que le cerveau reste en ébullition ; les pensées qui font carnages. un bordel sans nom dans le crâne. c’est sans queue ni tête, parce qu’elle n’abandonne pas. n’abandonnera jamais – parce qu’elle a une flamme vacillante au fond de son âme, qui brille sans cesse dans la pénombre, qui restera éternelle.
elle a les paupières qui deviennent si lourdes alors que la chaleur se répand dans tout son corps, enflamme son âme. (c’est la douzième épine de gravées) (et c’est sa plus belle œuvre)
elle ne cesse de laisser échapper de faibles gémissements, comme un animal blessé ; laissé à l’abandon.

une larme coule, puis une autre. en silence, perles salées qui se teintent de rouges sur les joues – elle a mal, oui. beaucoup trop mal, mais elle pleure la souffrance qu’elle cause à l’autre personne. de l’autre côté des murs prisons.
(ce n’est pas voulu) (je suis désolée) (pardonne moi)
qu’elle pense, qu’elle prie, qu’elle voudrait dire – mais elle a les mots qui restent coincés dans sa gorge ; dans sa tête, dans son cœur. parce qu’elle ne sait pas si elle sortira un jour de cet endroit ; pourtant, elle a cru pouvoir s’en sortir, elle lui avait donné sa liberté. mais l’enfant du destin s’est montré sadique ; admire d’un œil mauvais l’état dans lequel elle se terre depuis cinq mois.
cinq mois de capture, cinq mois de souffrances, cinq mois. de.
(cinq mois, mais c’est comme une éternité.)
et elle ne sait pas qu’au-delà des murs, on la cherche. on la demande, on crie au complot encore une fois. on réclame gigi –
et mélia, n’est pas gigi. elle ne sera jamais gigi.

« laissez-moi partir, je vous en prie »
faible murmure, qui s’évanouit dans l’invisible, dans l’insonore – cri du cœur qui ne s’entend pas.
la conscience est si faible, mais elle sent ses mains autour de ses chevilles, liens détachés.
et soudain, il y a le cœur qui fait boom dans la poitrine. elle attend. un poignet détaché.
et elle a l’impression de sombrer de plus en plus dans les ténèbres ; de se sentir engloutir par la haine. et c’est l’instinct primaire, sauvage qui s’enclenche ; instinct de survie et mélia, elle ouvre les yeux d’un coup. le regard qui se porte sur le plafond avant de sentir une vague de chaleur parcourir son corps ;
vague de pouvoir ; raz-de-marée d’un don qu’elle n’arrive pas à contrôler – regain de vie trop fort, déstabilisant que ça fait mal. beaucoup trop mal. et elle se relève, coups portés avec brutalité contre l’agresseur, mélia profite de sa surprise pour se détacher complètement.
c’est sa seule chance de se sauver. comme un animal sauvage, elle cherche l’objet indispensable ; seringue. qu’elle attrape et qu’elle enfonce dans la carotide du scientifique avant de lui attraper le cou.
elle a le regard si noir, si abyssale qu’elle admire la perte de connaissance causée par le médicament (et par elle), sourire en coin d’une haine nouvelle.

(…)


elle court, court, court à n’en plus pouvoir. elle court tellement que ses poumons sont en feu, elle court tellement que son cœur risque d’exploser dans la poitrine, elle court tellement que si elle s’arrête, elle s’écroule sur l’asphalte. elle court, elle se sauve, elle met de la distance entre elle et cet homme ; elle court comme une folle.
et elle court mélia, court sous le soleil, court après la vie.
court après son passé, elle court. et au bout du chemin, elle a l’impression de les revoir. tous.
(maman. papa) clyde. mikkel. les lawson. noora. awan. leo. dylan. cahen.
et puis il y a jordan.

les larmes qui roulent sur les joues tant la souffrance est réelle, mais elle ne s’arrête pas. pas de sa propre volonté et c’est au cœur de new brasilia qu’elle s’arrête enfin. qu’elle s’écroule en plein milieu de la rue. sous les regards curieux, peureux des habitants de cette planète qui n’est pas la sienne. et elle puise dans ses dernières forces mélia, pour se redresser. elle est tremblante. chancelante. elle n’est plus que l’ombre d’elle-même ; silhouette amincie, les mains fébriles qui se relèvent, capuche qu’elle retire de sa tête.
et mélia, dans un dernier effort, elle regarde en face d’elle.
silhouette sombre au bout du chemin – et la peur la prend au cou le temps d’une seconde avant de sentir son cœur se réchauffer ; son souffle se calmer.
parce que sa soulmark a retrouvé sa compagne –
et c’est un léger sourire qui se dessine sur ses lèvres alors qu’elle s’écroule pour de bon ;
alors qu’elle sombre dans l’inconnu.






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Thalia Stilinski
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JE TE COEUR DE TOUT MON KEUR
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AH BAH CON
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Noor Vane
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PTDRRRR JPP DE TOI
j'te cœur v much rougit
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Nikita Bae
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elle est belle cute
c'est trop cool que tu l'ais fait haaa
les tatouages de roses, c'est la vie facepalm
et. ah, ce titre moustache
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Thalia Stilinski
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ET JE REPOSTE PSK JE PEUX ET JE TE COEUR ENCORE PLUS!!!
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non mais j'ai le droit de ????
je suis shook là.
je suis émo. je vous aimes. omg waterfall
genre. vous êtes l'amour. :purple:
maintenant, laissez moi mourir dans mes larmes et mon nez bouché, merci. granny


Thalia Stilinski a écrit:
JE TE COEUR DE TOUT MON KEUR

JE TE CŒUR BIEN FORT DE TOUT MON CŒUR DANS TON CŒUR.
TQT QUAND BBBS SERA LA CE SERA MIEUX TU SAIS ??

Clyde Lawson a écrit:
AH BAH CON

BB D'AMOUR waterfall waterfall waterfall waterfall

Noora Vane a écrit:
PTDRRRR JPP DE TOI
j'te cœur v much rougit

ify coeur
tqt elles vont êtes sublimes noonours et mélia larmes

Nikita Bae a écrit:
j'me pose, j'edit après kr

WSH THALIA !!!! fire fire fire

Et WSH CLYDE ? meuh

WSH NOORAAAA !!! wesh wesh

pétille pétille pétille pétille pétille pétille pétille pétille


Thalia Stilinski a écrit:
ET JE REPOSTE PSK JE PEUX ET JE TE COEUR ENCORE PLUS!!!

TOUJOURS PLUS TOUJOURS DANS L'ABUS C'EST BEAU
JM JE FAV JE REBLOG JE RT
I HEART U
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Naora Kyôdo
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SELENA askedjfhgz
la beauté
et puis
euh
toi
et puis
bah
fuck
c déjà assez beau comme ça
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j'connais rien du personnage. à part que c'est une célébrité (grâce au rp Kaz/Noora) mais, j'suis sûre que ça va être un perso génial iiih
puis, le choix d'avatar et le pseudo... c'est la beauté pure, la douceur réincarnée, la perfection tbe
bref, hâte de voir ça et je t'offre Lupe (comme elle est de sigan) pour un lien craque iiih
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