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 THE DREAM THIEVES (3/4)

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Nao Ilang
Nao Ilang
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MessageSujet: THE DREAM THIEVES (3/4)   THE DREAM THIEVES (3/4) EmptyDim 24 Déc - 18:44

the dream thievesmama called me destructive

en bref(3/4) ; ALTEA. groupe d’amis aux origines diverses et provenant de milieux complètement différents – mélange détonnant de l’industrie du porno et du street racing mais bizarrement, ils réussissent à créer quelque chose de sain dans l’infâme sans tomber dans l’excès. ils vivent tous plus ou moins une double vie mais quand ils sont entre eux, ils n’ont plus à faire semblant, n’ont pas peur de perdre la face ; ils se serrent les coudes, s’entraident à sortir la tête hors de l’eau ou à défaire le collier autour du cou. petites habitudes mises en place au fil des années pour se retrouver tous ensemble au moins une fois par semaine, même des traditions comme le secret santa ou les anniversaires qu’ils ne négligent jamais (personne n’a envie de mettre Fahad de mauvaise humeur). shameless et hypersexualisés, les uns plus que d’autres, leur passe-temps favori : prendre une réservation dans le resto le plus cher et chic de Cosmo et s’y pointer sans avoir aucune retenue sur les sujets qu’ils abordent (les tournages ou plans cul). ils ont la provoc’ facile et la même mentalité, se prennent des verres d’eau dans la tronche quand ils parlent de blowjob un peu trop fort, se font tej des lieux publics quand ils deviennent trop touchy entre eux. l’indécence complétée par une attitude i don’t give a shit sur l’image qu’ils dégagent, surtout en groupe, qu’ils mettent plus en avant pour cacher leur lot d’insécurités. ils ont tous une spécialité sur laquelle les autres adorent charrier : Sonny pour son penchant polyamour, Nell pour être, uh, très vocale, Nao pour son exhibitionnisme, Kenny pour ses goûts kinky et son refus de tourner dans un autre film et puis y’a Fahad. ah, Fahad… les autres ont beaucoup de dossiers sur lui mais personne n’ose le charrier, ok.

(ce sont des idées de prénoms mais vous êtes libres de choisir ce que vous voulez, ils peuvent très bien être des surnoms ou autres, c'est chill)

sonny (libre) ;faceclaim markel williams, reece king. sunshine, he must be protected at all costs. activiste et loin d’être discret sur ses engagements, il profite des réseaux sociaux pour les propager. y’a beaucoup de sujets auxquels il tient, le féminisme, le racisme, les trans people, la biphobie à laquelle il a été confronté, etc. et puis, surtout, la cause des sex workers. orphelin de père, sa reum proposait ses services de téléphone rose, souvent pendant le petit-déjeuner de Sonny, juste avant qu’il ne parte pour l’école. pas vraiment traumatisé ni blasé, juste extrêmement désillusionné ; ça a nourri son incompréhension des relations humaines, des relations amoureuses tout court. financièrement ils étaient dans la moyenne mais Sonny collectionnait plus les trous dans ses poches que les pièces, sa daronne avait un penchant pour les vêtements de luxe mais habillait son fils de vêtements cheap achetés en friperie ou offerts par les associations d’aide humanitaire. son jeu d’acteur, c’est elle qui l’a perfectionné depuis qu’il est petit : pour lui apprendre à pleurer, à attiser sympathie des adultes, à se faire passer pour le plus miséreux et obtenir quelque chose en récompense. puis y’a eu les dettes de sa mère qui l’ont étranglée tellement qu’elle a perdu leur maison. elle a abandonné Sonny, à l’âge d’onze ans, près d'un orphelinat en lui promettant qu’elle viendrait le chercher. le problème c’est que Sonny n’a jamais mis les pieds à l’intérieur de l’orphelinat : il a regardé sa mère courir en talons jusqu’au bus avant d'agripper son sac-à-dos et prendre un chemin différent. c’est la seule fois qu’il a détestée sa mère, malgré les années de négligence ; parce qu’il est certain qu’il ne l’aurait pas gênée, si elle l’avait pris avec lui. gamin débrouillard, il a passé ses onze premières années à prendre soin de lui-même et de sa mère. mais elle l’a abandonné. whatever, il est bien capable de s’en sortir seul à présent. les années de galère, à flâner dans les rues, à faire les poches des passants, à donner des coups pour ne pas se faire voler ses affaires par les autres sans-abri ; puis l’année de ses quatorze ans a été fatidique. sa première pipe, son premier gain contre un service. il l’a terriblement mal vécu, a passé deux autres années à se débrouiller autrement. il réussit à mettre la main sur un squat et avoir un toit sur la tête mais ses colocataires sont tout aussi limités alors le biff est souvent rare. Sonny passe au bois de boulogne d'Oriel, y reste deux ans, change de logement et à dix-huit piges il se fait remarquer par une agence de porno quand une sextape avec sa copine est diffusée sur internet. changement d’horizon mais une légère stabilité retrouvée. il rencontre Nell dans l’agence, avec laquelle il se lie d’amitié. puis ensuite, Nashoba - au début, Nao était juste un coup d’un soir, rencontré dans un club, plus jeune de quelques années. mais le gamin portait des problèmes financiers sur ses épaules d’enfant alors Sonny lui a parlé de son job, de l'agence, s’il avait le moindre souci. quand Nao a débarqué, quelques jours plus tard, il ne l’a pas couvert de belles illusions avec des ça ira, tu vas voir, c'est le meilleur job du siècle mais en lui montrant la cruelle réalité de l’industrie du porno. au bout du compte, Nao a quand même fait le choix d’y rester. aujourd’hui, il est en tête d’affiche des récentes sorties (pornographiques -sigh-), le plus populaire pornstar du moment. fashion terrorist, il a un sens du style et un attachement pour les marques de luxe (surtout Gucci : il vit Gucci, il serait capable de larguer le porno pour être mannequin chez Gucci, Gucci, Gucci). bon vivant, il tente toujours de rester optimiste peu importe la situation ; ça ne fait pourtant pas de lui quelqu’un de naïf, il est juste très lucide. s’il apparaît comme le clown du service au premier abord, il est doté d’une perspicacité qui fait de lui un très bon ami puisqu’il a toujours les bons conseils sous le coude.
fahad (libre) ;faceclaim samuel larsen, avan jogia. aîné d’une famille nombreuse (il a probablement cinq frères et soeurs) et pauvre, Fahad a tout vu dans sa vie. ses grands-frères n’étaient pas de bons modèles, il a suivi leur exemple en tombant lui aussi dans la délinquance juvénile mais Fahad s’est démarqué des autres : stratège et malin, il ne se repose pas uniquement sur sa force physique, il réfléchit à long terme, trouve des solutions, de bonnes idées. pourtant, il n'a jamais quitté la misère. il en a les capacités, assurément mais… étant loyal envers la rue, il s'y complait. il se limite volontairement alors même qu'il pourrait avoir un avenir glorieux. il est tombé dans le rap assez jeune, sans pour autant décidé d’en faire un métier ; trop pas fait pour des gosses paumés comme lui, le monde les bouffe cru. mais il a enchaîné les battles, traîné ses lyrics jusque dans des cafés open-mic. indie hip hop ; son style varie du gangsta rap au rap politique en passant par le hardcore rap quand il se met à purger sa colère dans ses sons. born and raised dans les bas-fonds d’Oriel, sa verve agressive a quelque chose de trash et de véridique – il n’a aucune retenue autant dans les insultes que dans le contenu sexuel. Fahad n’a aucune shame. le flow est son arme, l’art est son étendard. agressif dans son attitude, corrosif dans ses mots, c’est pourtant un gros fdp qui est incapable de dire à ses proches qu’il tient à eux. au contraire même – ses mots piquent et s’il s’y prend comme un manche, ça peut causer l’opposé de ce qu’il voulait exprimer. parce que s’exprimer justement, là est son plus gros problème. paradoxalement éloquent et à l’aise quand il faut parler de tout et de rien mais quand il s’agit d’trucs perso, Fahad en est incapable. il devient maladroit dans le choix de ses mots, pas à l’aise pour un face-à-face sincère, Fahad préfère mettre dans ses textes ses émotions, ses peurs, ses inquiétudes. il donne l’impression d’être insensible et de s’en foutre des gens mais justement Fahad y tient, un peu trop même parce que ça cause une tourmente interne qu’il ne comprend pas et dont il n’a aucun contrôle. c’est par les actions qu’il dit je t’aime ou tu comptes mais là encore, quand il pense bien faire, soit ce n’est pas suffisant, soit l’effet papillon provoque trop de répercussions irréparables. c’est un peu le destin de tous les mômes d’Oriel de tomber soit dans un gang, soit dans d’autres activités illégales. lui, il a préféré se tourner vers les courses de voitures illégales ; d’abord mécano pour les autres racers et larbin à tout faire, il a obtenu sa première voiture de courses à dix-sept ans. il n’est pas spécialement bien classé au Reservoir Dogs, il se contente juste de gagner sa part du gain pour avoir de quoi mettre de la bouffe sur la table (surtout qu’il a à sa charge des petits frères et soeurs qu’il adore gâter). crazy dad de la bande, il est très petty, déteste qu’on lui mente, qu’on lui cache des choses. quand ça arrive, il est capable d’ignorer la personne jusqu’à la couper entièrement de sa vie. ou de lui préparer des plats extrêmement salés (Nao a déjà subi les plats salés de Fahad, ça l’a traumatisé).
nell (prise) ; profilfaceclaim au choix. ses parents sont à la tête d’une grosse fortune à Altea, conservateurs et froids, Nell a reçu une éducation stricte et teintée de snobisme – des traits qui ressortent malgré elle dans son attitude encore aujourd’hui. ce n’est pas qu’elle se croit supérieure aux autres, non, chez Nell, c’est plus intense et mesquin : dans sa famille, on n’accepte ni les ratés ni les perdants, c’est marche ou crève. comme un instinct de survie qui la pousse à écraser l’autre quand elle se sent menacée dans quelque chose parce que c’est ce même instinct qui l’a aidée à survivre toutes ces années à l’abus verbal de sa mère. atteinte d’insensibilité congénitale à la douleur, grâce à la situation aisée de ses parents, Nell a reçu le meilleur suivi médical possible, ayant même eu une gouvernante diplômée en médecine durant toute son enfance. sa maladie, pourtant, sa mère en a fait une arme pour que la petite repousse ses limites le plus loin possibles ; justement, c’est dans le milieu du ballet que Nell gravite depuis qu’elle est en âge de se tenir debout. sa mère étant une célèbre ballerine, Nell a constamment dû faire ses preuves et lui rendre des comptes, sacrifier les joies de l’enfance et sa santé physique pour être un robot raflant les premières places. cette obsession d’être la meilleure a fait de Nell une spécialiste en coups de pute, allant jusqu’à bousiller les pieds d’une concurrente pour l’empêcher de faire sa performance ; c’est, encore une fois, instinctif, elle a beaucoup de mal à se défaire de la manipulation que ses parents (surtout sa mère) ont exercé sur elle. le problème c’est qu’elle a négligé les répercussions de cette histoire quand sa culpabilité a été révélée - perdant son titre, sa place dans la troupe, à seize ans, Nell chute littéralement de son piédestal. on la condamne à des travaux d’intérêt général mais Nell est viscéralement à bout, cassée de partout, incapable de continuer cette mascarade ; elle devient strip-teaseuse pour quelques mois avant d’être déshéritée par ses parents. chassée, elle a rebondi en acceptant une offre pour tourner dans un film de cul, malgré l’argent qu’elle avait mis de côté juste avant son évincement. elle ne dira pas que ça lui plaît d’être une pornstar mais elle fait tout ce qui est en son pouvoir pour changer les choses, améliorer les conditions de travail ; elle a notamment créé une association pour aider justement à améliorer le milieu des acteurs porno. elle est particulièrement appréciée par les jeunes acteurs et actrices parce qu'elle a une aura qui met tout de suite à l'aise ; Nell est justement la seule actrice féminine avec laquelle Nao peut tourner, sans être mal à l'aise. autant raffinée qu’elle est vulgaire, elle apparaît comme une fille adorable et douce, qui vit de cupcakes mais peut devenir une catty bitch quand c’est nécessaire. incroyablement protectrice de ses amis, elle est capable de tout pour eux ; mama bear sous ses airs de poupée barbie. quand les racers ont débarqué dans la bande, elle s’est tout de suite liée d’amitié avec Kenny ; les deux sont aujourd’hui en duo pour les courses. l’une connue pour sa douceur, l’autre connue pour être une brutasse mais leur duo (blurryface) est classé 4ème au Reservoir Dogs. c’est rare qu’elle prenne le volant mais quand ça arrive, c’est souvent une victoire qu’elles raflent.
kenny (libre) ;faceclaim frances bean cobain, cenit nadir, alissa salls. famille nombreuse mais la seule fille entourée (et élevée) par plusieurs garçons, Kenny a fini par prendre leurs tics qui persistent même aujourd’hui, caractère forgé dans la dureté et l’amour vache, au grand dam des parents qui avaient l’impression d’avoir une troupe de garçons turbulents à leur charge. ce sont ses frères qui la traînent dans l’univers des street racers; ils tiennent un garage justement, où elle apprend la mécanique et se lie d’amitié avec Fahad (elle ne lui a jamais dit mais il est son premier ami). elle commence les courses plus tôt que son meilleur ami mais sa conduite est beaucoup trop raw et dangereuse, c’est quand elle forme un duo avec Nell que ça devient un peu plus maîtrisé et précis. leur duo est presque risible, l’une est trop grande et amère, l’autre trop petite et enjouée mais elles sont autant meilleures amies qu’elles sont partners in crime. Kenny est la gamine tout le temps blasée, qui parle couramment le sarcasme, tire la gueule sans raison, ponctue ses phrases par des « ha, ha » sans que la situation se prête à l’humeur, qui semble avoir un générateur de punchlines dans le cerveau. elle en a pour tout et tout le monde et n’a aucune retenue pour charrier les gens (autant ses proches que les inconnus, she doesn’t give a fuck) et non seulement elle manie les mots pour toucher là où il faut, Kenny est aussi capable d’utiliser ses poings – impulsivité qui l’a souvent mise dans la merde (en général, c’est Nell qui agit sur son impulsivité pour éviter que Kenny se retrouve derrière les barreaux à cause d’un fâcheux malentendu). à force de traîner sur les plateaux de tournage (et de voir tout un tas de trucs qu’elle aurait préféré ne jamais voir de sa vie oh god), elle a été repérée par des producteurs qui l’ont sollicitée pour un film et c’est Nell qui l’a convaincue, puisqu’elle l’ont tourné ensemble. the thing is, si Kenny n’a pas ressenti de gêne de tourner dans un film porno et de savoir que d’autres gens l’ont vu, c’est le fait de l’avoir tourné avec Nell qui a posé problème. léger crush ou juste confusion, elle sait pas trop et préfère pas y penser ; pour le moment, elle se contente de ce qu’elle a. street racer ça paye mais c’est instable, c’est pour ça qu’elle bosse aussi chez un fleuriste en parallèle : c’est la fleuriste un peu touriste au boulot, qui feuillette ses bandes-dessinées et ses magazines sur le sport, qui se montre irrespectueuse envers les clients trop péteux en leur montrant un doigt d’honneur (true story : elle l’a vraiment fait) et qui s’en tire sans avertissement parce que sa patronne l’affectionne beaucoup. elle l’affectionne tellement que Kenny est autorisée à glander au boulot tout en étant payée ; c’est le boulot de rêve, selon elle, to be honest.
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