j'eus l'espérance de chasser les mémoires // aquila

Nom complet Aquila Yun – à qui dira le malheur de la connaissance, à qui dira traitre des lois humaines ; à qui dira pauvre perdu que tu es, Aquila, malgré la signification de cette nomination. Yun_le ton coréen des souvenirs qui ne se raviveront point. Ainsi, il ne retient souvent que l’origine du prénom, prénom latin, prénom d’une constellation aux étoiles pimpantes ; trop brillantes, peut-être ? Surnoms Page blanche quant à l’intimité d’appelations écourtées. Le savoir n’a d’adeptes aux petits surnoms pleins de miels et de saveurs. Simplement la boutade d’un savant, « aquila », mon enfant ce futur aigle, mon enfant au regard perçant, mon enfant éperdu des grands et des montagnes où l’aigle se pose, souverain à la connaissance – et voir au-delà de la pauvre science, tel en est sa volonté. Naissance né durant la période des rentrées des classes, des rentrées des esprits sur les sièges et des yeux rivés sur les écrans d'études, 03/09/1984, la trente-troisième année d'existence ayant sonnée au réveil. La sagesse ayant prit place en l'esprit du professeur, aux regrets cachés. Né dans une intersection, toujours cette intersection qu'il ignore et qu'il ignorera. Héritage culturel Un mélange d’art de couleurs, de valeurs et de mœurs inventés par l’opposition de ces valeurs. L’air asiatique au visage, la démarche digne d’un cliché riche français, le regard éduqué et l’aura de la multiplicité. C’est ainsi qu’on l’a élevé : un digne sorcier de la culture, culte véritable de l'esprit et nos mémoires. Même si, en réalité, il méconnaît pleinement la totalité de ses origines : il se considère en cela comme une simple opposition, pimpante d'ironie.  Statut Solitaire là où il s’est perdu, où il s’est échoué et trébuchant dans sa mauvaise curiosité. Avec le mal qu’il a fait à la destinée, il eut possédé des conquêtes : mais, dans cette prétendue normalité de partages, il reste, éperdument, seul.  Orientation : amoureux éperdu de l’esprit(on l'eut parfois traité de sapiosexuel après ses remarques cassantes, même s'il ignore lui-même si ce fait serait véridique ou non), des particularités de chaque corps qu’il parcourt parfois de ses paumes. Il ne sait dessiner, alors il dessinait son amour lui-même sur les chairs. Même s’il ne supporte qu’avec difficulté le toucher, il aime tout de ses airs lointains. Finances $$$$. Emplis de secondes dans son monde sacré, mais le mais subsiste dans sa situation actuelle. Son temps ne vaut plus rien, ici.

Univers son univers ? Un pénitencier véritable ? Il maudit le courage qu’il a eut, la méconnaissance qu’il a eut. Sigan est son univers, son monde qu’il affectionne chaque soirs. Mais il n’y est pas. Il est à Altea. Rien n’est aussi merveilleux que ce que lui décrivait son père : il constate que le tout qu’il entendait était, encore, des mensonges que sa chère mère avait transmit. Le bilan se fait donc par des soupirs ; mêmes dans ses richesses et sa beauté, Aquila n’aime pas Altea. Occupation(s) : Professeur réputé dans le brasilia campus en philosophie des sciences naturelles : si jeune et si confiant, si jeune et si âgé dans le regard qu’il transporte Aquila ; un passionné ayant réussit dans sa carrière. Il était notamment payé comme chercheur pour de grandes entreprises privées, quant à ses théories sur d’autres mondes, des précisions qu’on n’avait imaginé encore et qui lui apportait encore plus de temps. Il parvient à se faire entendre dans le curieux monde où il a atterrit, il a attiré les faveurs d’une autre entreprise pour faire des recherches. Les humains sont les mêmes dans leurs ensembles, après tout : avides de connaissances. Particularités Cicatrice au cœur qu’il hait, qu’il peine à cacher quant il se dénude : dans ces nouveaux miroirs, elle subsiste, hilare. Une simple vague sur sa poitrine, tel un dessin d’enfant peu doué, une marque qui respire l’innocence et qu’il ne sait effacer. Comme si la destinée riait encore de ses tentatives à fuir d’elle, en l’emmurant dans un lieu où il panique intérieurement. Par l’appel, aussi, de cette drogue quotidienne qu’il prenait, cette drogue dont il était malheureusement dépendant : l’arkham. Ce n’était qu’un médicament, après tout, une simple chose qu’il achetait pour mieux utiliser le temps qu’il gagnait. Ici, le manque l’effrite, le manque le rend moins énergique, le manque transforme l’être savant en être souffrant. Pourquoi ce simple médicament n’existe pas, ici ? L’image d’un savant professeur accompagné de sa pipe s’en retrouve, malgré lui, brisée : les charmes s’évaporent donc avec sa fumée. Il est toujours le jeune génie, le jeune philosophe aux idées neuves, l'homme à l'aura presque grandiose transportée par des orbes dorées : mais, dans un endroit peu désiré. Et, depuis 5 ans,  se sont éveillés des choses qu’il cachait à la totalité de ses connaissances : des capacités de métamorphoses, qu’il ne parvenait à contrôler, ni en définir la source. Il parait que ces choses sont d’une normalité affligeante, dans cette prison : il se considère, malgré tout, comme un pur monstre siganais.  Lien(s) cosmique(s) Il maudit encore cette personne. Il l’a ressenti, il y a longtemps, tambouriné sa poitrine et la marteler d’amour. Qu’il en vomissait, par la peur à l’âme de répéter les schémas s’éveillant encore et encore. Soulmate, absurde, insensé. Les institutions du destin ne peuvent pas être effacées ? Il a essayé, malgré les lois. Il a essayé de détruire ses souvenirs, mais n’en a ressenti que des larmes. Ignorant, par son immaturité d’autrefois, le mal qu’il aurait fait subir à cette moitié délaissée. Keywords aigle – perçant – au – génie – perdu – dans – sa – déchéance !