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 je n'ai pas peur du vide ¬ ((eiji))

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SIAL BON BEN C'EST ENCORE MOI
j'espère que mon nouveau bb vous plaira, rip shin on l'aimait bien qd même
dsl je redébarque pr foutre du drama dans vos vies

Eiji Akio Bluefc : bang taeeun ; ©️️️ les deux femmes de ma vie ; asteroids ; unique
91%LOYAUTÉ
26%TENDRESSE
82%SARCASME
43%IMPATIENCE
77%PERSPICACITÉ
32%RIGIDITÉ
52%CASSANT
82%DÉVOTION
   
Nom completeiji akio blue eiji pour la force de caractère, pour l'impact dans vos esprits – blue pour un océan jamais calme, famille de tempête Surnoms ji' pour que ça glisse encore plus rapidement sur la langue bien qu'eiji semble la plupart du temps adopté de tous. Naissance vingt-deux ans au milieu des pluies d'un vingt mars les pétales des cerisiers gorgées d'eau. Héritage culturel origines japonaises bien gardées bien que le nom en ait perdu les atours ; catholique bien que pêcheur, à cependant croire qu'il y a quelqu'un là-haut. Statut célibataire qui semble marié à l'éphémère, à jamais s'arrêter – courir trop vite, laisser les conquêtes derrière. la mécanique interne qui refuse de freiner. Orientation bisexuel à refuser le choix, se garder le coeur ouvert aux caresses de tous. Finances $$$$$$.

Univers altéa les tréfonds d'une cité rouillée, aux rues humides et lourdes, sous la chaleur de quelques néons. quartiers mal-famés et pourtant familiers, odeurs urbaines et de tabac – il s'y confond depuis son enfance tourmentée. Occupation(s) étudiant mais rarement derrière les bancs de l'école, à préférer le bruit des moteurs entre ses doigts ou dernier un volant – à amasser du blé dans le monde du x ou bien à cause de mâchoires fracturées. Particularités manipulation de l'eau dûment acquises mais pourtant cachées au reste du monde, avec le refus de rejoindre un monde qui ne lui appartient pas. un anneau de métal parfois autour de sa lèvre inférieure en bijou quotidien. Lien(s) cosmique(s) quelque part au simulacre de sa peau l'histoire des amants déchirés est gravée ; constellation de l’effroi comme écho à une réalité qui lui échappe – des étoiles dont il refuse de voir l’éclat. Keywords rouille ¬ papiers froissés ¬ funambule ¬ contrôle ¬ tête trop pleine ¬ suie ¬ bruit ¬ néons ¬ chaleur ¬ blade runner ¬ rire ¬ clopes ¬ incertitude ¬ blurry face ¬ confort ¬ partage ¬ cordes à gratter, basse en particulier ¬ du cambouis sur les doigts ¬ de la rouille sous les ongles


we are all astronauts i. famille nombreuse, mais famille heureuse – avec son lots de brisures. quelques failles, parfois criantes au regard ; six enfants. six gamins qui baignent dans le styx mais qu'ont pas l'air de vouloir y rester. ii. l’enfance de travers, comme tous les gamins d’oreil, à faire des loopings et des demis-tours – des ratures à chaque recoin, des tâches d’encre et des coins de page arrachés. c’est la jeunesse désoeuvrée, ceux qui dealent trop jeunes et qui traînent dans les quartiers mal-famés ; qui volent, aussi, et touchent à ces choses de gamins désespérés. par adrénaline ou juste par nécessité – eiji s’est fondu dans un moule de cette société ; pas de la partie clinquante mais bien dépravée, la pauvreté qui claque à la gueule et dont on a peur de s’approcher, des fois que ça serait contagieux.iii. le processus comme espoir. il est doué, promis à un grand avenir. mais il s'efface, se cache. il préfère n'être rien, rester dans les rues encrassées. papa lui en veut, maman aussi mais fait preuve de la compréhension que seules les mères possèdent, le laisse vivre. il peut faire grand, mais se contente de peu – à pas vouloir briller.iv. seize ans, gamins rouillés. l'un qui s'aventure dans un endroit peu conseillé, et puis l'autre qui observe. qui s'marre à le voir se foutre dans un merdier, à pas s'en défaire – finir avec le nez cassé. eiji qui devrait passer son chemin, comme il le fait si souvent – et pourtant il s'en mêle, s'en prens quelques unes au passage ; foutues gueules cassées. pas moyen aujourd'hui de les séparer. v. un regard. le sourire qui se perd. un peu. il a pas la réputation du gars à suivre, pas la réputation du gars à aimer. il en a vu passer, beaucoup, des blondes, des brunes – des mecs aussi. il les a jamais gardés. pourtant elle l'apprivoise, s'infiltre dans sa vie. prends de la place. il lui en accorde que peu – pourtant il le sent, il s'attache. eiji qui s'identifie trop à elle, elle qui est. comme lui. paumée. floue. brute. à embrasser la vie à pleine bouche. à se tirer aussi, sans un mot. pas un post-it, juste un baiser. un tube de rouge à lèvre oublié, quelques souvenirs éparpillés. vi. grande soeur qui brille et s'échappe de l'enfer. elle réussit le processus, s'élève au plus haut niveau et quitte le berceau. rejoint les lueurs de la grande ville ; fierté des parents. regrets des frères délaissés – eiji qu'a un peu d'amertume dans la gorge mais toujours de la douceur dans les yeux. vii. coffré. enfermé. foutu en taule ; le frère aîné bafoué. qu'était beau, pourtant. avec les jointures défoncées et le sourire de travers – qu'en savait beaucoup trop sur la vie, sur la mort, sur l'humanité qu'est toute flinguée. qu'a tourné dans des gangs – avec des belles promesses à ses frères, qui leur parlait d'un autre avenir, d'une nouvelle famille. de quelque chose d'un peu plus grand – et eiji il y a cru. il a failli le rejoindre, avant que le rêve ne soit brisé. viii. une main. une simple main qui entoure l'objet précieux, le retient. une main d'enfant, de gamin – encore trop blanche. trop fine. et de sa stature eiji il regarde. il ressent. il ignore. il se détourne, s'endort – qu'un voleur de pacotille, qui détient pourtant son amour d'une encre indélébile.
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à nos âmes perdueset nos coeurs en dérive
la nuit des temps
aquarelle
d'ecchymoses


t’sais c’que c’est qu’d’avoir les mains crades ? bien sûr que non tu sais pas eiji. parce que t’as pas encore franchi l’cap. t’as pas encore été voir d’l’autre côté de la barrière. et j’suis fier de toi pour ça eiji. j’suis très fier tu m’entends ?

gorge sèche gorge nouée.
il attend, incapable de parler.
face l’un à l’autre,
ou peut être pas –
il y a cette vitre pour les séparer.

t’iras voir un jour. j’le sais, et j’pourrais pas t’en vouloir gamin. je l’ai fait. tu le feras. j’suis presque sûr que ton idiot de frère l’a peut être déjà fait. mais t’es plus intelligent qu’ça eiji. t’es plus malin qu’les autres. j’l’ai toujours su. suffit d’voir comment tu t’en tirais à chaque fois qu’on s’faisait gauler par maman.
c’est pas par maman que tu t’es fais gauler cette fois, ken.

et ça tourne et ça tourne et ça tourne,
ça résonne dans sa tête ;
quatre coups de feu fin de la partie –
pas de vainqueurs, juste des meurtriers et ceux qu’on du rendre leur vie au seigneur, en l’attente de leur jugement.
il était là kenshin.
il était là et maintenant il est derrière des barreaux.
grand frère bateau,
l’chevalier à l’armure de carton,
le héros de pacotille.

j’sais bien. j’veux pas qu’ça t’arrives non plus, ji’. et j’parle pas que des flics.
ça ne sera pas le cas. tu t’rappelles, j’suis plus malin que les autres.
et jusqu’à quand ?
ça durera le temps que j’me refuse à toucher un flingue, ken. pas comme toi. j’ferais pas cette erreur.

parce qu’après c’est plus un feu d’artifices,
c’est l’bal de la terreur –
avec les masques des cauchemars et les couleurs qu’on a en horreur
(c’est rouge c’est rouge c’est tout –
rouge
on barbouille de rouge on se peinturlure de rouge,
c’est rouge jusque dans les pupilles et c’est pas juste parce qu’on est défoncé,
c’est aussi parce qu’on a les mains de meurtriers,)


j’espère, eiji. j’espère que ça durera longtemps, crois moi.


///



c’était comme un souffle qui se brise, qui s’éclate en particules dans le vide, laissant des volutes blanches comme seules traces de visible.
c’était comme un battement de cils blancs au milieu de l’hiver,
un sourire qui s’écorche,
une cicatrice qui se dessine.

c’était comme un songe d’été,
de ceux qui laissent une marque au simulacre de la peau,
un peu éphémères comme le bronze du soleil,
un peu éternels comme les souvenirs vermeils –
les couchés de soleil, les rires sous les étoiles, l’alcool de trop mais pourtant pas regretté.

c’était tout ça, mélia,
c’était tout ça et rien à la fois.

il aurait presque cru à un mirage,
alors qu’elle s’était éteinte dans un dernier baiser de passage –
une esquisse carmin qui déborde sur la peau.

le vide, le grand ;
et eiji il a refusé d’attendre.
il l’a pris comme un au-revoir, comme une histoire qui mérite d’être racontée –
celle de la première qui aurait compté.
celle qui s’est enfuie, disparue comme les rêves qu’on ne voudrait pas voir arrêtés,
qui ne laisse pas grand chose que le silence.
que l’absence.
mais que malgré tout on continue d’exister.
on continue d’être,
de vivre.
et on finit,
très lentement,
par oublier.


///


l’horloge tourne.
les paupières refusent de se clore.
on refait l’compte à rebours dans l’crâne,
et ce jusqu’à ce que ça déraille.

l’scénario toujours trop imparfait ;
eiji il recommence jusqu’à ce qu’il soit satisfait,
jusqu’à ce que les engrenages s’emboitent à la perfection dans sa petite cervelle.
que ça coince pas.
que tout s’accorde –
que les percussions ne s’emballent pas, que les cordes ne se rompent pas,
et que les cuivres,
oui,
ne se mettent pas à vriller.

et il tourne légèrement la tête –
trois heures du matin.
l’cerveau qui refuse de s’éteindre et ses doigts pianotent contre son ventre,
à même pas rechercher le silence, l’apaisement d’une nuit.
à se dire que ça pourra venir plus tard,
qu’il aura l’temps une fois que tout sera fini.

et il compose,
le chef d’orchestre.

et il est trois heures trente du matin.
et il est quatre heures du matin.
et il est quatre heures trente du matin.
et il est cinq heures du matin.



///


(et si,
et si le silence, et si l’ignorance
et si la haine, et si la violence
et si le refus, la convenance,
le regard qui fuit, par pure élégance
vouloir blesser,
ou protéger,
ne pas oser dire, ne pas oser répondre,
se taire pour ne pas fouler de décombres,
hurler et nous fondre dans la pénombre
et si,)


on s’regarde et on s’tait.
à pas vouloir perdre la vertu des roturiers,
à pas vouloir entacher la fierté des gars mal-famés.
juste regarder.
et puis fuir.
fuir parce que ça compte pas –
fuir parce que ça devrait pas compter.

un foutu courant d’air –
la porte qui claque et les remords marqués au fer.
faut pas s’retourner,
faut pas s’demander,
s’poser des questions,
s’intéresser.

(et pourtant t’étais là,
j’étais là.
on s’est vus,
on s’est observés –
et moi j’ai compris que j’avais déjà merdé.)


random facts ;  manuel de survie
t’aimes pas sa gueule, il aime pas ta gueule, c’est scientifique et tu peux rien y faire ¬ eiji c’est pas l’mec transparent, pas l’mec clinquant non plus. c’est l’mec de la masse, qui s’efface. l’mec qu’on remarque quand il ouvre sa gueule ¬ fou du volant, fou de la vitesse – c’est ça, sa propre ivresse, s’oublier un peu, quitte à y laisser sa peau. faire preuve d’égoïsme, de temps en temps, pour pas perdre la tête et devenir marteau. ¬ sa bagnole c’est d’ailleurs toute sa vie, il y bosse depuis longtemps et ça lui coûte toutes ses économies ¬ eiji c’est l’mec constant. c’est l’mec qu’on pourrait croire à l’épreuve du temps, qui s’endurcit au fil des années mais qui reste néanmoins toujours fidèle à ce qu’il a toujours été. il sait pas trop ce qu’il est et il a arrêté de chercher, il a juste accepté qu’il était comme ça sans trop chercher d’explications à la con. ¬ il est grand, très grand, trop grand – c’est l’mec qui dépasse toujours sur la photo et qui sait jamais où foutre ses jambes trop longues. de toute façon, tout est long chez eiji. surtout ses silences. ¬ les fameux silences qui tuent parce qu’il y a le regard qui va avec, plus lourds que du plomb et plus froids que de la glace. quand il se tait et qu’il te fixe sans rien dire, t’es mal barré. ¬ il a tout connu trop tôt, la clope à quatorze ans et les premières bières à quinze ; le premier coup du soir à seize et le premier joint dans la foulée. la première gueule cassée – les soirées trop chargées. à même plus s’rappeler de la journée de la veille. ¬ il se sent flou et ça lui convient très bien, ça convient juste pas aux autres ; alors on l’emmerde en lui demandant d’utiliser ses capacités, de se sortir les doigts du cul et de se mettre à bosse, montrer de quoi il est capable. il est juste bien dans sa misère et faut pas trop l’emmerder. ¬ ses potes c’est son business et sa vie ; il a aucun mal à mélanger pro et perso – les deux vont même de paire pour lui. il sait pas s’impliquer à fond s’il y a pas de la confiance et du lien ¬ d’ailleurs il pourrait tout faire pour ses potes, il se met aucune barrière, de toute façon, il n’a pas toujours conscience de ses limites ¬ son frère voudrait qu’il intègre un gang mais ça l’branche pas trop surtout depuis qu’il a atterrit en taule – ça lui parle pas et il veut pas finir là-dedans, même si on lui fout un peu la pression ¬ ce mec peut vous vendre n’importe quoi. réellement. ¬ la guitare il en fait un peu mais son truc c’est vraiment la basse. il en a une dans sa chambre qu’il gratte la clope au bec ; ça devient plus rare mais il aime toujours ça ¬ si vous lui demandez où il se voit dans dix ans il vous répondra que 1) dix ans c’est dans trop longtemps pour l’envisager 2) s’il doit vraiment répondre un truc, ça serait toujours dans cette coloc avec ses potes ¬ nash est d’ailleurs pas à la coloc alors il passe sa vie à squatter chez lui si c’est pas l’inverse ¬ on dit qu’il a un humour douteux. parce qu’il fait trop de sarcasme ¬ le genre à se percher à des endroits improbables pour se vider la tête ¬ beaucoup. trop. gaga. de sa petite soeur. et de sa famille en général ¬ il a constamment l’impression d’avoir la tête trop pleine, en train de déborder – que ça grouille trop et que ça va finir par le rendre taré. mais il évite de trop y penser. ¬  l’amour c’est trop abstrait et de toute façon tout ce qui se rapporte au sentiment ça lui échappe complètement. alors il la ferme. et vous devez vous débrouiller avec ça. ¬ si vous avez une merde quelconque, celui à qui se référer, c’est lui ¬ soulmate ? svp arrêtez avec vos conneries, ça vaut mieux pour vous. (il préfère ne pas en parler) ¬ il tient bien l’alcool. mais il faut réellement voir eiji bourré juste une fois pour mieux comprendre le bonhomme ¬ la déception est sûrement la pire chose venant d’eiji.

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thats kawaii here. :yas:
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Nao Ilang
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Pseudo : obsidienne (anna)
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RGRTYHTYHTYH

edit; MON
BB
EIJI EDGY
je pourrais t'écrire des poèmes sur mon état actuel pour te montrer à quel point je suis happy que tu prennes mon prélien mais ça sera pas à la hauteur de ta perfection qui met des étoiles dans mes yeux avec seulement quelques lignes moustache non en vrai tous les plans??? que t'as prévus pour eiji??? sont juste tellement fab que jsp tbe mERCI J'AI TROP HÂTE DE PIMENTER LA DREAM THIEVES AVEC TOI AVEC KENNY AVEC EFFY (et soon peut-être une nell je lance une bouteille à la mer moustache #faitsurtoutduvaudou). aaaa aaaa je suis joie suprême et extase pailletée, eiji je l'aime d'amour et d'alcool (psk l'eau fraîche c'est trop cheap pour nous tmtc langue) MERCI MERCI MERCI POUR LE PRENDRE ET FORCE ET ROBUSTESSE POUR LA RÉDACTION DE TA FICHE BABE love
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l'insolence pure
j'adore
j'aimais shin
je vais t'aimer aussi

que de beauté
ilu hearteu
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OMG BB
j'étais dans mon rp et j'suis genre pas first du tout
je déteste le monde dc
donc
jtm
bsxxxx
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Yohan Pearson
Yohan Pearson
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Pseudo : fivedaysofjuly
Avatar : jung hoseok (bts)
multi : nina rhodes (ft lily collins) et ashley martinozzi (ft. ariana grande) et tamsyn huggins (ft. zoey deutch) et azalea kang (ft. park sooyoung)
Réputation : 86
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BONSOIR MONSIEUR. fire hinhin respect il est canon mais omfg inlove
rebienvenue à la maison :purple: j'espère que tu t'y retrouveras plus avec ce nouveau personnage coeur bon courage pour cette fiche aussi craque yohan et eiji ont apparemment le même âge donc maybe on a un truc sympa à faire, on verra ça perv
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tête de noeud a écrit:
je n'ai pas peur du vide ¬ ((eiji))
nn t'as peur de mads :/

rebienvenue sur le forum douceur !! I love you I love you eiji est beau comme tout, j'ai grave hâte de lire la suite, courage pour la rédaction bunnies
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jsbskdbkdbdkdbdjvsjsbksbd
qt
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Even Stilinski
Even Stilinski
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Bloc-note : #skatersquad — moodboard.
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LE DUDE DES INTERROGATOIRES
attds j'enfile une chemise


jsuis un mec bien
super clean super doux super frais (à téco george le yéti c'est un giga débutant)
j'ai un taff (jle perds bientôt mais on oublie ça ok)
also j'mate les films de nash et j'apprécie son art
mec respectueux, bon bail pour ton bro
valide-moi
thx kiss kiss bye


PTDR LA VÉRITÉ J'AI HÂTE QU'ON SE CASSE LES PIEDS, SURTOUT
REBIENVENUE et sfodihfdsoi courage pour ce nouveau bb, ça va être beau tbe
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