(F) CATE BLANCHETT + eva sialov

faceclaim avatar négociable si cate ne vous convient pas mais elle doit faire femme de plus de quarante ans, le prénom est utilisé un peu partout alors ce serait difficile de le changer et j'aimerais que daniil et elle aient le même nom de famille. univers sigan, depuis toujours. naissance 45/48 ans, date au choix. héritage culturel elle peut parler brièvement russe, en avoir des origines (comme son (ex) mari). c'est au choix. occupations elle travaille à l'administration des tribunaux qui traitent des affaires de robotisme. passion au choix. particularités un timer au bras que son fils remplit régulièrement. soulmark au choix.

anecdote eva s'est mariée jeune aux bras de son âme-soeur ; celui choisit par le destin, parfait aux yeux de lumière. yeux transformés en horreur et douleur. les coups et les silences, les marques, les bleus camouflés jusqu'à retrouver un peu de souffle, une raison pour survivre dans le calvaire quotidien – ses deux enfants, adoptés car elle est incapable de donner naissance. anecdote il y a sept ans (1er novembre 2011), sa fille fut tuée par les mains de son mari trop violent, mis en prison l'année d'après. depuis, elle vit seule sans un appartement à new brasilia payé par son fils, daniil. anecdote eva était une femme qui s'occupait de la maison, des enfants et de son mari. dévouée à sa vie de famille, à sa maison et à tout sauf à elle, elle a fini par s'oublier derrière les vêtements trop grands, sombres et parfois trop vieux. depuis le nouveau départ que son fils et elle se sont permis après l'arrestation de son mari, eva est une nouvelle femme. femme qu'elle n'a jamais su être, même dans ses rêves les plus fous. élégante, charmante, coquette, charmeuse, bien coiffée, apprêtée, maquillée, pourtant pleine de modestie et d'humilité, elle ose enfin être eva. anecdote texte.

daniil sialov adopté dès son plus jeune âge, enfant peu bavard qu'elle couvrait d'amour, qu'elle ne laissait jamais jouer seul et qu'elle cachait dans le placard de sa chambre pour le protéger des cris et des coups. relation silencieuse et particulière entre une mère et un fils qui comprenait chaque mal sans mot, juste avec un regard. fusionnels sans geste, elle donnerait tout pour l'homme qu'il devient et qu'elle n'atteint pas. elle est bien la seule personne en ce monde à qui daniil est entièrement dévoué.

jules bruni (pv) rencontré au détour d'un couloir à l'hôpital le jour où sa vie a basculé. jules a retenu son attention d'une seule phrase « on devrait le débrancher ». eva a cru un instant qu'elle avait pensé trop fort et qu'il l'avait entendu.
pourtant, c'est lors d'une soirée qu'elle a osé aller lui parler. nouvelle femme, jules ne l'a pas reconnue de suite. et ils ont fini la soirée ensemble, chez lui. (relation à définir entre les joueurs des pv) ce qu'ils ne savent cependant pas, c'est que jules est le père biologique de daniil et qu'eva est sa mère adoptive.

elena sialov (décédée) ange déchu adopté à ses deux ans, bordé au moindre centimètre avec des sourires et des baisers joyeux. daniil s'est vu grand-frère d'une enfant du même âge avec beaucoup de différences. eva était une mère comblée et si heureuse qu'elle en arrivait à oublier le déséquilibre causé par l'arrivée du patriarche. elle vit encore très mal le décès de sa fille, a pensé à se ôter la vie tant la douleur était bien plus vive encore que toutes ces années ruées par les poings d'ephrem, et se raccroche à la seule personne qui mérite qu'elle vive, son fils.

ephrem sialov (en prison) la seule chose qu'elle a réussi à avoir de son mari, c'est peut-être bien les deux enfants qu'ils ont adopté à l'âge de 22/25 ans (daniil) et de 24/27 ans (elena) – deux enfants à qui elle a offert tout l'amour dont elle était capable mais c'était sans prendre compte la colère incessante d'ephrem qui se répercutait sur son visage à l'abri ou non des deux paires d'yeux candides. parfois même, trop souvent, c'était sur ces deux êtres que la haine, d'une âme-soeur qu'elle aurait préféré ne jamais rencontrer, frappait de plein fouet dans les couloirs de la nuit. jusqu'au jour où l’irréparable fut commis. petit corps de quinze ans errant au sol, sans vie, et la sienne prise avec. le souffle coupé, elle n'a pas su arrêter son fils qui s'est attaqué au bourreau. et lorsqu'il a laissé leur père sur le sol, dans un bain de sang commun pour partir en courant trouver refuge plus loin, elle n'a réussi qu'à le défendre auprès de la police. jusqu'à ce que l'ordure trouve la place qu'il méritait ; en prison.