ultraviolence ¬ ((shin))

Invité

sial mdr j'avais dit à dans quelques jours ?
c'était à demain en ft.
moustache

Shinil E. Hayashi fc : park jaebum aka jay park ;

️️ skate vibe ; Rockets ; unique

LOYAUTÉ

IMPULSION

CHALEUR

RANCUNE

CHARISME

VIOLENCE

PASSION

IMPATIENCE

Nom complet shinil pour la croyance ; eiji pour la malchance – hayashi pour le reste d'une vie passée,
enterrée sous les décombres d'un empire effondré. Surnomshin parce que ça s'ancre, ça reste, ça s'oublie pas shin ; gamin aux espoirs qui rouillent à la recherche d'un écrou auquel se rattacher – il veut être certain de s'imprimer dans les esprits, de pas se faire balancer, écraser, bousiller. Naissance vingt-sept années, un douze février de tempête. Héritage culturel chrétien et très croyant, encore un peu d'espoir dans ce bas monde ; il se connait des origines asiatiques, plutôt japonaises, mais n'en a malheureusement hérité que le physique et la langue, laissant le reste de cette culture et sa bienséance au placard.Statut célibataire, marié à l'éphémère. Orientation bisexuel, le coeur et la chair qui ne distinguent pas. Finances $$$$$$.

Univers sigan terre d'argent et de rouille, du cuivre entre les doigts, du plomb jusque dans le sang. une carcasse de métal, un coeur sur la main. Occupation(s) mécanicien,roboticien – il a l'art de donner la parole aux rouages silencieux, le song significatif de la vie inhumaine. fabricant d'androïdes, fabricant de rêves ; pinocchios des temps modernes forgés sous ses mains héritées de vulcain.Particularités il a tout gravé sur sa peau en même temps que ses cicatrices – le corps comme pièce détachée, rafistolée, manipulée jusqu'à s'en imprégner. Lien(s) cosmique(s) à la lueur tamisée de l'effort les regards se croisent ; l'oeuvre d'art animée, admirée. le souffle qui se glisse, qui lisse, qui détaille encore un peu. dernier battement de cils blanc, la page qui se tourne, mais la peau qui n'oublie pas. marqué à vie destiné à le retrouver. (cluster)

we are all astronauts i. famille de misère mais pas famille malheureuse. papa était inconnu au bataillon mais n'a jamais été indispensable. maman la grande ; maman la belle – maman le trésor de ce monde, femme respectable comme seul soleil. ii. shin c'était une étincelle, shin c'était un grand fracas. un gosse qui aimait le danger, le goût de l'interdit à traîner dans les sous quartiers les plus mal famés, le sourire de travers à se prendre pour un dur, son skate sous le bras. et puis il est tombé un jour sur ces combats robots clandestins, sur ces assemblages de métaux qui s'animaient pour la foule. ce fut la première fois qu'il tomba amoureux. iii. génie mais trop jeune ; c'est ce qu'on lui répétait souvent. pourtant il y a l'appel à quelque chose de mieux, de plus grand – quelque chose de plus vaillant que les inventions pour les caniveaux et les caves abandonnées. boursier, fierté de famille ; mais aussi sous le joug d'un homme, d'un grand – un père remplacé.iv. il a encore le souvenir du parfum de ses cheveux, de son rire qui embaumait une pièce ; il a encore les images de hyerim, imprimées sur sa rétine. second grand amour ; première déception – elle l'a quitté pour celui qui s'est gravé sur sa peau. et il savait qu'elle ne reviendrait pas. v. manque. manque à combler, trou trop large pour être suturé. solitude. solitude qui bouffe. les gens autour qui disparaissent. il les a vu comme une solution ; ces semblants d'humain. il en a imaginé cinq ; cinq pantins de ferraille. et pourtant, celui a qui il donna la vie était le plus humain, le plus à même d'être meurtri. vi. il a pris son temps. il s'est arrêté, à travailler parfois trois jours d'affilé. il a pris son temps. il a pris un an ; avant de donner vie à alan. vii. alan comme thérapie. alan qui n'avait plus besoin d'être à lui. alan vendu ; et les autres prototypes prirent vie, et de nouveaux après eux. nouveau business, source de richesse et de reconnaissance. shin brille pour la qualité de ses androïdes. vii. plus beau présent de la mère ; un briquet aux initiales de son propre paternel endormi dans un mausolée de roches usées. les mêmes initiales que les siennes – objet d'argent chéri, pourtant perdu quelque part dans un monde caché l'année de ses dix-huit ans, atlantide des temps modernes.

Invité

j'ai longtemps parcouru son corps effleuré cent fois son visagej'ai trouvé de l'or et même quelques étoiles en essuyant ses larmes
sous hypnose
électricité
statique

— tu m’as dit de rêver ? et je n’ai fait que ça ; j’ai tellement rêvé que ça m’a brûlé, que les ailes se sont cramées. alors c’est ça rêver ? c’est s’écraser ? finir à terre et ne jamais se relever ?
— je t’ai dit de rêver. pas d’espérer. pas de croire que ça pouvait devenir réalité.
— alors à quoi ça sert, de rêver ?
— ça sert à - ça sert à aller mieux. à s’illusionner.

il y a le silence.
et le gamin à la carcasse si fragile,
s’effrite sous le poids des vérités bâtardes.

— alors pourquoi, pourquoi on fait ça ?
— parce qu’on distribue du rêve aux gens, shin, on leur distribue des illusions.
— des robots ?
— des robots pour souligner leur culpabilité.
— tu débloques.
— ils sont tous coupables d’humanité.
— t’es taré, doc', arrête ça.
— ils refusent de voir la réalité. ils veulent voir le côté lisse des choses, shin. ils veulent pas voir qu’ils sont déshumanisés.

——

le pas lourd,
le pas régulier,
ni trop lent, ni trop rapide ;
la clope au bout des lèvres.

dans ses rêves il s’échappe dans d’autres réalités,
shin,
dans ses illusions il se dit qu’il y a un ailleurs un peu meilleur,
shin.

une fois ;
clac clac –
deux fois ;
clac clac –

ça crame au bout du bec.
ça crame pour venir bousiller sa mécanique de cuivre ;
les poumons qui se gonflent.
les poumons qui rejète les volutes toxiques.

et ça tinte,
au fond.

xia !
xia !

c’est un murmure, c’est une mélodie ;
les doigts qui jouent avec la relique ;
il n’écoute pas vraiment, shin.

c’est un souffle ;
c’est un essoufflement même ;
c’est comme un mirage –
c’est comme
les torrents de tempête entre les nuages.

le regard qui se lève à peine
les épaules qui se percutent ;

ça tape
ça tape
ça tape

froncement de sourcil ;
le précieux lui échappe des mains.

il se retourne.
plus rien.
le silence de la rue endormie
qui efface le voix étouffée.

la fille aux cheveux long a disparu entre deux nuées de vide.

il regarde au sol.
plus rien.
le silence de l’objet qui s’est assoupi
entre ses doigts de poupée.

——

le sourire un peu de travers, il observe le déluge ;
le temps qui court et qui s'éloigne,
elle avec,
son unique refuge.

elle refusa de se retourner.

shin avait refusé de pleurer.

et j'aurai simplement espéré te revoir au détour d'un croisement, sur le chemin d'une comète – une heureuse coïncidence, les joies du hasard ; passer mon bras autour de tes épaules et aller observer le bal des étoiles et des rêveurs d'un soir, laissant sous nos pas quelques éclats de notre souvenir en empreinte d'un passé partagé et heureux.

les larmes s'étaient pourtant écoulées ;
comme des billes de cuivre dont les traces demeureront sur son visage de poupée.

il aurait presque supplié dieu
pour qu'une nouvelle marque s'imprime d'elle même au simulacre de sa peau
comme promesse d'un avenir commun.

et finalement je t'ai effacée, soudant la plaie jusqu'à n'être qu'un vulgaire défaut dans la parure.

——

j’oublie. j’oublie qu’il y a du monde dehors, j’oublie les populations qui grouillent, qui s’activent dans l’immense fourmilière du monde.
j’oublie. j’oublie qu’il y a de la vie, de la vraie, qu’il existerait une barrière entre notre réalité et une autre.
j’oublie.
j’oublie que l’humain a besoin d’autrui,
j’oublie cette nécessité à la torture réclamée, décidée,
j’oublie cette nécessité à la déception, à l’abandon,
à la douleur comme moteur –
laissant la couronne aux plus grands menteurs.
je n’ai jamais été marionnettiste,
mais cette fois je le serai.

——

il y avait quatre dossiers.
tous portaient les noms des plus grands ; de ceux d’autrefois.
ceux qui avaient eu eux aussi des rêves,
mais qui avaient fini par s’embraser.

il y avait quatre dossiers.
tous contenaient un millier de rouages et de formules,
un millier de discours de funambules,
marchant au dessus du vide de l’incertitude ;
quatre paquets d’illusions.

il y avait quarte dossiers.
quatre ébauches, quatre esquisses sur du papier,
quatre carcasses qui auraient pu être animées.

le cinquième n’avait pas de nom.
le cinquième,
lui,
était vide.

le cinquième n’avait pas de nom.
il était dépourvu de but, dépourvu d’ambition,
dépourvu d’identité.
quatre lettres tracées au crayon à papier,
la main hésitante,
celui qui aurait lui aussi,
à un moment voulu être écouté.
A L A N.
celui dont le mensonge est devenu réalité, dont l’intelligence a été exploitée. le héros ramassé, bafoué,
le héros retourné,
changé. le héros qu’on a essayé de reformater.
le héros qui,
lui,
aurait eu beaucoup de choses à dire mais qu’on a bâillonné.

quatre lettres oubliées
A L A N.
dans le coin d’une page cornée.

celui-ci serait victime de son humanité,
celle de shin,
celle de son créateur ;
celui-ci serait son reflet,
celui-ci serait
plus humain que la réalité
plus humain que ces êtres de chairs ratés.

——

c’est fini, c’est terminé.
l’oeuvre est achevée.

— qu’est-ce qu’tu r’gardes ?

il y a la voix qui gronde,
un fracas dans la semi-obscurité.
il y a l’éclat de son regard qui zèbre l’espace,
l’écho qui reste un instant.

et seulement le silence lui répond.

il y a toujours ce regard.
et shin il détourne un peu les yeux
seulement un fraction de secondes,
avant de l’affronter de nouveau.

— hm.

il grimace un peu ;
la lèvre qui se retrousse.
l’envie de lui demande s’il a un pète au casque ou s’il est mal configuré,
si l’algorithme des mots n’a pas été foiré.

— toi.

léger froncement de sourcils ;
les yeux qui courent finalement sur l’établi,
voguent sur les outils et les plans comme éclatés en une nouvelle constellation
dont lui seul est l’astronome.

— bah r’gardes ailleurs.

ce regard je n’ai jamais été certain de pouvoir le supporter.

——

tu me hantes, hein, pas vrai ? c'est ma punition
pour t'avoir donné la vie ?

Invité

déjà en pls devant tes mots poupey.

Invité

Invité

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

Invité

bon ça suffit de m'agresser avec tous ces gens sublimes?????

j'vais finir par PORTER PLAINTE WESH. umf

en plus shin, j'adore ce prénom haaa

BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE sur SOD, encore un début de fiche qui met l'eau à la bouche, J P P. shookth

pense à réserver ton avatar, si t'as des questions, n'hésite surtout pas à venir harceler un membre du staff (~~surtout moi, j'aime qu'on me harcèle, pis les autres elles sont vachement moins sympa~~)

BON COURAGE POUR TA FICHE BABY ananas

Date d'inscription : 22/10/2017

EST-CE QUE JE PEUX QUOTER TOUTE TA FICHE MEME SI C'EST PRESQUE TOUT VIDE ? gaah

NON PARCE QUE C'EST PLEIN DE PÉPITES, A CHAQUE LIGNE OMG

Citation :: à la lueur tamisée de l'effort les regards se croisent ; l'oeuvre d'art animée, admirée. le souffle qui se glisse, qui lisse, qui détaille encore un peu. dernier battement de cils blanc, la page qui se tourne, mais la peau qui n'oublie pas. marqué à vie destiné à le retrouver.

j'ai envie de dire, c'est toi l’œuvre d'art en fait moustache

JE SUIS TROP EN JOIE DEVANT TA FICHE DEVANT TA PLUME DEVANT TA BOUILLE DEVANT TOUT!!! #wigdrop BIENVENUE PAR ICI t'as l'air bien entourée en plus perv