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 kiss kiss bang bang (adriel)

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Lynn Mune
Lynn Mune
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Parker se réveille encore à huit heures du matin. Depuis plusieurs jours, elle semble se réveiller à la même heure, comme si une horloge interne s’était installée dans son esprit. Et aujourd’hui encore, elle n’a rien envie de faire. Depuis plusieurs jours, elle semble juste vouloir rester en pyjama au lit. Et si ça ressemble fortement à ce qu’elle faisait lorsque Kihyun est mort, ça a pourtant rien à voir. Elle est pas dévastée. Elle pense que c’est peut-être lié à Adriel. Mais si c’était le cas, ça aurait commencé dès qu’elle est sortie de sa boutique, alors que c’est pas le cas. Les Boyle parlent beaucoup, d’elle et de Johanna. Disent qu’elles ne semblent plus être elles-mêmes. Peut-être, probablement même, qu’ils ont raisons. Parker se sent pas vraiment elle-même non plus. Elle se lève, quand même, elle doit aller petit déjeuner. Elle a rêvé d’Adriel cette nuit. C’était étrange. Elle a rêvé qu’il embrassait devant elle la fille qu’elle a vu dans sa boutique la dernière fois. Et ça lui a pas plu, du tout. Parker considère ça comme un cauchemar, pas comme un rêve. Peut-être qu’elle devrait pas, elle sait pas. Elle s’assoit à table et se relève. Elle a oublié de se préparer à manger. Elle se prépare à manger, un truc simple. Des biscottes, du beurre, de la confiture. Elle se rassoit, mange un bout de biscotte, pousse l’assiette sur le côté, et allonge sa tête et le haut de son corps sur la table. Elle est fatiguée, tellement fatiguée. Elle dort bien hein, pourtant. Vraiment bien, comme un bébé. Mais elle est toujours fatiguée. Quand elle se réveille, c’est parce que Jamie lui dit de se bouger le cul. Et c’est un peu violent comme réveil, mais Parker comprend. Elle hoche la tête, et laisse son assiette sur la table, quelqu’un d’autre mangera, elle a pas très faim. Elle remonte dans sa chambre, et s’arrête au milieu des escaliers. Parce qu’elle voit, en bas, dans le couloir, y’a un bouquet de fleurs. Et que ça lui rappelle Adriel. Et qu’entre ça et son cauchemar de cette nuit, peut-être qu’elle devrait aller le voir. Oui. Elle a pas envie de rester en pyjama et dans son lit. Elle a envie de voir son Adriel, à elle. Et de vérifier qu’il a embrassé personne, depuis leur dispute. Elle sait pas trop, plus trop. Ce qu’elle ressent, ou non, pour son frère de cœur. Et elle se met à chantonner dans sa chambre, une chanson mélancolique qu’elle a depuis plusieurs jours dans la tête. Une chanson qui lui semble bien étrangère. Tellement qu’elle a l’impression qu’elle l’a jamais écouté, en fait. Elle tape du pied, en symbiose, alors qu’elle s’habille. Elle prend un élastique qu'elle attache à ses cheveux rapidement, laissant juste deux mèches s'échapper sur son visage. Et elle descend les escaliers quasiment en courant. Et lorsque sa mère adoptive l’arrête et lui demande où elle va, Parker lui répond, un peu dans les nuages qu’elle va “récupérer ce qui devrait être à moi”.
Elle avance dans la rue, comme une âme en peine. Elle traîne, mais essaye de marcher vite. C’est son corps qui peine à suivre. Ou peut-être son esprit. Elle sait pas. Peut-être qu’elle pense aller vite alors qu’elle commande à son corps d’aller le plus lentement possible. Comme si dans son esprit, quelque chose la retenait, lui disait “attention Parker, c’est débile c’que tu vas faire”. Parker écoute pas, elle écoute que son coeur. Et ses besoins. Et ils lui crient d’aller voir Adriel. Parce qu’il lui manque, beaucoup. Et que depuis qu’elle sait que des filles lui tournent autour, elle a beau réfléchir, elle veut absolument pas qu’il soit avec quiconque. Sauf elle, peut-être. Même si, c’est pas de l’amour, enfin. Peut-être pas. Probablement pas. Elle veut juste qu’il soit qu’avec elle, jusqu’à la fin de sa vie. Et c’est. Bref, trop pour elle, d’assumer ce qu’elle ressent, pour l’instant. Elle veut juste s’assurer qu’il partira pas. Jamais. Et surtout pas avec une pétasse comme celle de la dernière fois. Enfin. Une fille qui semble vraiment facile. Pour pas utiliser de gros mots. Elle arrive enfin au magasin de fleurs, il est onze heures. Elle ouvre la porte, et cherche l’intérieur de la boutique. Et Adriel est là, de dos. Elle se dirige vers lui, sans prendre le temps de refermer derrière elle, et tant pis si la porte claque. Elle s’approche vite, cette fois ci. Vraiment vite. Pas le vite qu’il lui a fallu deux heures pour arriver jusqu’à la boutique. Et lorsqu’elle arrive, elle prend son bras, le tire vers elle, pour qu’il se tourne. Et lorsqu’il lui fait face, elle l’embrasse. Comme ça. Elle se met sur la pointe des pieds pour atteindre sa hauteur et l’embrasse. Et pas un petit bisous comme ça. Non. Elle joint ses mains derrière lui, posant ses avants-bras sur ses épaules, pour se maintenant en place, probablement. Et bouge même un peu les lèvres, légèrement. Elle avait jamais embrassé quelqu’un comme ça avant. A part Kihyun. Et finalement, Parker peut bien se l’avouer, au moins ça. Elle préfère presque embrasser Adriel, comme ça, alors qu’il répond pas, que Kihyun, alors qu’il répondait.
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L'réveil un peu dur, la main qui s'glisse derrière sa nuque endolorie puis sur ses yeux encore à moitié clos. Elle s'plaque ensuite contre ses lèvres pour camoufler un bâillement puis vient tirer la couverture au dessus de son nez. Un grognement sourd s'échappe d'entre ses lèvres, sa langue claque contre son palais ; un simple bras passé à l'extérieur de l'épaisse couette a été suffisant pour lui donner un aperçu de la température de sa chambre. Un frisson remonte le long de son échine, il se tasse encore un petit peu plus sous la couverture pour en retrouver la chaleur. Pas l'envie de sortir pour se mêler à la fraîcheur, pour sentir ses poils se dresser sur ses bras trop pâles. Pourtant faut bien qu'il s'extirpe de son lit pour commencer une nouvelle et morne journée. Qui risque d'lui paraître vraiment très longue d'ailleurs parce que d'puis la dispute elles sont sans saveur, ses journées. La jolie rousse lui manque, ça d'vient pénible d'rentrer dans sa boutique en sachant qu'elle va pas débarquer mais une part de lui n'a pas envie d'céder. Parce que maintenant il doit apprendre à aller d'l'avant, à penser un petit peu à lui et pas seulement à elle. Et ça fait des mois, des années, qu'il crève d'amour pour les beaux yeux d'la rousse, en silence sans jamais s'manifester, la laissant s'mouver dans les bras d'un autre simplement pour la voir heureuse. Sauf qu'maintenant il est temps pour lui d'se montrer un peu plus égoïste, de prendre conscience que la vie qu'il mène n'est pas bonne pour lui, pour sa santé mentale et même pour son organe saignant. Il s'souvient encore d'la douleur ressentie par le biais de son âme sœur, cette douleur indescriptible dans sa tête, dans ses entrailles, l'envie d'tomber à genoux et de simplement hurler pour l'oublier. Et il veut plus jamais revivre ça, plus jamais. C'est peut-être l'une des nombreuses raisons qui le poussent à n'pas reprendre contact avec elle depuis la dispute, même si ses journées sont mornes et insignifiantes au moins elles ne sont plus douloureuses. Ou peut-être que si, mais pour des raisons complètement différentes.
Il s'extirpe enfin de son lit, un soupir s'échappe de ses lèvres. Il jure dans l'silence de sa chambre, l'innocent adriel qui voit son caractère se métamorphoser depuis le début de ses escapades. Il s'dépêche de se mettre sous la douche, d'faire couler l'eau chaude sur son corps frigorifié, s'habille en quatrième vitesse avant d'se pointer dans la cuisine pour s'faire son petit déjeuner. Puis il s'dit finalement qu'il est l'heure de partir travailler. Parce que même si Jesse ne franchit plus la porte de sa petite boutique, d'autres clients le font à sa place et il doit s'montrer présent et disponible pour eux. Il enfile son long manteau beige, remonte le col contre son nez pour combattre le froid, guerre acharnée. Plonge ses mains dans ses poches, l'bout des doigts déjà rouges et les ongles bleutés. Il souffle légèrement dessus avant de tourner la clé dans la porte de sa boutique, douce chaleur qui englobe presque immédiatement son corps. Ferme les yeux quelques instants avant d'se concentrer sur sa tâche, préparer les premières commandes de la journée. Et ce sont les roses mélangées à d'autres fleurs qui viennent se heurter avec délicatesse entre ses doigts experts, les délicates senteurs qui dansent devant ses narines.

Tant concentré qu'il n'entend pas la porte qui s'ouvre, n'fait pas attention à la petite cloche qui tinte pour signifier que quelqu'un arrive. Il continue de préparer ses bouquets, ne relève pas la tête pour regarder l'heure. Il coince négligemment sa langue entre ses dents pour intensifier sa concentration. Et finalement sent cette main contre son bras, cette pression qui le pousse à se retourner vers la personne qui le trouble dans son travail. Puis ce sont des lèvres contre les siennes, une drôle de sensation qui se déverse dans l’entièreté de son corps, un sentiment de bien-être, de béatitude. Pas seulement parce qu'une fille est en train de l'embrasser mais parce que la fille est en train de l'embrasser celle de ses rêves, de ses pensées. Pas besoin de promener son regard sur sa chevelure de feu, la simple pression de ses lèvres contre les siennes éveille des souvenirs dans son esprit. Moment attendu depuis longtemps et pourtant aucune réaction, cerveau figé. Une scène pourtant pensée depuis des années, l'idée de mettre ses mains sur ses hanches pour la plaquer encore un peu pus contre lui et pourtant pantin immobile. Même ses lèvres n'esquissent aucun mouvement, recevant simplement celles de Jesse dans un tendre baiser auquel il ne répond pas. Finalement il se recule, Adriel, fronce légèrement les sourcils alors que ses joues prennent une teinte rouge. Qu'est-ce que tu - des mots qui se bloquent quelque part dans sa gorge, il se mord la lippe et détourne le regard quelques instants, incapable de savoir comment réagir. Il a envie de l'embrasser mais se retient parce qu'il est effrayé, a peur de tomber dans un piège sans savoir pourquoi elle s'amuserait à lui en tendre un. Mais Jesse n'est pas amoureuse de lui, ne le sera jamais, pensée ancrée et assimilée par son cerveau et dont il ne peut se résoudre à oublier. Il a mit tant de temps pour le comprendre, personne ne peut lui dire maintenant qu'il s'est trompé, parce que c'est trop tard, n'est-ce pas ? Pourquoi tu m'embrasses, qu'est-ce que tu as ? des questions qui s'emmêlent dans son cerveau.
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Lynn Mune
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Parker n’est clairement pas dans son état normal.
Peut-être que ça va le choquer. Probablement d’ailleurs. Il a jamais voulu s’expliquer sur les raisons de leur premier baiser, et Parker a commencé à penser que peut-être les raisons, c’était juste qu’il en avait envie. Et ça lui paraît étrange, parce que, après tout, il devrait pas en avoir envie. Parce qu’il devrait pas la voir comme ça. Comme elle devrait pas le voir comme ça. Comme elle devrait probablement pas être en train de l’embrasser, comme elle le fait. Et pourtant, elle est là. Elle l’embrasse. Et elle aime beaucoup ça. Elle pourra pas démentir son acte, après, lui dire que c’était une erreur, ou un accident. Parce qu’elle est venue spécialement pour ça. Elle est venue pour le convaincre de rester avec elle et qu’avec elle. Et il avait bien aimé l’embrasser la première fois, il était tout rouge. Comme quand elle passe ses mains dans ses cheveux. Il aime bien quand elle fait ça, et il est rouge, comme la dernière fois. Elle se dit que peut-être, en l’embrassant, comme ça, il acceptera d’arrêter de voir la fille facile de la dernière fois. En plus, c’est moche les cheveux verts, comme elle les avait. Parker est sûre qu’Adriel préfère les cheveux roux. Comme les siens. Puis, Parker, elle a envie de l’embrasser aussi. Elle a envie de connaître le goût de ses lèvres. C’est bizarre. Mais le cauchemar qu’elle a eu, cette nuit, elle s’est dit, en se réveillant, qu’elle aurait dû être à la place de cette fille. Qu’un truc clochait dans la scène d’Adriel et de cette fille. Un truc… Un truc bizarre quoi. Qui collait pas. Puis elle s’est imaginée à la place de la fille, et ça lui paraissait bien. Alors oui, peut-être qu’elle l’embrasse, parce que dans son esprit, ça sonne bien, Adriel et elle. Et finalement, Parker peut le constater, que dans la vraie vie aussi.
Elle pense plus à Kihyun, pensent plus à la fille. Pense plus à Jean, ni aux Boyle, pense juste à Adriel. Et au fait qu’elle aime beaucoup ses lèvres. Oui. Beaucoup. Elle aimait beaucoup celles de Kihyun, mais celles d’Adriel ont un truc en plus. Peut-être parce qu’avant elle, Kihyun avait sa femme. Alors, qu’aussi loin qu’elle se souvienne, avant Parker, y’avait personne pour Adriel. Pas depuis qu’elle le connaît en tout cas. Parker se savait pas possessive, se savait pas jalouse. Elle aime pas trop ça. Mais elle l’accepte. Parker a toujours eu une facilité déconcertante à accepter ce qu’elle était, et comment elle était. Beaucoup moins de facilité à accepter ce qu’elle ressentait. Ce qu’elle ressent. Mais depuis quelques jours, c’est un peu plus facile. Et si elle ne l’accepte pas encore totalement, ses gestes le font pour elle. Ses actions la font faire des choses qui la forcent à accepter des sentiments qu’elle arrive toujours pas à nommer.
Parker n’est clairement pas dans son état normal.
Adriel la repousse pas, mais répond pas. Finit juste par reculer. Et Parker a juste envie de s’approcher, alors qu’il se recule, pour pas que leurs lèvres ne se séparent. Mais elle le fait pas. Elle le regarde rougir, elle le regarde détourner le regard et se mordre la lèvre qu’elle vient d’embrasser. Elle a entendu son début de question, mais elle a pas la réponse, alors elle reste silencieuse. Le regarde, juste. L’observe. Se pince les lèvres en elle, et a qu’une envie, c’est de l’embrasser de nouveau. Parker a l’impression étrange de ressentir tous ces trucs là, à la fois, et c’est déroutant. Mais agréable. Elle se sent vivante. Bien plus qu’elle ne s’est jamais sentie depuis qu’elle a débarqué sur Altéa. Et avant, même, d’ailleurs.
Il recommence à lui poser une question, mais il la termine cette fois ci. Et Parker réfléchit quelques secondes, fronce les sourcils. Réfléchit, vraiment fort, pour trouver une raison concrète et logique à son action. En trouve pas, alors elle s’approche juste un peu de lui, et sourit. D’un sourire très Parkerien, malgré son comportement qui l’est pas du tout. “Je peux t’embrasser encore ?” Elle libère une de ses mains pour la poser sur la joue d’Adriel. “T’as la peau douce.” Elle voulait pas forcément le dire tout haut. Mais c’est pas plus mal, finalement. “I like you a lot.” Elle l’a jamais caché, qu’elle l’aimait, Adriel. Jamais. Il a toujours été là pour elle, et elle veut pouvoir être toujours là pour lui. Elle veut que ça change pas, jamais. Elle veut qu’il reste là pour elle pour toujours. Parce qu’elle sait qu’elle sera là pour lui, pour toujours.
Parker n’est clairement pas dans son état normal.
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☽ ft. jesse boyle
Il aime pas qu'les choses se déroulent pas comme prévues, qu'le contrôle échappe à ses mains. Pourtant il est pas l'genre de type assoiffé d'pouvoir mais il veut comprendre sa vie, il veut avoir au moins son mot à dire là d'ssus. Et tout de suite c'est compliqué. La sensation des lèvres de Parker reste sur les siennes.

C'est la seconde fois.

Qu'ils s'embrassent. Mais cette fois-ci ce n'est clairement pas de sa faute à lui, il n'est pas responsable de ce qu'il vient de se passer. C'est agréable il peut pas vraiment dire l'contraitre quoiqu'il en a pas forcément profité. Mais il se demande aussi si c'est pas simplement trop tard. Parce qu'il a commencé à s'faire une raison, à se dire qu'elle oubliera jamais celui qu'elle aimait avant, qu'elle ne peut pas s'intéresser à lui. C'est trop tard parce que trop d'années sont passées, que depuis l'image du grand-frère protecteur s'est ancré en eux. Qu'y'a que dans les films où l'héroïne comprend qu'celui qu'elle a toujours aimé c'est son meilleur ami. C'est quelque chose qui s'passe pas dans la vraie vie, surtout pas la sienne. Alors lui il préfère mettre fin à ce baiser sans en profiter, sans y répondre. Parce que son comportement n'est pas normal. Que c'est pas du Jesse, ça.

Et il va clairement pas profiter de cet état anormal pour assouvir ses désirs. Il préfère froncer les sourcils, poser de multiples questions. Mais n'obtient pas vraiment de réponse, au contraire elle revient plutôt à la charge. Non. Elle ne peut pas l'embrasser.

Et ça l'tue presque de devoir refuser alors qu'il est amoureux d'elle. Mais il n'est pas idiot, il sait qu'il risque de souffrir encore plus si elle n'est pas sincère. Et même si il l'aime, sa jolie rousse, il sait aussi qu'il a beaucoup trop souffert de sa faute. Et qu'il est temps de cesser la souffrance. Qu'il ne doit pas insister, qu'il doit simplement la laisser partir, s'éloigner pour reprendre simplement son rôle de grand frère. La laisser en aimer un autre, la laisser se reconstruire avec un autre. Et puis quoi ? C'est peut-être la jalousie, peut-être qu'elle est encore bloquée sur Jillian, qu'elle a peur qu'il l'abandonne. Parce qu'il s'est bien gardé d'dire que Jillian n'est qu'une amie - et parfois son bourreau. Arrête ça, Jesse. il attrape son poignet pour retirer sa main qui traîne contre sa joue. Il avale sa salive avec difficulté, un soupir déchire ses lèvres. Est-ce que t'as bu ? elle n'a pas l'air de tituber mais elle est quand même étrange. D'habitude elle lui aurait collé un bisou sur la joue, jamais sur ses lèvres. C'est quoi ton problème ? voix un peu plus dure, un peu plus sévère. Parce que mlgré tout son comportement l'inquiète.



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