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 kashmir (nao)

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Nao Ilang
Nao Ilang
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MessageSujet: kashmir (nao)   kashmir (nao) EmptyLun 25 Déc - 21:04


nashoba “nao” ilangfc : park jimin ; ©️️ neo venus; UFO's ; unique
78%freespirited
84%agressif
69%fêtard
81%cynique
50%insouciant
77%emmerdeur
48%aventurier
91%provocateur
   
Nom complet nashoba, graphie agressive signifiant loup en choctaw et s'adoucissant au contact d'ilang qui trouve racine dans la fleur populaire d'altea ; nom de famille hérité de sa mère de par le système matriarcal régissant dans sa famille. Surnoms nao, pour suivre la tradition familiale de raccourcir les prénoms (ses sœurs et frère sont surnommés nio, nuo et neo), qu'il utilise généralement plus que son prénom usuel. nash, c'était son diminutif préféré avant qu’on ne le transforme en dépotoir à souvenirs irritants. crush, son nickname dans la street, qu'il utilise au reservoir dogs même si son identité n'est pas complètement secrète – c'est inscrit sur ses plaques d'immatriculation : CRSH. (et puis, parfois il se présente en tant que kashmir; nom de scène né dans l’industrie du porno). Naissance 02.02.95 à north oriel, quand sa famille vivait encore dans les bas-fonds et qu’il s’mangeait des tartes à chaque fois qu’il jetait les poupées de sa sœur par la fenêtre ou les cahiers de son frère ; môme tellement annoying et turbulent quand sa mifa était pauvre et qui est devenu encore pire quand les sous ont commencé à rentrer dans leurs comptes bancaires. imprévisible aquarius qui respecte peu d’choses, encore moins soi-même. 22 ans de conneries et de fun, jamais rien de sérieux. Héritage culturel melting-pot électrique, ses ancêtres ont des origines tellement variées qu’il ne sait pas lui-même ce qu’il est concrètement. côté paternel, les baek auraient, supposément, des racines coréennes ; sa mère, nirvelli ilang, proviendrait d’une tribu amérindienne. mais tout est tellement dissipé et distillé dans les mélanges que rien n’est sûr. Statut vagabond du cœur, ses doigts glissent sur les appli de rencontres et font défiler les têtes qui ne l'intéressent pas ; pratique pour trouver des coups rapides et sans prise de têtes, insuffisant pour trouver une étreinte qui donne envie de rester les lendemains. malgré son attachement rapide et son côté passionné, nao a du fake love à donner – il les aime la nuit et les quitte au lever du soleil. Orientation unicorn mais pas fabulous. avec des goûts variés en mecs ; généralement, il tend à aller vers les plus vieux, ceux qui ont leurs propres baraques parce que même s’il habite seul, Nao ne supporte pas d’amener un coup d’un soir chez lui. Finances $$$$$$ ; son statut de nouveau riche lui apporte beaucoup de privilèges et d’opportunités sociales mais la réalité est tout autre : Nao vit au-dessus de ses moyens, dépense sans compter et plus qu’il ne gagne. ses ressources fluctuent beaucoup trop pour qu’il ait une tranquillité d’esprit, tellement il a des dettes ; un jour, il est certain que ça va lui retomber dessus. mais right now ? il en profite tant que ça dure, pas du tout préoccupé par l’avenir.

Univers altea. Occupations éternel branleur de la fac, il campe sur le banc des redoublants pour la deuxième fois déjà : il entame sa 3ème année (redoublée) en histoire des arts à Paracelse. street racer au reservoir dogs pour l'adrénaline et surtout les billets faciles, il est notamment classé 5ème (le ranking change pratiquement toutes les deux semaines, il psychote et a peur de perdre son rang – plus on descend dans le classement et moins on gagne du biff). avant le street racing, il était tombé dans l’industrie du porno à cause des dettes ; il avait 17 ans et avait trafiqué ses papiers en prétendant être majeur. avec son pull en cachemire le jour de l’audition, il a été affublé du nom de scène kashmir ; pornstar essentiellement dans le porno gay mais il a déjà eu de des shoots hétéros. il a arrêté le porno y’a un an mais reprend occasionnellement quand il est en rad de tunes. Particularités de son héritage altéan, Nao manipule l’air et a le statut de norms ; il utilise cette capacité pour bidouiller ses bolides et leur ajouter plus de puissance (rien de bien grandiose tho, c’est essentiellement la couleur de la fumée sortant du pot d’échappement qui change (okay – il augmente juste un peu la vitesse, on va pas l’lapider pour ça)). dû à l’incendie qu’il a vécu durant son enfance, dans la maison familiale (avec tous ses frères et sœurs), il a un traitement médicamenteux lourd à suivre à cause des séquelles psychologiques que ça lui a laissé (il a été épargné physiquement). Lien(s) cosmique(s) none. pas de jumeau cosmique, pas de cluster, pas de soulmate – c’est pas comme s’il ratait quelque chose. rire sardonique et roulement des yeux quand on lui parle d’un lien hors du commun ; on le traite de cynique quand il répond ne pas y croire et surtout ne pas s’y intéresser. mais deep down, il revit souvent le jour fatidique durant sa neuvième année, quand il a fait le choix de déchirer le fil rouge qui le liait à son soulmate. choix stupide qui l’a laissé profondément inutile et fade ; whatever, Kassian mérite mieux qu’un crétin adepte d’auto-sabotage. Keywords social withdrawal, thunder and lightning, reckless driving, sweater paws, self-sabotage, sassy bitch, denial, sarcastic smile, stubbornness, will be mean as hell or as sweet as sugar, shoplifting, headphones, always faking happiness, sink your teeth into my skin, pornstar, drug and alcohol abuse, marking kiss, lacks the ability to trust others, self-blame, lone wolf, may be secretive and possessive, loves 'em and leaves 'em, risky sex, binge eating, home is not so important, old and b/w movies.

we are all astronauts 001. it sounded like a dream; it tasted like damnation › désabusé, sans aucune passion, Nao vagabonde à droite et à gauche avec un faux enthousiasme. à l’entendre, rien ne l’intéresse à part le fun qu’il peut en tirer un peu partout ; c’est pas grave, really, il n’compte pas laisser une marque sur le monde ou de vivre assez longtemps pour savoir ce qu’il deviendra dans vingt ans. y’a juste une chose qui pourrait contredire cette idée, c’est sa passion pour le cinéma. même après avoir rangé sa caméra, délaissé ses grands rêves d’enfant de devenir filmmaker, il ne peut s’empêcher de voir le monde comme si c’était un film : son sens artistique décèle des détails partout, dans la vie de tous les jours, des choses qu’il aurait voulu filmer, des moments importants, d’autres moins significatifs mais tout aussi percutants, des visages qu’il aurait voulu cristalliser sur les pellicules pour en tirer une marque éternelle. mais ça fait presque dix ans qu’il n’a plus touché à sa caméra – parce que sa passion, justement, s’est teintée de noir le jour où l’un de ses films a brisé sa famille entière. avoir un pied dans l’industrie pornographique l’a énormément dégoûté de la réalisation – c’est du passé, il n’y touchera plus.

002. silk › cortège d’vices qui lui raclent l’os, mettent bout à bout les licornes de sa vie à l’acide, ternissent les couleurs du feu au bord du cendrier, amorcent de nouveaux repères au fond de son verre. l'alcool. ça noie. la drogue, douce, dure, molle, colorée, tripante, flippante, séchante, tuante. ses hangovers se terminent généralement à plusieurs sur un lit, marques violacées sur son corps moite. mais pas tout à fait de craving dans son cas ; juste de l’inconscience et un besoin de crever les limites pour aller le plus loin possible. et il est prêt à tout accepter pour le bien du fun ; shitfaced pratiquement tous les soirs, Nao traîne sa carcasse jusqu’à son appartement et s’écroule parfois dans le hall, sans atteindre son lit. laisse le réveil sonner pendant des heures, rate les cours de la matinée puis émerge finalement après 14h mais se traîne avec beaucoup de difficultés pour sa dernière heure de la journée. généralement, il accompagne ses réveils avec un joint de skam et en fume quelques-uns dans la journée pour repousser le sommeil. n’est pourtant pas dépendant de la skam, autant fumée que inhalée ; y’a des jours, il arrive à s’en passer. ça lui arrive de vagabonder des semaines sans alcool et psychotropes dans le système parce que ses préoccupations sont ailleurs et il parvient à ne pas ressentir de besoin. en revanche, la clope, c’est quelque chose dont il n’peut pas se passer. chain smoker invétéré, il n’fume que des roulées, en bon anti cigarettes industrielles. il a toujours au moins deux sachets de tabac sur lui, tout comme la skam qu’il n’a aucune honte à exhiber partout où il va, provocation poussée à son paroxysme, presqu’un besoin maladif de se faire attraper. jusqu’à maintenant, il a eu un cul d’enfer pour s’en sortir (enfin presque), jamais contrôlé (merci à sa baby face et sa dégaine de premier de la classe) mais il s'est déjà fait fouiller et a atterri au commissariat – il est conscient que ça va lui retomber sur la gueule un jour mais ne fait rien pour changer.

003. i guess if you spoke your mind, you’d be speechless › sa répartie incisive et salée, c’est de sa sœur Nio qu’il la tient ; bourreau verbal qui l’a pris sous son aile pour lui apprendre la vie mais somehow Nao a légèrement dévié en y allant un peu too much : smart mouth mais direct et un peu stupide, ses piques sont trop provocantes, trop insultantes, qu’il balance impulsivement sans réfléchir aux conséquences que ça pourrait lui créer (contrairement à lui, Nio est capable de lancer une punchline et d’imaginer trente-six mille issues alors que Nao s’en talque les aisselles des ennuis qu’il s’attire). il porte la rixe en étendard, la provocation en arme, ne tourne jamais le dos à une confrontation, n’en rate pas une pour s’attirer les foudres de quiconque. c’est de l’adrénaline qu’il vit quand on le course sur plusieurs allées pour le coincer dans une ruelle et lui foutre une dérouillée, quand il réussit à s’éclipser sans dégâts d’une situation à risques, quand il décide d’utiliser ses poings autrement que pour faire des doigts d’honneur. la provoc’ n’a pas de limites pour lui, autant pour les sujets problématiques qu’il ose cracher que les insultes qui touchent toujours juste.

004. a howlite eclipse › and yet, même en étant accessible et abordable, il manque cruellement de compassion et de considération. pas qu’il ait du mal à se mettre à la place des autres mais il a été élevé à la dure et ne trouve aucune utilité au fait d’enrober dans de jolis mots quelque chose qui montre le même résultat : il préfère y aller cash, sans prendre de pincettes et si dans le processus il froisse quelqu’un, ça le laisse indifférent. fdp spotted. agressif sans le vouloir, irritable au possible, il peut facilement s’en prendre à quelqu’un sans scrupules juste parce qu’il n’est pas d’humeur ; généralement, il percute et demande pardon quand il va trop loin. et à l’inverse, il est étrangement patient et concentré quand quelqu’un a besoin de lui confier quelque chose, attentif et à l’écoute, pas franchement opérationnel pour donner de bons conseils mais souvent sa présence et son soutien suffisent.  

005. a random scattered childhood memory › à l’origine, la mifa de son père a une grosse fortune mais quand l’héritier Tao Baek rencontre une Ilang, ça clash. gold digger, elle est beaucoup trop folâtre et indécente pour être associée aux Baek ; Tao était supposé reprendre le business pour faire vomir les coffres familiales mais son mariage précipité avec une étrangère a causé son évincement de la famille. le jeune couple s’installe à Oriel, dans un petit appartement du nord mais Nirvelli retombe vite de son piédestal de paillettes quand les absences de Tao passent de deux mois à six. les problèmes financiers l’accablent, les dettes s’entassent, sa bipolarité empire. c’est durant une nouvelle absence de son mari qu’elle retrouve réconfort auprès d’un autre, découvre que cet homme est son âme-sœur – Rietveld et Ilang entretiennent une liaison qui aboutit sur une grossesse. à la naissance des jumeaux, Rietveld en garde un et Nirvelli le deuxième et ils se séparent pour retourner chacun à sa vie de famille. Tao ne se doute de rien, élève Nevio comme s’il était de lui. l’année suivante, Nizhoni vient au monde et trois ans plus tard, Nashoba. les enfants s’entassent à trois sur un seul lit, coups de pieds pénibles et couettes qui volent rythment leurs nuits. les journées sont tranquilles, école, devoirs, un peu de télé et c’est l’heure de dormir. parfois, Nirvelli emmène même Nashoba faire des auditions pour bébés – il a notamment tourné dans quelques pubs de couches ou de biberons. trop petit pour vraiment protester ou pour comprendre qu’elle l’exploite pour du fric qu’elle dépense sur elle. maman a un problème avec l’argent. ce que les mômes captent pas c’est la pâleur de Nirvelli à chaque fois que quelqu’un mentionne l’un de ses films – ils savent pas eux, que maman a tourné dans un film pour adultes pour du money facile et qu’elle flippe sa race qu’on le découvre. ou que ça se répercute sur ses gosses. ça amorce un déménagement dans la précipitation et ils s’installent dans un studio de la capitale grâce aux contacts de Tao ; la maison de Nuo, leur cousine, n'est pas trop loin et les gosses sont pratiquement tout le temps ensemble. elle est encore toute jeune et mignonne, leur donne à chacun un surnom parce que leurs prénoms sont beaucoup trop compliqués : Neo, Nio et Nao. Tao finit par gagner des sous aussi, à monter en grade à l’hôpital, petit à petit. Nirvelli cesse d’emmener Nao passer des auditions pour enfants quand il refuse un jour, plus intéressé par la caméra que d’être filmé. c'est Neo qui l'engrène dans la réalisation, même si Neo préfère les photos ; avec lui, Nao parle de films et l'aîné lui apprend à faire des montages (pas très beaux et sur de vieux logiciels mais c'est déjà un début). Neo lui offre même sa toute première caméra. ça fascine le gosse, tout ce qu’il arrive à filmer : les crises de Nio quand elle tente de dompter ses cheveux, le stoïcisme de son frère, les grimaces de Nuo. des documentaires sur les fourmis, le papier peint pas très beau de sa chambre, les sauts de Ballon, son lapin ; tout passe sur les pellicules, qu’il bidouille, édite de ses mains d’enfant et constitue une histoire. c’est raw et pas très travaillé et très enfantin mais Nao s’en fiche parce qu’il a enfin trouvé quelque chose qui comble cette impression de vide. puis 2004 arrive et il enregistre quelque chose qu’il n’aurait pas dû, une conversation de sa mère alors qu’elle l’avait traîné dans un parc. au retour à la maison, il lance le petit enregistrement sur la télé et par la même occasion la discussion téléphonique de sa mère. et c’est le silence accablant dans la maison. s’ensuit alors une crise et des disputes et des cris et tout ça à cause de son film. quelques semaines plus tard, il apprend que maman et papa se séparent et Neo a un frère jumeau.

sa mifa, c’est un sujet sensible. y’a eu deux divorces, un remariage et un incendie – comme si quelqu’un jouait aux sims avec leurs vies, how fun is that. de toute façon, il n’est pas spécialement attaché à eux. petit, Nao avait chialé parce que Nio lui avait parlé de la notion de la mort et qu’il n’y était pas préparé, ne voulant pas qu’un jour l’un de ses proches décède. aujourd’hui, il s’en tape. l’adultère que sa mère a commise, l’arrivée de deux autres frères dans sa vie puis le remariage de son père – ça l’a dégoûté du mot famille.

006. torn to pieces › il n’sait pas pourquoi c’est apparu un jour, ce fil rouge à son poignet gauche. il a neuf ans et à la maison c’est soit trop silencieux, soit trop bruyant ; lui, dans sa tête, il crie. ferme sa gueule quand on lui demande si ça va, refuse de dire hurler ce qui le ronge, fait comme si le divorce de ses parents ne l’affectait pas. s’enferme dans sa chambre, avec son lapin qu’il continue de filmer pour ses sauts et sa façon de mastiquer sa laitue dans l’espoir que la beauté du lapin efface la laideur de la situation familiale. mais il n’y arrive pas. il n’y arrive pas, il s’isole dans ses bouquins et ses cassettes et ses disques et ses vieux films. puis quand le fil rouge apparaît et il ne sait pas trop comment le prendre ; il en a entendu parler, bien sûr. mais l’idée même que quelqu’un d’autre soit lié à lui est risible ; why me, why me, why me. tout ce qu’il a fait, de ses neuf ans, c’est de bousiller sa famille alors pourquoi ça apparaît soudainement maintenant ? probablement parce qu’il se sent seul. seul dans une maison trop peuplée. seul. mais il n’arrive pas à l’accepter. c’est censé être réconfortant mais ça lui cause un coup au moral et il ne sait pas quoi faire à part de déchirer à mains nues ce fil rouge. le déchirement est viscéral : physiquement et mentalement, il le vit jusque dans tous ses membres, tant c’est douloureux de choisir d’y renoncer. ça dure quelques semaines puis ça devient supportable et il retourne à sa vie comme s’il ne s’était rien passé, comme s’il n’avait pas renoncé à son soulmate.

007. iridescent › l’ironie a voulu que son père rencontre la femme de Rietveld et qu’il s’mette en couple avec. comme si c’était déjà pas assez douloureux que les deux familles soient brisées, les voilà à présent heureux en ménage et avec une belle fortune ; c’est pourtant Nirvelli qui a la garde des gosses (elle habite dans la maison de Nuo depuis son divorce). l’ironie a également voulu qu’ils prennent pour quelques jours Aedhan, le jumeau de Neven, pour que la fratrie soit complète mais ça a viré au cauchemar : l’incendie qu’Aedhan a créé a laissé des séquelles mentales (mais si Nao n’avait pas tourné ce film il ne se serait rien passé. rien). des cauchemars qui le font fuir son lit et se réfugier sur le toit, clope entre ses doigts mais sans en tirer une taffe ; juste regarder la tige s’embraser comme la maison de ses souvenirs. des moments où la seule façon d’atteindre une tranquillité d’esprit est de faire quelque chose, de tenter tout et n’importe quoi, une aventure en plein milieu de la nuit, une nouvelle drogue tendance, un nouveau plan foireux avec des mecs – whatever, pourvu qu’il parvienne à déconnecter son cerveau. c’est ce qui l’enlise dans les emmerdes, généralement, il fait de ses inspections des expériences ratées et éphémères mais ayant toujours une seule issue : sa chute.

008. money is the anthem of success › papa a quand même des millions et Nao a probablement hérité du problème d’argent de sa mère. shopaholic, il a tellement dépensé sous le nez de son paternel qu’il s’est retrouvé avec des dettes à 17 piges : ça l’a mené à passer une audition sous une fausse ID (son âge était trafiqué) pour du porno. il s’était dit que c’était “juste une fois” mais l’attrait du gain facile, pour la seule chose où il est doué – mettre son cul en vente – c’était difficile de tourner le dos, faire comme s’il n’y trouvait pas un soulagement (éphémère) d’être désiré. son problème avec le fric, justement, s’est aggravé avec les années, depuis qu’il s’est pris son propre appartement qui coûte un bras tous les mois rien que pour l’entretien. ses dépenses sont bien pire, il dilapide à droite et à gauche, de gros billets juste pour un taxi, des milliers juste pour des vêtements de marques, des accessoires inutiles mais qui lui ont semblé indispensables sur le moment… il se retrouve avec des problèmes financiers parce qu’il vit au-dessus de ses moyens. y’a trois ans, il s’est acheté une voiture de sport sur un coup de tête (une corvette bleue nommée blue moon) et du bouche à oreille il a entendu parler des courses de voitures et du gain bien plus important que le porno. au début, c’était par curiosité : money facile, engin puissant, it’s not rocket science quand on manie bien sa bagnole. il a attendu avant de se lancer, s’est entraîné avec des potes, perfectionné sa conduite, en diminuant les tournages ; c’est seulement l’année dernière que crush a fait son apparition. il continue toujours le street racing et fait des films occasionnellement quand ses dettes l’étranglent. deep down, il n’est pas aussi dépendant de l’argent qu’il laisse croire (y’a la rumeur comme quoi il pourrait vendre sa famille pour des billets et il ne l’a jamais niée), il est juste incapable de se mettre un frein parce qu’il ne se voit pas avoir un avenir. alors il ose tout, il joue tout, même avec sa vie.

009. the thrill of it all › le rush d’adrénaline est son addiction. adepte de vol à l’étalage alors qu’il a plusieurs black cards ; c’est un feeling intense qui monte quand il réussit à s’en échapper indemne, sans se faire prendre. sa deuxième voiture, il l’a volée. il a toujours les pieds pendus dans l’vide et une tendance à se pencher un peu trop sur les bords de son toit, sachant pertinemment qu’en glissant légèrement en avant il pourrait se crasher au sol. ses aventures nocturnes sont toujours suivies d’une série de péripéties dangereuses juste pour un peu de sensations fortes. les courses de voitures dont il raffole et lui permettent de tenir la tête hors de l’eau lui apportent un rush d’adrénaline qui lui font prendre des risques inconsidérés – c’est avec sa vie qu’il joue, juste pour une somme d’argent et la première place. street racer depuis un an, il se fait appeler crush et campe au numéro 5 sur le classement des racers qui raflent les meilleures places et du bon biff.

010. en vrac › c'est maladif chez lui, quand il est stressé, sous pression, inquiet pour quelque chose, il fait le ménage pour s'en libérer, quitte à nettoyer plusieurs fois la même pièce au point qu'elle brille littéralement (on pourrait même manger sur le sol de son appartement tellement c'est propre). effet libérateur sur le moment mais une fois qu’c’est terminé, le stress revient. quand il est chez les autres pourtant, ça ne le gêne pas quand c'est mal-rangé ou même plutôt insalubre, il n'est pas mysophobe au point de psychoter pour n'importe quelle crasse. il a un petit côté maniaque aussi, à vouloir tout ranger par couleurs et par taille. son appartement est complètement clean. bizarrement, sa chambre est complètement sens dessus dessous, bordel dilapidé sur le sol et les meubles ; à l’image de ce qui se passe dans sa tête. imperturbable en surface, fucked up à l’intérieur. •• habitude de faire l’ermite pour recharger ses batteries. ça peut durer quelques semaines ou des mois. le temps de rassembler ses pensées, retrouver l’inspiration, mettre de l’ordre dans sa tête. free space : besoin de solitude pour se retrouver. le problème c’est qu’il néglige involontairement son entourage mais c’est juste qu’il est capable de s’en sortir tout seul et ne trouve pas ça nécessaire de prévenir qu’il va disparaître pour x temps ou de donner régulièrement de ses nouvelles. •• spontané, un peu trop parfois, c'est le genre de dude capable d'avoir une idée wtf à 4h du mat et d'entraîner quelqu'un avec lui ; ça reste souvent fun mais parfois dangereux parce que Nao n'a aucune conscience du danger. il est aussi adepte des défis dangereux. •• makeup ; habitué à se faire maquiller par Xia et Boa, durant leur enfance lorsqu’il fuguait de chez lui (trop oppressant) pour se réfugier chez les Wang (son exutoire). elles le couvraient d’accessoires et de teintes diverses pour qu’il oublie sa mauvaise humeur sur le palier d'porte. il n’a plus besoin d’aide à présent mais ne se maquille quand vraiment nécessaire (glitter enthusiast spotted). •• son style vestimentaire est indéchiffrable : il donne l’impression d’arborer une nouvelle identité tous les jours, tant les changements d’un jour à l’autre sont drastiques. on l’a déjà vu venir en cours en onesie de chiot ou de dinosaure, en sarouel de bobo, en costume chic Versace, en streetwear, en jean délavé et troué de style grunge et des bijoux argentés, en décontract’, en gamer avec ses tshirts à l'effigie de ses jeux favoris, en chemise rentrée dans l’pantalon et lunettes de vue sur le pif, en survêt crado (quand il sort d’un tournage)… imprévisible et limite dur à suivre tant il change de tête rapidement et surtout très souvent ; ça lui donne juste l’impression de couper la constance et de se laisser aller à la mouvance – c’est juste qu’à force de frôler l’excentrisme, il n’sait même plus ce qu’il est vraiment, ce qu’il cache, ce qu’il fuit. •• pas spécialement bon pour donner des conseils, ni franchement patient pour écouter des histoires hyper longues (il a tendance à gueuler qu’il faut aller à l’essentiel, bordel) avec des dEtAILs hallucinants, alors qu’on pourrait les boucler en une phrase. attention sélective : sa mifa, ses potes et son crush il est capable d’écouter attentivement jusqu’au bout, sans rouler des yeux. •• cycle de sommeil décalé, il fait des insomnies. il n’a jamais vraiment une nuit de sommeil complète. ••



ça vieeent
ça aussiiiii
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Nao Ilang
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MessageSujet: Re: kashmir (nao)   kashmir (nao) EmptyLun 25 Déc - 21:04

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Nao Ilang
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MessageSujet: Re: kashmir (nao)   kashmir (nao) EmptyLun 25 Déc - 21:04

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à vous help love
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Even Stilinski
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MessageSujet: Re: kashmir (nao)   kashmir (nao) EmptyLun 25 Déc - 21:06

à moi jule
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MessageSujet: Re: kashmir (nao)   kashmir (nao) EmptyMer 27 Déc - 23:30

A MOI
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Lynn Mune
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MessageSujet: Re: kashmir (nao)   kashmir (nao) EmptySam 30 Déc - 1:09

jesse, c'est un bonbon qui fait fondre les cœurs. ou alors le genre de bonbon qui énerve tellement qu'on a envie d'le secouer.
mais.
:oopsie:
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MessageSujet: Re: kashmir (nao)   kashmir (nao) EmptyJeu 4 Jan - 12:31

pourquoi j'ai pas encore posé mon postérieur ici moustache
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MessageSujet: Re: kashmir (nao)   kashmir (nao) EmptyLun 5 Fév - 10:44

langue langue langue langue
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