|
5 résultats trouvés pour bigmouth | Auteur | Message |
---|
Sujet: bonjour, y'all. (paul) | Invité
Réponses: 16 Vues: 1226
| Rechercher dans: RPS TERMINÉS OU ABANDONNÉS Sujet: bonjour, y'all. (paul) Ven 31 Aoû - 23:00 | | Sujet: fern | Invité
Réponses: 3 Vues: 1643
| Rechercher dans: FICHES Sujet: fern Sam 31 Mar - 20:41 | mallory maxens rossfc : baptiste radufe ; ️️ skate vibe ; Rockets ; unique90%GRANDE GUEULE 20%CONSCIENCIEUX 50%ATTENTIF 70%ESPIÈGLE 70%PROTECTEUR 98%RAPACE 85%LOYAL 80%IMPULSIF Nom complet Max, depuis toujours. Max qui est devenu avec le temps un prénom qui lui colle à la peau. Y'avait que le vieillard et sa voix d'outre tombe qui osait encore l'appeler Maxens, assez pour le faire grimacer, essayer pour le faire pester. Et Ross, aussi. ross, venant du père, de la mère ou alors des poubelle. Au final, c'est du pareil au même. Surnoms Malgré la majorité, c'est le kid qui lui a longtemps été son appellation chez les Sharks. Ça et le têtard. C'est le sang coulant contre ses traits et le goût de fer sur sa langue, contre ses dents -dont une molaire en moins - qui lui valu le surnom de madmax. Si le surnom avait d'abord été dit à la blague, il est resté lorsque max est rentré dans le bar quelques années plus tard, tenant son bras droit de la main gauche, une coupure nette ayant sectionnée le membre, aucune grimace sur sa gueule, le teint aussi pale que le bleu de ses prunelles.Naissance Mars 1986. la date ? Aucune idée. Il la change à chaque année. Le vieux ne savait pas, et max ne cherche pas à savoir. Sous sa chair, contre sa chair, somnole un fantôme de son passé ; horloge endormie depuis toujours, elle renferme ses origines venant de sigan, venant du père ou de la mère. Max n'en sait rien, ni l'origine, ni la signification, sauf une chose ; qu'il ne doit pas montrer la chose aux autres. Et même si le vieux est mort, Max respecte son voeu. Héritage culturel On dit que le ciel prisonnier de ses iris lui vient de son père, et que la blondeur de sa crinière, certainement de la mère. Max ne prête pas attention aux histoires du vieux fou ; il laisse les morts en enfer et ne plonge pas son regard dans la poussière. Alors la crinière est noire, depuis quelques années. Le blond disparait dans l'abysse qu'il y colle et il oublie le passé. Max dévisage d'un oeil torne ceux qui vouent une romantique morbide à ce qui existait autrefois. Il ose dire qu'il ne s'éprend pas des fantômes du passé. Pourtant, la bête folle garde un penchant certain pour les cassettes et les vinyles du vieux, et ne les a toujours pas vendu. Les souvenirs sont bercés par des mélodies qui ont irrités sa jeunesse et aujourd'hui, un poids se pose sur son torse à l'entente de certaines notes. Dans son vieux sac, Max y enfouit souvent un lecteur cassette qui kidnappe quelques notes des chansons, ternit les voix d'autrefois. Et puis, tout à côté, le carnet reste encore. Le carnet reste, malgré les pages massacrés par la pluie, malgré le temps qui a fait son chemin, et malgré le langage étrange qu'il dissimule. Certains mots lui restent familiers, pour les avoir entendu sortant de la bouche du vieux débris. Max, saleté d'hypocrite. Statut La solitude est une soie contre sa peau qui lui est douce et qu'il ne quitte pas. Sa peau est brûlante au point d'en brûler d'autres et son coeur est sécheresse d'amour. Orientation Le monde est gris et Max nage dans l'ennui. Il dévisage, sceptique, sans réellement comprendre ce qui se déroule autour de lui. Il n'a jamais cherché à comprendre. Le regard pluvieux s'attarde sur les romances qui se languissent autour de lui et étudie les rougeurs des joues, les fous battements des coeurs. Il essaie de voir le rouge ou le rose, mais seul le gris reste. La moiteur de ses mains caresse certes parfois les chairs mais on peut croire y voir une lourde présence de pudeur pour n'être en vérité qu'un manque d’intérêt. Max n'aime pas les coeurs, Max n'aime pas les corps. Il a cherché, un temps, à vouloir le faire. Il a abandonné, depuis. La bête ne voit pas la chose comme un problème, ni même comme un avantage, c'est un fait, tout simplement. Peut-être qu'un jour les choses changeront. Il ne peut savoir, et ne cherche pas à le faire. À ce jour, Max a aimé ni âme, ni coeur, ni corps. Finances $$ Les poches ne sont pas vides, ni pleines. Certains billets y planent et des pièces tombent au sol. Max ne les compte jamais. Imprudence ou arrogance, la chose revient au même. Il ne porte pas attention à la richesse. Sa liberté est l'unique richesse qui compte, à ses yeux. L'orphelin vit sans prendre conscience de demain, en oubliant hier et en vivant aujourd'hui. Et ses poches sont vides lorsqu'il y enfouit ses doigts, alors il trouve un moyen pour les remplir sur le vif, pour continuer sa journée. La chose lui attire des ennuis, mais qu'importe ; le lendemain, il les oublie.
Univers Nephede et ses abysses ; le reflet de ses iris. Max s'y engouffre depuis que ses maigres jambes peuvent le soutenir et se perd dans la crasse pour y faire son terrain de jeux. Les grimaces sont devenus sourires et les jeux dangereux, ses favoris. Dans les gênes, pourtant, un silence, un secret. C'est de Sigan que vient l'un de ses géniteurs, c'est à Sigan qu'il a passé les premiers mois de sa vie. Contre sa chair, gravée : un compteur d'heure qui ne l'est, à l'heure. Un fantôme qui le hante et Max vente. Le regard est attiré vers un ailleurs qu'il a découvert ; Altea et ses nombreux verts et bleus. Altea qui casse le gris de Nephede et qui brusque son ennui. Un carnet entre les doigts, des saletés sous les ongles, Max découvre ce monde depuis quelques mois, y revenant plus que souvent. Peut-être trop souvent pour sa propre sécurité. Occupation(s) Collecteur. Marchandeur. Chercheur de trésor. Voleur. Max porte de nombreux titres qui, au final, ne l'amène qu'à un but précis : au sein des Sharks, il s'occupe de ramener ce qu'il faut. Si un membre nécessite un objet en particulier, Max se charge de le trouver et de se le procurer. Si certains commerces au sein du groupe sont occupés par des gens précis, la chien fou s'occupe du reste. Il n'est pas rare,tout autant, qu'il se procure certaines étrangetés, pensant que ceux-ci pourraient plaire aux Sharks. Au travers des courses d'importance se mêlent certaines plus douces ; Max s'occupe des tendres sirènes qui dansent et hypnotisent les barbares. La tâche lui est tombée dessus par défaut ; certains cons ont déjà porté la même fonction, mais plusieurs ont fait des écarts. Le sans-envie a alors été désigné ; depuis quelques années, alors, il s'occupe des filles. Le chien fou s'occupe de répondre à leurs demandes, de les écouter, d'aller leur chercher des tampons et de sécher leurs larmes, lorsqu'elles ont envie de pleurer. Particularités C'est un volcan en éruption qui se terre sous l'épiderme de Max ; la peau est brûlante, toute entière. La nuit, le lit est vide de la chaleur des couvertures et de vêtements, ne porte que son corps en feu. Sauf là. Le bras droit. Ou plutôt, l'avant-bras droit. La grande gueule de Max lui a apporté certaines histoires du passé qu'il ne peut oublier, laissant cicatrices et parfois, un vide. C'est lié à la peau brûlante un bras sans vie, froid et métallique. Le regard du chien fou s'y attarde parfois, plus longtemps qu'il ne le voudrait. Il dévisage ; dévisage le métal et se souvient du bras qui s'y trouvait, avant, et de la marque, de la soulmark qui n'est plus là. Elle ne lui manque pas, pas réellement non, mais la curiosité reste là. Il observe l'absence du bras pour ne pas dévisager la présence sur l'autre. Le compteur à zéro. Les chiffres qui le narguent et les questions qui ne s'effacent pas. Max garde son regard détourné, alors. Contre ses flancs, la marque des Sharks, écrasant le palpitant. Lien(s) cosmique(s) Max possédait une soulmark. Elle n'est plus sur sa chair, maintenant. Le membre s'est vu sectionné de son corps, et la marque a disparu au travers du sang et de la douleur. Quelques années ont passé, depuis. Le souvenir de la marque est flou, et Max s'est fait à l'idée de son absence. Max ne cherche pas l'âme soeur. Max ne cherche pas l'amour. Si la marque n'est plus là, alors son âme soeur aussi n'est plus là. C'est ce qu'il croit, du moins. C'est ce qui lui plait le plus. Keywords{#}volcano{/#} {#}maddog{/#} {#}oldtech{/#} {#}rat{/#} {#}loveless{/#} {#}bigmouth{/#} {#}orphan{/#} {#}interspace{/#} {#}mist{/#} {#}gang{/#} {#}enigma{/#} Gali Leo Brunifc; ezra miller ; ️️️ little liars & saturn; UFO's ; double100%bonboule 89%bavard 70%excentrique 60%sournois 90%direct 50%pute 70%rusé 40%féroce Nom complet il a hurlé à s'en décrocher la gorge, aussitôt fourré dans les mains d'un gamin au corps noeux. maman était pas forcément intelligente, mais assez belle ; mais la stupidité, c'est la pire des laideurs. les chiards avant gali leo ont été nombreux. elle leur a tous donné le nom d'un homme important, intelligent, pour qu'ils aient quelque chose dans la tête, sauf qu'elle a jamais été doué en orthographie. c'est gali leo alors, et non galileo, le prénom du sixième chiard de la fratrie. famille de merde venant de la merde, ils traînent dans la crasse dès la naissance, et le nom de famille rappelle d'où il vient ; bruni. bruni, comme brun, comme la merde, comme la crasse. Surnoms le prénom est découpé en deux entités qu'il ne parvient pas réellement à assembler. gali est celui qu'il est, celui qui vit sur sigan. leo reste un souvenir d'autrefois, l'espoir de sa mère, et le hooker des rues d'altea, perdu dans un monde qu'il ne connaissait pas, et dont il a été captif un moment. leo est resté derrière lui, et si les souvenirs reviennent parfois, gali ferme les yeux et n'y pense pas. Naissance 30 septembre 1992, dans un appartement minable, dans une famille minable, pour une vie qui s’annonçait minable. Héritage culturel la beauté de la mère vient d'italie, certainement, comme le nom de famille. le père, quant à lui, reste inconnu. on peut deviner par ses traits qu'il aborde des origines asiatiques peut-être, mais gali n'en a rien à faire. le passé ne lui importe pas ; il ne s'y intéresse. le présent est plus important. Statut si le corps cherche les chairs, le coeur se s'éprend pas de battements envoûtants. Orientation les mains rugueuses, les corps solides. Finances $$$$$$. le timer est rempli de temps salement acquis, une part par le vol, l'autre par le sexe, les fantasmes et les secrets inavouables. gali se souvient, enfant, dévisager les heures de son timer. il se souvient la panique dans ses veines, les battements fous de son coeur, lorsqu'il est devenu majeur. il se souvient des zéros trop nombreux devant le un et non derrière, et de cette peur de la mort. il dévisage encore, maintenant. il dévisage son bras et même si les zéros sont derrière, même si le nombre est haut, il panique encore, parfois.
Univers sigan et ses artifices. ses mensonges qui essaient de sonner vrai. Occupation(s) Les mains contre la peau de sa jeunesse ont été nombreuses ; elles ont disparues, maintenant. Aujourd'hui, l'ancienne putain dévisage les hommes sales venir dans son commerce, l'Illusion, pour baver et se branler sur des hologrammes pornographiques sous les néons des cabinets privés, effleurant parfois les corps artificiels des androïdes lorsqu'ils peuvent se le permettre. Et si l'un fait un pas de travers, si un hologramme ou un androïde vient se plaindre, Gali bannit l'homme de l'Illusion et lui crache à la gueule. Particularités À son retour sur Sigan, Gali a longtemps envisagé l'épilation au laser avant de réaliser que les autres - les hommes, surtout - aimaient son corps imberbe. Il a finalement laissé tomber et aborder son poil sans gêne, l'apprécie tout particulièrement, et affiche fièrement son torse de baby daddy. Il n'a pour l'instant subit aucun chirurgie esthétique, bien qu'il apprécie particulièrement les soins du corps et s'occupe de sa peau religieusement plusieurs fois par semaine, armé de nombreux produits beaucoup trop dispendieux. Gali parait pourtant atrocement artificiel, autant par sa manière de se comporter que par ses traits et ses vêtements. Il joue un personnage qui colle à la belle Sigan, comme un grand nombre de gens. Il reste éternel brillant, comme un soleil ou une étoile, mais ce n'est qu'un artifice. La lumière éblouit, cache la crasse du Bruni. Lien(s) cosmique(s) a-t-il beau avoir voulu être débarrasser de tout liens obligatoires - sa famille lui suffit - gali ne peut échapper à la réalité. il possède un jumeau cosmique très certainement sur altea. il fait également parti d'un cluster (ashley,lupe, scar, joshua et sasha ) qu'il détestait tout d'abord, mais qu'il considère comme sa véritable famille, maintenant. des mélodies, comme des paroles, se perdant dans son esprit lui fait croire qu'il possède une soulmate mais gali ne peut réellement être certain de la chose. Keywords {#}bitch{/#} {#}moneywhore{/#} {#}kinky{/#} {#}diva{/#} {#}heels{/#} {#}sadboi{/#} {#}snake{/#} {#}toyboi{/#} {#}bigmouth{/#} {#}artificial{/#} {#}poorboi{/#} becan 'bebe' byrnefc ; paul craddock ; ️️ neo ; Comets ; unique65%bigmouth 60%incohérent 40%tooprecious 75%stone 60%insouciant 30%fragile 50%SOLIDE 40%fearless Nom complet c'est le père qui a choisit le becan en l'honneur des trente bécanes qu'il possède ; quelque chose de puissant pour un héritier qui devait l'être tout autant. byrne gronde comme le moteur d'une bête sur deux roues. Surnomsensemble simple des premières lettres de chaque nom ; B+B. insulte dissimulée d'abord par le père. ensuite par les brutes. bébé car il est faible. bébé car il est fillette. bébé car il n'est pas homme, jamais, qu'il fait pitié. bebe pour qu'il sache où est sa place et ce qu'on pense de lui. il s'est approprié le surnom malgré les mauvaises langues, peu insulté malgré les saletés derrière le nom, un fin sourire sur les lèvres, l'ennui dans les yeux. il est plus bebe que becan. Naissance une faillure depuis le 11 décembre 1998. un bambin fragile, maigre, pale et trop silencieux pour être normal. la mère l'a serré contre elle, le père n'était même pas là. Héritage culturel gueule d'angel venant des origines supposément suédoises de la mère et irlandaise du père. en vérité, les veines débordent de mélanges de toutes sortes dont il ne pourrait dire l'origine et dont il se fiche totalement. bordel dans les gênes qui lui donnent le faciès de l'idéal d'hilter. bordel dans les veines qui lui donnent la fragilité sur les traits. bebe est tristement désintéressé par tout ce qui constitue l'héritage familiale, même s'il s'excite brièvement sur toutes nouveautés qu'il découvre. les motos restent ce qui constituent le plus sa famille, et s'il y a été intéressé un certain moment, elles perdent de leur intérêt vu tout ce qui les accompagnent. Statut bebe aime un peu trop souvent et un peu trop follement. sa tête déborde d'histoires un peu bêtes et il s'attache furieusement. il se remet encore de sa dernière rupture, si la chose peut être appelé ainsi. Orientation il y a presque un an, bebe s'est rendu compte que sa copine zoe était en fait un mec ; les cheveux longs portant à confusion. il a continué de sortir avec lui sans se poser de questions, pas même sur son orientation. il n'a certainement pas de préférence. (pansexuel)Finances $$$$$$. le père a du fric et par défaut, bebe en a longtemps eu. sauf qu'il a délaissé l'entreprise familiale depuis un moment et qu'il doit trouver un moyen de compenser l'argent qu'il perd par la même occasion.
Univers altea et son vert, surtout celui qui se fume. Occupation(s) malgré la peau douce de ses mains et sa gueule d'ange, bebe bosse depuis ses treize ans au motor surgeons, garage appartenant aux grim bastards dont le propriétaire est (mal)heureusement, son père. mécanicien doué et silencieux, son talent est la seule chose n'ayant pas apportée de déception à son paternel. depuis quelques mois, bebe a diminué ses heures au garage comme à la maison, pourtant. il bosse à temps partiel au KFC sur l'aire de repos de la route 66, essaie de se trouver une indépendance, une vie propre. forcément, le père n'apprécie pas particulièrement. Particularités rabaissé par son père, moqué par les autres. la manipulation du vent, c'est de l'air, du vide, du rien, de la merde. becan six ans a montré ses talents à son père, fier, heureux, pour se prendre un ricanement et à peine un regard. car l'air, c'est du vide. du rien. tout le reste est mieux. par défaut, le gamin n'a pas cherché à développer ses capacités ou alors à les montrer, pas aux autres. lors du processus, il a lamentablement échoué, n'a pas cherché à réussir. norms de base pour la masse, bebe est en réalité asiders selon plusieurs de ses potes. il a du mal à les croire, après tout le vent, c'est du vide, du rien, lui sert surtout à ses tours avec la fumée de ses joints, mais s'ils le disent, il veut bien y croire. Lien(s) cosmique(s) le paternel lui raconte que sa mère a perdu les couleurs quand elle l'a rencontré. bebe suppose que la même chose lui arrivera. le père dit également qu'il tuera d'un baiser son âme soeur, mais ça, c'est certainement car il a encore la rage contre sa femme qui a fini par foutre le camp, préférant les couleurs à l'homme. en vérité, bebe possède une soulmark au milieu de son dos, entre ses deux omoplates. la marque, invisible à l'oeil nu, n’apparaît que sous une certaine lumière comme l'on peut parfois trouver dans les nightclubs. si quelqu'un l'a vu, personne ne lui a dit. on juge qu'il est au courant de son existence. il possède également une jumelle cosmique même s'il n'est pas au courant. Keywords {#}stone{/#} {#}pur{/#} {#}dreamer{/#} {#}brokenbird{/#} {#}pale{/#} {#}skate{/#} {#}tatoo{/#} {#}draw{/#} {#}bigmouth{/#} {#}slow{/#} {#}astral{/#} {#}beat{/#} {#}nightclub{/#} {#}fragile{/#} {#}prince{/#} {#}oil{/#} {#}moto{/#} {#}sunset{/#} {#}night{/#} {#}free{/#} mallory waelshfc : emily browning ; ️️ venus in furs & ABΔИDON ; UFO's ; unique56%CAPTIVANTE 89%ANXIEUSE 30%FORTE 65%MUETTE 70%OBSTINÉE 40%INTEARS 25%PAISIBLE 50%BROKEN Nom complet le prénom est mélodieux, porté par l'accent un peu lourd de son paternel. mallory est chantée doucement par la mère, implorée par une soeur qui quémande de l'attention, un peu de mouvement et surtout, tut par un frère qui est maintenant néant. waelsh, quant à lui, est porteur de trop d'histoires, waelsh qui les lie tous, dans la douleur et dans la famille, dans les désastres qui traversent son coeur et qu'elle tait. Surnoms un rire d'enfant alors qu'elle courait dans les couloirs froids de la station ; la voix de la mère qui marmonne un lory ! furieux pour qu'elle cesse de s'agiter. lory, doux et associé aux souvenirs qu'elle préfère oublier. elle serre des dents, maintenant, lorsqu'elle l'entend prononcé. elle entend sa voix à lui. c'est mal, maintenant, qu'ils disent le plus souvent, de toute manière, les gens. mal, car elle est mal, elle est maudite, peut-être. malheureuse, surtout. et puis, lorsqu'ils murmurent et qu'ils croient naïvement qu'elle n'entend pas, ils osent déformer le waelsh terriblement et la disent mal witch ; la folle, la sorcière, la malheureuse mal witch. Naissance 22 juin 1988 sur le lobster. mal est cancer. le cancer est mal. Héritage culturel la grand-mère waelsh a toujours parlé de manière étrange de la terre et de sa verdure, qu'importe si elle n'y a jamais mis les pieds. croyances passant au travers des arbres et des animaux, des esprits et des liens entre toute chose qui constitue le monde, elle a désiré passer ses croyances à mallory qui, de son jeune âge, était surtout éblouie par ses histoires. la femme a perdu la grande partie de son autonomie lorsque gavin était encore trop jeune, alors que tasya venait d'être adoptée et lorsqu'elle est morte, mallory a hérité de ses livres, sans pour autant les ouvrir. lorsque gavin est mort, elle a étrangement trouvé une boite contenant les choses de sa grand-mère en sa possession. depuis, la sorcière garde les livres parlant de la terre, de ses plantes et de ses animaux, ainsi que quelques pierres, bricoles en tout genre, et un jeu de tarot. de ses parents, elle garde un accent écossais un peu lourd mais chantant, et des histoires de folklore qu'elle adore tant qu'elle détestait, autrefois. Statut la triste sorcière vit en compagnie d'un homme et d'une femme, paul et sinned, et partage tout avec eux. même son coeur, sans le savoir. sans le vouloir. ils s'aiment à leur manière sans les mots et les gestes, avec quelques écarts, les yeux encore fermés, les palpitants ni fermés, ni ouverts. Orientation homme ou femme, le coeur porte des battements. (bisexuelle) Finances $$$$$$. elle vit principalement de ce que la terre lui offre, marchande aisément pour le reste.
Univers la belle et impitoyable terre. Occupation(s)peu avant le crash, mallory venait d'obtenir son diplôme comme thérapeute. la jeune femme a fait son possible, suite à l'événement, pour aider le plus de gens possible au point de s'épuiser pendant deux longues années. elle cesse toutes activités lorsque 2015 approche pour de raisons personnelles. depuis, mal se perd dans la forêt, les doigts curieux, le regard captivé par les plantes de toute sorte. elle s'est forgée une connaissance particulière pour la faune et flore de la terre brisée, créant remèdes - que certains disent sortilèges-, plantes hallucinogènes ainsi qu'alcool, qu'elle marchande à l'occasion pour ceux qui viennent demander. Ceux qui désirent supporter son silence un peu plus longtemps s'approchent à l'occasion pour quelques marques qu'elle tatoue, grave, sur leurs peaux au travers d'une étrange ambiance spirituelle.Particularités de lourdes cernes sous ses yeux, un tremblent dans ses doigts plus il y a de gens, un élan dans ses yeux lorsque les voix s'élèvent un peu trop fort. un silence presque total entre ses lèvres, la plupart du temps. des rougeurs permanentes contre ses mains qu'elle cache tout le temps. un millier de remords pour un mort.Lien(s) cosmique(s) ni âme soeur, ni jumeau, ni cluster et c'est tant mieux. elle a déjà perdu une part d'elle-même, ne peut envisager en perdre d'avantage. Keywords {#}witch{/#} {#}forest{/#} {#}anxiety{/#} {#}agoraphobia{/#} {#}plants{/#} {#}oldsoul{/#} {#}diy{/#} {#}sad{/#} {#}trees{/#} {#}soft{/#} {#}broken{/#} {#}mute{/#} {#}moon{/#} {#}oldworld{/#} {#}cabininthewood{/#} {#}crystal{/#} {#}tarot{/#} | Sujet: if he had wings, all he'd ever do was fly (bebe) | Invité
Réponses: 29 Vues: 1949
| Rechercher dans: FICHES Sujet: if he had wings, all he'd ever do was fly (bebe) Dim 11 Fév - 20:12 | | Sujet: and here was him, like a heart attack that never stopped. (gali) | Invité
Réponses: 17 Vues: 1352
| Rechercher dans: FICHES Sujet: and here was him, like a heart attack that never stopped. (gali) Ven 19 Jan - 23:17 | | Sujet: that was then this is now (madmax) | Invité
Réponses: 15 Vues: 1237
| Rechercher dans: FICHES Sujet: that was then this is now (madmax) Sam 16 Déc - 19:31 | FERN alors alors alors. je sais jamais quoi dire pour ce genre de truc. j'suis mel, j'ai 24 ans, j'me suis guérie des animes y'a quelques années mais j'ai replongé y'a un an et je suis fière, y'a des beautés dont on peut pas se passer. j'suis un peu obsédée mais ca va, je le vis bien. j'ai 80 livres qui attendent dans ma biblio et des jeux à côté de mon ps4 mais c'est la vie. j'ai passé 5 ans à faire pousser ma crinière pour au final les couper aux clavicules y'a quelques semaines maxens rossfc : dane dehaan ; ️️ skate vibe ; Rockets ; unique90%GRANDE GUEULE 20%CONSCIENCIEUX 50%ATTENTIF 70%ESPIÈGLE 70%PROTECTEUR 98%RAPACE 85%LOYAL 80%IMPULSIF Nom complet Max, depuis toujours. Max qui est devenu avec le temps un prénom qui lui colle à la peau. Y'avait que le vieillard et sa voix d'outre tombe qui osait encore l'appeler Maxens, assez pour le faire grimacer, essayer pour le faire pester. Et Ross, aussi. ross, venant du père, de la mère ou alors des poubelle. Au final, c'est du pareil au même. Surnoms Malgré la majorité, c'est le kid qui lui a longtemps été son appellation chez les Sharks. Ça et le têtard. C'est le sang coulant contre ses traits et le goût de fer sur sa langue, contre ses dents -dont une molaire en moins - qui lui valu le surnom de madmax. Si le surnom avait d'abord été dit à la blague, il est resté lorsque max est rentré dans le bar quelques années plus tard, tenant son bras droit de la main gauche, une coupure nette ayant sectionnée le membre, aucune grimace sur sa gueule, le teint aussi pale que le bleu de ses prunelles.Naissance Mars 1986. la date ? Aucune idée. Il la change à chaque année. Le vieux ne savait pas, et max ne cherche pas à savoir. Sous sa chair, contre sa chair, somnole un fantôme de son passé ; horloge endormie depuis toujours, elle renferme ses origines venant de sigan, venant du père ou de la mère. Max n'en sait rien, ni l'origine, ni la signification, sauf une chose ; qu'il ne doit pas montrer la chose aux autres. Et même si le vieux est mort, Max respecte son voeu. Héritage culturel On dit que le ciel prisonnier de ses iris lui vient de son père, et que la blondeur de sa crinière, certainement de la mère. Max ne prête pas attention aux histoires du vieux fou ; il laisse les morts en enfer et ne plonge pas son regard dans la poussière. Alors la crinière est noire, depuis quelques années. Le blond disparait dans l'abysse qu'il y colle et il oublie le passé. Max dévisage d'un oeil torne ceux qui vouent une romantique morbide à ce qui existait autrefois. Il ose dire qu'il ne s'éprend pas des fantômes du passé. Pourtant, la bête folle garde un penchant certain pour les cassettes et les vinyles du vieux, et ne les a toujours pas vendu. Les souvenirs sont bercés par des mélodies qui ont irrités sa jeunesse et aujourd'hui, un poids se pose sur son torse à l'entente de certaines notes. Dans son vieux sac, Max y enfouit souvent un lecteur cassette qui kidnappe quelques notes des chansons, ternit les voix d'autrefois. Et puis, tout à côté, le carnet reste encore. Le carnet reste, malgré les pages massacrés par la pluie, malgré le temps qui a fait son chemin, et malgré le langage étrange qu'il dissimule. Certains mots lui restent familiers, pour les avoir entendu sortant de la bouche du vieux débris. Max, saleté d'hypocrite. Statut La solitude est une soie contre sa peau qui lui est douce et qu'il ne quitte pas. Sa peau est brûlante au point d'en brûler d'autres et son coeur est sécheresse d'amour. Orientation Le monde est gris et Max nage dans l'ennui. Il dévisage, sceptique, sans réellement comprendre ce qui se déroule autour de lui. Il n'a jamais cherché à comprendre. Le regard pluvieux s'attarde sur les romances qui se languissent autour de lui et étudie les rougeurs des joues, les fous battements des coeurs. Il essaie de voir le rouge ou le rose, mais seul le gris reste. La moiteur de ses mains caresse certes parfois les chairs mais on peut croire y voir une lourde présence de pudeur pour n'être en vérité qu'un manque d’intérêt. Max n'aime pas les coeurs, Max n'aime pas les corps. Il a cherché, un temps, à vouloir le faire. Il a abandonné, depuis. La bête ne voit pas la chose comme un problème, ni même comme un avantage, c'est un fait, tout simplement. Peut-être qu'un jour les choses changeront. Il ne peut savoir, et ne cherche pas à le faire. À ce jour, Max a aimé ni âme, ni coeur, ni corps. Finances $$ Les poches ne sont pas vides, ni pleines. Certains billets y planent et des pièces tombent au sol. Max ne les compte jamais. Imprudence ou arrogance, la chose revient au même. Il ne porte pas attention à la richesse. Sa liberté est l'unique richesse qui compte, à ses yeux. L'orphelin vit sans prendre conscience de demain, en oubliant hier et en vivant aujourd'hui. Et ses poches sont vides lorsqu'il y enfouit ses doigts, alors il trouve un moyen pour les remplir sur le vif, pour continuer sa journée. La chose lui attire des ennuis, mais qu'importe ; le lendemain, il les oublie.
Univers Nephebe et ses abysses ; le reflet de ses iris. Max s'y engouffre depuis que ses maigres jambes peuvent le soutenir et se perd dans la crasse pour y faire son terrain de jeux. Les grimaces sont devenus sourires et les jeux dangereux, ses favoris. Dans les gênes, pourtant, un silence, un secret. C'est de Sigan que vient l'un de ses géniteurs, c'est à Sigan qu'il a passé les premiers mois de sa vie. Contre sa chair, gravée : un compteur d'heure qui ne l'est, à l'heure. Un fantôme qui le hante et Max vente. Le regard est attiré vers un ailleurs qu'il a découvert ; Altea et ses nombreux verts et bleus. Altea qui casse le gris de Nephebe et qui brusque son ennui. Un carnet entre les doigts, des saletés sous les ongles, Max découvre ce monde depuis quelques mois, y revenant plus que souvent. Peut-être trop souvent pour sa propre sécurité. Occupation(s) Collecteur. Marchandeur. Chercheur de trésor. Voleur. Max porte de nombreux titres qui, au final, ne l'amène qu'à un but précis : au sein des Sharks, il s'occupe de ramener ce qu'il faut. Si un membre nécessite un objet en particulier, Max se charge de le trouver et de se le procurer. Si certains commerces au sein du groupe sont occupés par des gens précis, la chien fou s'occupe du reste. Il n'est pas rare,tout autant, qu'il se procure certaines étrangetés, pensant que ceux-ci pourraient plaire aux Sharks. Au travers des courses d'importance se mêlent certaines plus douces ; Max s'occupe des tendres sirènes qui dansent et hypnotisent les barbares. La tâche lui est tombée dessus par défaut ; certains cons ont déjà porté la même fonction, mais plusieurs ont fait des écarts. Le sans-envie a alors été désigné ; depuis quelques années, alors, il s'occupe des filles. Le chien fou s'occupe de répondre à leurs demandes, de les écouter, d'aller leur chercher des tampons et de sécher leurs larmes, lorsqu'elles ont envie de pleurer. Particularités C'est un volcan en éruption qui se terre sous l'épiderme de Max ; la peau est brûlante, toute entière. La nuit, le lit est vide de la chaleur des couvertures et de vêtements, ne porte que son corps en feu. Sauf là. Le bras droit. Ou plutôt, l'avant-bras droit. La grande gueule de Max lui a apporté certaines histoires du passé qu'il ne peut oublier, laissant cicatrices et parfois, un vide. C'est lié à la peau brûlante un bras sans vie, froid et métallique. Le regard du chien fou s'y attarde parfois, plus longtemps qu'il ne le voudrait. Il dévisage ; dévisage le métal et se souvient du bras qui s'y trouvait, avant, et de la marque, de la soulmark qui n'est plus là. Elle ne lui manque pas, pas réellement non, mais la curiosité reste là. Il observe l'absence du bras pour ne pas dévisager la présence sur l'autre. Le compteur à zéro. Les chiffres qui le narguent et les questions qui ne s'effacent pas. Max garde son regard détourné, alors. Contre ses flancs, la marque des Sharks, écrasant le palpitant. Lien(s) cosmique(s) Max possédait une soulmark. Elle n'est plus sur sa chair, maintenant. Le membre s'est vu sectionné de son corps, et la marque a disparu au travers du sang et de la douleur. Quelques années ont passé, depuis. Le souvenir de la marque est flou, et Max s'est fait à l'idée de son absence. Max ne cherche pas l'âme soeur. Max ne cherche pas l'amour. Si la marque n'est plus là, alors son âme soeur aussi n'est plus là. C'est ce qu'il croit, du moins. C'est ce qui lui plait le plus. Keywords{#}volcano{/#} {#}maddog{/#} {#}oldtech{/#} {#}rat{/#} {#}loveless{/#} {#}bigmouth{/#} {#}orphan{/#} {#}interspace{/#} {#}mist{/#} {#}gang{/#} {#}enigma{/#} we are all astronauts1984 Rencontre de Oliver Ross, 18 ans, originaire de Nephebe, et de Mina, originaire de Sigan. Si Oliver porte un carnet entre ses doigts et une mission dans son coeur, il oublie parfois sa tâche et son groupe pour passer quelques heures en compagnie de la belle blonde. Mars 1986 Naissance de Maxens à Sigan, dimension natale de sa mère. Fin 1986 Mina rentre à l'appartement en compagnie de son bambin de quelques mois. Elle remarque que la serrure est cassée, que la porte est ouverte. L'enfant serré contre sa poitrine, elle pénètre chez elle pour découvrir le corps sans vie d'Oliver. Le parquet de bois est carmin, le gorge est coupé, les yeux bleus de l'homme renferment des océans sans vague. Elle avance d'un maigre pas ; le parquet craque, sous leur poids. Un cliquetis capte son oreille ; elle tourne les yeux, brièvement, vers le couloir menant à la salle de bain. Mina doute, une seconde. Doute d'avoir entendu quelque chose ; l'enfant chigne. Un autre bruit. Elle serre ses doigts, et l'enfant chigne plus fort, avant de pleurer. Le parquet grince ; elle n'a pas bougé. Ses yeux s'ouvrent grand; trois hommes apparaissent et elle les voit, malgré ses larmes. La triste amoureuse tourne le pas, s'élance vers la porte. Un bruit retente. Mina n'entend que les pleurs de Max. Mina ne sent pas la douleur. Mina court. Mina court jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à sa dernière goutte de sang. Mina court et se cache, fuit vers un portail, vers le vieillard. Si l'homme pense brièvement à la soigner, il ne peut rien faire. Trop de sangs perdus. Trop de larmes ayant coulées. Le coeur est trop brisé, de toute manière, pour être réparé. Elle lui confie le bambin, alors. 1991 Max, cinq ans, demande ce que signifie l'étrange marque sur son bras. Le vieux lui explique pour les âmes soeurs. Max fronce des sourcils, serre ses petits doigts et désigne l'autre, ensuite. Et ça ? Qu'il demande. Ça ? que répond le vieux. Ça, on le cache et on n'en parle pas. Le petit monstre hoche de la tête et recouvre son horloge, alors. 1998 Premiers actes de rebellion plus ou moins importants de Maxens. Première teinture noire sur la chevelure blonde, première d'une longue lignée qui n'a, à ce jour, pas encore cessée. 2001 Max, 15 ans, quitte l'école malgré l'avis de son grand-père. Pour éviter les multiples disputes avec le vieux, Max commence à se perdre dans les rues de la ville et s'aventurer là où il ne devrait pas se trouver. Il passe certaines nuits sur le toit d'un immeuble appartement dont les derniers étages ainsi que le toit ont été condamnés, cherchant dans le ciel des étoiles, sans réellement en trouver. 2003 Rencontre avec Nina Rhodes, 12 ans, sur son toît. La gamine répond à ses insultes et ne recule pas devant ses menaces et au fil des mois, Max se prend d'affection pour elle. 2005 - présent Construction et amélioration d'une cabane sur leur toit, en compagnie de Nina. 2008 Confrontations multiples avec divers hommes dans un secteur de la ville. L'ouïe de Max perçoit les plaintes d'une femme se faisant harceler physiquement. S'il perd une molaire au cours de la bagarre, Max ne se plaint pas. La femme le remercie. Il prend habitude, par la suite, de s'égarer dans le secteur et intervient à diverses reprises pour diverses femmes. Au fil des mois, il gagne les confiances des filles dans le vouloir, danseuses pour les Sharks, et intègre le gang. 2012 Dégradation de la santé du vieux. Plus agité, moins présent, presque furieux. Max le dévisage, sourcils froncés, mais ne pose pas de questions. Chacun garde un pas hors de la vie de l'autre, de peur de ce qu'il peut découvrir. 2013 Perte de son bras droit lors d'une transaction qui tourne mal. Accusé de voleur par le vendeur, Max se fait couper le bras à coup de machette tandis qu'on le tient contre une table, la joue écrasé contre le bois. Trimbalé dans un véhicule noir, balancé sur le bitume froid, humide, pourri, marché quelques quelques kilomètres, les doigts dans les siens, le coeur qui commence à aller loin. Max parvient au repère des Sharks avant d'atteindre l'inconscience, et on lui greffe du sanguin comme du faux pour le bras. Octobre 2016 Décès du vieux. Rentrant après quelques jours d'absences, Max le découvre sans vie dans son bureau, le tête appuyée sur des centaines de gribouillis. Il essaie de le réveiller pendant de nombreuses minutes, lui fait un massage cardiaque, cassant plusieurs côtes sur le passage, avant d'appeler les urgences. Overdose, selon le rapport. Un excès de médicaments. Juillet 2017 Max retourne à l'appartement du vieux qu'il possède toujours ; la poussière lui bousille les poumons, mais c'est la routine. En manque d'argent, il fouine dans le bureau du vieux à la recherche d'objets de valeurs pour ne rien y trouver, sauf un carnet portant le nom de son père. Curieux, Max l'ouvre et essaie de le lire, mais l'ouvrage semble renfermer une forme de code quelconque. Sauf quelques mots, tout lui est inconnu. Il l'emporte avec lui. Septembre 2017 Découverte du portail menant à Altea grâce au carnet. Max disparaît pendant plus de dix jours dans l'autre monde. Décembre 2017 De l'appartement du vieux, Max est passé à la cabane sur le toit à plein temps. Dans le salon, un mur est orné de ficelles rouges, d'articles de journaux et de dessins étranges venant du carnet. Il dévisage les informations d'un oeil endormi, pense à ses derniers voyages à Altea, pense aux secrets que le carnet leur cache, encore. Un soupir quitte ses lèvres ; il passe ses doigts dans ses cheveux noirs avant que son regard ne tombe sur le visage endormi de Nina, sur le canapé. Se penchant vers elle, il remonte le plaid sur ses épaules, avant de se redresser. Le requin fouille dans ses poches quelques secondes, avant de sortir une photo usée, bien que récente. Il s'empare d'une punaise pour l'ajouter au mur puis, marqueur rouge à la main, trace un point d'interrogation sous la tête de l'homme, après avoir encerclé son visage. Un homme qui le suit. Un parmi tant d'autres, il lui semble.
| | |
| |