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Tag maso sur ANTIGRAVITY KRZPSujet: at least you tried ☾ ben.
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Rechercher dans: PERDUS DANS L'ESPACE TEMPS   Tag maso sur ANTIGRAVITY EmptySujet: at least you tried ☾ ben.    Tag maso sur ANTIGRAVITY EmptyLun 25 Déc - 16:19
chaotic.evil / rainy mes chaussettes ont des ratons laveurs dessus en ce moment ; 24 ans ; team canada ; technologiste médicale & étudiante en psychologie ({#}maso{/#}) ; passe tous les jours en général ; warning, je suis fan de dinos (et si vous connaissez ark, on est instantanément amis) ; « papa » (ouais non j'ai pas eu le titre de mère) de deux chats et deux furets ; j'ai peut-être eu un orgasme de nerd en découvrant ce forum.

Benjamin Ashfordfc : junmyeon kim ; ©️️️suture ; Comets ; unique
80%PATIENT
25%PESSIMISTE
40%CRÉATIF
70%RENFERMÉ
60%POLYVALENT
50%SOURNOIS
75%STRUCTURÉ
15%PROFITEUR
   
Nom complet benjamin, c'est adorable, ça apaise. on ne soupçonne rien de bien mauvais ou terrible pouvant accompagner un prénom à la sonorité si douce sélectionnée méticuleusement à la dernière minute. lié au nom d'ashford qui enraye toutes particularités des origines du lointain passé. un nom collé en identité duquel la séparation serait trop compliquée. Surnoms dans la simplicité, ben s'utilise activement à la manière d'un second prénom puisque celui entier n'est que rarement mentionné. on tape parfois dans l'exotisme, dans l'originalité lorsque enja est employé malgré la connotation féminine. Naissance embrassé par le soleil d'été, la chaleur de juillet qui accueille à bras ouvert en son sixième jour il y a de cela vingt-sept ans.  Héritage culturel de par la simple forme des yeux, on devine l'influence asiatique d'autrefois qui a traversé les années malgré les mélanges. un héritage qui ne vaut probablement que peu, l'inutilité se transmettant de génération en génération dans cette famille dont tu fais malencontreusement partie. aucun grand nom qui traîne dans l'histoire du monde, aucune belle anecdote à raconter pour faire jalouser les voisins. toute trace de culture ancienne bafouée pour tomber dans l'oubli et te rappeler l'aisance avec laquelle tu peux être remplacé. Statut trop occupé à gauche et à droite, tu ne peux qu'être célibataire. Orientation bisexualité obligatoire pour ne pas rater la moindre heure que tu puisses obtenir par l'accomplissement d'un service dénoué d'éthique. sauf que les femmes ne t'intéressent pas à l'extérieur des échanges entre service et temps. Finances $, la pauvreté absolue, le temps qui manque cruellement à une existence pénible.

Univers la beauté de sigan comme berceau, tu ne peux en profiter pleinement comme ton cœur l'aurait autrefois désiré. Occupation(s) prêt à tout, tu es l'homme à tout faire de l'endroit où tu poses le pied pour avoir passé la dernière décennie à affûter tes compétences diversifiées pour te débrouiller avec tes dix doigts. officiellement, tu occupes deux emplois : barman à l'overdose avec le malheur d'offrir des extras et concierge au casma college. Particularités la moindre chirurgie esthétique absente, les moyens manquent pour subvenir à ce vice du monde qui te regarde grandir et vieillir. apparence originale, le quotidien pour seul perturbateur physique qui se manifeste par la fine corne sur les doigts et la crasse qui se glisse sous les ongles. Lien(s) cosmique(s) les rêves trop souvent composés d'éléments n'allant pas ensemble qui se mêlent à la confusion qui se taille une place de choix dans ceux-ci. pourtant, un élément revient encore et encore avec témérité, avec ce désir de faire comprendre quelque chose dans ces fleurs colorées à la présence étouffante. destin lié à la promesse de l'âme sœur par une image gravée dans la peau de ton omoplate gauche avec l'ironie accompagnant un sablier minimaliste dont les grains reposent majoritairement dans la partie supérieure.  Keywords empty ; vie de merde ; diy ; lost ; trying ; fear ; spite ; minimalist ; caméléon ; fireproof. song.  


we are all astronauts plus d'une entière décennie livrée en ta propre compagnie entre quatre murs variant constamment dans l'espoir de trouver mieux pour moins coûteux. l'âme finit par s'ennuyer, par se sentir seule, si bien que tu as déniché un chien-robot destiné au recyclage pour ne plus être aussi performant qu'à une époque. la décision hâtive, un rare coup de tête, avant que tu ne reviennes chez toi avec un modèle lourdement abîmé qu'il t'a fallu redorer d'un second souffle par toi-même. il lui manque encore quelques détails qui trahissent l'appartenance au monde robotique, mais tu l'aimes cette imitation de labrador couleur chocolat nommé zara. ☾ voir les frais s'accumuler est source d'une angoisse étouffante, d'une crainte que la mort soit au prochain tournant, alors l'entretien de ton taudis d'appartement est réalisé par tes soins. de la plomberie à l'électricité en passant par les rénovations, tu préfères suivre des tutoriaux que d'offrir de tes précieuses heures à autrui pour réaliser ces travaux. réalité qui n'a pas toujours été sans anicroche, mais dorénavant tu te débrouilles relativement bien. ☾ passe-temps ennuyant et déprimant ou simple sentiment de chercher à améliorer le sort d'au moins une personne, les recherches vont de bon train pour retrouver cette fratrie inconnue fondée par des parents obsédés par le temps qui se déverse entre leurs doigts. tu cherches et trouves, vérifiant comment ils s'en sont tirés et les réponses varient. une seule exception a connu un sort meilleure, une vie presque de rêve et tu as décidé de ne pas t'en approcher. par contre, le reste est souvent bien plus dramatique. ☾ trop souvent le poids de la réalité sur les épaules, l'oubli de vivre le moment présent se fait sentir. les sourires sur tes lèvres sont fades, froids, rarement réels. comme une sangsue, tu tires ton énergie des autres, incapable d'avoir une motivation intrinsèque depuis aussi loin que ta mémoire parvient à fouiller ses moindres recoins. ☾ lueur à peine scintillante au fond du regard, une envie, un désir qui ne veut pas mourir suite à l'éveil soudain qui ne connait pas d'explication. cette personne sans nom rencontrée à quelques reprises, un moment volé avant de se découvrir un intérêt troublant. il y quelque chose de spécial, d'un peu enchanteur derrière ces iris mystérieuses qui laissent un goût amer derrière les grandes chimères de l'esprit qui s'enflamme. encore une fois, le temps te manque. il te manque pour t'y pencher, pour prêter attention à cet éclat de couleur soudain dans ton existence auquel tu refuses encore d'apposer le terme pourtant criant d'évidence. ☾ enviant sans maudire, tu ne tiens pas en grippe ceux qui connaissent une vie meilleure que la tienne. à quoi bon y perdre la moindre once d'énergie que tu te dois de dépenser dans le travail si tu ne tiens pas à mourir à la trentaine. certes, la jalousie se taille parfois une place au fond de ta gorge lorsque le regard se rive sur ces gens heureux, insouciants, mais que pourrais-tu y faire ? il y a des lunes que tu as cessé de t’apitoyer sur ton sort, préférant cesser de penser à la cruelle réalité qui presse ses doigts contre ta gorge. ☾ enveloppe vide qui veut vivre, tu copies une parcelle de la personnalité de ceux qui te font face. parce qu'il est plus simple de se faire apprécier ainsi, parce qu'il est plus simple de copier que de faire semblant d'être quelqu'un. image miroir encore assez subtile pour ne pas crier sur les toits ta propre absence de caractéristiques précises. ☾ l'obsession du temps dans les veines, la pomme qui n'est pas tombée loin de l'arbre puisque tout comme tes parents le rythme de l'aiguille sème l'angoisse dans ton esprit. tout pour une année en plus, aucune limite. et si tu ne te prends pas en pitié, tu commences à te dégoûter de réaliser que tu ne vaux probablement pas mieux que ceux desquels tu as tant voulu te détacher.
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