KARMA KOMA Malgré la dangerosité de la zone désertique et des contraintes du nouvel environnement, des jeunes y ont créé un club, KARMA KOMA, qui débute tôt dans la journée et se prolonge jusqu’à tard dans la nuit. Le seul problème est l’accès au club : il n’y a pas de carte, pas de wifi, pas de boussoles. La plupart des jeunes font le mur pour s’y rendre en groupes et suivant un accompagnateur qui connaît le chemin (pas gratuitement et souvent les accompagnateurs sont prêts à arnaquer), tandis que d’autres jeunes y vont à l’aveuglette… sans jamais revenir. Musique, alcool, drogues sont les mots-clés de Karma Koma comme la plupart des clubs et celui-ci ne déroge pas à la règle ; l’avantage c’est que tout circule sans que les autorités n’interviennent (spoiler alert : il n’y a pas d’autorités). À la nuit tombée, comme il est coutume de rentrer chez soi pour se mettre à l’abri, certains jeunes restent sur les lieux et s’adonnent à des défis dangereux : être enseveli par la tempête de sable, être coursé par des animaux monstrueux, prendre la première fenêtre qui se présente et atterrir dans une autre dimension, etc…