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 (870) 916 02 23 + scar kolisnychenko

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appel en cours
13 sept. 05:19
hi cutie babe, how you doing?
hi hm (silence) scar. (soupir) i'm fine. i had a fun night, the other day, so. hm. you ?
what night? (bruit de machine à café) yea i'm fine, the bar is closed now.
hm the - the other day ? when i saw you  ? i - forget it (soupir) it's coffee ?
oh. yea, that night. (petit silence) sorry i'm tired and yea it's coffee, i need to stay awake so.
hm no. it's fine. i - you should sleep, no ? (soupir) well, i guess i should sleep too. hm. why you need to stay awake ?
stuff to do at the bar and a meeting in few hours so i just haveto wait a bit. but you should go to sleep. do you work today?
hm. you look busy. i - yea.  a few hours with the dog then at the resto. but i don't want to sleep.  wanna (baillement) wanna talk with you. and i promise the letter about marcus.
not that much. tomo' like thursday night is my day off so maybe i can pick you up at the resto again and just chill and nap with you? (léger rire) okay, read it and go to sleep a bit?
hm. yea. i want to. at 5? i'm gonna take leftlovers. (silence) ok, the letter. so. marcus. marcus possède une compagnie de taxi, une petite fortune, un ventre mais des abdos, une barbe  noire mais des cheveux gris, des rides mais un regard de jeune caïd, et surtout, des coups de poing puissants. il s'est mis en couple avec ma mère lorsque j'avais treize ans. il ne soutenait pas ma mère. pas comme curtis le faisait. il ne faisait pas les tâches dans la maison ; non, il exigeait plutôt à ma mère, ou encore à moi, de les faire. marcus était - est certainement toujours - un enfant qui a cru pouvoir devenir le roi du monde et qui, d'une certaine manière, a créé son propre royaume dans la demeure qu'était la nôtre. maman l'aimait. god, elle l'aime encore, je crois. je ne sais pas. j'y ai pas mis les pieds depuis des années, tu sais ? c'est à cause de lui, justement.que  je suis parti.
à treize ans, on croit encore qu'on peut être roi du monde. ou du moins, sauveur qu'une personne dans ce monde. et je voulais sauver ma mère, et aussi me sauver moi par la même occasion. alors je lui tenais tête, parfois. je le regardais dans les yeux, le menton bien haut, et je lui disais non. marcus ne disait rien. pas avec ses mots, du moins. non, il préfèrait répondre avec ses poings. et à chaque non que je lui adressais, qu'importe si c'était par refus ou juste pour qu'il arrête, qu'importe si c'était ma mère qui les disait, marcus frappait plus fort.
ça a duré des années. en est venu un temps où ma mère a cessé de vouloir le stopper et s'est mise en croire que, peut-être en étant silencieuse, il arrêterait. parce qu'il nous aimait réellement, tu comprends  ? il nous aimait si fort. et elle y croyait tellement fort, à ce mensonge. elle s'est mise à faire les tâches. à essayer, du moins. la plupart du temps, elle comptait sur moi pour les faire. elle m'implorait de les faire, fragile et fatiguée, et si je n'avais pas le temps à faire des études, de l'école, ou encore de n'importe quelle autre raison, c'était de ma faute. je méritais les coups. parce que je savais, tu vois ? je savais que si je ne les faisais pas, les coups allaient tomber. quand j'avais dix-sept ans, marcus m'a donné un coup de pied, puis deux, trois, et je sais plus combien d'autres, sur la tête. les voisins ont appeler les flics. quand je me suis réveillé, j'étais sourd de l'oreille droite. (silence) jad's family wanted me to live with them after that but i said no.

(petit silence) why?
i  - (soupir) i didn't trust them. i didn't want someone help. i guess- i wanted to be my own savior or some shit like that. it's still the case, i think.
are you good at it? like being your own savior? (petit silence) i think you doing pretty well. i mean. maybe you need to accept the help sometimes instead of being rude. but. you good. i kinda like you being your own hero.
i don't need any help, scar. (soupir) sorry. thank, i guess. i - (petit silence) i don't need someone to save me. i just want someone with me. (plus bas, presque en grognant ) like hm.  you.
i know. that's kinda what i wanted to say actually. i mean. well. forg' 'bout it.
no i - (soupir) no, i like it. thank, scar. really. i like it. i like stuff you say to me. even if i'm rude.... i kinda like you too.
(léger rire) i like you, cliff. like. a lot. i mean... yea. i like you.
yea i kinda figured out when you have posted a pic of me on your instagram, scar. when we didn't talk (rire) a lot, hm ? (silence) it's scary, a little bit
 
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Cliff Wood a écrit:
appel en cours
13 sept. 05:19
hi cutie babe, how you doing?
hi hm (silence) scar. (soupir) i'm fine. i had a fun night, the other day, so. hm. you ?
what night? (bruit de machine à café) yea i'm fine, the bar is closed now.
hm the - the other day ? when i saw you  ? i - forget it (soupir) it's coffee ?
oh. yea, that night. (petit silence) sorry i'm tired and yea it's coffee, i need to stay awake so.
hm no. it's fine. i - you should sleep, no ? (soupir) well, i guess i should sleep too. hm. why you need to stay awake ?
stuff to do at the bar and a meeting in few hours so i just haveto wait a bit. but you should go to sleep. do you work today?
hm. you look busy. i - yea.  a few hours with the dog then at the resto. but i don't want to sleep.  wanna (baillement) wanna talk with you. and i promise the letter about marcus.
not that much. tomo' like thursday night is my day off so maybe i can pick you up at the resto again and just chill and nap with you? (léger rire) okay, read it and go to sleep a bit?
hm. yea. i want to. at 5? i'm gonna take leftlovers. (silence) ok, the letter. so. marcus. marcus possède une compagnie de taxi, une petite fortune, un ventre mais des abdos, une barbe  noire mais des cheveux gris, des rides mais un regard de jeune caïd, et surtout, des coups de poing puissants. il s'est mis en couple avec ma mère lorsque j'avais treize ans. il ne soutenait pas ma mère. pas comme curtis le faisait. il ne faisait pas les tâches dans la maison ; non, il exigeait plutôt à ma mère, ou encore à moi, de les faire. marcus était - est certainement toujours - un enfant qui a cru pouvoir devenir le roi du monde et qui, d'une certaine manière, a créé son propre royaume dans la demeure qu'était la nôtre. maman l'aimait. god, elle l'aime encore, je crois. je ne sais pas. j'y ai pas mis les pieds depuis des années, tu sais ? c'est à cause de lui, justement.que  je suis parti.
à treize ans, on croit encore qu'on peut être roi du monde. ou du moins, sauveur qu'une personne dans ce monde. et je voulais sauver ma mère, et aussi me sauver moi par la même occasion. alors je lui tenais tête, parfois. je le regardais dans les yeux, le menton bien haut, et je lui disais non. marcus ne disait rien. pas avec ses mots, du moins. non, il préfèrait répondre avec ses poings. et à chaque non que je lui adressais, qu'importe si c'était par refus ou juste pour qu'il arrête, qu'importe si c'était ma mère qui les disait, marcus frappait plus fort.
ça a duré des années. en est venu un temps où ma mère a cessé de vouloir le stopper et s'est mise en croire que, peut-être en étant silencieuse, il arrêterait. parce qu'il nous aimait réellement, tu comprends  ? il nous aimait si fort. et elle y croyait tellement fort, à ce mensonge. elle s'est mise à faire les tâches. à essayer, du moins. la plupart du temps, elle comptait sur moi pour les faire. elle m'implorait de les faire, fragile et fatiguée, et si je n'avais pas le temps à faire des études, de l'école, ou encore de n'importe quelle autre raison, c'était de ma faute. je méritais les coups. parce que je savais, tu vois ? je savais que si je ne les faisais pas, les coups allaient tomber. quand j'avais dix-sept ans, marcus m'a donné un coup de pied, puis deux, trois, et je sais plus combien d'autres, sur la tête. les voisins ont appeler les flics. quand je me suis réveillé, j'étais sourd de l'oreille droite. (silence) jad's family wanted me to live with them after that but i said no.

(petit silence) why?
i  - (soupir) i didn't trust them. i didn't want someone help. i guess- i wanted to be my own savior or some shit like that. it's still the case, i think.
are you good at it? like being your own savior? (petit silence) i think you doing pretty well. i mean. maybe you need to accept the help sometimes instead of being rude. but. you good. i kinda like you being your own hero.
i don't need any help, scar. (soupir) sorry. thank, i guess. i - (petit silence) i don't need someone to save me. i just want someone with me. (plus bas, presque en grognant ) like hm.  you.
i know. that's kinda what i wanted to say actually. i mean. well. forg' 'bout it.
no i - (soupir) no, i like it. thank, scar. really. i like it. i like stuff you say to me. even if i'm rude.... i kinda like you too.
(léger rire) i like you, cliff. like. a lot. i mean... yea. i like you.
yea i kinda figured out when you have posted a pic of me on your instagram, scar. when we didn't talk (rire) a lot, hm ? (silence) it's scary, a little bit
(rire léger, presque gêné) yea, to be honest... jad posted it on my insta but well i didn't delete it too. i'm still guilty. (rire) i just easily take pics of people and post them, it wasn't that weird or unconfort' to me. i still can delete it if you want to.
na i like it. you can post more if you like i - (gêné) i just did so.
 
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hi hm (silence) scar. (soupir) i'm fine. i had a fun night, the other day, so. hm. you ?
what night? (bruit de machine à café) yea i'm fine, the bar is closed now.
hm the - the other day ? when i saw you  ? i - forget it (soupir) it's coffee ?
oh. yea, that night. (petit silence) sorry i'm tired and yea it's coffee, i need to stay awake so.
hm no. it's fine. i - you should sleep, no ? (soupir) well, i guess i should sleep too. hm. why you need to stay awake ?
stuff to do at the bar and a meeting in few hours so i just haveto wait a bit. but you should go to sleep. do you work today?
hm. you look busy. i - yea.  a few hours with the dog then at the resto. but i don't want to sleep.  wanna (baillement) wanna talk with you. and i promise the letter about marcus.
not that much. tomo' like thursday night is my day off so maybe i can pick you up at the resto again and just chill and nap with you? (léger rire) okay, read it and go to sleep a bit?
hm. yea. i want to. at 5? i'm gonna take leftlovers. (silence) ok, the letter. so. marcus. marcus possède une compagnie de taxi, une petite fortune, un ventre mais des abdos, une barbe  noire mais des cheveux gris, des rides mais un regard de jeune caïd, et surtout, des coups de poing puissants. il s'est mis en couple avec ma mère lorsque j'avais treize ans. il ne soutenait pas ma mère. pas comme curtis le faisait. il ne faisait pas les tâches dans la maison ; non, il exigeait plutôt à ma mère, ou encore à moi, de les faire. marcus était - est certainement toujours - un enfant qui a cru pouvoir devenir le roi du monde et qui, d'une certaine manière, a créé son propre royaume dans la demeure qu'était la nôtre. maman l'aimait. god, elle l'aime encore, je crois. je ne sais pas. j'y ai pas mis les pieds depuis des années, tu sais ? c'est à cause de lui, justement.que  je suis parti.
à treize ans, on croit encore qu'on peut être roi du monde. ou du moins, sauveur qu'une personne dans ce monde. et je voulais sauver ma mère, et aussi me sauver moi par la même occasion. alors je lui tenais tête, parfois. je le regardais dans les yeux, le menton bien haut, et je lui disais non. marcus ne disait rien. pas avec ses mots, du moins. non, il préfèrait répondre avec ses poings. et à chaque non que je lui adressais, qu'importe si c'était par refus ou juste pour qu'il arrête, qu'importe si c'était ma mère qui les disait, marcus frappait plus fort.
ça a duré des années. en est venu un temps où ma mère a cessé de vouloir le stopper et s'est mise en croire que, peut-être en étant silencieuse, il arrêterait. parce qu'il nous aimait réellement, tu comprends  ? il nous aimait si fort. et elle y croyait tellement fort, à ce mensonge. elle s'est mise à faire les tâches. à essayer, du moins. la plupart du temps, elle comptait sur moi pour les faire. elle m'implorait de les faire, fragile et fatiguée, et si je n'avais pas le temps à faire des études, de l'école, ou encore de n'importe quelle autre raison, c'était de ma faute. je méritais les coups. parce que je savais, tu vois ? je savais que si je ne les faisais pas, les coups allaient tomber. quand j'avais dix-sept ans, marcus m'a donné un coup de pied, puis deux, trois, et je sais plus combien d'autres, sur la tête. les voisins ont appeler les flics. quand je me suis réveillé, j'étais sourd de l'oreille droite. (silence) jad's family wanted me to live with them after that but i said no.

(petit silence) why?
i  - (soupir) i didn't trust them. i didn't want someone help. i guess- i wanted to be my own savior or some shit like that. it's still the case, i think.
are you good at it? like being your own savior? (petit silence) i think you doing pretty well. i mean. maybe you need to accept the help sometimes instead of being rude. but. you good. i kinda like you being your own hero.
i don't need any help, scar. (soupir) sorry. thank, i guess. i - (petit silence) i don't need someone to save me. i just want someone with me. (plus bas, presque en grognant ) like hm.  you.
i know. that's kinda what i wanted to say actually. i mean. well. forg' 'bout it.
no i - (soupir) no, i like it. thank, scar. really. i like it. i like stuff you say to me. even if i'm rude.... i kinda like you too.
(léger rire) i like you, cliff. like. a lot. i mean... yea. i like you.
yea i kinda figured out when you have posted a pic of me on your instagram, scar. when we didn't talk (rire) a lot, hm ? (silence) it's scary, a little bit
(rire léger, presque gêné) yea, to be honest... jad posted it on my insta but well i didn't delete it too. i'm still guilty. (rire) i just easily take pics of people and post them, it wasn't that weird or unconfort' to me. i still can delete it if you want to.
na i like it. you can post more if you like i - (gêné) i just did so.
 

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hi hm (silence) scar. (soupir) i'm fine. i had a fun night, the other day, so. hm. you ?
what night? (bruit de machine à café) yea i'm fine, the bar is closed now.
hm the - the other day ? when i saw you  ? i - forget it (soupir) it's coffee ?
oh. yea, that night. (petit silence) sorry i'm tired and yea it's coffee, i need to stay awake so.
hm no. it's fine. i - you should sleep, no ? (soupir) well, i guess i should sleep too. hm. why you need to stay awake ?
stuff to do at the bar and a meeting in few hours so i just haveto wait a bit. but you should go to sleep. do you work today?
hm. you look busy. i - yea.  a few hours with the dog then at the resto. but i don't want to sleep.  wanna (baillement) wanna talk with you. and i promise the letter about marcus.
not that much. tomo' like thursday night is my day off so maybe i can pick you up at the resto again and just chill and nap with you? (léger rire) okay, read it and go to sleep a bit?
hm. yea. i want to. at 5? i'm gonna take leftlovers. (silence) ok, the letter. so. marcus. marcus possède une compagnie de taxi, une petite fortune, un ventre mais des abdos, une barbe  noire mais des cheveux gris, des rides mais un regard de jeune caïd, et surtout, des coups de poing puissants. il s'est mis en couple avec ma mère lorsque j'avais treize ans. il ne soutenait pas ma mère. pas comme curtis le faisait. il ne faisait pas les tâches dans la maison ; non, il exigeait plutôt à ma mère, ou encore à moi, de les faire. marcus était - est certainement toujours - un enfant qui a cru pouvoir devenir le roi du monde et qui, d'une certaine manière, a créé son propre royaume dans la demeure qu'était la nôtre. maman l'aimait. god, elle l'aime encore, je crois. je ne sais pas. j'y ai pas mis les pieds depuis des années, tu sais ? c'est à cause de lui, justement.que  je suis parti.
à treize ans, on croit encore qu'on peut être roi du monde. ou du moins, sauveur qu'une personne dans ce monde. et je voulais sauver ma mère, et aussi me sauver moi par la même occasion. alors je lui tenais tête, parfois. je le regardais dans les yeux, le menton bien haut, et je lui disais non. marcus ne disait rien. pas avec ses mots, du moins. non, il préfèrait répondre avec ses poings. et à chaque non que je lui adressais, qu'importe si c'était par refus ou juste pour qu'il arrête, qu'importe si c'était ma mère qui les disait, marcus frappait plus fort.
ça a duré des années. en est venu un temps où ma mère a cessé de vouloir le stopper et s'est mise en croire que, peut-être en étant silencieuse, il arrêterait. parce qu'il nous aimait réellement, tu comprends  ? il nous aimait si fort. et elle y croyait tellement fort, à ce mensonge. elle s'est mise à faire les tâches. à essayer, du moins. la plupart du temps, elle comptait sur moi pour les faire. elle m'implorait de les faire, fragile et fatiguée, et si je n'avais pas le temps à faire des études, de l'école, ou encore de n'importe quelle autre raison, c'était de ma faute. je méritais les coups. parce que je savais, tu vois ? je savais que si je ne les faisais pas, les coups allaient tomber. quand j'avais dix-sept ans, marcus m'a donné un coup de pied, puis deux, trois, et je sais plus combien d'autres, sur la tête. les voisins ont appeler les flics. quand je me suis réveillé, j'étais sourd de l'oreille droite. (silence) jad's family wanted me to live with them after that but i said no.

(petit silence) why?
i  - (soupir) i didn't trust them. i didn't want someone help. i guess- i wanted to be my own savior or some shit like that. it's still the case, i think.
are you good at it? like being your own savior? (petit silence) i think you doing pretty well. i mean. maybe you need to accept the help sometimes instead of being rude. but. you good. i kinda like you being your own hero.
i don't need any help, scar. (soupir) sorry. thank, i guess. i - (petit silence) i don't need someone to save me. i just want someone with me. (plus bas, presque en grognant ) like hm.  you.
i know. that's kinda what i wanted to say actually. i mean. well. forg' 'bout it.
no i - (soupir) no, i like it. thank, scar. really. i like it. i like stuff you say to me. even if i'm rude.... i kinda like you too.
(léger rire) i like you, cliff. like. a lot. i mean... yea. i like you.
yea i kinda figured out when you have posted a pic of me on your instagram, scar. when we didn't talk (rire) a lot, hm ? (silence) it's scary, a little bit
(rire léger, presque gêné) yea, to be honest... jad posted it on my insta but well i didn't delete it too. i'm still guilty. (rire) i just easily take pics of people and post them, it wasn't that weird or unconfort' to me. i still can delete it if you want to.
na i like it. you can post more if you like i - (gêné) i just did so.
really? i ain't seen this yet. (léger rire) maybe you should go to sleep a bit. i'll be there at 5.
hmmm (baillement) ok. youre right i guess. goodnight. see you later,scar

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(1) voicemail
14 sept. 07:19
hi. i'm late for work. so, i'm gonna read this really fast. je viens tout juste de me réveiller. il fait encore noir, pourtant, et les gardiens ne viendront pas ouvrir les cellules avant environ une heure, je crois. mais qu'importe l'heure, je ne parviens pas à fermer les yeux. il t'arrive parfois de rêver au passé ? pas spécialement ce qui est déjà survenu, mais ce qui aurait pu survenir. c'est ce qui m'est arrivé, cette nuit. j'ai rêvé qu'il n'était jamais parti. j'ai rêvé qu'il était, comme dans mes souvenirs d'enfant, avant que je ne réalise, un bon père. qu'il ne m'avait jamais fait ces choses là. que curtis prenait encore soin de ma mère, et qu'elle allait mieux. qu'elle m'expliquait qui était nameha, et qu'elle avait fait son deuil, enfin. qu'ils venaient voir mes matchs d'exy, à l'université et que, dans les estrades, tu étais là, assis à côté d'eux. je me souviens avoir tourné les yeux vers toi, après un arrêt, quelques secondes avant la fin du match. je me souviens du sourire sur tes lèvres, et des mots contre tes lippes, que je n'arrivais pas à lire avec la distance. des hurlements de joie des gens. du bonheur de ma mère et de curtis. de l'envie d'être dans tes bras et de t'embrasser, tandis que le reste de l'équipe, dont antoni, exprimaient leur joie au travers d'accolades et de hurlements, et de larmes. antoni pleurait souvent pour rien, à hurler à m'en faire perdre l'ouie. je me souviens. il exprimait son bonheur si fort, avec tellement d'intensité et au contraire, il vivait sa tristesse avec tellement de force. il lui arrivait, certains soirs, de me parler de ses envies de suicide. je crois que, sur le fin, il était en train de surmonter tout cela. je suis certain que, dans ses derniers instants, antoni voulait vivre. mais qu'importe. ce n'est pas le sujet. en est venu le moment où je me suis réveillé. va savoir pourquoi, je pleurais. je crois qu'une part de moi n'a toujours pas accepté d'avoir non seulement perdu ma mère, mais également l'homme que je pensais être mon père. que, qu'importe ce que curtis m'a fait, me fait, une part de moi le voit encore comme l'homme m'ayant élevé et que, malgré les horreurs, il me manque. il a été mon héros pendant si longtemps, avant que je réalise qu'en fait, il était le monstre. qu'est-ce que tu en penses ? est-ce que ça t'arrive, parfois ? est-ce que tu rêves de moi ? bye, scar. take care
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(1) voicemail
15 sept. 06:35
hi. it's .. really early. but i want to run, so. ok, the letter.
je crois que toutes les personnes qui ont croisé ta route sont tombées, du moins un petit peu, amoureux de toi. le contraire est impossible. crois-moi, j'ai essayé.
bye.
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(1) voicemail
16 sept. 0:35
(soupire) i don't want to read it. but - (silence) i want you to know, so.
curtis me disait souvent qu'il m'aimait, assez pour que j'en ai conscience, mais pas suffisamment pour me saouler. il le disait pour que je le sache, parce que c'était important, essentiel, qu'il répétait.
il le disait surtout lorsqu'on était seul.
il me l'a dit, hier.
(silence) ok, bye.
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appel en cours...
17 sept. 2:35
(silence) fuck  - scar ? i didn't think  (rire gêné) you answered
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appel en cours...
17 sept. 2:35
(silence) fuck  - scar ? i didn't think  (rire gêné) you answered
hey (rire) but i did. do you want me to hang up?
i - you could ? (soupire) no. no, it's fine. i just - (silence) fuck (rire gêné ) ok, no. it's fine. i didn't want to read this poem with you hearing it like - (soupire) it's really cheesy. i'm ashamed, ok? don't fucking laugh. do
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17 sept. 2:35
(silence) fuck  - scar ? i didn't think  (rire gêné) you answered
hey (rire) but i did. do you want me to hang up?
i - you could ? (soupire) no. no, it's fine. i just - (silence) fuck (rire gêné ) ok, no. it's fine.  i didn't want to read this poem with you hearing it like - (soupire) it's really cheesy. i'm ashamed, ok? don't fucking laugh.
i really want to hear that one right now (rire) well i won't laugh. maybe i will smile but i promise i won't laugh.
do it and i hang up. i swear, ok ? (soupire) fuck. jesus christ. ok (silence) so ; je déteste les cicatrices. je déteste toutes les marques qui se trouvent à l'intérieur de moi, comme à l'extérieur. i think you're the only scar i don't want to go away. the only one i can love maybe, someday. (silence) i swear if you laugh i - fuck. you know what ? laugh if you want. i don't give a fuck.
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