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 fern

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MessageSujet: fern    fern  EmptySam 31 Mar - 20:41



maxens rossfc : baptiste radufe ; ©️️️ skate vibe ; Rockets ; unique
90%GRANDE GUEULE
20%CONSCIENCIEUX
50%ATTENTIF
70%ESPIÈGLE
70%PROTECTEUR
98%RAPACE
85%LOYAL
80%IMPULSIF
   
Nom complet Max, depuis toujours. Max qui est devenu avec le temps un prénom qui lui colle à la peau. Y'avait que le vieillard et sa voix d'outre tombe qui osait encore l'appeler Maxens, assez pour le faire grimacer, essayer pour le faire pester. Et Ross, aussi. ross, venant du père, de la mère ou alors des poubelle. Au final, c'est du pareil au même.  Surnoms Malgré la majorité, c'est le kid qui lui a longtemps été son appellation chez les Sharks. Ça et le têtard. C'est le sang coulant contre ses traits et le goût de fer sur sa langue, contre ses dents -dont une molaire en moins - qui lui valu le surnom de madmax. Si le surnom avait d'abord été dit à la blague, il est resté lorsque max est rentré dans le bar quelques années plus tard, tenant son bras droit de la main gauche, une coupure nette ayant sectionnée le membre, aucune grimace sur sa gueule, le teint aussi pale que le bleu de ses prunelles.Naissance Mars 1986. la date ? Aucune idée. Il la change à chaque année. Le vieux ne savait pas, et max ne cherche pas à savoir. Sous sa chair, contre sa chair, somnole un fantôme de son passé ; horloge endormie depuis toujours, elle renferme ses origines venant de sigan, venant du père ou de la mère. Max n'en sait rien, ni l'origine, ni la signification, sauf une chose ; qu'il ne doit pas montrer la chose aux autres. Et même si le vieux est mort, Max respecte son voeu. Héritage culturel On dit que le ciel prisonnier de ses iris lui vient de son père, et que la blondeur de sa crinière, certainement de la mère. Max ne prête pas attention aux histoires du vieux fou ; il laisse les morts en enfer et ne plonge pas son regard dans la poussière. Alors la crinière est noire, depuis quelques années. Le blond disparait dans l'abysse qu'il y colle et il oublie le passé. Max dévisage d'un oeil torne ceux qui vouent une romantique morbide à ce qui existait autrefois. Il ose dire qu'il ne s'éprend pas des fantômes du passé. Pourtant, la bête folle garde un penchant certain pour les cassettes et les vinyles du vieux, et ne les a toujours pas vendu. Les souvenirs sont bercés par des mélodies qui ont irrités sa jeunesse et aujourd'hui, un poids se pose sur son torse à l'entente de certaines notes. Dans son vieux sac, Max y enfouit souvent un lecteur cassette qui kidnappe quelques notes des chansons, ternit les voix d'autrefois. Et puis, tout à côté, le carnet reste encore. Le carnet reste, malgré les pages massacrés par la pluie, malgré le temps qui a fait son chemin, et malgré le langage étrange qu'il dissimule. Certains mots lui restent familiers, pour les avoir entendu sortant de la bouche du vieux débris.  Max, saleté d'hypocrite. Statut La solitude est une soie contre sa peau qui lui est douce et qu'il ne quitte pas. Sa peau est brûlante au point d'en brûler d'autres et son coeur est sécheresse d'amour. Orientation Le monde est gris et Max nage dans l'ennui. Il dévisage, sceptique, sans réellement comprendre ce qui se déroule autour de lui. Il n'a jamais cherché à comprendre. Le regard pluvieux s'attarde sur les romances qui se languissent autour de lui et étudie les rougeurs des joues, les fous battements des coeurs. Il essaie de voir le rouge ou le rose, mais seul le gris reste. La moiteur de ses mains caresse certes parfois les chairs mais on peut croire y voir une lourde présence de pudeur pour n'être en vérité qu'un manque d’intérêt. Max n'aime pas les coeurs, Max n'aime pas les corps. Il a cherché, un temps, à vouloir le faire. Il a abandonné, depuis. La bête ne voit pas la chose comme un problème, ni même comme un avantage, c'est un fait, tout simplement. Peut-être qu'un jour les choses changeront. Il ne peut savoir, et ne cherche pas à le faire. À ce jour, Max a aimé ni âme, ni coeur, ni corps.  Finances $$  Les poches ne sont pas vides, ni pleines. Certains billets y planent et des pièces tombent au sol. Max ne les compte jamais. Imprudence ou arrogance, la chose revient au même. Il ne porte pas attention à la richesse. Sa liberté est l'unique richesse qui compte, à ses yeux. L'orphelin vit sans prendre conscience de demain, en oubliant hier et en vivant aujourd'hui. Et ses poches sont vides lorsqu'il y enfouit ses doigts, alors il trouve un moyen pour les remplir sur le vif, pour continuer sa journée. La chose lui attire des ennuis, mais qu'importe ; le lendemain, il les oublie.

Univers Nephede et ses abysses ; le reflet de ses iris. Max s'y engouffre depuis que ses maigres jambes peuvent le soutenir et se perd dans la crasse pour y faire son terrain de jeux. Les grimaces sont devenus sourires et les jeux dangereux, ses favoris. Dans les gênes, pourtant, un silence, un secret. C'est de Sigan que vient l'un de ses géniteurs, c'est à Sigan qu'il a passé les premiers mois de sa vie. Contre sa chair, gravée : un compteur d'heure qui ne l'est, à l'heure. Un fantôme qui le hante et Max vente. Le regard est attiré vers un ailleurs qu'il a découvert ; Altea et ses nombreux verts et bleus. Altea qui casse le gris de Nephede et qui brusque son ennui. Un carnet entre les doigts, des saletés sous les ongles, Max découvre ce monde depuis quelques mois, y revenant plus que souvent. Peut-être trop souvent pour sa propre sécurité.  Occupation(s) Collecteur. Marchandeur. Chercheur de trésor. Voleur. Max porte de nombreux titres qui, au final, ne l'amène qu'à un but précis : au sein des Sharks, il s'occupe de ramener ce qu'il faut. Si un membre nécessite un objet en particulier, Max se charge de le trouver et de se le procurer. Si certains commerces au sein du groupe sont occupés par des gens précis, la chien fou s'occupe du reste. Il n'est pas rare,tout autant, qu'il se procure certaines étrangetés, pensant que ceux-ci pourraient plaire aux Sharks. Au travers des courses d'importance se mêlent certaines plus douces ; Max s'occupe des tendres sirènes qui dansent et hypnotisent les barbares. La tâche lui est tombée dessus par défaut ; certains cons ont déjà porté la même fonction, mais plusieurs ont fait des écarts. Le sans-envie a alors été désigné ; depuis quelques années, alors, il s'occupe des filles. Le chien fou s'occupe de répondre à leurs demandes, de les écouter, d'aller leur chercher des tampons et de sécher leurs larmes, lorsqu'elles ont envie de pleurer.
Particularités C'est un volcan en éruption qui se terre sous l'épiderme de Max ; la peau est brûlante, toute entière. La nuit, le lit est vide de la chaleur des couvertures et de vêtements, ne porte que son corps en feu. Sauf là. Le bras droit. Ou plutôt, l'avant-bras droit. La grande gueule de Max lui a apporté certaines histoires du passé qu'il ne peut oublier, laissant cicatrices et parfois, un vide. C'est lié à la peau brûlante un bras sans vie, froid et métallique. Le regard du chien fou s'y attarde parfois, plus longtemps qu'il ne le voudrait. Il dévisage ; dévisage le métal et se souvient du bras qui s'y trouvait, avant, et de la marque, de la soulmark qui n'est plus là. Elle ne lui manque pas, pas réellement non, mais la curiosité reste là. Il observe l'absence du bras pour ne pas dévisager la présence sur l'autre. Le compteur à zéro. Les chiffres qui le narguent et les questions qui ne s'effacent pas. Max garde son regard détourné, alors. Contre ses flancs, la marque des Sharks, écrasant le palpitant.  Lien(s) cosmique(s) Max possédait une soulmark. Elle n'est plus sur sa chair, maintenant. Le membre s'est vu sectionné de son corps, et la marque a disparu au travers du sang et de la douleur. Quelques années ont passé, depuis. Le souvenir de la marque est flou, et Max s'est fait à l'idée de son absence. Max ne cherche pas l'âme soeur. Max ne cherche pas l'amour. Si la marque n'est plus là, alors son âme soeur aussi n'est plus là. C'est ce qu'il croit, du moins. C'est ce qui lui plait le plus.  Keywords#volcano #maddog #oldtech #rat #loveless #bigmouth #orphan #interspace #mist #gang #enigma  



Gali Leo Brunifc; ezra miller ; ©️️️️ little liars &  saturn; UFO's  ; double
100%bonboule
89%bavard
70%excentrique
60%sournois
90%direct
50%pute
70%rusé
40%féroce
   
Nom complet il a hurlé à s'en décrocher la gorge, aussitôt fourré dans les mains d'un gamin au corps noeux. maman était pas forcément intelligente, mais assez belle ; mais la stupidité, c'est la pire des laideurs. les chiards avant gali leo ont été nombreux. elle leur a tous donné le nom d'un homme important, intelligent, pour qu'ils aient quelque chose dans la tête, sauf qu'elle a jamais été doué en orthographie. c'est gali leo alors, et non galileo, le prénom du sixième chiard de la fratrie. famille de merde venant de la merde, ils traînent dans la crasse dès la naissance, et le nom de famille rappelle d'où il vient ; bruni. bruni, comme brun, comme la merde, comme la crasse.
Surnoms le prénom est découpé en deux entités qu'il ne parvient pas réellement à assembler. gali est celui qu'il est, celui qui vit sur sigan. leo reste un souvenir d'autrefois, l'espoir de sa mère, et le hooker des rues d'altea, perdu dans un monde qu'il ne connaissait pas, et dont il a été captif un moment. leo est resté derrière lui, et si les souvenirs reviennent parfois, gali ferme les yeux et n'y pense pas.  Naissance 30 septembre 1992, dans un appartement minable, dans une famille minable, pour une vie qui s’annonçait minable. Héritage culturel la beauté de la mère vient d'italie, certainement, comme le nom de famille. le père, quant à lui, reste inconnu. on peut deviner par ses traits qu'il aborde des origines asiatiques peut-être, mais gali n'en a rien à faire. le passé ne lui importe pas ; il ne s'y intéresse. le présent est plus important. Statut si le corps cherche les chairs, le coeur se s'éprend pas de battements envoûtants. Orientation les mains rugueuses, les corps solides. Finances $$$$$$. le timer est rempli de temps salement acquis, une part par le vol, l'autre par le sexe, les fantasmes et les secrets inavouables.  gali se souvient, enfant, dévisager les heures de son timer. il se souvient la panique dans ses veines, les battements fous de son coeur, lorsqu'il est devenu majeur. il se souvient des zéros trop nombreux devant le un et non derrière, et de cette peur de la mort. il dévisage encore, maintenant. il dévisage son bras et même si les zéros sont derrière, même si le nombre est haut, il panique encore, parfois.  

Univers sigan et ses artifices. ses mensonges qui essaient de sonner vrai. Occupation(s) Les mains contre la peau de sa jeunesse ont été nombreuses ; elles ont disparues, maintenant. Aujourd'hui, l'ancienne putain dévisage les hommes sales venir dans son commerce, l'Illusion, pour baver et se branler sur des hologrammes pornographiques sous les néons des cabinets privés, effleurant parfois les corps artificiels des androïdes lorsqu'ils peuvent se le permettre. Et si l'un fait un pas de travers, si un hologramme ou un androïde vient se plaindre, Gali bannit l'homme de l'Illusion et lui crache à la gueule. Particularités À son retour sur Sigan, Gali a longtemps envisagé l'épilation au laser avant de réaliser que les autres - les hommes, surtout - aimaient son corps imberbe. Il a finalement laissé tomber et aborder son poil sans gêne, l'apprécie tout particulièrement, et affiche fièrement son torse de baby daddy. Il n'a pour l'instant subit aucun chirurgie esthétique, bien qu'il apprécie particulièrement les soins du corps et s'occupe de sa peau religieusement plusieurs fois par semaine, armé de nombreux produits beaucoup trop dispendieux. Gali parait pourtant atrocement artificiel, autant par sa manière de se comporter que par ses traits et ses vêtements. Il joue un personnage qui colle à la belle Sigan, comme un grand nombre de gens. Il reste éternel brillant, comme un soleil ou une étoile, mais ce n'est qu'un artifice. La lumière éblouit, cache la crasse du Bruni.  Lien(s) cosmique(s) a-t-il beau avoir voulu être débarrasser de tout liens obligatoires - sa famille lui suffit - gali ne peut échapper à la réalité. il possède un jumeau cosmique très certainement sur altea. il fait également parti d'un cluster (ashley,lupe, scar, joshua et sasha ) qu'il détestait tout d'abord, mais qu'il considère comme sa véritable famille, maintenant. des mélodies, comme des paroles, se perdant dans son esprit lui fait croire qu'il possède une soulmate mais gali ne peut réellement être certain de la chose. Keywords #bitch #moneywhore #kinky #diva #heels #sadboi #snake #toyboi #bigmouth #artificial #poorboi 



becan 'bebe' byrnefc ; paul craddock ; ©️️️ neo ; Comets  ; unique
65%bigmouth
60%incohérent
40%tooprecious
75%stone
60%insouciant
30%fragile
50%SOLIDE
40%fearless
   
Nom complet c'est le père qui a choisit le becan en l'honneur des trente bécanes qu'il possède ; quelque chose de puissant pour un héritier qui devait l'être tout autant. byrne gronde comme le moteur d'une bête sur deux roues.  Surnomsensemble simple des premières lettres de chaque nom ; B+B. insulte dissimulée d'abord par le père. ensuite par les brutes. bébé car il est faible. bébé car il est fillette. bébé car il n'est pas homme, jamais, qu'il fait pitié. bebe pour qu'il sache où est sa place et ce qu'on pense de lui. il s'est approprié le surnom malgré les mauvaises langues, peu insulté malgré les saletés derrière le nom, un fin sourire sur les lèvres, l'ennui dans les yeux. il est plus bebe que becan.  Naissance une faillure depuis le 11 décembre 1998. un bambin fragile, maigre, pale et trop silencieux pour être normal. la mère l'a serré contre elle, le père n'était même pas là.  Héritage culturel gueule d'angel venant des origines supposément suédoises de la mère et irlandaise du père. en vérité, les veines débordent de mélanges de toutes sortes dont il ne pourrait dire l'origine et dont il se fiche totalement.  bordel dans les gênes qui lui donnent le faciès de l'idéal d'hilter. bordel dans les veines qui lui donnent la fragilité sur les traits. bebe est tristement désintéressé par tout ce qui constitue l'héritage familiale, même s'il s'excite brièvement sur toutes nouveautés qu'il découvre. les motos restent ce qui constituent le plus sa famille, et s'il y a été intéressé un certain moment, elles perdent de leur intérêt vu tout ce qui les accompagnent.  Statut bebe aime un peu trop souvent et un peu trop follement. sa tête déborde d'histoires un peu bêtes et il s'attache furieusement. il se remet encore de sa dernière rupture, si la chose peut être appelé ainsi.  Orientation il y a presque un an, bebe s'est rendu compte que sa copine zoe était en fait un mec ; les cheveux longs portant à confusion. il a continué de sortir avec lui sans se poser de questions, pas même sur son orientation. il n'a certainement pas de préférence. (pansexuel)Finances $$$$$$. le père a du fric et par défaut, bebe en a longtemps eu. sauf qu'il a délaissé l'entreprise familiale depuis un moment et qu'il doit trouver un moyen de compenser l'argent qu'il perd par la même occasion.

Univers altea et son vert, surtout celui qui se fume.  Occupation(s) malgré la peau douce de ses mains et sa gueule d'ange, bebe bosse depuis ses treize ans au motor surgeons, garage appartenant aux grim bastards dont le propriétaire est (mal)heureusement, son père. mécanicien doué et silencieux, son talent est la seule chose n'ayant pas apportée de déception à son paternel. depuis quelques mois, bebe a diminué ses heures au garage comme  à la maison, pourtant. il bosse à temps partiel au KFC sur l'aire de repos de la route 66, essaie de se trouver une indépendance, une vie propre. forcément, le père n'apprécie pas particulièrement. Particularités rabaissé par son père, moqué par les autres. la manipulation du vent, c'est de l'air, du vide, du rien, de la merde. becan six ans a montré ses talents à son père, fier, heureux, pour se prendre un ricanement et à peine un regard. car l'air, c'est du vide. du rien. tout le reste est mieux. par défaut, le gamin n'a pas cherché à développer ses capacités ou alors à les montrer, pas aux autres. lors du processus, il a lamentablement échoué, n'a pas cherché à réussir. norms de base pour la masse, bebe est en réalité asiders selon plusieurs de ses potes. il a du mal à les croire, après tout le vent, c'est du vide, du rien, lui sert surtout à ses tours avec la fumée de ses joints, mais s'ils le disent, il veut bien y croire. Lien(s) cosmique(s) le paternel lui raconte que sa mère a perdu les couleurs quand elle l'a rencontré. bebe suppose que la même chose lui arrivera. le père dit également qu'il tuera d'un baiser son âme soeur, mais ça, c'est certainement car il a encore la rage contre sa femme qui a fini par foutre le camp, préférant les couleurs à l'homme. en vérité, bebe possède une soulmark au milieu de son dos, entre ses deux omoplates. la marque, invisible à l'oeil nu, n’apparaît que sous une certaine lumière comme l'on peut parfois trouver dans les nightclubs. si quelqu'un l'a vu, personne ne lui a dit. on juge qu'il est au courant de son existence. il possède également une jumelle cosmique même s'il n'est pas au courant.   Keywords #stone #pur #dreamer #brokenbird #pale #skate #tatoo #draw #bigmouth #slow #astral #beat #nightclub #fragile  #prince #oil #moto #sunset #night #free



mallory waelshfc : emily browning ; ©️️️ venus in furs & ABΔИDON ; UFO's ; unique
56%CAPTIVANTE
89%ANXIEUSE
30%FORTE
65%MUETTE
70%OBSTINÉE
40%INTEARS
25%PAISIBLE
50%BROKEN
   
Nom complet le prénom est mélodieux, porté par l'accent un peu lourd de son paternel. mallory est chantée doucement par la mère, implorée par une soeur qui quémande de l'attention, un peu de mouvement et surtout, tut par un frère qui est maintenant néant. waelsh, quant à lui, est porteur de trop d'histoires, waelsh qui les lie tous, dans la douleur et dans la famille, dans les désastres qui traversent son coeur et qu'elle tait.  Surnoms un rire d'enfant alors qu'elle courait dans les couloirs froids de la station ; la voix de la mère qui marmonne un lory ! furieux pour qu'elle cesse de s'agiter. lory, doux et associé aux souvenirs qu'elle préfère oublier. elle serre des dents, maintenant, lorsqu'elle l'entend prononcé. elle entend sa voix à lui. c'est mal, maintenant, qu'ils disent le plus souvent, de toute manière, les gens. mal, car elle est mal, elle est maudite, peut-être. malheureuse, surtout. et puis, lorsqu'ils murmurent et qu'ils croient naïvement qu'elle n'entend pas, ils osent déformer le waelsh terriblement et la disent mal witch ; la folle, la sorcière, la malheureuse mal witch. Naissance 22 juin 1988 sur le lobster. mal est cancer. le cancer est mal.  Héritage culturel la grand-mère waelsh a toujours parlé de manière étrange de la terre et de sa verdure, qu'importe si elle n'y a jamais mis les pieds. croyances passant au travers des arbres et des animaux, des esprits et des liens entre toute chose qui constitue le monde, elle a désiré passer ses croyances à mallory qui, de son jeune âge, était surtout éblouie par ses histoires. la femme a perdu la grande partie de son autonomie lorsque gavin était encore trop jeune, alors que tasya venait d'être adoptée et lorsqu'elle est morte, mallory a hérité de ses livres, sans pour autant les ouvrir. lorsque gavin est mort, elle a étrangement trouvé une boite contenant les choses de sa grand-mère en sa possession. depuis, la sorcière garde les livres parlant de la terre, de ses plantes et de ses animaux, ainsi que quelques pierres, bricoles en tout genre, et un jeu de tarot. de ses parents, elle garde un accent écossais un peu lourd mais chantant, et des histoires de folklore qu'elle adore tant qu'elle détestait, autrefois. Statut la triste sorcière vit en compagnie d'un homme et d'une femme, paul et sinned, et partage tout avec eux. même son coeur, sans le savoir. sans le vouloir. ils s'aiment à leur manière sans les mots et les gestes, avec quelques écarts, les yeux encore fermés, les palpitants ni fermés, ni ouverts.  Orientation homme ou femme, le coeur porte des battements. (bisexuelle)  Finances $$$$$$. elle vit principalement de ce que la terre lui offre, marchande aisément pour le reste.

Univers la belle et impitoyable terre. Occupation(s)peu avant le crash, mallory venait d'obtenir son diplôme comme thérapeute. la jeune femme a fait son possible, suite à l'événement, pour aider le plus de gens possible au point de s'épuiser pendant deux longues années. elle cesse toutes activités lorsque 2015 approche pour de raisons personnelles. depuis, mal se perd dans la forêt, les doigts curieux, le regard captivé par les plantes de toute sorte. elle s'est forgée une connaissance particulière pour la faune et flore de la terre brisée, créant remèdes - que certains disent sortilèges-, plantes hallucinogènes ainsi qu'alcool, qu'elle marchande à l'occasion pour ceux qui viennent demander. Ceux qui désirent supporter son silence un peu plus longtemps s'approchent à l'occasion pour quelques marques qu'elle tatoue, grave, sur leurs peaux au travers d'une étrange ambiance spirituelle.Particularités de lourdes cernes sous ses yeux, un tremblent dans ses doigts plus il y a de gens, un élan dans ses yeux lorsque les voix s'élèvent un peu trop fort. un silence presque total entre ses lèvres, la plupart du temps. des rougeurs permanentes contre ses mains qu'elle cache tout le temps. un millier de remords pour un mort.Lien(s) cosmique(s) ni âme soeur, ni jumeau, ni cluster et c'est tant mieux. elle a déjà perdu une part d'elle-même, ne peut envisager en perdre d'avantage. Keywords #witch #forest #anxiety #agoraphobia #plants #oldsoul #diy #sad #trees #soft #broken #mute #moon #oldworld #cabininthewood #crystal #tarot   


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MessageSujet: Re: fern    fern  EmptySam 31 Mar - 21:22



fern  51cE5aH((HATE AT FIRST SIGHT)) il a cette manie dont il ne se débarrasse jamais de détester horriblement tous les connards qu'il rencontre dés le premier regard. pour tout et pour rien. max part du principe qu'il ne les aimera pas, et souvent, il a bien raison sur ce fait. et le pire est que, le plus clair du temps, ceux qu'il supporte le moins finissent toujours par se faire une place dans son coeur et qu'il les aime plus que tout. pour cela, il les déteste encore plus fort. bande de cons. une fois qu'ils ont fait une place, max ne les lâche plus. le coeur n'est pas très grand, certainement pas spacieux non plus, mais c'est à jamais. ((ACE/ARO)) il s'est toujours jugé asexuel et aromantique d'aussi loin qu'il se souvienne. max a rapidement accepté la chose sans chercher à vouloir expérimenter les désirs de la chair. il est donc puceau à 32 ans, sans le moindre problème, et son indifférence envers les danseuses de la maison éveille souvent des moues boudeuses. il a pourtant eu droit à une longue relation de plus d'un an en compagnie de naora, sans la moindre sexualité - sauf une tentative de tripotage de nouille qui n'a rien donné - et romance, bien qu'ils s'aimaient - et s'aiment, car le sentiment est toujours là - véritablement. il s'est récemment rendu compte que l'absence de désir romantique et sexuelle est potentiellement liée à sa soulmate, car les désirs commencent à fleurir depuis qu'il fait la rencontre d'un homme plutôt pleurnichard, amateur de thé au chocolat. à 32 ans, il expérimente ses premiers rêves érotiques et pensées déplacées. ((VEGAN)) les idiots peuvent mourir par centaine mais les animaux, jamais. il est vegan depuis plusieurs années déjà, trop amoureux des animaux certainement. max ne peut s'empêcher d'être émerveillé - intérieurement, bien évidemment - par tous les animaux qui croisent sa route, et de leur parler, si personne n'est là pour le juger, avec une petite voix adorable. il ne mange donc pas de viande, ni d'oeuf, et n'utilise rien venant d'un animal de près ou de moins. vous pouvez d'ailleurs le croiser sans problèmes dans diverses manifestations à ce sujet ; il est le gars qui, à tous les coups, se fait arrêter pour violence envers un agent de police - un connard, oui -. peu le savent, mais il lui arrive régulièrement d'aller faire des tags sur diverses entreprises maltraitants des animaux. ((MADDOG)) il y a quelques années, max s'est ramené son bras - arraché - à la main au QG des sharks, l'a mis dans une glacière, s'est fait posé un bras bionique, avant d'aller dans les rues sombres de néphède, la glacière à la main, et d'offrir le bras à Victor. sans surprises, le surnom madmax ou encore mad dog est apparu quelques jours plus tard. il empeste la vérité ; max ne prête pas attention aux conséquences. il ne cille pas, devant le sang. si son emploi consiste à s'occuper des gurls et à fournir des items précis, ses mains sont imbibés de sang. il est requin, il est chien. il est bête féroce sans la moindre peur. il n'a pas de pitié pour les gens. il ne pleure pas pour lui même. pour les autres, peut-être, parfois, mais il ne le dira pas. ((SELFLOVE)) max ne se ment pas. max ne ment pas aux gens, pas sur ce qu'il est, en tous cas. il fait parti des rares personnes qui s'acceptent totalement et qui, par le fait même, s'aime comme il est, avec ses qualités - moindres - et surtout, ses défauts. il ne mâche pas ses mots, il ne se cache pas, il ne ment pas. max ne garde pas ses sentiments pour lui, insulte lorsqu'il le faut et rage lorsqu'il le ressent. il ne voit pas l'utilité d'accumuler une émotion qui finira par éclater. elle s'évade aussitôt ressentie, massacre ce qu'il faut sur son passage, si elle le doit. il dit ce qu'il pense qu'importe si les mots blessent. qu'ils pleurent s'ils veulent ; personne n'est sans fautes. qu'ils acceptent leurs merdes. max a accepté les siennes depuis longtemps, déjà. mentir n'apporte rien. ((SHY)) max n'aime pas les actes d'affection. il ne sait pas les gérer. ressentit-il déjà un profond malaise pour une accolade en toute intimité, il vous enverra un regard noir si vous le serrez dans vos bras devant des gens. il gronde lorsqu'on lui prend la main dans la rue - naora le dira - mais serre les doigts au fond des siens, si on essaie de les éloigner. il fronce des sourcils pour un baiser mais en accorde un second. des insultes peuvent facilement traverser ses lèvres lorsqu'on lui dit quelque chose de doux, un compliment ou un je t'aime, et sa nuque se teinter de rouge ; il est malhabile avec la chose, timide. il rage lorsqu'on lui vole ses hoodies, mais les achète en grande quantité pour que, justement, on puisse lui en emprunter plusieurs. max les traite d'idiote - naora et nina - comme s'il leur disait je t'aime. il les insulte lorsqu'ils ont froids et met un pull sur leur épaule, le sien, qu'importe le frisson qu'il prend, les sourcils toujours froncés. max a le coeur grand et maladroit, ne sait pas trop être délicat mais essaie un peu, parfois. ((TEA)) il boit plus de thé que d'eau, même si le thé, techniquement, comporte de l'eau. ((CACAO)) il déteste le chocolat, énormément. ((CROW)) les corbeaux sont morts. vive les corbeaux. il les tuera tous, ces enfoirés.

fern  Tumblr_oio65yqryT1qgggvgo1_400(VERMINE) La crasse de Crasma dans l'humide de l'appartement. Huit rats longeant les murs. Les Bruni sont sales, comme le nom le dit. Ils portent tous le nom de la mère ; de la putain. C'est qu'elle est stupide de coeur et de tête ; il suffit de peu pour capturer son esprit, il suffit d'encore moins pour faire battre son coeur. C'est toujours le grand amour ; un sourire et un mot doux, et la belle Italienne se fait haper par les mensonges des bels - mais laids, si laids - hommes. Lorsque le ventre enfle, tous prennent la fuite. Monica pleure un peu, puis donne un nom intelligent à son enfant. Jules, d'abord. Jules qui fronce des sourcils en grandissant et serre les dents, crache au sol et quitte le foyer dès ses 16 ans. Arthur, dit Arty, ensuite. Arty derrière ses grandes lunettes, avec ses grandes mains, son corps trop immense pour lui qui veut être petit et les mots qui bégaient entre ses lippes. Arty qui reste avec maman car elle a besoin d'aide, maman. Jeanne, ensuite. Aussi belle que maman, féroce comme une lionne. Elle tombe enceinte à quatorze ans, forcément, et quitte avec le premier con, pour revenir deux ans plus tard, un chiard dans les bras. Pablo qui ne peint pas, qui n'est pas réellement habile avec ses doigts. Pablo qui dit des grands mots mais ne fait pas grand chose de ses dix doigts, qui parle de grands projets mais finit toujours avec un oeil au beurre noir et à faire des ménages, avec maman. Alexandre, et un don inné pour compenser les cinq premiers. Alexandre qui finit pourtant par bosser dans un endroit assez minable, car il a un esprit de famille aussi, ce con, et qu'il bousille sa chance d'aller à l'université pour une bande de con. Gali Leo. Gali Leo, qu'il est beau. Il fait tâche, un peu, avec le bridé qui essaie d'être sur ses traits. Il reste à l'écart, Gali Leo, et il ne dit pas grand mot. Il disparaît à dix-ans, laissant le corps froid de Cleo, la dernière, sans un mot. (PANTIES) Sous les vêtements flamboyants se cache une culotte en dentelle rose bébé. Sous les pantalons de cuir, un collant de nylon qui effleure sa peau à chaque mouvement. Gali ne sait jamais dit qu'il voudrait être une fille ; il sait qu'il est un homme, et cela n'empêche pas le fait qu'il apprécie la lingerie féminine, autant sur les corps des femmes que contre sa chair. C'est un frisson qui glisse contre sa peau, une tension qui essaie de se glisser entre ses cuisses, une présence charnelle et secrète qui n'appartient qu'à lui. Et puis parfois, il croise certains regards. Celui des hommes qui voient un bout de tissu, ou qui savent, simplement. Gali sourit, alors ; il aborde un clin d'oeil, lance parfois un baiser, et brille, simplement. Gali brille, trop souvent. (L'AMOUR TOUJOURS) Le coeur se prend d'ébats puissants pour un peu d'attention. Du moins, avant. Petit Gali sensible, petit Gali sans confiance qui s'émerveille de l'attention de n'importe quel homme. Il a brisé ses ailes plus qu'une fois, pour une simple caresse ou un compliment. Il s'est brûlé les doigts et son joli minois, à jouer avec le feu sans savoir c'était quoi. Le coeur aborde depuis un sentiment doux amer envers les souvenirs des hommes. Gali leur répond avec douceur et un ton miel dans la voix, les effleure et les caresse, sourit pour un compliment, mais le coeur reste caché quelque part tout au fond de lui, et il ne les voit jamais réellement longtemps. Il a appris, avec le temps. (CLEO/CLOE) Elle était son trésor, sa princesse. Petite et laide, puis petite et belle. Elle a toujours eu l'intelligence et le coeur qu'il n'avait pas. Cleo lui a donné son temps, chaque seconde de sa vie, jusqu'à la dernière. Cleo est partie et Gali est parti un peu, aussi, pour la chercher et la retrouver. Il y a quelques années, il a osé rêver et réaliser un androïde possédant son caractère, sa personnalité, son visage et sa bonté. Une pale copie de la réalité, pour elle comme pour lui. Au final l’androïde a évoluer autrement, peut-être comme Cleo l'aurait fait un jour, qui sait, et est partie en abordant le prénom de Cloe. Gali pense à elle, parfois. Il ne sait pas réellement s'il la voit comme Cleo ou Cloe, mais il sait qu'elle est sa petite soeur, et que quelque part, elle lui manque. (ILLUSION) Sous les néons de diverses couleurs, Gali est assis derrière son comptoir, limant ses ongles. Derrière lui, un long couloir, de nombreuses portes, des miroirs. Les hommes et les femmes sont cachés dans les cabines, vivent leur pire vice. Sur ses cuisses, un chat angora dort paisiblement. La bête est fausse, forcément ; mécanique dispendieuse, cervelle de pixel trop raffiné pour être un simple félin. Il vaut mieux ne pas se laisser berner par ses yeux hétérochromies.  (MAUVAIS RÊVE) Gali dort mal, la nuit. Gali possède trop d'oreiller, dans son lit. Gali fait des attaques de panique suite à de mauvais rêves, des secondes en moins et du temps trop petit pour être compter. Il peine à dormir sans quelqu'un avec lui dans son lit, mais n'aime pas non plus réveiller les autres, quand ils sont endormis. Il compense avec des thés et des cafés, du cache cerne et des boissons énergiques. Le caractère en est touché, les blagues deviennent encore plus lourdes et ses exagérations plus marquées. (VOIX CASSÉE) Il a toujours adoré chanté. La voix fait étrange entre ses lèvres, surtout lorsqu'il était plus fragile. Elle est rauque et chaude, mais faible. La gorge porte des blessures qu'il n'a pas la force ni l'envie de faire guérir. Il a trop hurlé, peut-être. Il y a quelques années, un docteur lui a dit qu'il pouvait perdre la voix, un jour. Gali a ri, n'a rien fait, et ne chante plus. Peut-être s'est-il dit qu'il le mérite. De toute manière, la plupart des chansons qui restent dans sa tête lui sont bien souvent étrangères. (CENDRILLON) Les ménages dans les grandes demeures et les richesses ont fait partis de son enfance. Maman faisait des ménages. Les gosses allaient aider maman. C'est là qu'il a vu Lupe pour la première fois, sans savoir. Gali détestait ménager des choses qu'il ne pouvait jamais obtenir. Il a volé, quelques fois. Maman a perdu certains contrats sans savoir ; elle mettait la chose sur le dos des androïdes qui finissaient par faire toutes les choses qu'elle savait faire, pour moins cher et mieux fait. Mais Gali volait ; Gali tout et n'importe quoi, dans les demeures. Une vilaine habitude qu'il n'a pas perdu, encore aujourd'hui. Il s'empare de tout et de rien, parfois sans se rendre compte. Un briquet, une boucle d'oreille, un collier, un bout de papier, une fleur. Le corbeau vole ce qui brille, ce qui attire son regard. C'est plus fort que lui, quelque part. (ARTIFICE) Gali aime le faux. La fausse fourrure, les fausses teintures, les faux diamants, les vrais aussi, également. Les fausses romances, les fausses amitiés. Les rires illusoires, les sourires menteurs. Les vêtements trop brillants, les couleurs éblouissantes. Les chansons faits depuis un ordinateur, sans réel chanteur.  (COMA) La première fois qu'il l'a vu, réellement vu, Gali a senti son souffle se bloquer dans sa gorge. Ashley. Il savait qui elle était, forcément, vu le succès de ses chansons. Pas qu'il en soit particulièrement fan, ni qu'il déteste. Mais le souffle s'est bloqué, dans ses poumons. Il a eu envie de pleurer, brièvement. Il a trembler un long moment, même lorsqu'il a pris ses doigts entre les siens, froid, et qu'il lui a parlé, simplement. Il ne sait pas réellement pourquoi, même aujourd'hui. Le sentiment était semblable à celui ressenti lorsqu'il a vu Cleo pour la première fois. (LILAS) Les fleurs lui donnent envie de pleurer, parfois, sans qu'il ne sache quoique ce soit. Il dit être allergique à l'odeur. (ALTEA) Le monde verdoyant l'a accueilli pendant presque cinq ans. Cinq ans pour retrouver son chemin. Cinq ans à vendre son corps et découvrir des horreurs qu'il adore, un frisson contre son échine et des secrets charnels qu'il espère oublier, parfois. Ce monde très clair lui a permis de découvrir les noirceurs se dissimulant contre sa chair. (NECKLACE) Autour de son cou, une chaîne en or. Il ne la retire jamais. (PLATEFORME) Gali possède une collection de chaussures plutôt massive. Les plateformes sont les plus nombreuses, qu'importe s'il est déjà trop grand. Ses préférés s'illuminent de multiples couleurs au contact avec le sol. (GÉLATINE) Il mange plus de bonbons que de légumes, trop de sucres pour son propre bien. Gali fait certainement du diabète mais c'est pas grave, il a mangé un brocoli cette semaine. (ANIMAUX) Il adore les animaux. Grands nombres de ses vêtements abordent des rayures de tigre, de zèbre, des tâches de léonard et encore plus. (ROSE BONBON) Beaucoup trop de ses vêtements sont roses. (DADDY) Il a un penchant pour les hommes mûrs, et ne le cache pas. (ÉDUCATION) Il n'a jamais réellement été à l'école. Ou du moins, appris quoique ce soit. Gali peine encore à lire des phrases avec facilité, et ne peut écrire sans faire de fautes. Heureusement, la technologie de Sigan lui permet de dicter ce qu'il veut écrire et de faire lire le logiciel à sa place. (BABY)  Baby, son chat, est un androïde possédant le logiciel les humanoïdes. Peu de gens sont au courant. Encore moins l'ont déjà entendu parler. (LARMES) Gali ne pleure pas comme au cinéma. Il est laid, lorsqu'il le fait. (LANGUE SALE) Il a cette manie de chercher la petite chose qui provoque, le mot à ne pas dire, le mouvement à ne pas faire. Gali aime jouer avec les gens, jouer avec la nourriture, teaser et chercher la petite faille pour les voir perdre leur calme ou encore être embarrassé. (VEINES) Il déteste ses mains, trop veineuses à son goût, trop grandes aussi.  (ECHO) Son visage sur un autre corps. Un autre comme lui, quelque part. Oskar de prénom, qu'il a appris. Sur Altea, certainement, vu le nombre de fois que certaines personnes l'ont abordés en l’interpellant ainsi.
fern  LgEdPlo(garçon)  bebe est au pire une fillette et au mieux, un garçon ; jamais un homme. fils d'un père misogyne dans un gang tout aussi fermé d'esprit, il s'est déjà pris à la gueule un j'aurais préféré avoir une fille, au moins j'aurais pas eu d'attente tout à fait charmant. bebe ne se plaint pas, n'est pas blessé. de toute manière, il n'a pas envie d'être un homme. de toute manière, il n'a pas envie de grandir. papa est le big boss des grim bastards ; bebe est destiné à prendre la relève. mais bebe est un garçon et pas un homme, bebe est déception. c'est un garçon, l'ombre d'un homme. il arrive encore quelque fois que le père l'observe et espère mais finit par détourner le regard et ne plus lui porter attention. bebe est sous-estimé, vite jugé, vite casé. bebe peau de neige, lèvres roses et regard ciel est plus qu'une poupée de porcelaine et tant pis pour ceux qui veulent qu'il soit ce qu'il n'est pas, et qui osent croire qu'il est tout autant une chose qu'il n'est pas. (passion) bebe aime tout, tout le temps, trop souvent et peu longtemps. il s'éprend des nouveautés qu'il rencontre et se passionne intensément mais peu longtemps. bebe connait peu sur beaucoup de choses. il connait quelques mots, quelques phrases en plusieurs langues. bebe sait faire un cygne en origami et quelques autres petites choses, aussi. bebe sait jouer une chanson à la guitare et trois autres au piano. bebe sait faire du bmx mais préfère le skate, chose qu'il n'a pas abandonné encore. bebe sait faire le changement d'huile sur une voiture mais pas où mettre le lave-glace. bebe sait compter jusqu'à dix en japonais mais ne va pas plus loin que konichiwa. bebe sait tout sur les motos mais a vendu la sienne il y a deux mois pour une auto pourrie. bebe a plusieurs livres dans sa chambre, la plupart tous commencés, rarement terminés. bebe possède un carnet de dessin qu'il oublie souvent trois mois pour s'y concentrer intensément une semaine et l'oublier une nouvelle fois. bebe a des tubes de peinture dans une vieille maille qu'il n'a pas touché depuis plus d'un an et des toiles qui traînent un coin de sa chambre.  (sans peur) bebe emprisonné dans un monde qui n'a rien de la réalité. bebe grandit au travers des armes, des hommes grands et forts, dangereux mais qui ne le touchent pas. bebe grandit dans une bulle trop opaque pour qu'il puisse voir quoique ce soit. bebe sans savoir grandi dans un monde faux qui lui donne une protection qui n'existe pas, une liberté et un pouvoir qu'il ne remarque pas. bebe, par défaut, ne craint pas grand chose. pas stupide ou idiot, pas innocent ou alors naïf, bebe est surtout inconscient, aveugle de la réalité. bebe ne croit pas le mal chez les gens, celui qui pourrait s'abattre sur lui. bebe est trop beau et trop gentil, sourit doucement et s'attache aux gens même si les mains sont en sang. bebe envoie des doigts d'honneur et des insultes au monde entier et rit et n'a pas peur de se faire massacrer par les bêtes noires. il fixe dans les yeux et ne cille pas devant le danger, sourit simplement et penche sa tête doucement, continue de parler même si on lui hurle de se taire et ne craint pas le poing qui se lève. bebe n'a jamais vu le trône sous ses fesses et n'a toujours pas remarqué qu'il n'est pas toujours dans le royaume de son père. bebe traverse la route 66 à pleine vitesse, le pied enfoncé jusqu'au plancher, et rit et n'a pas peur de se prendre le mur. bebe est sans peur jusqu'à ce qu'il meurt. (nuit) le noir ne lui fait pas peur. le noir l'accueille. bebe est réconforté par sa présence ; les paupières ont beau tomber de fatigue, il reste éveillé à dévisager le calme qui règne. l'atmosphère unique qui prend place, la nuit. bebe seul avec lui même, bebe seul avec ses pensées. bebe sans mots, un fin sourire sur les lèvres, une lueur douce dans l'oeil. adolescent indomptable qui roule sur sa moto sans savoir où aller, pureté sans attache courant derrière quelque chose qu'il n'arrive pas à attraper, nuit après nuit. il finit par vendre sa moto pour s'acheter une voiture. elle ne vaut pas grand chose, la mécanique déraille plus qu'autre chose. la radio fonctionne, par contre. le lecteur accepte les cd. alors bebe y enfonce des cd et roule plus lentement dans la nuit et trouve une certaine paix. il ne se trouve pas totalement lui-même, il ne sait pas encore qui il est, ce qu'il veut, mais il sait qu'il désire ce moment. ce moment seul - ou accompagné - dans sa voiture et dans la nuit, la radio portant quelques paroles et les fenêtres ouvertes. il y  trouve une paix. il y trouve un calme qui l'appelle et qui l'apaise.  (poisson rouge) derrière le bleu de ses yeux, le rouge de son coeur. le rouge autour de ses iris qui plane et qui est trop souvent présent. bebe sourit lentement, un peu endormi, trop calme, le coeur doux. les pensées sont un peu plus délicates dans son esprit et les questions ne sont pas totalement folles. bebe aime les bonnes choses. bebe abuse parfois des bonnes choses ; il fume un peu trop peut-être, les yeux trop souvent rouges. on oublie, parfois souvent, que ses yeux sont bleus. si on demande quel couleur sont les yeux de bebe, on est porté à répondre rouge. rougis par la drogue, rougis par la brume. car bebe, on le connait souvent absent. souvent un peu ailleurs, assez lent et assez loin, même s'il est là, à un simple pas. bebe sourit mollement et ricane doucement, un peu trop défoncé et trop absent, des mots décousus entre les lèvres. c'est une chose qu'il ne perd pas, les mots. bebe parle trop souvent. un peu trop longtemps, pour dire un peu trop n'importe quoi avec une passion ou un entrain qui laisse les gens incertains, comme s'ils ne savaient pas quoi faire avec lui, comment le comprendre, comment lui répondre. comme s'il était une étrangeté. le rouge dans les yeux, ses paroles suivent une voie qui n'existe pas ; ses paroles n'ont pas de sens, encore moins quand ses pieds ne touchent pas le sol. l'esprit de becan va trop vite ; il peine à le suivre lui-même. la bouche essaie, souvent, de le suivre. les mots s'enfargent et les phrases se mêlent. il oublie la suite, souvent, aussi. il oublie où va son esprit.  on ne l'écoute pas vraiment. ou alors, on écoute le son de sa voix. elle est douce, sa voix. (vrac) bebe n'aime pas les desserts, n'aime pas les choses sucrées. ils lui rappellent le départ de sa mère. + il boit trop souvent des boissons énergisantes et ne mange pas assez souvent de fruits ou de légumes. + il aime le fastfood un peu trop, tout ce qui contient de la viande essentiellement. + il n'aime pas les chats, préfère les chiens, ceux qui ont trop d'énergie et aiment trop fort. + becan n'a pas la mémoire des visages mais se souvient des prénoms et des moments. + bebe cherche le regard des gens lorsqu'il parle et les regarde dans les yeux, sans filtre ni rien. + il sourit de toutes ses dents et ne sait pas faire de clin d'oeil ; il ferme les deux en même temps, trop souvent. + bebe est doux mais pas fragile, pas totalement ; ses mains sont douces mais elles savent comment tenir une arme et le sang y a déjà touché, y a déjà séché. +  il croit aux fantômes et aux histoires étranges mais ne se laisse pas prendre à ces histoires d'autres mondes et de clusters ; il se dit que ce sont des esprits. + il aime altea et ses couleurs et sa beauté et ses saletés, aussi. il aime ses imperfections. + bebe se perd dans la nuit, dans les nightclub, la fumée du toxique et dans l'inconnu aussi pour se trouver + bebe n'a pas besoin de savoir d'où vient une chose pour l'aimer ; il aime sans se priver, sans juger. il ne connait pas le titre de ses chansons préférés, ne connait pas l'artiste. il se souvient de phrases venant de livre dont il a oublié le titre et l'auteur. il s'éprend d'un visage dans la rue, d'une personne une soirée sans même creuser. + bebe aime les fleurs, mais pas les bouquets de fleurs. bebe aime les animaux, mais pas les zoo. + il lui arrive de penser qu'en trouvant sa soulmate, il se trouvera aussi + bebe vole les vêtements de ses potes sans s'en rendre compte. il finit souvent avec des chandails beaucoup trop grand, des jeans qui tombent sur sa taille, des chaussettes dépareillées. + contrairement aux apparences, bebe ne boit pas d'alcool, ne fume pas. le weed lui suffit + becan se balade en permanence avec un sac contenant plusieurs morceaux de vêtements et certaines de ses choses car il ne sait jamais s'il va dormir chez son père, ou alors dans son appartement avec les potes. + lors de ses balades nocturnes, il finit parfois à la plage. à l'occasion, bebe ramasse quelques cailloux qu'il garde dans un pot transparent comme s'ils avaient une importance particulière + il possède une vingtaine de tatouage. tous minuscules. certains entre ses doigts, certains sous ses pieds, derrière son oreille gauche, sous ses cheveux, contre ses côtes. aucun est un mot ou une chose ; chacun est un ligne, un point, une forme certaine. chacun raconte une histoire qu'il a oublié lui-même + bebe ne déteste pas son père, malgré tout ce qui est arrivé. il le comprend d'une certaine manière, et l'aime à sa façon. personne n'est parfait, tout le monde est différent + bebe accumule beaucoup de choses qui ne veulent pas dire grand chose. + bebe est beaucoup de choses qui ne veulent pas dire grand chose ( ou au contraire, trop de choses )
fern  Tumblr_oqp17qu4MC1rftd23o2_250 ((PERFECTION)) Depuis sa plus tendre enfance, Mallory a toujours cherché la perfection. Être la parfaite fille pour ses parents, puis la parfaite grande soeur pour Gavin, puis Tasya. Être la parfaite élève à l'école, la parfaite amie, la parfaite petite amie, la parfaite fiancée, aussi. Mallory a toujours fait la chose avec un dévouement complet, s'oubliant d'une certaine manière, valorisant les autres, désirant incarnée la perfection à leur yeux et leur offrir ce qu'il y a de mieux. Elle s'est perdue dans de longues études qui, au final, n'était peut-être pas son rêve mais une fierté pour son père. Elle s'est fiancée à un garçon parfait aux yeux de sa mère, allant avec la fille parfaite qu'elle était, même si elle ne voyait que le vide dans ses yeux, unique à celui qu'elle voyait dans le miroir. Mallory s'est accrochée douloureusement à cette idée de la perfection, si fort que ses mains sont maintenant rouges sang, plus jamais blanches, si fort qu'elle s'est détruire un petit peu à la fois, lentement et surement, jusqu'au point de non retour. Lorsque les yeux se sont ouverts, il était déjà trop tard. Son esprit était déjà un peu brisé et son frère s'était suicidé. ((TOUCH)) Si elle ne parle pas énormément, Mal compense l'absence de ses mots par les gestes. Son visage est gravé par les expressions qui y prennent place et son corps est traversé par les gestes qu'elle offre. Une main contre une épaule, une accolade, une caresse. Elle montre au travers de gestes ce qu'elle n'arrive pas à expliquer, à développé. Elle n'est pas, pour autant, démonstrative. ((GHOST)) Elle les appelle affectueusement, dans sa tête du moins, ses fantômes. Car ils ne viennent pas d'ici. Car ils viennent d'un autre monde. C'est peut-être pour cette raison qu'elle les aime. Les fantômes ne sont pas vivants ; ils ne peuvent donc pas mourir. La pensée est puérile et sans logique, mais elle la fait sourire. Ils la font sourire. Sinned et Paul. Aussi brisés qu'elle, peut-être. Aussi particuliers qu'elle, totalement. Ils ne s'assemblent pas à la perfection. Ils ne sont même pas des pièces appartenant au même puzzle. Mais ils fonctionnent, à leur manière. Au travers des silences lourds de tension, au travers des hurlements occasionnels et des larmes trop régulières, mais aussi des rires lourds et étouffants, des tendresses éphémères et promesses d'une nouvelle ère. Ils ne sont pas une part d'elle. Ils sont des êtres entiers, totalement différents et si particuliers, et elle les observe sans un mot le plus souvent, fascinée par tout ce que les crée. Elle ne les comprend pas totalement, ne les comprendra jamais totalement, mais c'est une chose qu'elle a comprise, en les observant ; elle ne veut pas les comprendre. Elle veut être fasciné, tout le temps, jusqu'à la fin des temps. ((QUIET)) La sorcière a trop parlé pendant des années ; trop parlé sans réellement savoir ce qu'elle disait, sans réellement avoir la certitude de ses mots. Mallory a parlé pour rassurer les autres à l'aide de phrases toutes faites et apprises par coeur. Et elle s'est bernée elle-même. Mais depuis que ses yeux sont ouverts, Mal se tait. Mal ne parle pas souvent, ne parle plus longtemps. De toute manière, les mots restent souvent pris dans sa gorge lorsqu'ils traversent des phrases trop longues. Les syllabes s'enfargent sur sa langue et elle baisse les yeux, en colère, incapable de pouvoir parler assurément. Mal préfère se taire, maintenant. Elle dit des maigres mots, mais des mots qu'elle pense. Elle réfléchit tout longuement, trop longuement, et lorsqu'elle parle, elle ne ment pas. Lorsqu'elle parle, ce n'est pas par plaisir, c'est par nécessaire, d'une voix basse et calme qui demande à ce que l'on tende attentivement l'oreille, pour l'entendre. ((REDHANDS)) Elle s'est brûlée les mains il y a presque quatre ans maintenant en y renversant de l'eau bouillante. Si les doigts sont presque sans traces, les paumes et les revers de ses mains sont particulièrement rouges et sensibles, et Mallory porte des gants sans doigts quotidiennement pour cacher la chose. Elle ne les enlève que rarement, très consciencieuse de l'apparence de ses mains, dormant bien souvent avec eux. Par le fait même, elle possède une petite collection de gants, certains lui servant plus en hiver et d'autres en été. ((WITCH)) Elle est un peu étrange, maintenant, Mallory. Elle est un peu fascinante, également. Elle s'est perdue entre les arbres une nuit et depuis, elle n'est pas totalement revenue. Il y a des moments où son regard se perd dans le vide, comme si elle écoutait quelque chose, au loin, venant des arbres, des feuilles et des branches, aussi. Comme si elle entendait ce que la forêt dit et qu'elle détenait tous les secrets du monde. Il y a quelque chose, aussi dans, ses yeux. Une lueur, lorsqu'elle vous regarde ; comme si elle savait. Comme si elle savait tout ce que vous cachiez, qu'elle lisait votre âme. On la dévisage avec fascination, intéressés par les herbes et les plantes qu'elle possède, les remèdes, avec ses saletés hallucinogènes et ses alcools indigènes. Mais le pire, c'est les os. Les os d'animaux un peu partout dans les pièces, et les cartes qui racontent le futur de la vie. Les plantes séchées qui pendent sur des ficelles accrochées, les cristaux perdus à la fenêtre, reflétant la lumière du soleil. Des peaux d'animaux qui attendent d'être transformés en vêtement. Les os taillés sur lesquels elle fixe des aiguilles pour tatouer les gens, lorsqu'ils osent venir la voir, pour cela. ((HIM)) Il s'appelait Gavin. La voilà, la tragédie de cette histoire ; il s'appelait Gavin. Il n'est plus là depuis un peu plus de trois ans, maintenant. Gavin est parti de lui-même, il n'allait pas bien. Personne n'a vu, derrière ses sourires et ses rires, derrière ses regards forts et ses airs puissants. Gavin est mort à 24 ans ; il aurait 27 ans, aujourd'hui. Mais il est parti avant le temps. Il était pilote ; un très bon pilote. Un peu jeune encore, mais assez confiant pour avoir un poste à l'occasion dans la salle de commande du lobster, avant le crash. Comme cette journée-là. Cette journée-là, Gavin devait être là-bas, sauf qu'il a échangé son poste avec un autre pour être avec son ami Patch. Et il a vu ; il a vu au loin, dans un plus petit vaisseau dans l'espace, la partie du lobster tomber tragiquement. S'il a ressenti des remords, il n'a rien dit. Rien montré. Pendant plus de deux années. Jusqu'au moment où il s'est tué. Personne n'a vu la chose venir. Mallory n'a rien vu venir ; c'est quelque chose qui l'a brisé, elle qui passait ses journées à aider ceux qui, justement, avaient un peu ce genre d'idées. Mais lui, elle ne l'a pas sauvé. Elle n'a même pas vu qu'il avait besoin d'être sauvé. ((ANXIETY)) La voix tremble. Les mots tombent. Les voix montent ; les gens parlent fort, trop fort, les gens sont trop nombreux, trop présents, trop vivants, trop compliqués. Mallory ne supporte plus les gens ; plus ils sont nombreux et plus ses doigts tremblent. Elle ne supporte plus les conversations trop longues, trop importantes. Les larmes se glissent dans ses yeux et un noeud se crée, dans sa gorge. Elle fuit les foules, les camps, perdue dans les bois depuis un moment, maintenant. Ils sont peu nombreux, ceux qui parviennent à l'approcher régulièrement. Elle les dévisage d'un air froid, les garde à distance, armée d'une expression hautaine alors qu'en vérité, elle tremble des pieds à la tête, la panique dans les veines. C'est dans la distance qu'elle dévisage les autres, perdue entre les arbres, perdue dans son propre monde. Mallory garde un pied hors de la réalité et surtout, hors de la société, car elle ne sait plus dealer avec ce qui l'a autrefois constitué. Le coeur rate éternellement des battements et elle se détourne à chaque fois vivement lorsque l'on ose, une seconde, l'envahir sans lui lancer le temps de se familiariser à la chose. Bête sauvage et apeurée, elle tremble et fuit pour ne pas être chasser, pour ne pas pleurer, pour ne pas briser. Dévisage longuement les bêtes qui osent s'approcher, le regard froid qu'elle détourne toujours trop rapidement, incapable d'affronter quoique ce soit ressemblant à la société depuis qu'elle est craquelée. ((LULLABY)) Si mal ne parle pas, elle chante souvent tout bas. Elle danse avec le vent, avec le murmures des arbres, des pas que les autres ne connaissent pas. Elle chante pour les gens lorsqu'elle croit qu'ils n'entendent pas. Elle parle au animaux tout doucement. Elle fixe les gens mais ne les voit pas réellement. On dit que lorsqu'elle a trouvé son frère, elle a hurlé si fort qu'elle s'est brisée les tympans. On la juge sourde mais ce n'est pas le cas.
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MessageSujet: Re: fern    fern  EmptyLun 9 Avr - 21:00



1984 Rencontre de Oliver Ross, 18 ans, originaire de Nephebe, et de Mina, originaire de Sigan. Si Oliver porte un carnet entre ses doigts et une mission dans son coeur, il oublie parfois sa tâche et son groupe pour passer quelques heures en compagnie de la belle blonde.
Mars 1986 Naissance de Maxens à Sigan, dimension natale de sa mère.
Fin 1986 Mina rentre à l'appartement en compagnie de son bambin de quelques mois. Elle remarque que la serrure est cassée, que la porte est ouverte. L'enfant serré contre sa poitrine, elle pénètre chez elle pour découvrir le corps sans vie d'Oliver. Le parquet de bois est carmin, le gorge est coupé, les yeux bleus de l'homme renferment des océans sans vague. Elle avance d'un maigre pas ; le parquet craque, sous leur poids. Un cliquetis capte son oreille ; elle tourne les yeux, brièvement, vers le couloir menant à la salle de bain. Mina doute, une seconde. Doute d'avoir entendu quelque chose ; l'enfant chigne. Un autre bruit. Elle serre ses doigts, et l'enfant chigne plus fort, avant de pleurer. Le parquet grince ; elle n'a pas bougé. Ses yeux s'ouvrent grand;  trois hommes apparaissent et elle les voit, malgré ses larmes. La triste amoureuse tourne le pas, s'élance vers la porte. Un bruit retente. Mina n'entend que les pleurs de Max. Mina ne sent pas la douleur. Mina court. Mina court jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à sa dernière goutte de sang. Mina court et se cache, fuit vers un portail, vers le vieillard. Si l'homme pense brièvement à la soigner, il ne peut rien faire. Trop de sangs perdus. Trop de larmes ayant coulées. Le coeur est trop brisé, de toute manière, pour être réparé. Elle lui confie le bambin, alors.
1991 Max, cinq ans, demande ce que signifie l'étrange marque sur son bras. Le vieux lui explique pour les âmes soeurs. Max fronce des sourcils, serre ses petits doigts et désigne l'autre, ensuite. Et ça ? Qu'il demande. Ça ? que répond le vieux. Ça, on le cache et on n'en parle pas. Le petit monstre hoche de la tête et recouvre son horloge, alors.
1998 Premiers actes de rebellion plus ou moins importants de Maxens. Première teinture noire sur la chevelure blonde, première d'une longue lignée qui n'a, à ce jour, pas encore cessée.
2001 Max, 15 ans, quitte l'école malgré l'avis de son grand-père. Pour éviter les multiples disputes avec le vieux, Max commence à se perdre dans les rues de la ville et s'aventurer là où il ne devrait pas se trouver. Il passe certaines nuits sur le toit d'un immeuble appartement dont les derniers étages ainsi que le toit ont été condamnés, cherchant dans le ciel des étoiles, sans réellement en trouver.
2003 Rencontre avec Nina Rhodes, 12 ans, sur son toît. La gamine répond à ses insultes et ne recule pas devant ses menaces et au fil des mois, Max se prend d'affection pour elle.
2005 - présent Construction et amélioration d'une cabane sur leur toit, en compagnie de Nina.
2008 Confrontations multiples avec divers hommes dans un secteur de la ville. L'ouïe de Max perçoit les plaintes d'une femme se faisant harceler physiquement. S'il perd une molaire au cours de la bagarre, Max ne se plaint pas. La femme le remercie. Il prend habitude, par la suite, de s'égarer dans le secteur et intervient à diverses reprises pour diverses femmes. Au fil des mois, il gagne les confiances des filles dans le vouloir, danseuses pour les Sharks, et intègre le gang.
2012 Dégradation de la santé du vieux. Plus agité, moins présent, presque furieux. Max le dévisage, sourcils froncés, mais ne pose pas de questions. Chacun garde un pas hors de la vie de l'autre, de peur de ce qu'il peut découvrir.
2013 Perte de son bras droit lors d'une transaction qui tourne mal. Accusé de voleur par le vendeur, Max se fait couper le bras à coup de machette tandis qu'on le tient contre une table, la joue écrasé contre le bois. Trimbalé dans un véhicule noir, balancé sur le bitume froid, humide, pourri, marché quelques quelques kilomètres, les doigts dans les siens, le coeur qui commence à aller loin. Max parvient au repère des Sharks avant d'atteindre l'inconscience, et on lui greffe du sanguin comme du faux pour le bras.  
Octobre 2016 Décès du vieux. Rentrant après quelques jours d'absences, Max le découvre sans vie dans son bureau, le tête appuyée sur des centaines de gribouillis. Il essaie de le réveiller pendant de nombreuses minutes, lui fait un massage cardiaque, cassant plusieurs côtes sur le passage, avant d'appeler les urgences. Overdose, selon le rapport. Un excès de médicaments.
Juillet 2017 Max retourne à l'appartement du vieux qu'il possède toujours ; la poussière lui bousille les poumons, mais c'est la routine. En manque d'argent, il fouine dans le bureau du vieux à la recherche d'objets de valeurs pour ne rien y trouver, sauf un carnet portant le nom de son père. Curieux, Max l'ouvre et essaie de le lire, mais l'ouvrage semble renfermer une forme de code quelconque. Sauf quelques mots, tout lui est inconnu. Il l'emporte avec lui.
Septembre 2017 Découverte du portail menant à Altea grâce au carnet. Max disparaît pendant plus de dix jours dans l'autre monde.
Décembre 2017 De l'appartement du vieux, Max est passé à la cabane sur le toit à plein temps. Dans le salon, un mur est orné de ficelles rouges, d'articles de journaux et de dessins étranges venant du carnet. Il dévisage les informations d'un oeil endormi, pense à ses derniers voyages à Altea, pense aux secrets que le carnet leur cache, encore. Un soupir quitte ses lèvres ; il passe ses doigts dans ses cheveux noirs avant que son regard ne tombe sur le visage endormi de Nina, sur le canapé. Se penchant vers elle, il remonte le plaid sur ses épaules, avant de se redresser. Le requin fouille dans ses poches quelques secondes, avant de sortir une photo usée, bien que récente. Il s'empare d'une punaise pour l'ajouter au mur puis, marqueur rouge à la main, trace un point d'interrogation sous la tête de l'homme, après avoir encerclé son visage. Un homme qui le suit. Un parmi tant d'autres, il lui semble.
mi janvier 2018 rencontre avec sasha beaumont, âme soeur, dans l'appartement de paul beaumont, shark porté disparu depuis quelques semaines.
fin janvier 2018 début de l'amitié ultime avec yohan bb.
début février 2018 découvert d'une photographie de ses parents dans un carnet parlant de sigan. découverte de la ressemblance entre ajay artemiev et son paternel. max le confronte, arme à la main, persuadé qu'ajay a tué son père pour voler son visage. ils découvrent la même soirée, grâce au carnet, qu'ajay est le jumeau cosmique de son paternel décédé. ils découvrent par la même occasion l'existence des corbeaux et décident, ensemble, de se lier et de se venger.
fin mars 2018journée altea avec sasha. tatouage dos. nina offre une bagnole.
13 avril 2018 opération yasmeen sigan ; accompagné de scar, sami et yasmeen, ils ramènent la belle dans son monde.  
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MessageSujet: Re: fern    fern  EmptyLun 9 Avr - 21:01



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kassian
bébé kass fait la gueule devant bébé becan ; on lui a pris la place.
la moue sur les lèvres ne dure pas longtemps ; bebe est trop attachant. des petits mots mesquins prennent place pourtant.
poings serrés, regard noir et corps tendu ; bebe crée une routine à suivre pour apaiser le coeur martyr lorsqu'il peut aider.
regard baissé, épaules voutés lèvres boudeuses ; kass offre le froid de ses peintures sur la peau de bebe pour libérer son esprit de ce qui le torture.
les rires sont hauts ; les rires sont forts. les yeux brillent ; ils sont rois du monde jusqu'à la prochaine chute.
ils se relèveront.   

mads
les sourires sont doux un peu brusques et les gentilesses trop présentes ;
mads lui apporte un confort étrange avec ses sourcils froncés, ses mots sans délicatesses et ses mauvaises manières. c'est chaleureux, étrangement.
clyde le grand dragon ; il ne devine pas que bebe a la peau froide et crache ses flammes ; ne sait pas qu'il le réchauffe sans le vouloir.
il a un quelque chose de réconfortant, avec ses mauvais coups et ses drôles d'air. ça met un sourire sur les lèvres de bebe ; ça lui donne envie de résister, d'insister, de le titiller. ça donne envie de le provoquer et de sourire en toute innocence.
ça donne envie de l'aimer même si ça parait un peu compliqué.   

reyn
coup de foudre subit après léger regard hésitant ; les mains sous le capot, les yeux brillants, bebe s'attache un peu trop rapidement. reyn sort des grands mots; bebe les avale à s'en étouffer. début d'un conte de fée.
le calme à l'état brut ; la fumée sur les noie dans un abysse brumeux.
reyn et bebe, perdus dans les mots trop nombreux et les histoires sans début ni fin, sans milieu.
reyn et bebe, les mots trop nombreux et les questions qui s'égarent.
bebe et reyn, l'adrénaline dans les tripes et les inquiétudes entre les lèvres du fragile, pour faire monter l'anxiété avant de sauter, avant d'éxécuter, de tout briser.
bebe et reyn ; des conneries par centaine pour du sérieux en petites miettes ; des yeux qui brillent sans jugement, des paroles avouées sans semblant, des rires forts qui brisent la gorge et de sang bouillant dans les veines face à l'action.
 

lua
le faux contre le vrai ; les blonds se mélangent sur le vieux parquet.
lua aboie d'un rire hyène, bebe garde les lèvres scellées pour ne pas se moquer trop fort.
la lune est pleine dans le ciel et les draps sont un peu froids, ils se collent l'un contre l'autre dans la soie.
bebe a voulu rentrer chez soi ; lua n'aime pas dormir seule la nuit.
bebe est resté, un peu soulagé.
les draps ne sont pas réellement en soie ; c'est lua, la soie. celle sur son coeur, sur sa peau déjà trop douce. elle le manipule avec une douceur presque excessive qu'il ne comprend pas mais qu'il accepte sans demander quoique ce soit. c'est doux, délicat. c'est grossièrement en contraste avec ce qu'elle est et ce qu'ils sont et c'est beau et doux. c'est des attentions trop appuyées, des rires à moitiés étouffés, des joints échangés et eux contre un monde tout entier.   
shade
c'est la plus belle.
c'est une chandelle ; dans les tripes, toujours cette peur qu'elle disparaisse.  
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