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 time to live (nathaniel)

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MessageSujet: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyMar 19 Juin - 22:01

Sarah Coucou  coeur J'suis contente d'être ici. C'est Sarah, 23 balais et j'essayerai de passer au maximum  qt Sinon cet univers est tellement fourni et canon, j'adore  kr  tbe  

Nathaniel Sawyerfc : jordy baan ; ©️️️ faust ; Rockets ; unique
99%INDEPENDANT
90%MEFIANT
87%CHARMEUR
58%MENTEUR
61%INDULGENT
90%RESERVE
82%PRUDENT
74%CALCULATEUR
   
Nom complet sawyer nom connu dans tout sigan pour être celui d'une de ces riches familles dirigeants le peuple. nom abandonné, oublié, fui. nathaniel il l'aime ce prénom. ce prénom qu'il a gardé, parce qu'on peut pas abandonné un prénom, parce que c'est son identité, bien plus que ce nom qu'il a porté pendant des années. Surnoms nath, combien de fois il a bien pu l'appeler comme ça son frère. alors même absent, ce surnom, il lui appartient toujours. dans les bas fonds de la ville, c'est nathy le surnom qu'on a le droit de lui donner. Naissance il est né en plein milieu du mois de mai en 1995 dans l'hopital le plus luxueux de la ville. ça fait tout juste 23 ans qu'il erre sur cette terre à tenter de trouver un sens à son existence, à tenter de trouver sa propre voie, celle loin du giron familial. Héritage culturelil s'est jamais vraiment posé la question nath, de savoir qu'elles étaient ses origines. peut-être parce ce qu'il s'en moque un peu de savoir s'il vient d'europe ou d'amérique à la base. de savoir s'ils priaient un dieu ou pas à l'époque. ce qu'il sait, c'est que le dieu de sa famille, il s'appelle business, et depuis longtemps. Statut on lui avait appris à se méfier à nath, parce qu'on aurait pu en vouloir à son argent. alors, il cherchait parmi ces filles de bonne famille, pour leur faire plaisir, histoire sans sentiments. sa petite amie parfaite pour la famille, il l'a laissée en plan en même temps qu'elle. parce qu'elle appartenait à son ancien monde, un monde avec lequel il voulait couper tous les ponts. parce qu'elle n'avait existé dans sa vie que pour eux. Orientation il s'est jamais vraiment posé la question nath. pour lui, ça semblait presque une évidence que c'était les filles. parce qu'il n'a jamais réellement porté son attention que sur elles. Finances $$$$$$. y a les centaines d'années en réserve, des années auxquelles il touche plus parce qu'il veut plus rien avoir avec. mais il se débrouille bien nath, il s'est toujours bien débrouillé. alors la vie, elle continue de couler, moi qu'avant, mais suffisamment pour vivre décemment.

Univers sigan. sigan et ses robots, la plupart construit dans l'entreprise familiale. sigan et ses compteurs de vie. il connait rien d'autre que ce monde. un monde un peu trop corrompu, un monde un peu trop décevant, un monde qu'il rêve de voir changer. sigan. son monde. sa maison. Occupation(s) il avait tout pour réussir, pour faire quelque chose de bien. des études pour reprendre l'entreprise familiale, lui l'héritier. mais il la supportait plus la pression du paternel, il supportait plus cet avenir tout tracé, alors il a tout envoyé valser la veille de son entrée dans l'entreprise. depuis, il vit de petits boulots qu'il enchaine et de maigres larcins, en plus d'être l'un des nombreux et invisibles dealers des kiasnev.Particularités y a ce compteur à son poignet, celui auquel il n'a pas prêté attention pendant des années, parce que les années de vie coulaient à flot, parce qu'il n'avait pas à s'en faire. mais depuis qu'il traine dans les rues, tout a changé. parce que ses jours ils sont comptés désormais.
Lien(s) cosmique(s) un cluster. il a paniqué la première fois qu'il l'a croisé dans le miroir, la deuxième aussi. il savait pas s'il halluciné ou s'il était en train de perdre la boule. et puis il a fini par comprendre. il aime pas partager leur vie, il aime pas en faire partie, parce qu'il a l'impression d'être jugé, mais il s'y est habitué avec le temps.
soulmate le tatouage dans le bas du crâne, il l'a jamais vu, personne l'a jamais vu. pourtant, il aimerait y croire à ces histoires d'âmes soeurs maintenant qu'il est libre de faire ce qu'il veut. il aimerait croire que quelque part dans ce monde, y a sa moitié, mais il y croit pas à cette chance. Keywords #héritier_déchu #abandon_de_poste #liberté #gang #fils_prodige #prison_dorée #dealer #idéaux #famille_brisée 


we are all astronauts méfie-toi des autres premier apprentissage d'un gamin. tout le monde lui en voudra. tout le monde n'en voudra qu'à son argent. ils seront nombreux à lui tourner autour, à tenter d'en faire un ami pour se servir de lui. il y a cru, un peu. et puis, il a préféré voir le positif dans ses relations, tenter d'y percevoir le vrai. est-ce qu'il se confie pour autant ? non, parce que son passé, sa vie, elle n'appartient qu'à lui, et y a pas beaucoup de monde qui peut se vanter d'avoir brisé sa carapace pour voir ce qu'il se cachait en dessous du visage de fils parfait de nathaniel sawyer. dans la vie, tout le monde ment, tout le monde cache ce qu'il est visage fermé, masque porté tous les jours. masque de ce fils parfait qui aime cette vie alors qu'il ne supporte pas celle-ci. nom emprunté pour ne pas être reconnu d'un inconnu dans les rues. il se mêle à tous, il ment comme il reste nath. parce qu'il sait le faire ça, jouer un rôle, il n'a fait que ça de toute sa vie. et il a été à bonne école, entre son père cachant un secret de famille et sa mère prétendant être heureuse à ses cotés. s'il y avait bien une chose de vrai dans tous les enseignements de son père et son grand-père, c'était ça. dans la vie, tout le monde mentait. les plus pauvres seront prêts à tout pour te détruire, te voler ou t'amadouer argument balayé d'un revers de la main. parce qu'il avait juliette. et juliette elle était pas comme ça. ses amis non plus d'ailleurs quand elle lui en parlait. les pauvres, ils savaient pas forcément qui il était quand il avait pas ses beaux vêtements. les pauvres, ils essayaient juste de s'en sortir, de vivre, et ils auraient dû, eux, leur venir en aide. voilà l'évolution prévue pour l'entreprise les prochaines années, une évolution plus faible serait un échec l'argent, le business. cette chose dont ils ne cessaient de parler. il fallait que l'entreprise vive pour qu'ils puissent être heureux. parce que c'était par ça que ce devait de passer leur bonheur. un bonheur qui n'en avait rien à ses yeux alors que les centaines d'années de vie ne lui serviraient à rien. il s'en moquait bien d'être riche tant qu'il pouvait vivre décemment sans se poser de questions. il aurait préféré faire du saut à la perche que de tout miser sur cette entreprise qui faisait la richesse de sa famille mais qui ne lui parlait pas. les chiffres, il les comprenait, les chiffres, ils savaient s'en servir efficacement, il n'aimait juste pas ça. faire des plans sur la comète avec pour seul but de ramasser encore un peu plu d'argent, il n'aimait juste pas ça. parce que c'était toujours cet objectif l'objectif final, avant d'aider la population et de leur être utile. tu viendras à cette soirée, il faut qu'on te voit avec des personnes comme toi soirées mondaines exécrables où chacun montre à son voisin qu'il en a plus que lui. il n'avait jamais aimé ça nath. peut-être parce que c'était trop guindé. peut-être parce que c'était trop dicter. rencontrer des gens de son age, des gens comme lui, ces personnes auprès de qui il serait amené à travailler et vivre. mais lui, ce qu'il voulait c'était passer une soirée en compagnie de sa meilleure amie. mais jamais elle aurait pu venir dans une soirée comme ça. ça aurait fait tâche. ça aurait jeté la honte sur la famille. alors c'était les strass et les paillettes qu'il cotoyait. c'était ces personnes qui avaient la cuillère en argent dans la bouche et pas de conversation, ces personnes qui n'étaient rien derrière leur façade de richous. et peut-être qu'il était comme eux. mais il espérait que non. les gens il faut que tu leurs plaises et ainsi, ils abaisseront leur barrière charmer en somme. y a eu les soirées, celle où il devait se rapprocher du reste de la jeunesse dorée. quelques paroles bien placées, quelques compliments parce que c'était la base. les échanges de regard. de tous les enseignements, c'était peut-être celui qui lui plaisait le plus. charmer, un jeu auquel il ne cessait de jouer, pour les affaires ou pour sa vie privée. des mensonges qui franchissent la barrière de ses lèvres alors qu'on peut lire un semblant de sincérité dans ce regard intéressé. belles paroles, maitrise des gestes, oui, il aimait vraiment ça. l'idée c'est d'avoir toujours un coup d'avance sur tes concurrents ou tes ennemis et ce départ, c'était peut-être son coup d'avance. parce qu'ils les connaissaient, il était peut-être celui qui était devenu l'ennemi. l'ennemi qui avait le coup d'avance parce qu'il connaissait tout de ce monde et de leur société. il avait appris auprès des meilleurs après tout, auprès de celui prêt à détruire son fils pour qu'il ne parle pas. mais ils avaient peut-être pas vu qu'il n'était pas comme eux, qu'il ne pensait pas comme eux, qu'il avait bien trop appris pour se débrouiller seul et vivre autrement. parce qu'il savait se débrouiller et tout cet argent, il n'en avait pas besoin. alors désormais, il pouvait se servir de tout ce qu'il avait appris, grâce à eux et à leurs leçons, toutes ces choses qui lui permettraient de s'en sortir face à eux, parce qu'il savait tout ce qu'il fallait faire pour réussir : s'entourer des bonnes personnes pour accomplir la tâche fixée, mentir, charmer, séduire, toujours être sur ses gardes car l'ennemi pouvait venir de partout, et surtout, toujours avoir un coup d'avance.
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MessageSujet: Re: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyMar 19 Juin - 22:02

Live my lifelyrics de chanson
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Qui ose dire qu'il peut m'apprendre les sentiments

Elle revient quand Amandine ? Question innocente d'un gamin paumé. D'un gosse qui vient de perdre son unique repère. La mère fronce les sourcils, mais d'une mère elle n'a rien. Parce qu'il est seul l'enfant la plupart du temps. Trop seul dans sa grande maison. Et le soir, c'était Amandine qui lui lisait son histoire. Mais Amandine, elle était pas là hier soir, et le soir d'avant non plus. Alors, quand il montait s'allonger, y avait plus d'histoires qui lui étaient lu. Et y avait pas non plus le baiser sur le front et les draps brodés. Parce qu'ils n'avaient pas le temps. Parce que l'entreprise était plus importante que l'héritier. Elle reviendra pas Amandine, même s'il la demande, même s'il veut que ce soit elle qui lui lise son histoire. Et Cora non plus, et Fanny non plus. Parce qu'elles sont que des employées virées une foi qu'elles ne plaisent plus, peu importe les larmes d'enfant. Ca lui passerait qu'ils disaient. Mais la solitude de l'enfance, les départs et les coeurs brisés. Il a pas oublié. Il a pas oublié les cauchemars et le noir. Il a pas oublié l'absence de calin et le siège vide au spectacle de l'école. Il a pas oublié les départs et l'incompréhension quand c'était une nouvelle tête à la place de l'autre.

Sonnerie qui retentit. Sursaut au coeur. Gaby. Doigts qui approchent, hésitent, se retirent. Et cette sonnerie qui continue de sonner alors qu'il ne sait pas quoi faire. Répondre ou ne pas répondre. Mais il laisse sonner une première fois. Puis une seconde. Troisième. Il quitte la pièce. Il peut pas l'entendre cette sonnerie. Il peut pas l'imaginer de l'autre coté du téléphone à espérer qu'il va décrocher. Parce qu'il décrochera pas. Il peut pas. Il veut pas. Il veut plus rien avoir à faire avec les Sawyer, même avec lui, même s'il doit se briser le coeur pour en arriver là. Aujourd'hui, ce serait le plus dur. Il finirait par comprendre Gaby. Mais y a le téléphone qui sonne une nouvelle fois. Les messages sur le répondeur. Ceux qu'il conservera sans jamais les écouter. Parce qu'il est le seul pour qui il pourrait soulever la Lune, le seul qui serait bien capable de réussir à le faire revenir. Et il le prend pas ce risque là. Arrête de m’appeler. Je reviendrai pas. Pardonne moi Gaby. Coeur qui plonge, coeur qui sombre. Y a cette larme qu'il écrase, parce qu'il est pas fort Nath, parce qu'il est paumé. Ca fait un jour et il lui manque déjà. Mais il sait que son choix c'est le bon. Et un jour, il comprendra Gaby, et ce jour-là, peut-être qu'il lui pardonnera de lui avoir brisé le coeur.

Doigt qui effleure le visage sur l'écran. Photo qu'il observe depuis de longues minutes désormais. Visage qui n'a rien d'inconnu. Elle aussi, il l'a laissée derrière, elle aussi il l'a abandonnée. Elle, rappel de ce qu'il était et de ce qu'il ne veut plus être. Elle, meilleure amie, et bien plus encore. Elle son secret bien gardé à l'abri de ses parents et de leurs points de vue. Son coeur, c'est tout seul qu'il l'a brisé. Son coeur, c'est son père qui l'a détruit. Ce père à qui il en veut tellement pour cette vie qu'il vient de pulvériser. Il avait chuté d'un peu trop haut pour retomber indemne sur ses pieds Nath. La vérité l'avait brisé. Cette vérité qu'il n'avait pas supporté qui avait brisé bien des choses en même temps que lui. Il a les doigts qui pianotent. Phrase écrite pour être bien rapidement effacée. Elle aussi c'était son passé, il fallait qu'il aille de l'avant. Même si c'était dur, même si c'était elle. Parce qu'il pouvait rien garder de sa vie d'avant, pas même celle qui l'avait aidé à traverser les vingt-deux années de son existence. Pas même celle qui avait toujours été à ses cotés, qui l'avait écouté sans rien dire lorsqu'il avait besoin de se confier, qui l'avait réconforté lorsqu'il le fallait, qui avait été présente lorsque la pression était trop importante.

Ou me montrer ce qu'il faut faire pour être grand

Je peux savoir ce que tu faisais là-bas ? Tête baissée, il sait pas quoi dire le jeune. Y le regard empli de fureur de son père posé sur lui. Il a l'impression qu'il pourrait l'incendier juste en le regardant. Je faisais du saut à la perche. Voix faible, regard fuyant. Courir, sauter, s'envoler, ça faisait déjà plusieurs mois qu'il le faisait. Et il était doué. C'était ce qu'il lui avait dit celui qu'il avait payé pour être son entraineur. Du saut à la perche ? Dédain. Les gens comme nous n'ont pas le temps pour le saut à la perche. Y a les poings qui se crispent. Les gens comme eux ? Mais. Y a pas de mais. T'es un Sawyer, les Sawyer n'ont pas le temps pour ce genre d'activité. Tu vas rentrer à la maison et tu vas abandonner cette stupide idée. Nath, il a le coeur en miettes quand il rentre chez lui. Y a ses pointes qui volent à travers sa chambre pour aller s'écraser dans un cadre pendu au mur qui chute et se brise en milliers de morceaux de verre. Mais il s'en moque. Il s'en moque de la photo qui s'est arrachée par endroits sous le choc. Il s'en moque parce qu'il est dégoûté. Y a les larmes qui coulent alors qu'il s'allonge dans son lit, la tête enfouie dans l'oreiller. J'ai pas envie d'être un putain de Sawyer, j'ai pas envie d'être comme toi. Mais ces paroles, elles quitteront jamais le silence de sa chambre, comme bien souvent.

Un jour, on s’en ira d’ici. On les laissera plus décider pour nous et on aura la vie qu’on a toujours rêvé. Je te le jure Gaby, qu’on s’en ira tous les deux. Paroles d'ado. Mais il y croit Nath. Encore plus qu'il y a l'alcool qui parle. Parce qu'il veut partir, tout quitter, cette bulle dans laquelle il est enfermé. Cet avenir tout tracé. L'entreprise, lui l'héritier. Il l'envie un peu trop le petit frère. Lui qui est si libre, tellement libre, quand il n'a le choix de rien. Pas de son métier, pas de son image, rien. Mais y a les mots et les actions. Et il a peur Nath. Peur de tout quitter. Il préfère rester ici avec lui. Parce que l'inconnu, ça fait peur. Un peu trop. Alors, il reste dans cette maison, avec ces parents dont il n'attend plus rien depuis bien longtemps. Et il rêve, il rêve pour deux et même plus. Il s'évade dans les bouquins qu'il lit. Ceux sur d'autres mondes, ceux qui le font s'évader, chose qu'il ne peut pas faire. Parce que dans le fond, ce nom, c'est sa prison. Ils le font rire à l'envier tous. Parce qu'il n'y a rien d'enviable à ne pas être libre. L'argent, ça ne faisait pas tout. Lui ce qu'il voulait c'étaient des possibilités, un futur qu'il aurait choisi, une vie loin de cette famille. Loin de sa prison dorée.

De quel côté se trouvent les bons ou les méchants
Leurs évangiles ont fait de moi un non croyant

Date inscrite en rouge sur son calendrier. Pourtant, y a son sourire qui disparait alors qu'il la voit une nouvelle fois. Y a les battements de son coeur qui accélèrent rien qu'à y penser. Ce jour-là, y aura plus moyen de faire machine arrière. Une conférence de presse et l'engrenage serait définitivement enclenché. Une conférence de presse et le futur deviendrait réalité. Des années à suivre les cours de son père pour le mener à ça. Des années où tout le préparait à ce futur. Ce futur dont il ne voulait pourtant pas. Un futur pour l'argent et la vie. Un futur bien fade. Un futur qui ne l'avait jamais fait rêvé. Mais il était l'héritier. Il était celui devant suivre les consignes et y obéir. C'était son destin. Et même s'ils les détestaient bien trop, il n'osait pas s'y opposer. Parce qu'on lui avait appris à mettre ses envies de coté. Et maintenant, maintenant il ne lui restait plus que ça. Des études en économie et finances, pour pouvoir reprendre l'entreprise. Un futur noir d'avance.

Date fatidique approchant, mais il commence à s'y faire à cette idée. A ce futur qui lui est dicté. A se dire qu'il a pas à s'en faire, qu'il est prêt pour tout ça. Pour la conférence de presse, pour que son visage soit enfin attaché à l'entreprise, pour en devenir officiellement l'héritier qu'il est déjà depuis des mois. Et il aurait pu le faire. Il aurait pu le faire s'il était pas tombé sur cet employé mort, lui et son compteur à sec. Il aurait pu le faire s'il avait vraiment pris aux mots les leçons données par son père et son grand-père. Mais il avait toujours eu son propre point de vue et des envies différentes. Parce que l'entreprise, il voulait la voir comme un moyen d'améliorer la vie des gens, de leur donner un bon salaire et qu'il s'en sorte. Rêve d'un gosse qui ne pensait qu'à sa meilleure amie et à ce qu'elle vivait. Mais il y croyait. Et il se disait que c'était peut-être déjà le cas, que leurs employés, ils étaient bien traités. Y a le bras qui empêche de père de quitter la pièce et le corps qui se met en opposition. Il faut qu'on parle. Photo lancée sur la table non loin. Tu peux m'expliquer ? Y a la colère qui brille dans son regard. A moins que ça ne soit les larmes. Tu peux m'expliquer comment ça se fait qu'il y ait des employés mort, au boulot par manque de vie ? Y a le regard du père qui se détourne et il comprend. Il comprend qu'il savait. C'est ton grand-père. Il a le coeur qui chavire quand il comprend qu'il était bien loin de son idéal de l'employé bien payé. Et t'approuves ça ? Parce que maintenant, tout ce qu'il se demandait c'était combien. Combien de personnes qui avaient fini par mourir de ne pas être payées. Combien de personne à qui ils avaient promis monts et merveilles ? Parce que c'était forcément le cas, des miséreux désespérés. J'avais pas le choix, c'était ça ou j'étais viré de la compagnie. Il a le sang qui bat aux tempes. Il a la gorge nouée et les poings serrés. Et tous les mots qu'il avait jamais dit, ils sortent enfin. Y a le masque du fils parfait qui se fissure. Y a les idéaux qui prenne le dessus. Y a les liens qui se brisent définitivement. Tu m'dégoûtes. J'veux plus rien avoir à faire avec vous, votre compagnie et les horreurs que vous y commettez. Il la laisse là la photo. Il prend la porte. Nathaniel, reviens tout de suite. Regard sombre qui plonge dans celui du paternel qui espère pour la première fois reprendre ce rôle qu'il n'a plus le droit d'occuper depuis bien longtemps. Aujourd'hui, c'est pas le père qui le déçoit, ça ça faisait longtemps que c'était le cas. Non, c'est le dirigeant d'entreprise, la personne qu'il pensait différente qui le déçoit. T'es qu'un lâche, j'en veux pas d'votre compagnie, j'en ai jamais voulu d'toute façon. Et il part. Il quitte le salon pour sa chambre. Il quitte le salon pour ne plus jamais y remettre les pieds.

Il a le coeur retourné, il a envie de pleurer mais il y arrive pas. Il est sous le choc. Y a les quelques vêtements qui s'entassent bien rapidement dans un sac. Y a le portable qui est jeté dedans au passage. Pas de mot, pas de au-revoir. Il claque la porte et il laisse son passé et son nom derrière lui. Pas de mot, pas de au-revoir. Il quitte cette famille et l'entreprise sans un regard en arrière. Pas de mot, pas de au-revoir. Cette fois-ci, c'est lui qui décidera de son futur.

Qui peut changer ce que je porte dans mon sang

Y a ce maudit téléphone, celui qui s'arrête pas de sonner malgré les semaines qui défilent. De Gaby, y avait plus le moindre message. Peut-être qu'il avait réussi avec ce fameux message. A suffisamment lui briser le coeur pour qu'il abandonne. Parce qu'il reviendrait pas Nath. Y avait plus que son père pour s'acharner. Mais ses messages, il les écoutait pas non plus. Il attendait plus que la boite vocale lui annonce enfin que sa messagerie était pleine et qu'il comprenne qu'il voulait plus rien avoir à faire avec lui. Peut-être que c'était déjà le cas. Il en savait rien. Ce jour-là, il avait pas seulement quitté sa maison et son statut d'héritier de l'entreprise familiale. Non, il avait tout quitté. Tout plaqué. L'argent, la vie illimitée, les beaux vêtements et les études, les soirées avec les gens de son statut. Même ce nom et cette famille. Il était plus personne ici. Il se fondait dans la masse, ou tentait de le faire. Il était plus un Sawyer, il était plus rien. Il était un orphelin comme il en existait des centaines dans les bas-fonds de Sigan. Orphelin. Sans famille. Y avait son coeur qui ratait des battements à chacun de ses mensonges. Mais il avait pas le choix. Il voulait plus être de ceux qui régnaient sur les autres. Il avait vu ce que ça pouvait faire et ça l'avait dégoûté. Parfois, il se demandait si Gabriel avait conscience de ce qu'il se passait au sein de l'entreprise familiale. Si sa mère savait aussi. De ce qu'ils diraient s'ils savaient. Est-ce qu'eux aussi ils auraient honte de porter ce nom, d'être le visage de cette entreprise ? Ou est-ce qu'ils feraient comme son père, tout pour garder leur fric taché de vies brisées et prises ? Il pourrait jamais changer ce qu'il était. Mais il pouvait tout reprendre à zéro et essayer. Essayer de faire mieux que son père. Arrêter de vivre sur le temps vie des autres. Oublier tout et essayer de vivre heureux, même s'il avait parfois froid la nuit, même s'il avait peur tout seul, même si son frère lui manquait un peu trop.

A ceux qui croient que mon argent endort ma tête
Je dis qu'il ne suffit pas d'être pauvre pour être honnête
Ils croient peut-être que la liberté s'achète

Y a un regard d'enfant qui se porte sur une blondinette un peu plus loin. Parce qu'elle était pas comme lui. Ca se voyait aux vêtements sales qu'elle portait. Ca se voyait au regard qu'elle portait sur le goûter qu'il tenait à la main. Alors il s'approche Nath, il s'approche des yeux océans. T'en veux ? Y a juste un hochement de tête en réponse. Et ce goûter qui change de mains. Et elle croque dedans, son regard qui s'illumine. Mais t'en auras pas ? Il lui sourit le gamin avant de hausser les épaules. J'en ai plein chez moi. Il l'observe l'inconnue alors qu'elle mord dans le croissant. Il a l'impression d'être face à une extraterrestre. Je m'appelle Nathaniel. Y a son regard qui quitte enfin le précieux goûter pour venir croiser les siens. Moi c'est Juliette.

Putain à quoi tu joues Nath, ça fait des jours que je t'attends ? Si t'as plus envie de me voir faut le dire, mais arrête de me planter. Il a la gorge noué l'ado. Parce qu'il sait pas quoi répondre. Parce qu'il y a la propagande du père qui commence à faire effet. Y a les doutes qui s'installent alors qu'il se dit qu'elle se moque peut-être de lui, qu'elle se sert peut-être de lui pour obtenir ce qu'elle voulait, qu'elle n'en voulait peut-être qu'à sa durée de vie. Goût de la trahison en bouche, douleur dans le coeur, colère dans les regards. Ils sont deux inconnus les anciens amis aujourd'hui. C'est pas ça. C'est papa. Il aimerait lui expliquer, mais il trouve pas les mots. Parce qu'il y a pas de mots pour confier de tels doutes. Parce que s'il les dit, ils vont se briser tous les deux et il veut pas la perdre. C'est vrai j'oubliais, les Sawyer ne se mêlent pas à la plèbe. Et là, il sait plus quoi faire, ou dire, ou répondre. Parce que ça fait mal. Ju, tu sais que c'est faux. Mais il en est plus vraiment sûr le gosse. Et si c'était vrai ? Il voit ses yeux brillants de larmes. Et lui, lui c'est le lâche qui évite son regard. Et lui, lui c'est celui qui se sent juste honteux d'avoir douté ne serait-ce qu'un instant d'elle. Et même si elle lui mentait, ça en valait la peine. Non, c'est vrai Nath. On a rien en commun, on aurait jamais dû se rencontrer et encore moins être amis. Ca sera plus simple si on continue chacun de notre coté. Et il sait qu'elle a raison la blonde. Y avait aucune raison qu'ils se rencontrent à la toute base. Mais il veut pas la laisser partir. J'm'en fous de mon père, de ma famille, du fait qu'on est pas du même monde. J'veux pas que tu partes. Et si ça leur plait pas c'est pareil. T'es ma meilleure amie Ju. La seule peut-être même. La seule véritable. La seule qui comprenait les mots derrière les silences.  

Ils sont toujours là le brun et la blonde, mais ils ont plus rien d'ados, c'est des adultes qui se tiennent l'un en face de l'autre dans leur repère secret. Bras qui glisse sur l'autre. Temps de vie donné. Tiens, profite bien de ta soirée. Regards complices entre les deux amis. Peut-être qu'ils étaient un peu plus que ça Nath et Juju. Parce qu'elle occupait cette place un peu trop grande dans son coeur. Merci. Baiser déposé sur la joue. Parce qu'elle était cette soeur qu'il s'était trouvée des années plus tôt. Parce qu'elle était celle à qui il faisait confiance. Parce qu'elle était celle pour qui il aurait pu tout donner. Parce que c'était celle aux cotés de qui il avait tout traversé, celle avec qui il pouvait parler de tout. Parce qu'elle savait tout de sa vie comme l'inverse pouvait être vrai. Parce que c'était la seule qui avait réussi à la briser cette carapace. Mais elle était celle qui faisait tâche au milieu d'un tableau familial. Elle était pas de son monde, ce monde de friqués. Elle était du guetto, elle était celle qui était vouée à rester dans l'ombre. Mais elle l'avait compris et elle l'avait accepté. Des jours d'attente pour des minutes volées ensembles. Des instants hors du temps, hors de la réalité, cette réalité qui aurait tôt fait de les rattraper tous les deux et de les briser. Fais pas de bêtises. Lèvres qui se posent sur le front. Il recule, se dirige vers la sortie. Nath Il se retourne. Ca va changer, un jour. Il pourra pas toujours guider ta vie. Il lui sourit, il a le regard légèrement triste. Et il disparaît. Il quitte leur cabane secrète pour retourner dans son monde alors qu'elle retourne dans le sien. Elle était peut-être la pauvre, mais des deux, c'était elle celle qui était libre. Mais toutes les années de vie ne pourraient jamais acheter sa si chère liberté.

Que reste-t-il des idéaux sous la mitraille
Quand les prêcheurs sont à l'abri de la bataille
La vie des morts n'est plus sauvée par des médailles

Les yeux ne quittent pas les lignes de ce livre d'histoire. Il apprend tout ce qu'on ne lui dit pas dans les bouquins Nath. L'histoire d'avant, les façons de faire. Et dans ce livre, c'est un monde bien différent qui est décrit. Un monde où on ne doit pas risquer sa vie pour survivre, ou on ne troque pas sa vie pour survivre. Il a les doigts qui glissent sur des nouvelles couvertures. Economie. Livre bientôt récupéré. Le stylo gratte sur la feuille toutes les informations qu'il peut trouver sur les autres systèmes. Il n'en revient pas. Mais surtout il ne comprend pas comment quelqu'un a pu un jour avoir l'idée d'utiliser leurs années de vie comme monnaie d'échange. Ca le répugne, ça le dégoûte. C'était déjà le cas alors qu'il était un gosse qui voyait la maman de Juliette stressant de ne pouvoir aider sa fille. C'était encore le cas adolescent alors qu'elle lui confiait sa peur du futur, sa peur de mourir avant d'avoir pu vivre. Et c'était encore plus le cas depuis qu'il avait vu ce qu'il était possible de faire dans certains cas, comme son père l'avait fait. Des méthodes qui lui avaient donné envie de vomir. Il n'en veut plus de ses différences, il n'en veut plus de cette méthode.

Ju, j'ai trouvé une solution à notre futur. Il signe pas Nath. Parce qu'elle reconnaitra le surnom, même après des semaines de silence. Parce qu'elle reconnaitra l'écriture. La lettre est glissée dans une boite aux lettres. Cet endroit où elle lui avait interdit de venir gamin mais qu'il connaissait pour l'avoir suivi, bien trop curieux. Il rêve un peu trop Nath, d'un monde meilleur, d'un monde plus juste. Il en veut plus de son argent. Ca fait des semaines qu'il tient sur ce qu'il gagne, ne tapant jamais sur la fortune familiale dont il ne voulait pas, donnant des journées à ceux qu'ils croisaient par ci par là, leur rallongeant la vie de quelques jours à chaque fois. Mais il l'a LA solution. Une solution murmurée dans les rues, se répandant comme une rumeur. Et il est prêt à tout pour les aider. Pour se racheter de ce nom dont il ne veut plus, qu'il a abandonné. Il est prêt à tout pour les rejoindre et les aider à gagner le combat, à faire chuter les plus puissants quitte à les détruire de l'intérieur. Parce qu'ils étaient tous des pourris. Et sa solution, elle avait un nom. Un nom se répandant dans la ville comme une rumeur pour parvenir à ses oreilles : Black Wave.

Qui a le droit de m'interdire d'être vivant

La perche dans la main, il court. Il court comme si sa vie en dépendait. Il sent le sol qui se dérobe alors qu'il s'envole. La barre s'approche et il la franchit avec une simplicité infinie. Et y a ce sol qui se rapproche. Les mains levées et les étoiles dans le regard, l'air qui souffle dans le T-shirt, sur la peau, dans les cheveux pendant les quelques secondes que dure la chute. Il s'enfonce dans le tapis amortissant la chute. Et il crie. Il est libre. Il est vivant.

Alcool coulant dans ses veines. Chaleur à l'intérieur du bar. Y a les corps dansant sur la piste au centre au rythme de la musique. Ici, y a que la pauvreté. Mais ils étaient tous libres. Ils avaient tous cette chose que lui-même n'avait jamais eu. Y avait de la joie dans le guetto. Et cette joie, elle est grandissante, elle se propage. Il se lève et rejoint un collègue de boulot. Quelques verres, des verres pour oublier leurs difficultés. Des verres pour oublier comment c'était la vie dehors. Y a les gens qui chantent, qui dansent. Y a les cris et les verres qui s'entrechoquent. Il en boit un premier, puis un deuxième, et enfin un troisième. Et il chante. Il est libre. Il est vivant.

Il glisse dans les rues de Casma, presque invisible. Invisible, il l'est aux yeux de beaucoup. Invisible, il fait tout pour le rester. Sur son dos, un sac, et dans le sac, la cargaison. Cette cargaison qu'il doit fournir à un autre en échange de quelques jours de vie. Ca le dégoûte de le faire, mais il faut vivre. Et les Kiasnev, ils étaient puissants, c'était pas un gang minable de quartier, c'était plus que ça. Il avait pas mis longtemps à les repérer. Parce qu'il avait éduqué pendant des années pour ça, pour reconnaitre les puissants, pour reconnaitre ceux qui pouvaient servir et c'était ce qu'il avait fait. Sous leurs ordres, il était aussi protégé, un minimum. Invisible, il file dans les rues de la ville. Et il vend. Il est libre. Il est vivant.

Y a deux regards qui se croisent dans cette boite de nuit. Elle était belle la brune. Celle qu'il avait déjà vu, celle qu'il croisait régulièrement par ailleurs. Elle cette nana qui aurait mérité tellement mieux que des jours comptés. Alors il la rejoint, un sourire étirant son visage. Y a les lumières qui éclairent les iris brillants. Elle avait rien de plus que les autres, si ce n'était qu'elle était entière. Tu danses ? Main qui se glisse dans la sienne et les voilà dansant au rythme des basses et des musiques. Y a les sourires peints sur leurs visages. Et pendant quelques minutes, il oublie tout. Mais pendant quelques minutes, il oublie les paroles auxquelles il n'avait jamais cru, parce qu'ici, il n'était plus un Sawyer et il n'avait plus à avoir peur qu'on se serve de lui. Pendant quelques minutes, elle lui plait. Peut-être que ce serait juste pour ce soir, peut-être que ce serait plus. Il en savait rien. Mais il s'en moquait. Alors y a son visage qui s'approche du sien. Et il l'embrasse. Il est libre. Il est vivant.
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MessageSujet: Re: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyMar 19 Juin - 22:31

MINE
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MessageSujet: Re: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyMar 19 Juin - 22:39

blblbl
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Ashley Martinozzi
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MessageSujet: Re: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyMar 19 Juin - 23:33

bienvenue parmi nouuuuuuuuuuuuuuus love je vois que tu es déjà bien accueilli jule je pense donc que tu ne vas pas avoir de mal à te sentir chez toi très bientôt ici jule bon courage pour ta fiche, n'hésite pas si tu as des questions love j'espère que tu vas t'éclater avec ce perso #TeamSigan love kr
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MessageSujet: Re: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyMer 20 Juin - 13:38

je reviens pour la suite de la fiche plutôt que d'éditer jule
euuh why so perfect??

nous faudra un lien déjà avec daniil
et puis j'ai peut-être un truc à te proposer avec naora
et euh WHY SO PERFECT??

ce visage, ces mots je je je
grave hâte que tu termines
je risque de slide dans tes mps ce soir si jamais ça te convient omg
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MessageSujet: Re: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyMer 20 Juin - 21:16

Merci pour l'accueil coeur

Et oui Daniil passe donc dans ma boite à mp iiih happy
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Lynn Mune
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MessageSujet: Re: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyJeu 21 Juin - 16:26

il est canon jule et ce début de fiche est iiih
bienvenue ici, bonne chance pour la fin de ta fiche coeur
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MessageSujet: Re: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyJeu 21 Juin - 22:44

merci coeur
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MessageSujet: Re: time to live (nathaniel)   time to live (nathaniel) EmptyVen 22 Juin - 10:00

pour moi tout est perf qt
t'as tout saisi de la personnalité de nathaniel et en plus, t'as apporté ta touche à toi et c'est ce qui super génial amour
et j'aime trop juliette, j'espère que t'en feras un pv  rougit  (et surtout qu'elle existe toujours dans la vie du frangin gaah )

et sinon j'ai trop hâte de venir t'emmerder en rp et de jouer les retrouvailles de nos sawyer moustache
hâte hâte hâte iiih
bunnies patpat hug

(ps : @daniil sialov fais gaffe à ce que tu proposes à mon frère confus )
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