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 and here was him, like a heart attack that never stopped. (gali)

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FERN/MEL je suis encore en pyjama, je dois faire rouler ma voiture aujourd'hui, pour pas tuer la batterie, et j'vais surement aller chercher une poutine, si j'ai la foi.

Gali Leo Brunifc; ezra miller ; ©️️️️ little liars &  saturn; UFO's  ; double
100%bonboule
89%bavard
70%excentrique
60%sournois
90%direct
50%pute
70%rusé
40%féroce
   
Nom complet il a hurlé à s'en décrocher la gorge, aussitôt fourré dans les mains d'un gamin au corps noeux. maman était pas forcément intelligente, mais assez belle ; mais la stupidité, c'est la pire des laideurs. les chiards avant gali leo ont été nombreux. elle leur a tous donné le nom d'un homme important, intelligent, pour qu'ils aient quelque chose dans la tête, sauf qu'elle a jamais été doué en orthographie. c'est gali leo alors, et non galileo, le prénom du sixième chiard de la fratrie. famille de merde venant de la merde, ils traînent dans la crasse dès la naissance, et le nom de famille rappelle d'où il vient ; bruni. bruni, comme brun, comme la merde, comme la crasse.
Surnoms le prénom est découpé en deux entités qu'il ne parvient pas réellement à assembler. gali est celui qu'il est, celui qui vit sur sigan. leo reste un souvenir d'autrefois, l'espoir de sa mère, et le hooker des rues d'altea, perdu dans un monde qu'il ne connaissait pas, et dont il a été captif un moment. leo est resté derrière lui, et si les souvenirs reviennent parfois, gali ferme les yeux et n'y pense pas.  Naissance 30 septembre 1992, dans un appartement minable, dans une famille minable, pour une vie qui s’annonçait minable. Héritage culturel la beauté de la mère vient d'italie, certainement, comme le nom de famille. le père, quant à lui, reste inconnu. on peut deviner par ses traits qu'il aborde des origines asiatiques peut-être, mais gali n'en a rien à faire. le passé ne lui importe pas ; il ne s'y intéresse. le présent est plus important. Statut si le corps cherche les chairs, le coeur se s'éprend pas de battements envoûtants. Orientation les mains rugueuses, les corps solides. Finances $$$$$$. le timer est rempli de temps salement acquis, une part par le vol, l'autre par le sexe, les fantasmes et les secrets inavouables.  gali se souvient, enfant, dévisager les heures de son timer. il se souvient la panique dans ses veines, les battements fous de son coeur, lorsqu'il est devenu majeur. il se souvient des zéros trop nombreux devant le un et non derrière, et de cette peur de la mort. il dévisage encore, maintenant. il dévisage son bras et même si les zéros sont derrière, même si le nombre est haut, il panique encore, parfois.  

Univers sigan et ses artifices. ses mensonges qui essaient de sonner vrai. Occupation(s) Les mains contre la peau de sa jeunesse ont été nombreuses ; elles ont disparues, maintenant. Aujourd'hui, l'ancienne putain dévisage les hommes sales venir dans son commerce, l'Illusion, pour baver et se branler sur des hologrammes pornographiques sous les néons des cabinets privés, effleurant parfois les corps artificiels des androïdes lorsqu'ils peuvent se le permettre. Et si l'un fait un pas de travers, si un hologramme ou un androïde vient se plaindre, Gali bannit l'homme de l'Illusion et lui crache à la gueule. Particularités À son retour sur Sigan, Gali a longtemps envisagé l'épilation au laser avant de réaliser que les autres - les hommes, surtout - aimaient son corps imberbe. Il a finalement laissé tomber et aborder son poil sans gêne, l'apprécie tout particulièrement, et affiche fièrement son torse de baby daddy. Il n'a pour l'instant subit aucun chirurgie esthétique, bien qu'il apprécie particulièrement les soins du corps et s'occupe de sa peau religieusement plusieurs fois par semaine, armé de nombreux produits beaucoup trop dispendieux. Gali parait pourtant atrocement artificiel, autant par sa manière de se comporter que par ses traits et ses vêtements. Il joue un personnage qui colle à la belle Sigan, comme un grand nombre de gens. Il reste éternel brillant, comme un soleil ou une étoile, mais ce n'est qu'un artifice. La lumière éblouit, cache la crasse du Bruni.  Lien(s) cosmique(s) a-t-il beau avoir voulu être débarrasser de tout liens obligatoires - sa famille lui suffit - gali ne peut échapper à la réalité. il possède un jumeau cosmique très certainement sur altea. il fait également parti d'un cluster (ashley,lupe, scar, joshua et sasha ) qu'il détestait tout d'abord, mais qu'il considère comme sa véritable famille, maintenant. des mélodies, comme des paroles, se perdant dans son esprit lui fait croire qu'il possède une soulmate mais gali ne peut réellement être certain de la chose. Keywords #bitch #moneywhore #kinky #diva #heels #sadboi #snake #toyboi #bigmouth #artificial #poorboi 


we are all astronauts (VERMINE) La crasse de Crasma dans l'humide de l'appartement. Huit rats longeant les murs. Les Bruni sont sales, comme le nom le dit. Ils portent tous le nom de la mère ; de la putain. C'est qu'elle est stupide de coeur et de tête ; il suffit de peu pour capturer son esprit, il suffit d'encore moins pour faire battre son coeur. C'est toujours le grand amour ; un sourire et un mot doux, et la belle Italienne se fait haper par les mensonges des bels - mais laids, si laids - hommes. Lorsque le ventre enfle, tous prennent la fuite. Monica pleure un peu, puis donne un nom intelligent à son enfant. Jules, d'abord. Jules qui fronce des sourcils en grandissant et serre les dents, crache au sol et quitte le foyer dès ses 16 ans. Arthur, dit Arty, ensuite. Arty derrière ses grandes lunettes, avec ses grandes mains, son corps trop immense pour lui qui veut être petit et les mots qui bégaient entre ses lippes. Arty qui reste avec maman car elle a besoin d'aide, maman. Jeanne, ensuite. Aussi belle que maman, féroce comme une lionne. Elle tombe enceinte à quatorze ans, forcément, et quitte avec le premier con, pour revenir deux ans plus tard, un chiard dans les bras. Pablo qui ne peint pas, qui n'est pas réellement habile avec ses doigts. Pablo qui dit des grands mots mais ne fait pas grand chose de ses dix doigts, qui parle de grands projets mais finit toujours avec un oeil au beurre noir et à faire des ménages, avec maman. Alexandre, et un don inné pour compenser les cinq premiers. Alexandre qui finit pourtant par bosser dans un endroit assez minable, car il a un esprit de famille aussi, ce con, et qu'il bousille sa chance d'aller à l'université pour une bande de con. Gali Leo. Gali Leo, qu'il est beau. Il fait tâche, un peu, avec le bridé qui essaie d'être sur ses traits. Il reste à l'écart, Gali Leo, et il ne dit pas grand mot. Il disparaît à dix-ans, laissant le corps froid de Cleo, la dernière, sans un mot. (PANTIES) Sous les vêtements flamboyants se cache une culotte en dentelle rose bébé. Sous les pantalons de cuir, un collant de nylon qui effleure sa peau à chaque mouvement. Gali ne sait jamais dit qu'il voudrait être une fille ; il sait qu'il est un homme, et cela n'empêche pas le fait qu'il apprécie la lingerie féminine, autant sur les corps des femmes que contre sa chair. C'est un frisson qui glisse contre sa peau, une tension qui essaie de se glisser entre ses cuisses, une présence charnelle et secrète qui n'appartient qu'à lui. Et puis parfois, il croise certains regards. Celui des hommes qui voient un bout de tissu, ou qui savent, simplement. Gali sourit, alors ; il aborde un clin d'oeil, lance parfois un baiser, et brille, simplement. Gali brille, trop souvent. (L'AMOUR TOUJOURS) Le coeur se prend d'ébats puissants pour un peu d'attention. Du moins, avant. Petit Gali sensible, petit Gali sans confiance qui s'émerveille de l'attention de n'importe quel homme. Il a brisé ses ailes plus qu'une fois, pour une simple caresse ou un compliment. Il s'est brûlé les doigts et son joli minois, à jouer avec le feu sans savoir c'était quoi. Le coeur aborde depuis un sentiment doux amer envers les souvenirs des hommes. Gali leur répond avec douceur et un ton miel dans la voix, les effleure et les caresse, sourit pour un compliment, mais le coeur reste caché quelque part tout au fond de lui, et il ne les voit jamais réellement longtemps. Il a appris, avec le temps. (CLEO/CLOE) Elle était son trésor, sa princesse. Petite et laide, puis petite et belle. Elle a toujours eu l'intelligence et le coeur qu'il n'avait pas. Cleo lui a donné son temps, chaque seconde de sa vie, jusqu'à la dernière. Cleo est partie et Gali est parti un peu, aussi, pour la chercher et la retrouver. Il y a quelques années, il a osé rêver et réaliser un androïde possédant son caractère, sa personnalité, son visage et sa bonté. Une pale copie de la réalité, pour elle comme pour lui. Au final l’androïde a évoluer autrement, peut-être comme Cleo l'aurait fait un jour, qui sait, et est partie en abordant le prénom de Cloe. Gali pense à elle, parfois. Il ne sait pas réellement s'il la voit comme Cleo ou Cloe, mais il sait qu'elle est sa petite soeur, et que quelque part, elle lui manque. (ILLUSION) Sous les néons de diverses couleurs, Gali est assis derrière son comptoir, limant ses ongles. Derrière lui, un long couloir, de nombreuses portes, des miroirs. Les hommes et les femmes sont cachés dans les cabines, vivent leur pire vice. Sur ses cuisses, un chat angora dort paisiblement. La bête est fausse, forcément ; mécanique dispendieuse, cervelle de pixel trop raffiné pour être un simple félin. Il vaut mieux ne pas se laisser berner par ses yeux hétérochromies.  (MAUVAIS RÊVE) Gali dort mal, la nuit. Gali possède trop d'oreiller, dans son lit. Gali fait des attaques de panique suite à de mauvais rêves, des secondes en moins et du temps trop petit pour être compter. Il peine à dormir sans quelqu'un avec lui dans son lit, mais n'aime pas non plus réveiller les autres, quand ils sont endormis. Il compense avec des thés et des cafés, du cache cerne et des boissons énergiques. Le caractère en est touché, les blagues deviennent encore plus lourdes et ses exagérations plus marquées. (VOIX CASSÉE) Il a toujours adoré chanté. La voix fait étrange entre ses lèvres, surtout lorsqu'il était plus fragile. Elle est rauque et chaude, mais faible. La gorge porte des blessures qu'il n'a pas la force ni l'envie de faire guérir. Il a trop hurlé, peut-être. Il y a quelques années, un docteur lui a dit qu'il pouvait perdre la voix, un jour. Gali a ri, n'a rien fait, et ne chante plus. Peut-être s'est-il dit qu'il le mérite. De toute manière, la plupart des chansons qui restent dans sa tête lui sont bien souvent étrangères. (CENDRILLON) Les ménages dans les grandes demeures et les richesses ont fait partis de son enfance. Maman faisait des ménages. Les gosses allaient aider maman. C'est là qu'il a vu Lupe pour la première fois, sans savoir. Gali détestait ménager des choses qu'il ne pouvait jamais obtenir. Il a volé, quelques fois. Maman a perdu certains contrats sans savoir ; elle mettait la chose sur le dos des androïdes qui finissaient par faire toutes les choses qu'elle savait faire, pour moins cher et mieux fait. Mais Gali volait ; Gali tout et n'importe quoi, dans les demeures. Une vilaine habitude qu'il n'a pas perdu, encore aujourd'hui. Il s'empare de tout et de rien, parfois sans se rendre compte. Un briquet, une boucle d'oreille, un collier, un bout de papier, une fleur. Le corbeau vole ce qui brille, ce qui attire son regard. C'est plus fort que lui, quelque part. (ARTIFICE) Gali aime le faux. La fausse fourrure, les fausses teintures, les faux diamants, les vrais aussi, également. Les fausses romances, les fausses amitiés. Les rires illusoires, les sourires menteurs. Les vêtements trop brillants, les couleurs éblouissantes. Les chansons faits depuis un ordinateur, sans réel chanteur.  (COMA) La première fois qu'il l'a vu, réellement vu, Gali a senti son souffle se bloquer dans sa gorge. Ashley. Il savait qui elle était, forcément, vu le succès de ses chansons. Pas qu'il en soit particulièrement fan, ni qu'il déteste. Mais le souffle s'est bloqué, dans ses poumons. Il a eu envie de pleurer, brièvement. Il a trembler un long moment, même lorsqu'il a pris ses doigts entre les siens, froid, et qu'il lui a parlé, simplement. Il ne sait pas réellement pourquoi, même aujourd'hui. Le sentiment était semblable à celui ressenti lorsqu'il a vu Cleo pour la première fois. (LILAS) Les fleurs lui donnent envie de pleurer, parfois, sans qu'il ne sache quoique ce soit. Il dit être allergique à l'odeur. (ALTEA) Le monde verdoyant l'a accueilli pendant presque cinq ans. Cinq ans pour retrouver son chemin. Cinq ans à vendre son corps et découvrir des horreurs qu'il adore, un frisson contre son échine et des secrets charnels qu'il espère oublier, parfois. Ce monde très clair lui a permis de découvrir les noirceurs se dissimulant contre sa chair. (NECKLACE) Autour de son cou, une chaîne en or. Il ne la retire jamais. (PLATEFORME) Gali possède une collection de chaussures plutôt massive. Les plateformes sont les plus nombreuses, qu'importe s'il est déjà trop grand. Ses préférés s'illuminent de multiples couleurs au contact avec le sol. (GÉLATINE) Il mange plus de bonbons que de légumes, trop de sucres pour son propre bien. Gali fait certainement du diabète mais c'est pas grave, il a mangé un brocoli cette semaine. (ANIMAUX) Il adore les animaux. Grands nombres de ses vêtements abordent des rayures de tigre, de zèbre, des tâches de léonard et encore plus. (ROSE BONBON) Beaucoup trop de ses vêtements sont roses. (DADDY) Il a un penchant pour les hommes mûrs, et ne le cache pas. (ÉDUCATION) Il n'a jamais réellement été à l'école. Ou du moins, appris quoique ce soit. Gali peine encore à lire des phrases avec facilité, et ne peut écrire sans faire de fautes. Heureusement, la technologie de Sigan lui permet de dicter ce qu'il veut écrire et de faire lire le logiciel à sa place. (BABY)  Baby, son chat, est un androïde possédant le logiciel les humanoïdes. Peu de gens sont au courant. Encore moins l'ont déjà entendu parler. (LARMES) Gali ne pleure pas comme au cinéma. Il est laid, lorsqu'il le fait. (LANGUE SALE) Il a cette manie de chercher la petite chose qui provoque, le mot à ne pas dire, le mouvement à ne pas faire. Gali aime jouer avec les gens, jouer avec la nourriture, teaser et chercher la petite faille pour les voir perdre leur calme ou encore être embarrassé. (VEINES) Il déteste ses mains, trop veineuses à son goût, trop grandes aussi.  (ECHO) Son visage sur un autre corps. Un autre comme lui, quelque part. Oskar de prénom, qu'il a appris. Sur Altea, certainement, vu le nombre de fois que certaines personnes l'ont abordés en l’interpellant ainsi.
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“Sixteen years on the streets and you can learn a lot. But all the wrong things, not the things you want to learn. Sixteen years on the streets and you see a lot. But all the wrong sights, not the things you want to see.”

27 OCTOBRE 1997
Les lèvres sont pincées, les sourcils froncés.

Il
la
dévisage.

Elle. Elle, toute petite, dans ses bras de petit mais grand. Elle ne ressemble pas à une poupée.

Elle est moche, plus précisément.

Le front est trop gros. Les yeux trop grands. Ses cheveux sont absents, et sa peau est plus rouge que blanche. Quand elle ouvre la bouche, il n'y a aucune dent. Elle fait de ces bruits, aussi, quand elle veut quelque chose. Elle hurle et Gali a envie d'hurler plus fort. Elle est moche. Elle est moche, et ronde, mais avec des cuisses et des bras maigres et on dirait qu'elle est faite en porcelaine. Elle pue la merde mais le neuve. Maman l'appelle mon poussin mais avant qu'elle soit là, c'était Gali, le poussin.

Les lèvres se pincent plus fort et les sourcils se froncent encore plus.

Elle dort pour la première fois depuis trois heures. Elle a pleuré trois heures.
Maman a fini par pleurer et l'a foutu dans les bras de Gali pour aller dormir, en le suppliant de s'en occuper.

Gali cinq ans tient le bébé entre ses doigts, le bébé qui a cessé de pleurer pour s'endormir.
Alexandre neuf ans essaie de lui dire des choses sur les bébés mais Gali n'écoute pas.
Pablo douze ans gronde qu'il dit n'importe quoi et dit encore plus n'importe quoi.
Jeanne seize ans tient son propre gosse dans ses bras et ne dit rien, simplement.
Arty dix-sept ans dort, car il est l'heure de dormir, et qu'il dort lorsque l'heure le dit.
Jules n'est pas là, car Jules est majeur et a foutu le camp.

Cleo trois jours est dans les bras de Gali et dort pour la première fois depuis le retour à la maison.
Cleo est moche, petite et trop fragile.
Cleo est son nouveau trésor.

Gali fronce un peu plus des sourcils, pince un peu plus ses lèvres, continue de la bercer doucement, concentré, et essaie de faire aucun bruit pour ne pas la réveiller.

février 2007
Douce caresse le long de sa peau imberbe.
Gali a quatorze ans et dévisage son reflet, dans le miroir de maman.
Cleo est posée contre le cadre de la porte, petite, encore dans le couloir, car elle a peur que maman revienne à la maison et hurle, car Gali est dans la chambre.
Car Gali a enfilé certains vêtements qui appartiennent à maman, également.

Gali s'en fiche.
Gali effleure sa peau du bout des doigts, dévisage le tissu pâle, presque transparent, contre ses jambes longues et trop maigres, encore.
Les lèvres se pincent, brièvement. Le rouge est un peu présent, sur les joues.

Il a honte d'aimer la sensation du pantie et du collant de nylon.

- Ça te va bien, Gali ; la voix de Cleo  est petite et sincère.

Il sourit brièvement et rougit un peu plus, avant de souffler un merci.

4 septembre 2008
Il s'appelle Frank, il a quarante-deux ans, une barbe, des yeux verts et un sourire qui crée une fossette dans sa joue gauche. Il aime les bières, il rit fort, et il pose toujours sa main contre son bras, lorsqu'il parle, pour avoir son attention. Il rapproche également sa bouche de son oreille, dernièrement, pour parler un peu plus bas et dire des choses que les autres ne doivent pas entendre.
C'est le dernier copain de la mère, le potentiel père du huitième Bruni, s'il y a.

Sauf que la main posée sur le  bras devient une main contre le bas de son dos.
Sauf que le murmure contre l'oreille devient un corps pressé contre le sien, dans un couloir, le soir.
Sauf que les mots innocents perdent leur pureté.
Sauf que Gali, presque seize ans, se laisse amadouer.
Sauf que maman revient plus tôt, un soir, et que Frank ne devrait pas être là, surtout pas sous les draps, et Gali tout autant, et que maman hurle, et hurle, et que Frank hurle plus fort.

Ils hurlent si forts.


Et maman est conne, si conne.
Si conne que Frank reste dans la baraque brisée des Bruni et que Gali fout le camp, un sac dans le dos, des larmes sur les joues, la virginité aux chiottes.

Deux heures plus tard, Cleo dix ans le retrouve, des larmes de crocodile dans les yeux, sa peluche d'ours à la main, et un sac trop lourd pour elle sur le dos.
Ils sont seuls, maintenant.

6 novembre 2009
65...64...63

- Gali, s'il te plait !!

Gali a dix-sept ans. Cleo en a douze, maintenant.

Elle commence à porter des jupes un peu usées et elle ressemble un peu à maman. Ou pas du tout. Ses cheveux sont blonds, presque sales mais blonds, et ses yeux sont en amandes, noirs et grands.

Elle a cette innoncence dans le regard et des larmes sur ses joues et elle est laide, si laide, comme ça, et Gali pleure plus fort, fort, parce que ça fait mal, de la voir comme ça.

56...55...54...


Elle avance d'un pas.  
Il hurle fort.

- NON ! Non PUTAIN, avance PAS !

Cleo pleure encore plus fort ; elle essaie d'essuyer ses sanglots avec la manche de son veston, mais il est usé, un peu sale aussi, et il laisse des traces sombres sur son visage. Elle étale la morve sur ses traits, défigure sa beauté pour une chose qui n'a pas de raison d'exister.

45...44...43...

- S'il te plait, Gali, S'IL TE PLAIT ! Prends les, prends en, s'il te plait.

Ses doigts s'emparent du tissu de sa veste, dans un élan de détresse.
Il ferme les yeux, fort, et essaie de ne pas pleurer. Elle s'accroche plus fort et se serre contre lui au point de l'étouffer. Entre les tissus, sa voix est étouffée, mais il l'entend encore supplier.

- Je peux pas faire ça, Cleo ; la voix est brisée, désespérée, désemparée.

22...21...20

Il aperçoit son regard. Cet iris un peu trop comme le sien, un peu trop sombre, aussi, peut-être. Elle le dévisage et sourit légèrement, même si ses lèvres grimacent. Elle s'agrippe à lui et secoue la tête, brièvement.

- Je te le demande pas, qu'elle souffle, bas, sans ajouter quoique ce soit.

Il ouvre la bouche, pour dire son nom.
Elle colle son bras contre le sien et dit je t'aime, simplement.

5...31 536 000...31 535 999

Il remarque cruellement, lorsqu'elle n'y est plus, qu'il y avait une lueur dans le noir dans ses yeux.
Il y avait une lueur dans le noir de ses yeux.

12 décembre 2009
C'est quelque chose qui arrive sans qu'il ne s'aperçoive de quoique ce soit.
Une seconde, il se perd dans les bras d'un homme pour un peu de temps,
un peu de chaleur, des draps chauds et un toit.
Le lendemain matin, il ouvre les yeux et Altea l'accueille, le temps s'est arrêté et il ne sait pas comment retourner chez soi.

28 mars 2010
La nuit est un peu froide ; il ramène ses bras contre son torse, essaie de se réchauffer un minime.
Dans la rue, quelques véhicules ralentissent, mais aucun ne s'arrête. Il attend depuis trente minutes, déjà, depuis le dernier client.
Gali pince ses lèvres et sort une cigarette, pour se réchauffer. Lorsque la boucane se glisse dans ses poumons, des pas résonnent, sur le trottoir.
Le King approche. Le petit se fait un peu plus droit, passe une main dans ses cheveux, ne rougit pas.
- Monsieur le King ; la voix ronronne, le regard cherche le sien, même si la tête est un peu baissée, par respect. Gali a tout de même le menton haut, car il est jeune et con, car il tease et qu'il cherche des misères, joue avec le feu, qu'importe le frisson contre son échine.
L'homme sourit brièvement, sans dire mot.
Gali cligne des yeux, ne quitte pas son regard.
Puis, des fleurs devant ses yeux. Le visage se recule légèrement.
- Qu - ? Les sourcils sont froncés, légèrement. La pute passe une langue sur ses lèvres, dévisage son patron, perd un peu de sa confiance. Le terrain n'est pas familier. Le terrain est glissant.
Quelque chose se tord, dans son ventre. Une chanson résonne, dans sa tête, bien qu'il ne la connaisse pas réellement.
- C'est des vrais ? curieux, c'est plus fort que lui. Les fleurs de Sigan sont souvent fausses, artificielles.
- De vrais lilas, oui. Pour toi, bon prince.
Les sourcils se froncent un peu plus, le regard cherche le piège, mais les joues sont déjà rouges d'émotions et le coeur bat trop fort, ce con. Il s'empare des fleurs un peu brusquement, les rapproche de son torse comme si elles pouvaient le réchauffer, elles aussi.
- Merci ; le mot est à demi murmuré, le regard se baisse.
Puis, un doigt sur son menton.
Une légère pression sur ses lèvres gercées.
Un baiser volé.
- Bonne nuit, Leo.
Une lueur amusée, dans le regard du patron, avant qu'il ne se retourne et s'éloigne. Bobby le suit après quelques secondes, prend le temps d'adresser deux pouces dressées à Leo - car il est Leo ici, il est Leo à Altea, c'est simplement comme ça - qui ne comprend pas.
Il lui faut quelques secondes pour se reprendre, puis il élève la voix dans le noir de la rue, même si le King est déjà loin, maintenant.
- C'est interdit d'embrasser les putes, monsieur ! Ordre du patron !
Il attend qu'il soit disparu complètement avant de sentir les fleurs pour la première fois.

31 octobre 2012
Il les déteste, tous.
Tous, pour être dans sa tête.
Tous, pour s'imposer à sa vie comme sa mère et ses frères et ses soeurs aussi.

Et puis, misère, ils deviennent comme Cleo.
Ils deviennent aussi important que l'air.

( - Oskar ? T'as deux minutes ?
Le regard se tourne vers le coréen, dévisage une seconde, tandis qu'il ramène sa veste transparente sur l'une de ses épaules. Gali sourit faiblement, se faisant séduisant, passe sa langue sur ses lèvres, goûte la saveur de son lips fruité.
- Pour deux minutes et 10 stellars, tu peux m'appeler comme tu veux, mon mignon.
Le rouge sur les joues, la confusion dans le regard, un pardon et un au revoir.

deux mois plus tard

(gali) les filles, joshua a un problème assez grave
(s-ash-a) ??????????????
(lupe) c'est grave ?
(joshua) ... de quoi tu parles encore ?
(gali) faut pas en avoir honte, joshua
(gali) il va voir des putes et il demande à les appeler oskar
(scar) ELLE ÉTAIT BONNE ?
(joshua) MAIS COMMENT TU SAIS ÇA ????
(gali) très bonne. TRÈS
(gali) je vais bosser xxxxx
(joshua) gali ??? réponds moi ????
(s-ash-a) mais t'es mignon pourquoi tu vas voir des putes josh ??
(joshua) gali ???
(joshua) sérieux...
)

2 janvier 2013
La nuit est froide. Trop froide pour être sur le trottoir, ce soir.
Le corps est frêle et la longue crinière le protège un peu, mais Gali tremble.
Il tremble si fort que le King le dévisage un moment, trop longtemps, avant de lui faire un signe de la main.

On dirait un suis moi mais Gali n'y croit pas, alors il ne bouge pas.
L'homme s'arrête et lui fait un signe, une nouvelle fois.
Gali le suit, cette fois.

Il le suit et oublie le noeud dans ses tripes, le tremblement de ses doigts, sort les mots doux et les caresses et les sourires et les regards qui veulent tout dire. Il sort le faux mélangé avec un peu de vrai, peut-être, et le King sort de l'alcool pour réchauffer.

Et puis les heures passent et les corps tombent dans les draps, sans charnel ni caresse, sans désir ni chaleur, simplement là dans le confort, se touchant à peine et dormant.
Gali l'observe de longues minutes dormir, avant de fermer les yeux.
Lorrsqu'il les ouvre, le King dort encore. Gali aimerait le trouver beau mais quelque chose lui dit que c'est dangereux, quelque chose lui dit - avec la voix de ces hommes qui le traitent comme une chienne, une putain, qui appelle sa queue un clit et qui veulent enfoncer leur membre dans sa gorge au point de l'étouffer - qu'il devrait partir, qu'il est sale dans ses draps et qu'il n'a pas sa place, là.

Il connait la sortie, maintenant.
Il connait la sortie d'Altea, pour rentrer chez soi.
Gali fait de son mieux pour ne pas penser à ce qu'il a du faire pour le découvrir, préfère dévisager les traits du patron quelques minutes encore, avant de quitter les draps.
Avant de quitter les draps et de voir un sac plein d'argent et d'hésiter une seconde, une brève seconde, avant de le prendre, de partir et de ne plus revenir.

Dans la cuisine, sur la table, il y avait une fleur de lilas.
Elle n'y est plus.

14 avril 2014
Il sait, dés qu'elle est activée, que le regard n'est pas réel.
La lueur est fausse, dans ses yeux.  En y portant suffisament attention, il pourrait voir les pixels défilés, comme les données enregistrées.

Il préfère l'ignorer
comme la couleur de ses cheveux qui est trop sombre, finalement, pour être la sienne
comme ce corps plus mature qui correspond à l'âge qu'elle aurait mais qui pourtant semble étrange et faux.
comme le ton de sa voix qui est parfois trop bas ou trop haut, qui ne colle jamais parfaitement
comme le fait qu'elle est toujours enfermée dans le loft avec lui, qu'il ne veut pas la laisser sortir, car elle est son vilain petit secret

car elle est son vilain petit secret depuis le jour de sa mort
car cleo est morte et que cette androide le dévisage, sans mot, une lueur artificielle dans l'oeil, et la plaie reste ouverte.

la plaie reste ouverte, dans son coeur.

âout 2016
gali -> lupe
(gali) lulu chérie ??
(lupe) oui ???
(gali) tu veux passer la journée au loft?
(lupe) hmmm okay j'arrive dans une heure

(conversation de groupe )
(lupe) jpp les gars, gali m'a invité chez lui pour nettoyer son appartement. c'est la troisième fois.
(ashcar) ah mais t'es gentille de l'aider lupe !!
(lupe) je savais pas. les trois fois, je savais pas
(gali) karma.
(lupe) ...
(joshua) bienvenu au club, lupe. à chaque mercredi, on se fait des soirées cookies et on parle de gali et de ses grands pieds
(gali) comment ça mes GRANDS pieds ???
(gali) c'est un fantasme ???
(gali) tu sais ce qu'on dit sur les pieds et les queues ????
(sasha) les gars, haut parleur ?????
(gali) merci du compliment, mon mignon !!!!
(joshua) ON AVAIT DIT DE PAS PARLER DE ÇA



DÉCEMBRE 2016

Les nuits sont courtes, le corps s'agite.
Gali peine à dormir.
La vie est un mauvais rêve. La panique est dans ses veines. Il suffit de peu, de légères brisures, pour que le souffle se casse dans ses poumons. Pour que l'air s'évade. Les pupilles sont dilatées, cherchent quelque chose sur son bras. Le temps.

Il cherche le temps.

Il veut voir les secondes,
les minutes,
les heures,
les jours.

Il veut voir tout, tout entier, pour être certain.

Il craint la mort, dans la solitude de ses draps. Sur les joues, des sillons de sanglots. Ils sont silencieux, salés contre le bout de sa langue, lorsqu'elle passe sur ses lippes. Le coeur lui serre douloureusement, des heures durant. Sous le son de sa voix, la lumière s'allume, et Gali ramène ses jambes contre son torse. Les draps sont humides, par la sueur qui coule contre son corps.

Il dévisage les secondes qui s'écoulent. Dévisage le montant indiqué d'un oeil absent, incapable de retrouver le sommeil, incapable de retrouver le calme total.

Les secondes passent, douces.
Le silence résonne dans la pièce, mais il entend ;
il entend un
tic
et le
tac
du temps qu'il perd.
De la mort qui se rapproche. Elle parait loin, si loin ; il pourrait vivre milles ans, dés maintenant.

Et pourtant, la peur reste là. La peur lui dévore les entrailles et la mort siège dans la nuit, dans ses draps et dans ses rêves, aussi.

Son front prend appui contre ses genoux ; un soupire quitte ses lèvres, un sourire amer y naît.

Il quitte les draps, le lit, la chambre.
Gali va se faire un thé ;
la nuit est finie. Les cauchemars ont fait leur nid.

mai 2017
(joshua) on se fait une soirée film avec rabbit??
(sasha) oh
(sasha) avec la vidéo description ?
(joshua) forcément
(sasha) <3
(joshua) les gars ?
(lupe) sans ash ??? :(
(scar) je peux pas, j'ai poney
(gali) je peux pas, je suce
(joshua) ...
(scar) sérieux mec ??
(gali) non mais je chevauche aussi ensuite, hein #teamponey
(sasha) tu te rends compte que mon portable lit les messages à voix haute et que je suis dans l'autobus ???
(lupe) jpp
(gali) xxxxxxxxxxxxxxxxxx love
(gali) ps ; lupe a raison, vaut mieux attendre le réveil d'ashou ok bye love

juillet 2017


La changement sont minimes, mais présents.
Ça commence comme ça :

- Cleo ?
- Cloe
Gali fronce des sourcils, quitte l'article de maquillage des yeux, la dévisage.
- Quoi ?
- Je préfère Cloe

Le coeur rate quelques battements. Il hoche de la tête.

Et puis ça finit comme ça :

- Je suis pas elle, tu sais.
- Je sais ; la gorge est serrée, il ne la regarde pas. Gail peine à la regarder depuis qu'elle est là. Trois ans, déjà.
- Je vais partir, je crois. Pour être moi, tu comprends ?

Évidemment qu'il comprend. Elle n'est pas Cleo. Elle ne l'a jamais été. Elle est le spectre de Cleo, le reflet de ses souvenirs. Un reflet pale de ses défauts, de ses qualités, de son apparence. Elle est le meilleur de ses souvenirs, et pourtant, rien à côté de la vérité.

Elle n'est pas Cleo, mais désire être Cloe.
Elle s'en va, alors, et Gali ne la retient pas.
Elle mérite mieux que tout ça.

21 JANVIER 2018
Les yeux s'ouvrent grand ; l'air cherche à rentrer dans les poumons.
Les doigts tremblent.
Le corps tremble.
Les draps sont trempés.

- Gali ?

La voix est douce, endormie, un peu enroulée. Les doigts sont froids, légers, sur son bras.

L'air entre dans les poumons.

- Ça va, Ash ; la voix tressaute, le coeur palpite encore. Sur les lippes pourtant, un sourire un peu absent, mais présent.

Contre son dos, la masse endormie de Lupe.

- Juste un mauvais rêve, mais ça va.

Elles sont là. Ça va.
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precious
quel bel homme
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Yasmeen Hedat-Vane
Yasmeen Hedat-Vane
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le copain de mes copines gaah arrow
avec ezra en plus……
(PAR CONTRE ON PARLE DU GIF DE PROFIL DEUX MINUTES hmm )

re-bienvenue hâte d'en savoir plus sur ton siganais (et de se trouver un lien maybe jule jule ) hh
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ajay tu te regarde dans le miroir, c'est ça ? moustache

yasmeen mais oui, c'est tellement vrai mdr on est copine alors moustache
( non mais ce gif, je l'ai vu, j'ai ri, ri encore, et j'étais obligée, okay. il est sublime )
merci yeux
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Sami Hedat
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pfiou le titre
jtm
rebienvenue parmi nous et bon courage pour cette fiche excellent choix d'avatar j'adore la signature le gif de profil me tue pff j'ai trop envie d'essayer la poutine arrête tu me donnes faim et et et trop hâte de lire tout ça. :shon: hh
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oh bah waw
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sami awn mais merci mdr cette quote est parfaite tbe et je t'envoie de la poutine par la poste ( je compatis avec toi, j'ai pas pu y aller, ma voiture est ko mdr )

luna ah bah wow toi même, ok
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Nephtys Carmichael
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c'est encore ezra. c'est juste. bah ezra quoi. j'suis fascinée par les personnages avec ezra. ou peut-être avec ezra lui-même, en fait. va falloir que je réfléchisse sérieusement à ça. tbe re, et bonne chance pour ta fiche tbe tbe
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Ashley Martinozzi
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yo

MON LOVE. fire
on sera beaux. iiih galishley? galiley? ashleo?

je suis trop contente que tu aies cédé fire j'ai tellement bien fait de t'en parler omg fire fjbdsdj t'es trop parfaite coeur
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