Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez
 

 I feel like I could eat the world raw + Pip

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
Invité
Anonymous
Invité

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
Camille il fait froid, j’ai plus les pieds nus mais des grosses chaussettes de Noël fourrées là, toujours pas de job donc free pour rp mais en formation web design maintenant donc j’dois étudier un peu ON Y CROIT. (j’vous aime toujours autant, sinon.  minikr )

Pip Geevesfc : grant rhodes ; ©️ Fern ; ALTEA ; unique
97%MINIBITCH
85%OPENMINDED
68%JADED
83%SMOOTHTALKER
71%CLEVER
62%ARROGANT
93%REALISTIC
76%MANIPULATIVE
   
Nom complet Geeves. Nom emprunté, usé, souillé de boue et de sang, flottant derrière lui comme un mensonge. C’est son nom seulement lorsqu’il faut prétendre avoir un père, une mère et des papiers, c’est un nom que ses pigeons cherchent dans le vide, sans jamais le retrouver. De vrai nom, il n’en a pas, n’en a jamais eu. Il n’a jamais été que Piper, le p’tit pourceau qui avait contrarié toute une maison close en n’étant pas une jolie petite fille. Gō a été trop paresseuse pour lui choisir un prénom de macho. Surnom Pip qui a remplacé Piper, trois lettres qui font sourire tendrement, un nom de bestiole qu’on mettrait bien en cage, pour faire joli, pour décorer. Naissance Il ne connaît pas la date, ni les circonstances de sa naissance, si ce n’est le lieu. Un bordel de province, aux rideaux de velours rouge et aux lampions vulgaires. Il n’a jamais fêté son anniversaire, il a peut-être dix-sept ans, peut-être vingt-cinq, il accorde son âge aux désirs du client. Héritage culturel Des traits de cet ancien pays dit du soleil levant, jouant de cet exotisme comme le lui a appris Gō, enveloppé dans ses kimonos de soie comme s'il n'y avait pas de meilleure armure, et ses geta aux pieds. Pourtant, Gō n'a jamais été d'origine nippone, et seul son père, inconnu au bataillon, détiendrait ces fameux gènes orientaux. Statut Il se donne au plus offrant ou au plus crédule selon ses humeurs, Pip se considère lui-même comme un bel objet que d'autres aimeraient posséder et ne s'intéresse à l'amour que pour sa composition chimique. Orientation Pansexuel. Ou plutôt tant que ça a un portefeuille bien fourni, c'est bon. Finances $$$$$$. Ça fluctue, mais il n'a jamais mal vécu. Lorsqu'une source se tarit, il en trouve une autre, voilà tout.

Univers Altéa, énième rejeton des régions à être parti pour la capitale, à s’aventurer dans les clubs branchés de Soho comme dans les endroits les plus malfamés d'Oriel, à l’aise partout et à sa place nulle part. Occupations Garçon élevé par des femmes dans un temple des plaisirs, Pip n’a jamais éprouvé de honte à se vendre. Il se vend cher, surtout à ceux qui veulent toucher plus que regarder, ceux qui ne se contentent pas d’un joli minois pendu à leur bras, demandent aussi un corps nu sous leurs draps. Il ne se vend plus aussi souvent qu’avant, préférant l’autre métier de maman, voyant. Du moins, il fait semblant, doué pour lire dans les yeux, dénicher des secrets, pour savoir ce que l’on veut entendre et le dire d’un air mystique au-dessus d’une boule de cristal. Escroc, c’est tout c’qu’il est, bourreau des cœurs et des cerveaux. Particularités Sa peau est lisse, lisse, lisse, ne recèle d’aucune cicatrice, de celles qu’on récolte gamin en faisant des bêtises. Il les a toutes refermées soigneusement, les écorchures, atténuées les ecchymoses des clients mécontents, disparues les griffures des amants trop ardents. Pip efface tout ce qui le lie aux autres, et, adolescent, a gommé trop de fois les blessures des filles du bordel. Il manipule les corps aussi bien que les cœurs, et ces dernières années, s’amuse à recréer le sentiment amoureux de manière artificielle, à dose d’endorphine, dopamine et ocytocine, pour abuser les naïfs qui croient stupidement qu’il est l’amour de leur vie. Asider. Il n’a pas été détecté lors du processus, pour la simple raison qu’il n’y a pas participé, enfant non-déclaré d’une bête prostituée, il n’existe pas, cet enfant trop vivant. Liens cosmiques Depuis quelques mois, on vient troubler sa solitude de prince contemplant le triste monde du haut de sa tour, ça apparaît dans ses miroirs et interrompt ses transactions, ça le dérange que le néant dans sa poitrine ne soit plus si néant que cela, ça l’ennuie de ressentir des émotions qui ne sont pas siennes, de se retrouver là où il ne veut pas être, à voir ce qu’il ne veut pas voir, et pourtant ce désir vivace d’être aimé par ce cluster qu’il n’a pas demandé, d’en être le centre parfait. Quant aux âmes sœurs, il n’y a jamais cru, même s’il adore en jouer sur un jeune homme un peu idiot, qu’a la fâcheuse tendance à sentir les crêpes au citron. Pip aime bien ça, au fond. Keywords snow white + minibitch + slut + whorehouse + toyboy + psychic + hustler + money + asider + body control


we are all astronauts
(I. Tu respecteras les femmes) Il est né garçon dans un monde de femmes, dissimulé sous des robes de petite fille pour amadouer celles à qui cela ne plaisait pas. La maison close, il n’a longtemps connu que ça, bambin surprotégé au milieu des jupons, toujours dans l’ombre de la scène sur laquelle elles se vendaient de la plus jolie des façons, chantant, dansant, envoûtant, il a toujours admiré les femmes comme si elles étaient des créatures célestes, les nichant sur un piédestal de ses yeux d’enfant. Incapable de maltraiter l’une d’elles, il les escroque toujours avec beaucoup de courtoisie. (II. Tu mépriseras les hommes) Ces sauvages qui abîment, pour qui rien n’est sacré. Il a appris à la dure que le client est roi, à force de panser celles qui avaient été cognées pendant la nuit, gamin crédule qui ne comprend pas, d’abord, puis adolescent révolté de cette injustice, ensuite. Mais on ne l’a jamais laissé élever la voix contre ces porcs, on a retenu ses mains de frapper à leur tour, on lui a fait avaler, digérer la triste vérité. Elles ne sont qu’objets pour ceux qui achètent, les objets se possèdent, ils ne se respectent pas. (III. Tu soigneras ton apparence) La beauté et l’élégance, ce sont peut-être ses seules valeurs. Il cultive la noblesse de son allure, l’arrogance de son port de tête, l’insolence de sa coiffure. Il sait que son image est plus important que tout ce qu’il peut dire, qu’il suffit d’un joli minois pour faire tourner les têtes, les faire tomber aussi, alors il choisit ses tenues avec minutie, prend soin de sa peau, de ses mains, avec, parfois, souvent, la maniaquerie d’un Narcisse. (IV. Tu charmeras ton monde) Il minaude tant et si bien que peu de gens s’en agacent, toujours à jeter des œillades, douceur acidulée dans le regard, à poser sa main sur une épaule, contre une joue, ou simplement sur une de ses semblables, caressant sans même frôler. Tactile sans être insistant, sachant quand s’arrêter, quand recommencer. Il a rarement besoin de paroles pour séduire, ne gaspille jamais sa salive en compliments factices, recourt à son don, par pure paresse. (V. Tu leur diras ce qu’ils veulent entendre) Au temps du bordel, Gō lui a enseigné l’art de la voyance et du mentalisme, ou plutôt l’art de faire semblant, en devinant les désirs enfouis des passants. Habile de ses doigts comme de ses mots, il est passé maître dans l’art d’embobiner les gens, prétendant lire dans les cartes ou les boules de cristal, jouant de délicats tours de magie pour les mystifier. Cela fait longtemps qu’il ne s’amuse plus de leur naïveté, lassé qu’ils veuillent tous entendre les mêmes sottises. (VI. Tu accepteras leurs attentions avec le sourire) Toujours poli, des mercis plein la bouche, étirant ses lèvres en un simulacre de tendresse, feignant d’être flatté par leurs louanges, leurs offrandes qu’ils étalent pour l’impressionner, le garder là, auprès d’eux, l’acheter. Il aime remplir son univers trop vide de leurs cadeaux, profiter de leurs comptes en banque bien garnis, qu’ils réalisent ou non. Il ne s’en cache pas vraiment, croqueur de diamants. (VII. Tu ne laisseras personne te toucher) Enfant, déjà, il attire les convoitises de quelques déviants qui viennent se perdre entre les cuisses des filles de rien. Elles le protègent, le cachent loin de la lumière pour qu’on ne puisse plus le voir. Elles lui disent qu’il ne doit pas finir comme elles, qu’il ne doit jamais se laisser souiller par ces hommes répugnants, ceux qui assument, et, les pires, ceux qui regrettent. Mais il a envie d’être regardé. (VIII. Sans y mettre le prix) Il a envie d’être regardé alors il se glisse en douce hors de sa prison de velours rouge, pour traîner sur les trottoirs, éveiller les désirs de ces hommes qu’il méprise. Et c’est si facile. Et il demande trop, et on le lui donne. Alors il continue. Il les laisse, ces hommes, poser leurs mains là où il ne veut pas qu’ils les posent, il les laisse disposer de son corps, poupée de chiffon sous leurs doigts, sous leurs coups, parfois. Et puis il nettoie. Il frotte toujours si fort avec le savon que sa peau en rougit, et il efface les traces disgracieuses avec son don. Et c'est seulement alors qu'il peut recommencer. (IX. Tu ne t’attacheras point) Gō est loin de lui et il n’y pense plus beaucoup, à sa mère. Il ne pense plus beaucoup non plus à Ishtar, qui lui a montré comment maîtriser son don, dès son plus jeune âge. Elle est morte, Ishtar, tuée par des Wardens, au nom de la sûreté d’Altéa. Il ne l’a pas pleurée. Les larmes, c’est pour obtenir des faveurs, les larmes, ça ne sert pas à ça. Puis il y a les autres qu’il accapare et jette dès qu’il n’y a plus assez d’argent à son goût. Dès qu’il se lasse, en vérité. Son cluster est une épine dans la ravissante plante de son pied, puisqu’il ne peut s’en débarrasser tout à fait. (X. Tu n’aimeras que toi) Il contemple son reflet, dans les miroirs ou les vitrines, trompe sa solitude en soutenant n’aimer que lui-même, vaniteux, égoïste, cruel, s’il ne s’aime pas, personne d’autre ne le fera. Il le sait. Mais il ne s’aime pas beaucoup, à la folie, passionnément, il n’aime que la surface, l’objet, pas la personne. A ses propres yeux, il n’est pas quelqu’un, il n’est qu’une jolie poupée, vide d’entrailles et de sens, il n’y a rien, quand on gratte un peu, qu’on écaille la peinture pour voir ce qu’il y a en-dessous. Rien, rien, rien. Ou peut-être que si. Plus loin. Plus profond. Mais on ne peut l’atteindre sans que la porcelaine ne se fissure.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
EmptyI had a heart that don't speak to me anymore

I.
Ishtar,

J’aurais aimé que tu partes moins tôt. Que tu m’apprennes encore des choses sur l’univers, comme tu le faisais parfois après mes leçons. Je ne les comprends pas, tu sais. Toujours pas. Tu m’as expliqué leur corps, les hormones qui régissent leurs affects, la circulation du sang et de l’oxygène sous leur peau, et avec de l’entraînement, je sais que je pourrai faire de grandes choses. Des choses horribles, aussi. Mais je ne les comprends pas.

Les filles de là-bas, elles étaient ma famille, je crois, et il n’y a eu qu’elles, pendant longtemps. Eux, je les apercevais de temps en temps, dans l’entrebâillement d’une porte, du coin de l’œil, je les entendais, plus souvent. Mais ils n’étaient pas tangibles. Ils pesaient sur mon existence comme des cauchemars, alignant les ecchymoses sur les corps de mes précieuses, déchirant les écrins dans lesquels elles s’offraient à eux. Je ne les voyais qu’à travers elles, ils n’avaient aucune consistance, pour moi, aucun réalisme. Et pourtant je les détestais.

Je les ai détestés d’autant plus dès lors qu’ils n’étaient plus de simples cauchemars sans substance, dès lors qu’ils m’ont touché, moi. Que je me suis laissé toucher. Je n’aurais pas dû, peut-être. Mais j’avais ça dans le sang, je savais comment faire, dès la première fois. J’en avais envie et je n’en avais pas envie en même temps, je ne saurais te dire pourquoi. Je ne le sais toujours pas.

Et puis il y a eu cet homme. Il était vieux, et Gō ne l’aimait pas. Je le trouvais beau, même s’il ne l’était pas. Pas au sens classique du terme, en tout cas. Il m’aimait et c’était étrange, parce qu’il payait parfois seulement pour me regarder. Et je crois que j’aimais ça. Je préférais cela à quand il me touchait, même s’il était toujours tendre et doux. Il m’a emmené avec lui, à la capitale. Je voulais voir Cosmopolis, alors j’ai dit oui. Je ne suis pas retourné voir Gō, depuis. Ça doit faire deux ans, maintenant, peut-être plus. Je n’ai pas compté.

Pip

II.
Ishtar,

Je ne sais pas ce que j’ai fait. Je ne pense pas l’avoir blessé. J’aurais pu le tuer. Je ne voulais soudain plus qu’il me touche, alors j’ai fait ce que tu m’as appris, autrefois, pour me défendre. Même s’il me suffisait sans doute de le lui dire. Je crois qu’il est en colère, à présent, je crois qu’il me cherche. J’ai dû m’éloigner des beaux quartiers. C’est curieux, mais je me sens plus en sécurité ici, à dormir dans les ruelles glauques, que dans ses bras. Je m’y sens à ma place. Tu crois que c’est parce que je viens de là ? Je n’ai pas peur, ici. Les gens ont peur, tout le temps, dès que la nuit tombe. Moi j’aime bien ça. C’est plus facile de se fondre dans les ombres.

Pip

III.
Ishtar,

Je suis perdu.

J’ai atterri dans cet endroit, il y a quelques jours. Un diner, tu sais, ces restaurants un peu kitsch ? Un peu de mauvais goût ? Pour ma défense, j’avais froid. Et je n’avais pas envie de retourner auprès de lui. Il ne me restait que quelques stellars, alors j’ai commandé un thé. Ils m’ont laissé rester là toute la journée. Pour un seul thé. Il y faisait chaud et il y avait du bruit, j’aimais bien ça. Alors j’y suis retourné le lendemain. Et le jour d’après. Hier encore, et ce matin aussi. J’ai commandé un thé et ils m’ont laissé rester.

Et aujourd’hui, à midi, il y a ce garçon qui est sorti des cuisines et a déposé devant moi une assiette d’œufs brouillés. Je n’avais pas mangé de vrai repas depuis des jours et mon ventre a grondé. J’ai quand même dit que je ne pouvais pas payer et il a répondu que c’était la maison qui offrait. Et il a souri.

Son sourire m’a effrayé.

Pip

IV.
Ishtar,

Quand je l’ai vu, ce jour-là, quand il m’a souri, comme ça, j’ai eu envie de l’avoir pour moi seul. L’avoir, comme un enfant veut un jouet dans une vitrine. Un caprice, tu aurais dit. Tu sais que je n’ai jamais fait beaucoup de caprices. C’est parce que je n’ai jamais désiré quelque chose. Peut-être que je le désirais, lui.

Je voulais lui faire du mal, aussi.

Parce qu’il n’avait pas le droit de sourire comme ça. C’était un mensonge, parce que les hommes ont toujours la langue pleine de mensonges. Son sourire me paraissait plus vrai que les miens, pourtant il devait être tout aussi mensonger. Un vendeur de rêves qui cachait un cauchemar, comme ces ombres intangibles de mon enfance.

Je savais qu’il avait un fils, pour l’avoir vu, et une femme, pour avoir entendu parler d’elle, lorsqu’il discutait avec les habitués. Ça aussi, c’était un mensonge. Faire croire à une famille parfaite à l’extérieur, rester un monstre à l’intérieur. Je le croyais.

Alors j’ai souri, moi aussi. Je l’ai regardé dans les yeux et je lui ai souri, comme ça, aussi bien que lui. J’ai effleuré sa main tellement, tellement de fois, dès qu’il déposait une assiette devant moi, je lui ai dit des mots doux, qu’il était beau, avec ses cheveux en bataille, qu’il était mignon, quand il avait de la farine sur le bout de son nez, que j’essuyais avec tendresse, en riant doucement. Et j’aimais faire ça. Pas parce que je savais que ça lui ferait du mal, à la fin.

Je ne sais pas pourquoi.

Pip

V.
Ishtar,

Je veux qu’ils s’en aillent.

Je ne veux plus les entendre, ni les voir. Je ne veux pas de leurs vulgaires émotions dans mon corps, dans ma tête. Je ne veux pas qu’il soit là, lui. Il m’a sauvé la vie, l’abruti, alors que j’avais décidé de le mettre derrière moi. Je lui ai fait du mal, encore. Il est toujours là.

Je ne les comprends pas, vraiment, Ishtar. Tu aurais dû m’expliquer.

Pip
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
yooo
Revenir en haut Aller en bas
Jack Hedat
Jack Hedat
Date d'inscription : 30/09/2018
Messages : 123
Pseudo : sonata.
Avatar : Daveed Diggs, le merveilleux ♥
multi : eliott (fiche) - jeremiah (fiche) - william (fiche) - rose (fiche)
Réputation : 8

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
il est trop cuuuuute omg tbe
high five pour le no job, je peux te donner un petit badge si tu veux rip
trop hâte de voir de quoi il en retourne pour ce petit gars kr rebienvenuuuue à la maison et courage pour cette fiche ptikr
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
kécho le titre m'a replongé dans une tristesse infinie mais je te pardonne.
il est pipou de fou
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
@Bebe Byrne hairflip
@Jack Hedat je n'accepte que si c'est un badge en or serti de diamants. bitchplz
je me dépêche de finir. minikr

@Sinned Mugler I KNOW JE ME SUIS TELLEMENT MISE MAL facepalm facepalm facepalm larmes larmes mais merci de me pardonner. :shon:
Revenir en haut Aller en bas
Nikita Bae
Nikita Bae
Date d'inscription : 11/02/2018
Messages : 552
Pseudo : bermudes.
Avatar : gong yoo
multi : nephtys (n. scott) -- brian (a. hyoseop) -- jelly (hani) -- joshua (dohwan) -- lava (h. momo) -- nimh (a. seyfried) -- ana (k. scodelario) -- baby blue (bbh)
Réputation : 20
Bloc-note : galileo

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
il est canon. c'est tout bye russe
ok re en vrai, et bonne chance pour la suite de ta fiche coeur
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty

kisseu kisseu kisseu



wala russe
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
Merci vous deux. russe
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
t'es mm pas mignon
diebitch
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

I feel like I could eat the world raw + Pip Empty
Revenir en haut Aller en bas
 
I feel like I could eat the world raw + Pip
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
ANTIGRAVITY :: through the valley of the shadow of death :: Let the record spin :: HRP :: FICHES-
Sauter vers: