the devil's arms around me // lip.

Invité

margaux j'm'appelle margaux, j'ai dix-huit ans depuis peu de temps, j'suis née exactement deux ans et une semaine avant la joueuse d'ajay :oopsie:

d'ailleurs c'est elle qui m'a embarquée dans l'aventure.
j'pense être plutôt active, vue que je fais pas grand chose de mes journées.
désolée de décevoir mais actuellement je ne porte pas de chaussettes gaah

j'aime portes des fringues à la garçonne, la vieille musique (queen c'est bae), et puis genre, vous êtes pas près à nous supporter sur un forum avec emeline moustache

lip sinclairfc : bill skarsgard ;

️️ unicorn ; Moons ; unique

75%PERSÉVERANT

45%INSOLENT

40%INTELLIGENT

80%MENTEUR

60%ENDURANT

85%DROGUÉ

650%RÉSISTANT

100%DROGUÉ

Nom complet lip glisse sur les lèvres comme une mauvaise blague qu'on te rabâche à longueur de journée. lip. t'aimes pas comment ça rend toi, ça claque et ça fait un peu plus mal à chaque fois, ça cogne au fond d'ton esprit et ça déraille complètement. sinclair n'est plus que le vestige d'un passé dont tu n'as pas ou peu de souvenir. un nom de famille parce qu'il en faut bien un et que tes papiers d'identité sont bien les seuls à porter fièrement. Surnoms aucun. parce que lip, c'est déjà bien assez court, quelques lettres entremêlées qui suffisent au monde qui n'en réclame pas plus. Naissance c'était le dix-neuf octobre, il y a de cela vingt-et un an. enfin l'âge pour boire légalement, chiffre qu'on retient et qu'on savoure. tu n'es pas près de l'oublier, cet anniversaire symbolique. Héritage culturel pouvoir avoir un quelconque héritage, encore faudrait-il avoir un souvenir de cet héritage. peut-être bien que ta mâchoire marquée vient de ton père, que ce collier que tu gardes précieusement vient de ta mère. tu n'en sais rien, tu le supposes et tu essayes de ne pas y penser. Statut célibataire qui préfère s'amuser pour préserver ses secrets. tu ne t'attaches pas en matière de sentiments amoureux. tu t'amuses et tu domines, quittant les draps tôt le matin ou tard le soir, pour rentrer dans ton appartement bien trop silencieux. Orientation qu'est ce que ça peut bien changer, d'aimer les hommes ou les femmes ? cisgenres ou transgenres ? t'as aucuns soucis avec quoi que ce soit, laissant se révéler une pansexualité resplendissante avec le temps. Finances $$$$$$. frein significatif à cette vie que tu veux mener, l'argent ne coule pas à flot et c'est bien assez compliqué de gérer, d'autant plus qu'une grosse partit de tout ça part dans cette merde qui t'as pourrit la vie et qui t'empêche de redevenir un gamin insignifiant parmi d'autres; le flash bouffe tes dépenses et c'est carrément la merde.

Univers altéa la superbe. Particularités manipulateur des corps doué l'histoire de quelques heures, warden aux yeux de la société, la vérité est bien plus cruelle. une santé mentale parfois friable et un peu dérangée, t'es le gamin qui n'a pas peur d'utiliser son don à mauvais escient s'il le faut. les mains tremblent et les habitués savent reconnaître l'addiction au flash sans aucuns problèmes. gamin qui veut jouer dans le cours des grands. Lien(s) cosmique(s) une marque orne la paume de ta main droite ; élégante rose aux lettres imprimées dans la peau. don't touche me et la promesse d'un jour tomber sur cette fameuse soulmate pour le moment portée disparue. tu n'as jamais ressentit aucun lien étrange qui aurait pu te mettre sur la piste d'un cluster ou d'un quelconque jumeau cosmique. et tant mieux. t'as pas envie d'faire souffrir des parfaits inconnus parce que des connards ont un jour, décidé que toi, t'allais souffrir. Keywords experiment; drugs; child; lost; fake warden; heart beat; music; pain.

we are all astronauts family perdue. oubliée. des visages dans la brumes, des mots entremêlés, des syllabes qui s’effondrent un peu plus à chaque fois que tu tentes de les comprendre. est-ce qu'ils t'attendent toujours, quelque part, tes parents ? est-ce qu'ils prient pour toi ? est-ce que t'étais le seul ? un frère ? un sœur ? t'en as foutrement aucune idée. et t'as envie de vomir quand t'y penses. foutu blocage psychologique. foutu traumatisme. et tu donnerais n'importe quoi, pour pouvoir voir ne serait-ce qu'une photo. drugs le flash. c'est de leurs fautes. c'est eux qui t'on rendu accro. eux qui t'on drogué dés ton plus jeune âge, qui ont détruit ton corps et ton cœur à coup de piqûre empoisonnée. c'est eux qui t'on forcé, qui t'on envoyés au processus, qui t'on fait plonger dans le gouffre les yeux fermés. et tes mains tremblent. spasmes incessants, douleur incessante. tu ne supportes plus de redescendre, tu ne supportes plus d'être quelqu'un de lambda. et parfois, tu hurles de frustration, de haine, de mépris, de désespoir.
t'es accro. un putain de junkie qui tient un tant soit peu à son état de bien-être physique. le mental, c'est autre chose.
puis tu bois. et tu fumes. sans doute trop, sans doute pas assez. t'essayes de compenser le manque sans succès. fears tu l'admets difficilement. mais t'as peur. t'es flippé. le noir ça te fait flipper, les volets constamment ouverts, les rayons de la lune te tenant compagnie. t'es un gosse. un gamin arraché à son enfance. un gamin qui s'est fait voler son innocence. t'as peur qu'on te touche, t'as peur d'un contact trop intime que tu n'as pas initié. tu vois l'mal partout, dans tout les gestes. tout les petits mouvements que tu ne contrôles pas. la solitude te bouffe, elle laisse les souvenirs revenir, elle laisse la douleur s'incruster dans ta peau. la solitude te donne envie de hurler, de te frapper la tête contre un mur, te balancer du haut d'un immeuble. les piqûres, c'est plus trop ton kiffe non plus, t'en portes plusieurs marques dans le cou, des injections ratées et encore plus douloureuses qu'à l'accoutumée. roses c'est beau les roses. t'en as une tatouée dans la main. soulmark qui t'intrigue. elle est noire, ta rose. elle est contrastée, ta rose. elle est belle, aussi. t'aimes bien l'observer, imaginer, dessiner. ce sont tes fleurs préférées, les roses. c'est beau. t'aimes bien l'odeur aussi. tu pourrais les observer toute la journée sans oser les toucher. jamais. de peur de te piquerr.

Invité

take a lookwhat i've become
my body is broken
'cause these angels
they don't love me

d'une vie plus ou moins heureuse, il ne reste rien.
hormis quelques visages que tu retiens avec peine et quelques mots murmurés dans des rêves agités. papa et maman ne sont plus la maintenant. ne le seront plus jamais. un cri déchire la nuit alors que tu te réveilles en sursaut, le corps courbaturé et l'esprit agité d'un passé inconnu. impossible de te rendormir.
tu ne comptes plus les nuits comme celle-ci.

i feel like
i am slowly dying

eleven y.o
il va vous clamser entre les doigts si vous continuez comme ça. tu les entends à peine, ces paroles. dissimulée par tes propres cris, par le sang qui bouillonne dans tes tempes, par cette impression d'être écartelé de l'intérieur. chaque muscle, chaque fibre sensorielle est de trop. tu essayes d'inspirer l'air par de trop grosses goulées, sans réel succès. hyperventilation. comme bien souvent, ta voix se brise et les larmes inondent tes joues, ton visage juvénile se tordant encore et encore. traits déformés par la douleur qui refuse de diminuer. tes poumons brûlent. l'air te manque. t'as l'impression que t'as colonne vertébrale va se briser en deux d'un moment à l'autre. les sangles de cuir brûlent tes poignets, il n'y a plus que le bourdonnement incessant que tu distingues, ton corps qui menace de dire merde d'un moment à l'autre. et tu ne souhaites qu'une chose : qu'il craque une bonne fois pour toute. mourir. crever. fermer les yeux. ne plus jamais les rouvrir. s'il vous plaît.
le temps passe. les minutes sont interminables, les heures immondes et les secondes cruelles. et ça s'estompe. lentement. ton corps tremble, l'air semble arriver à nouveau jusqu'à tes poumons. t'es à peine conscient des sangles qu'on défait. debout. mais ton corps refuse d'obéir, tes genoux s'éclatent au sol et le reste de ton corps fait de même. t'y fais même plus attention, au mal qui ronge tes os, à cette douleur-là qui semble ridicule comparée à ce que tu viens de subir. tes yeux refusent de rester ouverts et tu peux sentir de larges mains empoigner tes bras et te traîner sur le sol peu de temps avant que tu ne perdes connaissance pour de bon.
et quand tu rouvres les yeux, la chambre (qui n'a de chambre que de nom, il s'agit juste d'une pauvre pièce mal isolée dans laquelle est posée plusieurs matelas dans un mauvais état à même le sol) dans laquelle tu dors avec d'autre gamins de ton âge semble plongée dans le noir. enfin, plus qu'à l'accoutumée, signe que c'est la lune qui règne à l'extérieur. tu te redresses comme tu le peux, chaque partie de ton corps te faisant souffrir bien plus que nécessaire. l'ambiance est calme. presque apaisante, si on oublie la petite lumière qui rappelle sans cesse que vous êtes observés. la silhouette massive qui se dessine de l'autre côté de la porte en verre opaque qui vous sépare du couloir. tu peux sentir une certaine nausée s'emparer de toi et tu viens te réfugier tout contre un corps endormis et chaud. seul signe de vie dans cet enfer. salut lip. qu'il souffle en se retournant pour te faire face. plus âgé que toi d'une ou deux années, atom, c'est un peu comme un frère que tu n'as jamais eu - ou dont tu ne te rappelles pas. ça va aller, t'inquiète pas. il chuchote, ses doigts réconfortant glissent dans ton dos et il finit par t'apaiser, alors que le sommeil t'emporte à nouveau.

fourteen y.o
relâchez-le ! tu essayes de te défaire de l'emprise qu'on a sur toi. deux adultes qui te tiennent fermement alors qu'ils ont trouvés ça drôle de te faire assister à un test du flash sur atom. parce que vous êtes visiblement un peu trop proches. un peu trop liés d'amitié. mais atom, c'est un peu ta seule raison de survivre. le seul garçon qui t'as offert un sourire alors que tu étais totalement paumé et perdu, complètement abîmé la première fois qu'il t'ont injecté leur merde. ATOM ! un hurlement t'échappe alors que tu vois son corps retombe contre la chaise, inerte. les larmes brouillent ta vision et tu essayes de te débattre, mais, clairement, t'as beau être plus grand que la plupart des gosses de ton âge, t'es pas vraiment épais. tu termines par t'effondrer sur le sol, en pleurs. ce n'est pas la première victime du flash - d'ailleurs beaucoup de monde se demande comment tu peux être en vie après autant d'essais foireux - mais, merde, atom, c'était ton seul ami. la seule personne en qui t'avais confiance. ils t'ont laissé tomber au sol, les deux chimistes, et tu peux entendre un rire dans la pièce, alors que tu te bouches les oreilles. non, non, non. tout le monde sauf lui, putain.
tu ne sais pas combien de temps, il se passe sans que tu ne bouges, alors que tu peux sentir le froid s'infiltrer doucement sous ta peau et faire te faire trembler doucement. tu sursautes en sentant une main se poser sur ton épaule et tu relèves la tête. tu l'connais, lui. il est souvent la, quand tu passes sur la chaise. debout. qu'il te souffle et tu te contentes de te lever, n'ayant pas d'autre choix, au fond. tes articulations craquent et t'as l'impression qu'un poids s'abat sur tes épaules. tu le suis en silence et fronces un peu les sourcils. c'est pas la route habituelle ... tu souffles faiblement. il ne te répond pas et se contente d'attraper ton poignet. ta respiration s'accélère, tu as envie de te débattre pour te barrer, mais tu sais que c'est peine perdue.
et pourtant, tu aurais du. cette nuit te hante, les regards que tu discernais parfois ont prit toutes leurs ampleurs. et tu peux encore sentir les mains sur ton corps, le souffle chaud et écœurant contre ta peau. parfois, tu te réveilles avec cette impression d'être sale et ce besoin de passer de longues minutes à frotter ta peau sous la douche pour faire partir cette sensation. depuis cette nuit, tu n'as jamais laissé personne te toucher, jamais laissé personne prendre le dessus sur toi. horreur encore ancrée dans les pores de ta peau, menaçant de resurgir d'un moment à l'autre.

fifteen y.o
aucune grimace ne déforme tes traits quand la seringue se plante dans ton cou. tu serres faiblement les poings. il n'y a plus de cris depuis longtemps. plus d'innocence à préservée. tu fermes les yeux et laisses ta tête retomber légèrement en arrière. énième version de leur drogue qu'ils testent. des échecs, jusqu'à présent. ils sont confiants, que t'as vaguement entendu. tu retiens un petit soupir et tu t'attends à la douleur, à l'impression persistante d'être déchiré en deux. mais pas cette fois. tu rouvres les yeux, septique, p'être bien tout autant que les chimistes. tu restes silencieux et immobile, un léger picotement au bout des doigts. et t'as cette impression monstrueuse de tout ressentir bien plus fort qu'avant. le sang qui bat dans leurs veines, et bien plus encore. qu'est-ce qu'il se passe ?! tu tournes la tête, toujours silencieux. il t'observe et tu contentes de hausser les épaules. tu soutiens son regard, à ce connard. et tu déglutis lentement. il s'approche et ses doigts qui effleurent ta mâchoire te dégoûtent.
il commet sa première erreur en détachant les sangles autour de tes bras. et en se retournant. tu te redresses soudainement et agrippes sa nuque, te délectant de réussir à pouvoir sentir toutes ces petites choses à l'intérieur de son corps. dont le taux d'oxygène qui diminue significativement. tu entends du bruit autour de toi, sans doute la panique, sans doute qu'on veut t'arrêter, t'en empêcher. laissez le faire. une voix résonne, mais tu n'en a globalement rien à foutre. tout ce qui t'importe, c'est de te venger. faire autant de mal à ce type qu'on a pu t'en faire depuis que t'es la. son corps termine par tomber au sol, visiblement inerte, et tu reprends tes esprits, toussant et crachant du sang. tu sens une main sur ton épaule et tu sursautes, t'écartant par réflexes. messieurs. je crois que le flash est sur le point d'être finalisé. tu secoues la tête, en tremblant littéralement. non. tu ne veux pas être l'élément déclencheur de cette merde, tu ne veux pas être inclus dans tout ça. un hoquet t'échappe quand tu sens un filet de sang couler de ton nez et tu viens pincer ce dernier. occupez-vous de lui. et quand il redescendra aussi. deux infirmiers t'éloignent de cette salle que tu connais trop bien, la tête tournant un peu, encore troublé de ce qu'il vient de se passer.

twenty-one y.o - nineteen october
un rire nerveux s'échappe de tes lèvres alors que tu tournes et retournes la lettre entre tes doigts. mauvais pressentiment. enveloppe qui pue la merde d'oriel. écriture serrée et illisible. tu la laisses retomber sur la table, te levant, attrapant une bouteille de bière à moitié vide. tu fronces un peu les sourcils, portant le goulot à tes lèvres. cul-sec. en souvenir des paroles murmurées la veille à un parfait inconnu que t'as poussé hors de ton lit au matin venu. tu t'avances vers la fenêtre, observe les rues de cosmopolis du haut de ton studio un peu merdique. mais t'as clairement pas assez de thunes pour te payer un truc plus grand. tu fronces un peu les sourcils, tes doigts glissant dans tes cheveux sombres, alors que tu pestes en sentant tes mains trembler. mauvais signe. même toi, tu le sais.
tu ne le sais que trop bien, putain. tu serres le poing, détournant le regard, le posant à nouveau sur l'enveloppe et que tu termines par attraper entre tes doigts. tu attrapes un couteau quelconque dans la cuisine pour l'ouvrir, un soupir sur les lippes, adossé contre le mur. le couteau atterrit sur la table, manque de tomber. tu déplies le papier trouvé dans l'enveloppe. ton regard se pose sur les petites lettres qui trouent presque le papier tellement elles dégueulent de violence. un ricanement s'échappe de tes lèvres et tu restes bloqué sur la dernière phrase et la signature.
tu nous appartiens lip.
c'est nous qui t'avons crée.
one niners. si tu pouvais cracher sur ce nom. si tu pouvais leurs dire d'aller se faire foutre. tu peux sentir la rage monter en toi. ils ne sont rien. personne. que dalle. juste des putains de psychopathes. allez vous faire foutre. tu souffles, attrapant ton briquet, faisant cramer le papier entre tes doigts jusqu'à te brûler la paume, jurant une nouvelle fois contre toi-même.
tu observes le papier disparaître dans les airs et tu récupères une bouteille de whisky que tu entames au goulot, soupirant lourdement, te laissant retomber sur le canapé misérable qui gît dans la pièce. joyeux anniversaire. tu marmonnes en buvant une nouvelle fois.
tu nous appartiens.
ces mots te hantent.
tu n'appartiens à personne.
tu n'as de comptes à rendre à personne.
c'est nous qui t'avons crée.

Invité

T BO COMME UNE COMETE
J'TAI DANS LA PEAU J'TAI DANS LA TETE

Date d'inscription : 06/09/2017

LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP fire

BILL SKARSGARD iiih

TU FAIS DÉJÀ DES BLAGUES SUR LES FICHES DES AUTRES fire

du coup je t'aime déjà cute

bon courage pour ta fiche, j'espère que tu vas t'éclater avec nous tous, et j'ai TROP hâte de voir ce que tu vas nous faire de ce mini-pv gnnnh :purple:

Invité

LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP gaah

je suis TROP CONTENTE qu'il soit pris!!!! c'est une de mes premières idées de mini-pv et j'voulais trop le voir joué ce p'tit gars alors MERCIIIIIIIIIII tu gères trop et j'ai suuuuuper hâte de voir ce que tu vas en faire!!!!

si tu as des questions n'hésite pas, n'oublie pas de réserver ton avatar du coup et bon courage pour ta fiiiiiche ! fire

Invité

t'es beau. mais je suis pagaie (ou pas gay, c'est toi qui choisit)
by the way, quel univers loulouuuu ? bonne chance pour ta fiche !

Invité

trop d'amour sur vous.

j'pensais pas que prendre un pv allait provoquer autant de joie moustache

Date d'inscription : 06/09/2017

‘Nirvana’ Wilkins a écrit:: t'es beau. mais je suis pagaie (ou pas gay, c'est toi qui choisit)

j'ai ri

bienvenuuuuue sur sod avec mister Skarsgard langue

j'ai hâte d'en lire plus sur ta fiche ananas

hésite pas si t'as des questions, en attendant courage pour l'écriture et hâte que tu nous rejoignes inrp coeur

(il est chelou ce message, fais pas gaffe y a quelques neurones qui se sont perdus par chez moi

)
(bref)
(stop l'auto-flood)

keur.

Date d'inscription : 06/09/2017

MAIS CE CHOIX DE MALADE DOUX JÉSUS MARIE JOSEPH ARCHIBALD MON COCHON D'INDE aaaa

(oui pardon je case mon cochon d'inde oklm parce que c'est un saint moustache

) ce pv qui vend trop du rêve quoi omggg tbe

ET ON PARLE DE CE DÉBUT DE FICHE???? les gifs de l'histoire sont trop bg btw, très aesthetic ytgrefdzfgh pétille

BIENVENUE SUR SOD love

n'hésite pas à passer sur le flood ou les jeux moustache

Invité

HOLY SHIT!!!!!!

OKAY????? NAN PARCE QUE MON PAUVRE BÉBÉ, MES FEELS, JE

je veux qu'il s'en sorte, on va buter les one niners, j'vais lEUR FOUTRE LE FEU OKAY???
uuuugh.
bon.
je te VALIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE et j'ai si hâte de voir Lip évoluer en RP, j'ai adoré ce que tu en as fait et j'en veux plus, touuuuujours plus !!
j'te laisse avec les liens ci-dessous, pense à te recenser, toussa toussa, AMUSE-TOI BIEN !

Now i can scream that you made it dashboards prédéfinis bottin
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