primadonna boy + kevin

Date d'inscription : 17/06/2018

roberto i’m back at it moustache

Kevin Knollysfc : dane dehaan ;

️️ unicorn ; Moons ; unique

COURTOIS

EFFAROUCHE

CURIEUX

EGOCENTRIQUE

CULTIVE

BON A RIEN

GALANT

CREDULE

Nom complet KEVIN, même si pendant quelques jours, tu t’es appelé comme ta soeur, Kim, à cause d’une histoire d’étiquettes inversées sur vos berceaux. KNOLLYS a des relents de noblesse britannique, il fut un temps, sur Terre. Surnoms KEV, par tes petits camarades d’école tout aussi bourg’ que toi, parce que tout est bon à prendre pour avoir l’air plus cool ; KK par ta soeur, surnom que vous avez en commun d’ailleurs, ce qui rend vos parents fous ; DOOKIE par Jaw, même si tu ne sais toujours pas ce que ça veut dire. Naissance 6 juin 1991, 27 ans, et encore chez papa et maman. Héritage culturel les Knollys, c’est comme si les us et coutumes de la noblesse britannique avaient eu un bébé monstrueux avec l’expansionnisme et la superficialité à l’américaine. Si on devait associer ton teint pâle et l’heure du thé réglementaire à une civilisation, vous seriez sans nul doute ANGLAIS. Statut fraîchement FIANCÉ à une pauvre demoiselle, Nina Rhodes, que tu n’as vue qu’une ou deux fois, et jamais sans la présence au moins d’un parent. Vous savez tous les deux que ça ne mènera à rien, et vous vous prêtez au jeu le temps que les lumières soient allumées. Orientation trop CURIEUX et trop AMBIGU pour être honnête. On ignore si tu es encore PUCEAU. Il est fort probable que tu fasses genre que tu l’as déjà fait une ou deux fois avec une nana en secret à la fin d’une soirée, mais rien ne confirme que vous soyez allés jusqu’au bout, parce qu’on a définitivement trop peur que les parents l’apprennent ; la rébellion, c’est cool, mais l’argent de poche toutes les semaines, c’est mieux. Finances $$$$$$.

Univers NEPHEDE et son air pure vendue en bouteille pour les plus riches. Occupation(s) HÉRITIER ; étant celui qui prendra la suite de ton père -soit, le nom et le sourire à la tête de son empire dentaire-, tu te dois de tout apprendre de la gestion d’une telle fortune… Ou plutôt tout apprendre des gens qui s’occupent de la gestion d’une telle fortune. Si ton père avait au moins eu le mérite de commencer par étudier la médecine, tu n’as même pas à te donner cette peine. Diplômé en bonne manière, option gueule d’ange, mention bon chic bon genre, autant dire que, vu ton maigre investissement dans ton mentorat, tu t’ennuies comme un rat mort (et riche). Quand ta mère ne t’embarque pas dans ses dîners de bienfaisance, tu files en douce dans les quartiers plus douteux de Neodam, ton téléphone dernier cri en mode selfie cam. Tu postes tes URBEX en ligne, filiale de mauvais goût de la chaîne de vidéos de ta soeur. Particularités En haut de la fesse droite, tu es censé t’être fait tatouer un crâne de muerte, qui ressemble davantage à un chausson aux pommes qu’à une tête de mort. En plus d’être raté, le TATOUAGE s’est infecté les premières semaines, t’empêchant de t’asseoir. A présent, il a cicatrisé, et il a le mérite de n’être plus que moche. Dans le genre caprice pas du tout rondement mené (et ça n’est peut-être pas plus mal), tu as l’avant-bras griffé de vagues CICATRICES de scarification (même pas assez profondes), ainsi que d’une BRÛLURE de cigarette à l’intérieur de ton bras, suite à une fois où tu aurais soi-disant trop fait le con en milieu malfamé (ceci dit, tu aurais très bien été capable de te l’infliger). Enfin, pour compléter la panoplie du parfait fake bad boy, tu as des PROTHÈSES à la place de tes dents de sagesse ; ton père voulait t’épargner les disgrâces de leur poussée. Elles sont intégrées d’un système de vaporisation qui te donne constamment bonne haleine. Quand Jaw t’a demandé comment elles s’appelaient, tout ce que tu as su improviser a été : Bonnie and Clyde. Lien(s) cosmique(s) tu as appris l’existence des clusters grâce à ton père et à Jaw. Puis ça a été celle des soulmates ; et il faut croire que tu te fais tellement chier dans ta petite vie que tu crois dur comme fer avoir une âme-soeur qui t’attend quelque part. Keywords primadonna boy + idle teen + éternel insatisfait + jaloux af + bon à rien + enfant roi + fake emo + gueule d’ange + urbex bidons

we are all astronauts RICH BITCH + Les Knollys sont dans la prothèse dentaire depuis que Néphède a mis la main sur le transhumanisme. Ils font partie intégrante de la bourgeoisie néphédienne, celle qui s’est bâtie sur les nouvelles technologies, et qui a encore la souplesse de s’adapter au moindre progrès. Mais aussi celle qui a adopté les codes les plus stricts des plus grands, pour espérer bien se faire voir.
Si Knollys père est dans la prothèse dentaire, madame Knollys ne travaille pas, mais participe sans relâche à une myriade d’associations plus ou moins caritatives et toujours plus artistiques, du genre « les amis (friqués) des musées ». Elle adore l’art contemporain, et pense même que Jaw est une performance artistique ambulante. De fait, elle dépense énormément dans les ventes aux enchères ; ses appartements sont aussi remplis d’oeuvres d’art que le reste de sa vie est vide.

Il ne s’agit pas d’une famille particulièrement malheureuse; disons qu’elle est ballottée par les aléas d’une vie de bourgeois obsédés par les apparences et les qu’en dira-t-on.
Le père toujours au boulot, la mère toujours à des galas de bienfaisance ; les enfants livrés à eux-mêmes, dans la mesure où il y avait une nourrice pour veiller au grain. Les seuls moments où maman semblait fière de les exhiber, c’était quand elle les emmenait avec elle aux galas, quand elle les habillait de la même manière et qu’elle leur demandait de ne pas bouger, de sourire et de faire les petits anges, leur filant une rouste derrière le buffet quand ils s’agitaient trop.
Tu tiens d’ailleurs à insister sur le fait qu’elle soit davantage fière de toi que de ta soeur dont elle ne sait plus quoi faire.

MAMA'S BOY + En bon petit mec précieux et prout-prout, tu restes tiraillé entre les confortables jupons de ta mère et une envie pressante de jouer les gros durs en fréquentant les milieux malfamés. Tu aimerais plus que tout faire partie d’un gang, mais en restes tout bonnement incapable. Parce que ta volonté n’est que superficielle, et que tu ne tiendrais pas trois jours sans ton petit confort. Tu vis encore chez tes parents. Ta mère ne se résout pas à te caser sérieusement, ni toi ni ta soeur, à croire que le seul ménage qu’elle pourrait tolérer serait celui que tu formerais avec ta frangine. Et, au vu des pratiques archaïques préservées par votre milieu, tu ne serais pas étonné que ça se produise un jour. C’est le mieux qu’elle puisse trouver, puisqu’elle ne peut pas non plus pousser le bouchon trop loin et se marier avec toi (c’est pas faute de lui avoir demandé, quand tu étais petit). Récemment, toutefois, elle a dû mettre sa jalousie au placard, lorsqu’elle t’a passé au bras de la charmante Nina de la famille encore plus charmante (et riche) Rhodes.

VAMPIRE KID + Ta mère est persuadée que tu es asthmatique, même si en vérité, c’est juste que tu n’as absolument aucune endurance, et que, de manière générale, l’air de Néphède est pourrie. Ça ne l’a pas empêché de te procurer une ventoline unique puisque gravée à tes initiales. De la même manière, elle t’a inventé tout un tas d’allergies et d’intolérances bénignes, afin de surveiller ce que tu ingurgites ; sûrement une déformation professionnelle du cas plus inquiétant de ta soeur.
Physiquement, tu n’as pas l’air en grande forme non plus, cultivant avec grâce le teint maladif. C’est ainsi ; tu te situes en équilibre à la frontière entre la beauté et la laideur. Tout est une question de point de vue. Ton teint frais est autant de porcelaine que si transparent qu’on voit le bleu de tes veines au travers. Tes lèvres rouges te donnent constamment l’air d’être maquillé. Une bouche à embrasser pour certains, tandis que d’autres, quand ils y regardent de plus près, constatent que c’est surtout une bouche que tu n’arrêtes pas de bouffer, exhibant tes chairs à vif. Tes yeux bleus mouillent ton regard humide, facilement irrités, le blanc des yeux rougis ; si bien que lorsque tu fumes en soirée, ça se voit encore des jours après.

LUST FOR LIFE + Il ne t’est rien arrivé de grave dans la vie, si ce n’est de faire une fixette sur le jour où il t’arriverait quelque chose de grave. Tu es à la fois rebuté par le trash et irrémédiablement attiré par lui. Comme si mettre ta vie en danger revenait à la pimenter un peu. Dans les soirées de petits bourg’, tu es le premier à vouloir te mettre la tête à l’envers et à jouer de ça pour faire le con ; sauf que le lendemain, la descente est si dure que tu restes cloué au lit avec une bassine.
De fait, tu as tout essayé : tatouages, clopes, fête, fugue et alcool. Un jour où tu t’ennuyais particulièrement, tu as même menacé de vendre ton corps. A ceci près que tu es tombé sur un type un peu trop louche. Tu t’es carapaté sans demander ton reste au moment où il t’a tendu une sucette. De la même manière, quand tu fugues, tu ne pars jamais très loin et reviens toujours très vite.
Ton père connaît vaguement l’un des mecs qui siège au sénat, et, si c’est le rêve secret de la mère de pouvoir amasser suffisamment de fric et de contacts pour propulser son fiston dans les plus hautes sphères, elle s’arrache les cheveux à chaque que la presse te surprend en présence de types peu recommandables.

Autant dire que tes parents font grossir les chiffres de la corruption policière. Ta mère est une habituée du commissariat où elle joue de son autorité et des pâtisseries de sa gouvernante pour acheter le silence des policiers et la virginité de ton casier judiciaire. Ça n’est pas tant qu’il s’agisse d’affaires graves que compromettantes, comme le jour où elle t’a retrouvé à l’hôpital parce que l’obscur tatouage que tu t’étais fait faire s’était infecté.
Mais à chaque fois, toutes ces petites expériences se sont soldées par de cuisantes défaites. Et tes parents, même s’ils sont toujours autant exaspérés, ont arrêté de partir à ta recherche, sachant pertinemment que tu reviendrais toujours au bercail, la queue entre les jambes.

Date d'inscription : 17/06/2018

boy we're goldand i was like take off all your clothes
they say only the good die young ; that just ain't right

and a lust for life keeps us alive VI + « Oh comme elles sont mignonnes vos petites ! » La main de ta mère se crispe autour de la tienne, écrasant tes petits doigts moites. Un rire nerveux et forcé -le seul que tu lui connais- avant de corriger l’importune invitée. « En vérité, il s’agit de mon fils Kevin » La surprise, aussitôt entachée par de la suspicion, et une pincée de jugement. « Oh, c’est un choix... ambitieux de l’avoir vêtu ainsi... » Cette fois-ci, c’est volontairement que ta mère plante ses vrais-faux-ongles dans ta main. « Vous connaissez les enfants ; quand ils ont un caprice sur le feu, il est compliqué de leur faire entendre raison ; et apparemment, Kevin était envieux de la robe que j’ai fait faire sur-mesure pour sa soeur, si bien qu’il m’a fallu en commander un doublon. » Les yeux de l’autre s’écarquillent davantage, mais au moins, ce n’est plus ta mère qu’elle juge. « Chez nous, nous n’aurions pas laissé une chose pareille se produire ; vous êtes trop bonne avec votre progéniture. »
Tu plisses les yeux, parce que le mot “progéniture” ressemble un peu trop à ton goût à “nourriture” et il faudra quelques années pour te convaincre que père et mère n’étaient pas des ogres qui vous engraissaient pour leur dernier repas.

L’incident ne s’est donc jamais reproduit. Le caprice t’est passé et depuis, tu t’habilles avec les vêtements que mère fait disposer sur ton lit au matin. Les caprices, c’était rigolo, mais c’était aussi un peu fatiguant de tenir tête à maman. L’écouter, en revanche, c’était bien plus confortable, et au moins, elle n’avait plus l’air d’avoir honte de toi quand elle te présentait au reste du monde. C’est fou ce à quoi on est prêt à renoncer pour un peu d’attention.
Cela dit, toutes les bonnes choses ont une fin, et ta mère aurait dû s’estimer heureuse de la docilité dont tu as pu faire preuve pendant tes jeunes années, jusqu’au jour où, en revenant de ta leçon de violoncelle, ton énorme instrument sur le dos, tu as croisé ton premier loubard.

XIV + Tu avais quatorze ans et il était splendide. Tout en poils, en tatouages et en sueur. Du sang sur ses phalanges dépecées, et séchant à l’entrée de ses narines. Il avait l’air d’un animal en furie, déboulant juste sous ton nez, d’une obscure ruelle qui puait la pisse humaine. Pour tout avouer, il ne t’a même pas calculé, il avait d’autres soucis ; mais toi, tu n’avais plus que lui en tête, et tu assures encore aujourd’hui, avoir son haleine fétide et sa mâchoire anguleuse imprimées dans ton esprit.
C’est depuis ce jour que tes parents ont commencé à s’arracher les cheveux sur tes petites escapades. Heureusement pour eux, il s’est très vite révélé que, plus que passionné des bas-fonds de la ville, tu étais un garçon précieux et trop peureux pour rester plus de trois jours sans ton petit confort.
Bien entendu, ça les gonfle toujours autant que tu passes le plus clair de ton temps à t’attirer des ennuis et à revenir avec du cambouis sur tes mocassins. Ils redoutent le jour où tu te seras amourachée d’une prostituée, ou pire encore, que tu reviennes avec un bras en moins et affublé d’une prothèse des plus mauvaises factures.

« Tu racontes n’importe quoi ! » Kim attrape la béquille au bas du lit et te flanque un coup dans les côtes. « Mais si je t’assure ! Il m’a regardé, je l’ai regardé, on s’est regardé et- » « Et il t’a emporté au loin sur son vaillant destrier ? » « Nan mais nan laisse moi parler ! » Tu essayes de lui arracher la béquilles des mains, mais même alitée depuis une semaine, elle est plus forte que toi. « Il a fait un signe de tête tu sais, comme si… comme si on se comprenait tu vois, genre, on n’est pas du même monde, mais on sait ce que l’autre ressent, un peu comme les- » « Putain, me ressors pas ton baratin sur les âmes-soeurs, jpp de toi ; t’en changes toutes les jours ! Le mec, il t’a juste jaugé pour voir si t’avais du fric sur toi… nan attends encore pire, il a même pas dû te voir, sinon t’aurais jamais pu rentrer à la maison avec ton instrument en un seul morceau. »
Ta bougresse de soeur soulevait un point intéressant. Cela dit, tu étais certain qu’elle avait tort au sujet des âmes-soeurs ; à la bonne heure, ce gangster n’était peut-être pas la tienne, toujours est-il que tu étais persuadé qu’il y en avait une qui t’attendait quelque part.
C’est fou ce qu’on peut s’inventer, pour se convaincre que son âme n’est pas vide.

XXII + « Ouais, j’ai une vie un peu compliquée; tu vois, des fois, je traîne avec des gangs… ch’uis un peu leur leader, vu que je suis plus intelligent qu’eux ; et puis ça me rend mystérieux, de leur rendre visite comme ça, sans prévenir » Elle n’a pas réajusté sa frange depuis que tu as ouvert la bouche à ce propos, c’est bon signe, mais ça n’est pas gagné pour autant. « C’est des vrais sauvages; genre, y’en a un, il mange les gens… »
Elle hausse les sourcils, te calculant par-dessus ses lunettes de soleil ; tu ignores comment elle fait pour voir quoi que ce soit à cause de la lumière des néons de la boîte de nuit. Mais d’un autre côté, tu dois l’admettre, ça lui donne un style d’enfer.
« Tu me fais marcher. »
Son chewing-gum goût caviar lui donne un ton insolent. Tu ne te laisses pas impressionner, sirotes ton verre le temps de te retrouver une contenance, et accessoirement, la faire languir de la suite de ton récit.
« Nan je t’assure ; il mange les gens et il a même failli me manger, moi. Sauf que je lui ai dit “Hé mec, à ta place, j’y réfléchirai à deux fois ; je connais du monde, du beau monde ; le genre de monde que t’as pas trop envie d’avoir sur le dos, si tu vois c’que j’veux dire…” » « Nan je vois pas ce que tu veux dire… » « Nan mais je parle au mec qui mange des gens là ! » « Mais pourquoi il mange les gens ? »
Tu es finalement parvenu à éveiller son intérêt ; et, comme un bichon teigneux, tu n’es pas prêt de le lâcher.
« Il doit avoir eu une enfance difficile ; j’ai pas encore levé le voile dessus, mais tu peux être certaine que le jour où ça arrivera... » Le suspens est à son comble, elle est pendue au bout de tes lèvres trop rouges. Elle en a remonté ses lunettes sur son front, tu aurais préféré qu’elle les garde sur son nez. « ... tu seras la première à le savoir. »
Ce soir là, tu as eu le droit à une gâterie maladroitement exécutée sur le parking en face de la boîte de nuit où se terminait l’after de votre rallye.

Date d'inscription : 26/11/2017

Date d'inscription : 06/09/2017

bonsoir

Dane est tellement parfait omg tbe

et j'aime déjà beaucoup énormément ce que je lis ???
j'ai vraiment hâte d'en savoir plus à son sujet là

rebienvenuuue à la maison en tout cas cute

Invité

je l'aime déjà. c'est toujours un plaisir de te lire.
entre petit bourges y aura moyen qu'il connaisse monsieur sasha. jule

Date d'inscription : 06/09/2017

OMG MAIS NOS PERSOS iiih

ONT PLEIN DE TRUCS iiih

EN COMMUN

on va se faire un lien aux petits oignons toi et moi... jule

ils ont un an de différence, sont tous les deux héritiers de grandes familles... craque

nan, vraiment y'a trop de trucs pour qu'on passe à côté, j'ai grave hâte iiih

bon courage pour ta fiche, hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit fire

HÂTE D'EN SAVOIR PLUS SUR KEVIN fire

Invité

Salut toi

COMMENT J'AI TROP HÂTE QU'ON SE FASSE NOTRE PETIT LIEN TU PEUX PAS SAVOIR omggg

J'suis trop impatient hhhh dancing

J'ai hâte qu'Alex lui foute des tartes en fait creepy

(en tout bien tout honneur)
Courage pour la suite de ta fiche et re-bienvenue keur

Date d'inscription : 17/06/2018

sid + qu'est c-tu fous là, je voulais jaw moi stare

eliott + mirci :oopsie:

et ça tombe bien, je lui ai rajouté quelques anecdotes poilantes :oopsie:

jay + omg oui je veux bien avec sasha ++ j'aime tellement ce pipou rouquin ++

nina + kk toa jpense on devré parlé lien moustache

j'espère que tu vas pas être trop deg par ce que tu vas lire russe

alex + ris tant que tu le peux mon gros, tu vas pas comprendre ce qui va t'arriver sur le coin de la figure si tu lui fous une tarte moustache

Invité

je voulais être premier

j'ai dû sacrifier la pureté de sid pour qu'il vienne à ma place

viens on va manger des chaussons aux pommes

(c'est vrai que j'suis une oeuvre d'art ??)

Date d'inscription : 11/02/2018

dane

(re) bonne chance pour ce nouveau personnage, qu'a déjà l'air bien bien cool jule