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 ((cold hands, warm heart))

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MessageSujet: ((cold hands, warm heart))   ((cold hands, warm heart)) EmptyLun 30 Juil - 20:43

asphodelice je me suis faite embarquer dans un pic-nic à la montagne hier, puis je poste dans les zones invités pour rien aussi, juste pour vous donner une idée russe je me suis pétée le genou ce qui m’oblige à passer tout l’été entre quatre murs et sur l'ordi = vous allez me voir souvent,  5/7j quand j'ai mes deux jambes valides. j’ai pas une écriture de ouf mais j’aime bien rp et explorer différents liens, puis je suis gentille et ma boîte mp est ouverte si jamais l’envie vous dit. yeux  (aussi bigup à mon custer du 5ème âge, je viens baisser la moyenne d’âge à 40ans là rougit ).  

Aedhan Neven Rietveldfc : yoongi min ; ©️️️ asphodelice; Asteroids ; double
99%PROTECTEUR
70%EXPLOSIF
85%HONNÊTE
75%AGRESSIF
75%LABORIEUX
70%DETACHE
90%INDEPENDANT
55%MANICHEEN
   
Nom complet il a rietveld comme nom de famille et ça ne veut pas dire grand chose. ni pour lui ni pour les mémoires. patronyme suranné qu’on lui a collé à la naissance et qui n’a pourtant jamais été le sien. enfant d’une tromperie, descendant d’une trahison, rietveld n’est que la preuve d’un mensonge bancale. seul aedhan ne laisse pas un goût amer sur ses lèvres quand il se présente. appellation hasardeuse à la signification lointaine, petit feu, enfant ardant qui ne laisse que des cendres sur son passage. le tout saupoudré d’un énième mensonge, neven, un hommage amer à une moitié qui n’a jamais disparue. Surnoms étranger au luxe d’un pseudonyme affectueux, on le connaît principalement sous son prénom. ses amis s’essayent parfois à aed’ ou ‘dhan, sans que ce ne soit d’usage. Naissance jour maudit, 25 août 1992, la case du calendrier de la cuisine est toujours vierge. qui voudrait célébrer sa propre existence quand elle n’a été qu’enrobé de mensonges et de trahisons ? Héritage culturel il porte sur lui le trait typique de ce qui a un jour été l’asie, sans n'avoir jamais eu à coeur d'explorer ses origines. Statut trou béant dans la poitrine, douleur creuse à laquelle il s’est bien trop habitué, célibataire il n’a pas la volonté de s’encombrer. Orientation tout ou rien. pansexuel ou asexuel ; alternant entre les mois d’abstinence et les enchaînement de corps à corps. la peur du coeur à coeur lui fait préférer les plaisirs solitaires à ceux d’une nuit blanche. Finances $$$$$$.

Univers il ne connaît qu’altea la belle et les autres mondes ne l’attirent pas. Occupations il vit des de ses dessins et de son imagination. artiste dans l’âme et dans la peau. tatoueur de talent, les autres portent son art et il ne peut rêver de meilleure reconnaissance. plaisir double, les couleurs des misfits lui colle au corps et au coeur, joueur de small science tournament, il met son talent à profit du divertissement. Particularités encré : des dessins pleins le corps, les lignes noires se superposent et les significations s’entre-mêlent, seuls témoins de sentiments qu’ils peinent à exprimer autrement. son apparence fait tâche (d’encre) dans un univers si lié à la nature. il s'empoisonne le corps d’une substance étrangère pour son seul plaisir. manipulation des corps : les corps, toujours, encore, une récurrence jusque dans ses gênes. pur altéan, sa particularité est celle de la chaire, capacité de guérison et comme de douleur ; médecin ou bourreau, il n’influence les corps que lorsque la situation l’exige et son terrain de jeu n’est autre que celui du small science tournament. Insensibilité congénitale à la douleur : la souffrance n’a toujours été que abstraite, le feu ne brûle pas, les couteaux ne coupent pas, les os ne se brisent pas.. poupée de chiffon que l’on peut pourtant bien vite endommager. gamin insouciant ou inconscient, incapable de connaître ses limites. abonnés aux os cassés, abonnés aux journées à l’hôpital. mais assoiffé du danger, normalement interdit de sport extrême, il ne se prive pas de risquer sa vie sur un terrain de small science tournament. Lien(s) cosmique(s) soulmate, il en a une, une qui lui donne migraine et des cauchemars et qui le fait parfois tomber dans les pommes. Mauvaise moitié, il préférait n’avoir rien du tout que d’être obligé de gérer des émotions chaotiques qui ne sont pas les siennes. Sur le haut de sa cuisse, on peut également lire not if i kill you first, des mots dont il ne se souvient pas s’être tatoué, mais c’est surement ça, un parie qui a mal tourné quand il était trop alcoolisé. cluster, il partage une connexion avec six autres personnes. Bien que la situation soit plus qu’étrange, elle n’a l’a jamais réellement dérangé et il le vit plutôt bien, comme des vieux amis qu’il croise parfois au détour d'une ruelle. Il ne s’implique pas trop, toujours en retrait, mais il se souci suffisamment pour observe de loin. Keywords cold hands, warm heart + no + not today, satan + beyond + house of card + black & yellow + solitaire + through the pages and the ink + maybe + dramatic pause + the beauty of silence + .kcuf + emotions +  pathetic.  


we are all astronauts
25 AOUT 1992 - NAISSANCE. La version officielle raconte que papa et maman étaient très heureux d’avoir enfin leur bébé dans les bras ce soir-là. Puis parfois, papa laisse glisser qu’ils n’étaient pas si heureux que ça, parce qu’il est né seul alors qu’il aurait dû être deux. Des phrases incohérentes, un deuxième prénom en signe d’hommage, Aedhan est trop petit pour relier les pièces d’un tissus de mensonges incohérents dans lequel s’est enlisée sa mère et dont la version change inlassablement.
8 AVRIL 1995 - ELIOTT RIETVIEDL. Aedhan se souvient du draps blancs parsemés de petits canards qui couvrait le corps du petit bébé. Il se souvient des jolis canards et de la main de sa mère qui a claqué violemment contre la sienne : « Ne le touche pas comme ça, il est fragile ! » Aedhan voulait juste regarder les petits canard de plus près.
DECEMBRE 1996 - DIAGNOSTIQUE. Il déteste l'hôpital, les murs blancs et l’attente toujours interminable. Sa mère lui répète d’arrêter de bouger son bras et le réprimande sévèrement quand il essaye de toucher la bosse qui s’est formé après qu’il soit tombé de la balançoir. Sa mère est exténuée, Eliott n’arrête pas de pleurer sur ses genoux et elle doit gérer les accusations de maltraitance de la part des infirmières : « Mon fils est juste très maladroit.. » Le docteur soupire en examinant Aedhan pour la énième fois cette année : « Non madame, c’est simplement qu’il ne ressent pas la douleur. », avant de se lancer dans des explications interminables sur l’importance de comprendre l’interdit par la douleur. Aedhan est vraiment maladroit et ce n’est pas de sa faute, il est incapable de comprendre les dangers puisque son corps ne peut pas les signaler. Maintenant, sa mère l’empêche presque de jouer et lui hurle de faire attention parce que « tu peux te blesser ! » mais Aedhan ne sait toujours pas ce que ça veut dire et il continue de jouer aussi fort qu’il le peut.
1998 - VÉRITÉS. Il aurait probablement dû être trop jeune pour comprendre tout ce qu’il se passait à ce moment-là, et pourtant, il n’a oublié aucun détail. Papa n’est pas papa et maman n’est qu’une menteuse. Leur famille n’est pas réelle et ne le sera jamais. Papa n’est pas papa alors papa s’en va. Aedhan reste seul avec Eliott et ils changent de maison presque tous les week-ends. Puis plus tard il rencontre les Ilang et il ne sait pas trop quoi faire de ce père qu’il découvre si soudainement et de ces frères qu’on lui impose. Ses crises de colères sont plus fréquentes et ses séjours à l'hôpital aussi. Parfois il guérit avait d’être pris en charge, et parfois il n’en a pas envie.  
FÉVRIER 2001 - NÉANT. Papa a disparu et sa mère refuse de leur expliquer pourquoi ils ne le voient plus les week-end qui sont les siens. Les crises de colère d’Aedhen s’intensifient, contre sa mère, contre lui-même, contre le monde entier. « Tout ça c’est de ta faute !» qu’il hurle inlassablement. Son école le menace de renvoie s’il ne se maîtrise pas, et il faut qu’Aedhan se blesse encore une fois pour que ça mère avoue en plein milieu des urgences : « Minho est à l’hôpital.  » Elle ne dit pas ton père parce qu’il ne l’est pas, et Aedhan comprend le sous entendu, tu finiras comme lui, et son regard de petit enfant colérique lui répond : ce sera de ta faute aussi.
MAI 2004 - INCENDIE. Aedhan n’a jamais eu peur de se faire mal comme il n’a jamais eu peur de mourir ou même eu peur pour les autres. Pas avant ce jour-là. Mais maintenant Aedhan connaît les flammes, la fumée, les hurlements et la peur de connaître une fin qu’il n’a jamais voulu. Histoire de famille perdue entre le mensonge, la rancune et la haine, une histoire plus violente que les pièces dramatiques qu’il apprend à l’école, d’une violence suffisante pour détruire son coeur de gamin. Il n’en est plus un maintenant et il déteste tout ce qui se rapproche de près ou de loin à un parent. Il hait sa mère et la vie de mensonge qu’elle lui inflige. Il hait ce père qui est le sien sans ne l’avoir jamais été, fou au point de mettre une maison en flamme, fou au point de risquer la mort de ses enfants. Puis il y ce père qu’il a toujours considéré comme le sien et qui disparaît avec les médicaments qu’il prend. Aedhan peut se débrouiller seul, il en est certain, il l’a toujours fait.
JUIN 2005 - ENTERREMENT. Il déteste ce costume, il déteste cette chemise qui gratte, et cette cravate qui lui sert la gorge au point de lui mettre les larmes aux yeux. Même la main d’Eliott dans la sienne n’enlève pas la boule qui l'étouffe depuis plusieurs jours. Pour la première fois, il n’a même pas la force d’être en colère. Il ne ressent rien, rien du tout, qu’une légère brûlure au coin de yeux, une gorge serrée et le reste n’est que du vide. Il ne sent plus la main d’Eliott dans la sienne, il n’entend même pas le discours, il ne voit même pas le cercueil s’en aller et quand on lui dit je suis désolé.e pour votre papa, Aedhan ne comprend pas. Tout n’est que néant.
2007 - BOTCHER. Il ne va plus à l’hôpital depuis longtemps et ça fait une éternité qu’il ne compte plus sur ce qui a un jour été sa mère pour l’y emmener. Aedhan a quinze ans et le verdict tombe. Rouage d’une machine dont il n’a jamais voulu faire parti, il réussit pourtant le processus. Gamin sans douleur qui répare les corps et les actives. Le verdict tombe et il n’est pas surpris, il regrette juste de ne pas avoir mieux cacher ses talents. Qu’importe, la formation n’est que de courte durée, qui voudrait d’un wardens aussi colérique qu’Aedhan ? Il ne lui faut pas plus quelques bagarres pour se faire exclure de la formation.
2009 - LA  COLLOC. Aedhan ne fête pas ses seize ans, il ne fête plus rien depuis bien longtemps. Ses cartons sont fait depuis longtemps et il n’a aucun regret quand il franchit le pas de la porte. La seule douleur est celle du regard d’Eliott dans son dos. Il reviendra, évidemment, mais pour l’instant il a trop besoin d’air, trop besoin de fuir cette endroit et cette mère qui le dégoûte pour regarder en arrière. Il crêche chez Syd, c’est pas le luxe mais ça ne sera jamais pire que là-bas. Puis il n’a pas de quoi se plaindre sur le long terme, les choses s’arrangent plus ou moins, ils passent d’une chambre à un appart’, puis quelques années plus tard, d’un appart’ à un entrepôt abandonné, transformé en un chez eux qu’ils ont construit à la force de leurs bras. Et à ce moment-là, Aedhan peut dire qu’il vit la meilleure des vies.
AOUT 2010 - L’INKLING. Il a encore du mal à comprendre comment ils ont pu le vouloir lui. Il a toujours aimé dessiner puisque c’est le seul catalyseur d’une colère qu’il n’a jamais vraiment réussi à contrôler. Pas mauvais mais trop renfermé pour oser montrer ses dessins et les dévoiler au monde, il ne comprend toujours pas comment il lui ait venu l’idée de déposer un book au tattoo shop dans lequel il s’est fait tatouer quelques semaines plutôt. Il faut croire que ce n’était pas une si mauvaise idée puisqu’ils l’ont pris en formation en tant qu’apprenti sans rien demander de plus. Ce n’était pas son métier de rêve puisqu’il n’y a jamais rêvé, mais il y a pris goût très rapidement et progresse à une allure folle. Les compliments des clients et des tatoueurs lui redonnent une grande confiance. Il réalise doucement qu’il peut être plus que le fruit d’une aventure extra-conjugale et qu’il peut s’affirmer par lui-même. Cette prise de conscience l’incite à couper définitivement les ponts avec sa mère et il met inconsciemment Eliott en sourdine.
HIVER 2010 - NOIR & CAUCHEMARS. Ses propres sentiments ont toujours été trop chaotiques pour qu’il remarque réellement que, parfois, ils n’étaient pas les siens. C’est en rentrant d’une journée de travail, un soir en plein coeur de l’hiver qu’il en a lourdement pris conscience. Tout s’est passé trop vite et il n’a même pas eu le temps de comprendre quoi que ce soit qu’il était déjà au sol, hurlant de douleur. Une douleur tant physique qu’intérieur, quelque chose de si violent, si insupportable, et si inconnu qu’il en était incapable de faire quoi que ce soit d’autre que de hurler en se roulant en boule. Incapable de parler, de bouger, de faire quoi que ce soit. Et quand une voix est enfin parvenue à ses oreilles, il a sombré dans le noir. Au réveil, l’hôpital avait une saveur désagréable : le gamin insensible à la douleur a découvert ce que cela fait d’avoir mal. On lui a expliqué qu’il était endormi depuis trois jours sans que les médecins n’aient pu y trouver une raison. Il aurait d’ailleurs pu oublier cet incident s’il n’avait pas déclencher des cauchemars : depuis ce jour,dans son sommeil, il voit régulièrement le corps inerte d’une petite fille dans le lit blanc d’une chambre d'hôpital.
FIN 2011 - MISFITS. Aedhan a toujours été du genre à vouloir une vie calme et non mouvementé. Le sport ce n’est pas son truc, utiliser sa capacité pour le divertissement ce n’est pas son truc, le small science tournament ce n’est pas son truc, et bloquer trois soir de semaine pour s'entraîner avec des inconnus c’est encore moins son truc. Et pourtant, Zach a su être convaincant, suffisamment pour le convaincre de faire un essaie dans ce projet de constitution d’une équipe de non-wardens. « A la fin ça reste ton choix, mais ce serait sympa de pouvoir faire un doigt à tout Altéa, non ? » Il ne lui en a pas fallu plus pour accepter, au point de même d’y prendre goût après quelques séances : les entraînements l’aident à canaliser sa colère, au point même d’en oublier ses limites.
2013 - KASSIAN. Aedhan aurait dû s’attendre à ce qu’Eliott prenne contact plus sérieusement un jour ou l’autre. Evidemment que les quelques sms et rendez vous en coup de vent ne pouvait pas suffir plus longtemps. Mais il ne s’attendait pas à le voir débarquer avec un Kassian dans les bras et des insultes dans la bouche. Il ne lui a fallu qu’une seconde pour comprendre à quel point il avait merdé. Le regard noir d’Eliott lui renvoie encore aujourd’hui le souvenir d’une promesse qu’il n’a probablement jamais eu l’intention de tenir. Pas par manque d’amour, plus par lâcheté. Lui qui a fuit sans cesse, refusé d’être ce qu’il était (produit d’une tromperie, enfant du mensonge), comment Eliott était-il censé rentrer dans l’équation ? Il lui a fallu quelques jours pour mettre sa fierté de côté et appeler celui qui a toujours été son frère. Et cette fois aussi, il ne lui a fallu que quelques secondes pour affirmer qu’il avait vraiment merdé.
FEVRIER 2018 - CLUSTER. Aedhan a d’abord cru devenir fou, il a longtemps pensé à cette éventualité d’ailleurs avant de comprendre qu’il n’était pas le seul à vivre ça. Des visages, de voix, des pensées, et des choses étranges se mettent en place autour de lui et il ne comprends pas ce que cela signifie. Les choses s’arrangent lorsqu’il décide que finalement, il se contrefiche de la situation. Ses regards dans le miroir laissent toujours apparaître une surprise, et avec le temps, il commence à se sentir suffisamment proche pour visualiser ces personnes comme de vieille connaissance qu’il croise au détour d’une rue. Ce n’est pas encombrant, presque agréable, Aedhan ne se sent plus vraiment seul et il aime cette sensation de partager son mondes en silence.
2013 - MISFITS. L’équipe est au complet et gagne ses premiers match. Aedhan ne s’attendait pas à quelque chose de pareil, mieux encore, il ne s’attendait pas à aimer ça à ce point-là : l’adrénaline, la foule, les retombés, l’équipe surtout. Il oublie le reste, surtout, il oublie Eliott et tout ce qui le concerne. Maintenant il se concentre sur ses entraînements et ses matchs, et c’est tout. Illusion de bien être qui lui font oublier de ne pas forcer, Aedhan se démène encore plus qu’avant, trop peut-être, ça en devient obsessionnel.
2014 - NOT IF I KILL YOU FIRST. C’est dans les vestiaires qu’il remarque cette marque la première fois, du moins, c’est Yohan qui la lui a fait remarquer à coup de « eh ! tu t’es encore fait tatoué et tu m’l’as pas dit ?! » Écriture maladroite en haut de la cuisse, not if i kill you first qu’il n’avait jamais vu auparavant. Aedhan n’est pas idiot, il sait ce que sont les âmes soeurs et sait donc très bien ce que ces mots sont supposés représenter, mais cela ne l’empêche pas d’être lâche et de préférer ignorer une vérité qu’il a toujours su. Petit rictus : « ah ? j’ai dû me faire ça à une soirée, un mauvais parie surement, je m’en souviens pas. »
JANVIER 2016 - ELIOTT. Aedhan apprend par Yohan qui a appris par Oskar que son petit frère est dans le coma. Malgré la distance qui les a séparé ces trois dernières années, il se précipite à l’hôpital. Les jours sont interminables et aucun mot réconfortant ne sort de la bouche des médecins. « il faut attendre. » Alors Aedhan attend, partageant l’espace de la chambre avec la mère à qui il n’adresse pas même un regard. Il déteste cette pièce silencieuse plus que tout mais il y passe plus de temps qu’ailleurs : après le travail, après les entraînements, à trois heures du matin quand il ne peut pas dormir, autant qu’il peut, comme si sa présence aller aider à quoi que ce soit.
MARS 2016 - SST. Il travaille plus qu’il ne devrait, force plus qu’il ne devrait, il n’a plus aucune limite et se moque de l’inquiétude de ses partenaires. Quand il n’est pas à l'hôpital pour veiller sur Eliott, il s'entraîne, jusqu’à en oublier ce qu’il se passe en dehors des vestiaires, il se fout du risque, il ne le voit même plus. Quel risque ? Son frère est à moitié mort, quel risque il y a encore ? Son corps lâche à de nombreuses reprises, trop épuisé pour suivre ce qu’Aedhan lui impose, au point de se réveiller un jour à l’hôpital après s’être effondré durant un match. Un électrochoc suffisamment violent pour l’obliger à se ressaisir.  
JANVIER 2017 - ELIOTT. Puis un an plus tard Eliott se réveille, et c’est comme si rien ne s’était passé. Aedhan ne réapparaît pas à son chevet et il prend des nouvelles par l'intermédiaire de Yohan. Pour le reste, ils sont au point mort.
AVRIL 2017 - SOULMARK. Aedhan n’a pas oublié Eliott et il ne l’a jamais vraiment fait. Il l’a simplement caché quelque part dans un coin dans un coin de sa tête, dans un coin de son coeur, parce que les choses étaient bien plus simples ainsi et qu’il avait fini par se convaincre que rien ne pourrait arranger ce qu’ils ont décidé d’ignorer. Mais Eliott finit par rompre le plan en lui demande son aide, un service, et alors Aedhan s’est dit que peut-être, avec un peu de chance, tout pourrait redevenir comme avant ? Comme quand il ne se détestait pas d’être le fruit vivant d’une famille en éclat et qu’il ne voyait pas Eliott comme ce qu’il ne sera jamais : un enfant légitime. Mais Eliott n’est pas venu pour ça, et il l’a senti cette fois, la douleur. Est-ce qu’il peut lui en vouloir ? Non, évidemment non puisque c’est de sa faute. Il lui parle de sa soulmate, de cette marque qu’il a et qu’il veut se faire enlever, mais Aedhan ne le laisse même pas finir, il lui rit au nez. « Crois le ou non, mais le gouvernement n’a pas fait que des lois  pour nous faire chier. » Il sait de quoi il parle, c’est un peu son métier de créer des marques volontaires. Il risque sa place à l’inkling, mais ce n’est qu’un détail, surtout, il ne veut pas prendre le risque de perdre Eliott, encore et encore. Mais Eliott insiste, habile à toucher les points sensibles avec ses reproches. Comme Aedhan peut refuser quand l’innocence d’une relation en miette ne penche pas à sa faveur ?
FEVRIER 2018 - CLUSTER. Son petite monde silencieux s’écroule et soudainement, les visages ont enfin une voix. Mais la situation le met très mal à l’aise et la grande majorité du temps il se contente de les ignorer.
2018 - WATCHA LOOKIN’ AT, JIZZFACE ?! C’est durant ce soir dont il ne se souvient pas qu’il a rencontré son âme soeur. Un soir un peu trop lointain où l’alcool avait déjà bien fait son chemin. Il ne se souvient pas de ses propres mots, il ne se souvient pas non plus des siens, il ne se souvient même pas de la sensation de brûlure sur sa cuisse. Pourtant, il a remarqué l’homme qui le scrutait de la tête aux pieds, et il lui restait assez de lucidité pour le provoquer : « Watcha lookin’ at, jizzface ?! », sans que la réponse de l’inconnu ne le percute : « not if i kill you first ».
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MessageSujet: Re: ((cold hands, warm heart))   ((cold hands, warm heart)) EmptyLun 30 Juil - 20:44

révérenceSome people survive chaos and that is how they grow
and some people thrive in chaos,
because chaos is all they know.

one day i will find the right words and they will be simple
AEDHAN
In my defense,
NEVEN
your honor,
RIETVIELD
I really am the dumbest bitch alive


2 Avril 1995 :: Hôpital : maternité.
C’est blanc puis tout un coup, il y a des couleurs partout, des fleurs géantes, des animaux et des dames habillées bizarrement qui lui sourient dans les couloirs. Aedhan tient fermement la main de son père, il va enfin voir sa mère qui est partie de la maison depuis quelques jours. Il n’aime pas cette endroit, il n’aime pas l’odeur, il n’aime pas les couleurs, c’est beaucoup trop grand, il veut rentrer chez lui et il veut voir sa maman. Mais papa n'arrête pas de lui répéter qu’ils vont voir son “nouveau petit frère” ; il ne sait pas vraiment ce que ça veut dire, mais papa sourire et il ne sourit jamais comme ça, alors Aedhan suit son père et ne lâche pas sa main. Puis quand ils entrent enfin dans la chambre, Maman est dans un lit, et le premier réflexe d’Aedhan est de faire comme à la maison : courir et lui sauter dessus. Mais son père l’arrête : reste calme, ne fait pas de bruit, soit sage. Des ordres qu’on lui répétera inlassablement durant les prochaines années. Et alors papa le prend dans ses bras et lui montre ce que tient maman : un bébé dans un couverture à motif de petits canards. « C’est ton petit frère, Eliott. » Mais Aedhan n’écoute pas, il veut toucher les petits canards, alors il se penche, la main à quelques centimètres et puis.. la correction, une tape sur la main : « Ne le touche pas comme ça, il est fragile » et Aedhan se met à pleurer.
C’est donc ça son premier souvenir de l’hôpital : un grand bouleversement dans un endroit étrange.

Décembre 1996 :: Hôpital : urgences.
Aedhan voulait faire comme ses copains, glisser sur le toboggan. Mais Aedhan est le plus fort, c’est toujours lui qui va le plus vite, il n’a pas peur de tomber ou de saigner, non vraiment, il n’a pas peur. Il n’a même pas peur quand il atterrit étrangement et qu’un crack brise l'ambiance de l’air de jeu. Les mamans le regardent horrifiées et il se doute au regard de la sienne qu’il va encore passer une longue après-midi. « Il a sûrement le bras cassé.. » Cassé. Il n’aime pas ce mot, ça veut dire qu’ils vont encore aller à l’hôpital, que maman va être très fâchée pendant plusieurs jours et qu’il va encore devoir porter ce qui s’appelle un plâtre et qui l’empêche de jouer, puis en plus ça gratte. Maman a presque l’air malade quand elle le regarde, mais lui la petite bosse ça le fait rigoler, il s'amuse même à appuyer dessus. Maman lui crie d’arrêter, puis elle ne dit plus rien dans la voiture. Eliott pleure, il aime bien l’air de jeu, à la place il va devoir attendre assis sur les genoux de maman pendant très, très longtemps. Aedhan n’aime pas les urgences, c’est rempli de personnes étranges qui lui font peur, et c’est tout blanc. Aedhan déteste le blanc, ça fait mal aux yeux. Il n’aime pas non plus les infirmières, elles font peur à maman à l’interroger comme si elle avait fait une bêtise. On lui demande plusieurs fois comment il s’est fait mal, on demande même à maman de sortir et de répéter, encore et encore. « C’est moi le plus rapide ! » qu’il explique, tout fier. Le docteur est différent cette fois-ci. Il a des gros sourcils et un regard presque gentil. Il fait faire tout un tas d’exercice à Aedhan pour "voir à quel point tu es fort" et le garçon s’exécute avec application. Et le verdict tombe : Insensibilité congénitale à la douleur. Aedhan n’a pas mal, jamais, et il n’aura jamais mal. Il va continuer de se casser des choses, encore et encore, parce qu’il n’apprendra jamais les limites fixées par la douleur, il n’y a aucun danger à ses yeux. C’est dangereux, maman a l’air affolé, ils parlent un peu d’Eliott et Aedhan boude de ne plus avoir toute l’attention.
Aedhan n’aime toujours pas l’hôpital. Il a un plâtre au bras et maman ne l’emmène plus jouer au parc.

Février 2001  :: Hôpital : urgences.
Aedhan déteste l’hôpital, mais ce qu’il déteste encore plus, c’est sa mère. Elle lui répète de rester assis alors il reste debout. Elle lui demande de se calmer et lui s’agite encore plus. Elle lui dit tu dois et lui répond non. Elle n’a plus d’ordre à lui donner et d’ailleurs personnes n’a plus le droit de dire quoi que ce soit. Aedhan s’énerve pour un oui et pour un non parce qu’Aedhan déteste tout et tout le monde. Papa a disparu et elle refuse de lui dire où il est. Aedhan a promis à Eliott qu’il le retrouverait, et que s’il peut s’échapper, il ira tout dire à la police. Son regard fixe les grandes portes qui ne font que s’ouvrir et se fermer, s’il court assez vite… mais il n’a pas le temps de faire un pas qu’il tombe finalement dans les pommes.
« Minho est à l’hôpital. »
Maman n’a toujours pas arrêté de fixer l’horizon a travers la fenêtre. Aedhan n’écoute pas vraiment, il a mal à la tête et cette fois-ci, il est allongé sur un lit, relié à des machines. « Où est papa ? » Supplication d’un gamin en détresse, assommé par les médicaments ou par la tristesse. Colère anesthésié, il a envie de pleurer.
Elle répète, toujours sans le regarder : « Minho est à l’hôpital. »
Aedhan n’aime pas l’hôpital et il sait que son papa a mal aussi, plus mal que lui. Il n’aime pas sa mère non plus et surtout, parce qu'à chaque fois que quelqu'un va à l'hôpital, c'est de sa faute.

Mai 2004  :: Hôpital : urgences.
Aedhan n’a jamais mal quand il va à l’hôpital, mais pour la première fois Aedhan a peur. Il est immobilisé sur un brancard, il n’aime pas tous ces gens autour de lui mais il sait qu’il n’a pas le droit de bouger, de toute façon, il ne peut pas. Pourtant, il cherche ses frères du regard, aucun n’est sur les lits près du sien et pour la première fois, il a envie de se mettre à pleurer devant les médecins. Une dame lui répond que ça va aller, qu’il doit respirer dans le masque : il le fait, il n’a pas mal mais il n'aime pas tousser et il n'aime pas la sensation d'avoir des poumons s’étaient transformés en papier de verre.
Aedhan n’aime toujours pas l'hôpital et pour la première fois, il comprend enfin ce que signifie être en danger.
Les yeux fermés avant de sombrer, il répète en boucle dans sa tête je vais la tuer, comme elle a failli le tuer lui et ses frères.
Encore une fois, c’est toujours de sa faute.

Hiver 2010  :: Hôpital : Unité de surveillance continue.
Aedhan a dix huit ans et il déteste toujours autant l’hôpital. Néons clignotants et blancheur artificielle. Il ouvre les yeux pour les refermer aussitôt, aveuglé, terrifié, presque paniqué. Il ne veut pas les réouvrir. Il ne connaît que trop bien l’endroit, il ne veut pas être là, jamais. Le lit n’est pas confortable, ses muscles sont durs ; il n’a pas bougé depuis longtemps. Les bips sont constants. Bip, bip, bip. Ca faisait longtemps qu’il n’était pas venu ici, plus depuis qu’il n’a plus de mère pour le forcer à venir, plus non plus depuis qu’il est assez grand pour comprendre les risques et pour se soigner tout seul (ou plutôt, pour appeler Syd ou Liz).
Dans le noir de ses paupières closent, il se concentre sur les bips, il les compte inlassablement. Bip, bip, bip… Soixante-treize, soixante-quatorze, soixante-quinze. Il ne réouvre les yeux qu’à cent cinq.
Néons clignotants et blancheur artificielle.
Il déteste toujours autant l’hôpital.
Et pourtant, cette fois-là n’est pas comme les autres, quand il tourne la tête, ce n’est pas sa mère qu’il déteste qui est assise sur le siège. « T’as une sale gueule. » Qu’il balance, difficilement. Yohan sursaute, et Aedhan lâche un rire, il sait ce qu’il va lui dire : « T’as vu la tienne ? »
Aedhan déteste toujours autant l’hôpital et cette fois peut-être plus que les autres parce que rien n’est comme les autres fois. Personne ne sait ce qu’il fait là, pourquoi est-ce qu’il a ressenti de la douleur pour la première fois, ni même ce qui l’a fait sombrer durant trois jours. (Les infirmières murmurent dans les couloirs soulmate mais Aedhan ne veut pas entendre.)
Aedhan déteste toujours autant l’hôpital et maintenant, il y retourne dans ses cauchemars.
C’est toujours la même image : néons clignotants et blancheur artificielle. Une petite fille inerte sur un lit d’hôpital. Bip, bip, bip. Elle ne se réveillera pas.

Mai 2016  :: Hôpital : Unité de surveillance continue.
Aedhan déteste l’hôpital mais ça fait pourtant des mois qu’il s’y rend tous les jours. Il a les yeux gonflés, c’est la fatigue. Il a la voix cassé, c’est le froid du dehors. Il croise sa mère au détour d’un couloir et il ne prend même pas la peine de la regarder. Bien sûr que c’est de sa faute. Mais cette fois, peut-être que c’est un peu la sienne aussi.
Eliott n’est toujours pas réveillé et Aedhan effectue le même rituel chaque soir : un « Salut. » sans aucune réponse avant de s’écrouler sur le siège. Il raconte sa journée, parle au mur autant qu’au corps inerte d’Eliott. Il ne fait plus de cauchemar, pourquoi faire maintenant qu'ils sont réels ? Son monologue est interminable. Il n’a rien à dire et pourtant il dit tout. Les choses ont trop changé et c’est de sa propre faute. Moment de rachat. C’est inutile et sa mauvaise conscience le lui répète à chaque fois qu’il ferme les yeux.
Les mois défilent et se ressemblent tous : les journée au salon, les soirée à l'entraînement, les nuits à l’hôpital. Eliott ne se réveille toujours pas et Aedhan a accepté depuis longtemps que son petit frère ne se réveillera pas. La culpabilité le ronge et c’est probablement ce qui le fait revenir tous les soirs.
Et qu’est-ce qu’il voit dans la glace ? Son reflet misérable qui ressemble de plus en plus au père qui n’a jamais été le sien.
Et quand Eliott se réveille enfin, Aedhan sait qu’il ne vaut pas mieux que sa propre mère : il s’enfuit encore une fois, comme un lâche, et Eliott ne sait rien de ses visites quotidiennes.
Aedhan déteste toujours autant l'hôpital ; il perd un bout de lui-même à chaque fois qu’il y va.
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Eliott Rietveld
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MessageSujet: Re: ((cold hands, warm heart))   ((cold hands, warm heart)) EmptyLun 30 Juil - 20:45

JE RESERVE MA PLACE yeux

edit pour Yohan : heureusement que je t'ai devancé ouais o
edit pour Aedhan :
iiih iiih iiih iiih iiih iiih iiih iiih iiih
Aedhan est tellement important pour l'évolution d'Eliott je suis beaucoup trop contente de voir que le scénario te tente et que le scénario plaît autant yeux tbe
Le William en moi râle beaucoup sur la remarque à propos du cluster, Aedhan va voir un peu jule

Je reviendrai mettre des gifs des bro' quand Tumblr aura arrêté de faire sa forte tête arrow
MAIS DU COUP JE VAIS FINIR MON PREMIER EDIT PAR : BIENVENUUUUUUUE lovely lovely
Courage pour cette fiche, ce que j'en lis me plaît déjà beaucoup kr

edit 2
look
((cold hands, warm heart)) Tumblr_pc2hzvSNjv1vitmono1_r1_400
((cold hands, warm heart)) Tumblr_pc2hzvSNjv1vitmono5_400
((cold hands, warm heart)) Tumblr_omtbv7vtLZ1qe11ljo1_500

vu qu'Aedhan est plus petit, ça marche bien :shon:
((cold hands, warm heart)) Tumblr_ou0h0osjsg1vjzlf3o1_500
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Yohan Pearson
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MessageSujet: Re: ((cold hands, warm heart))   ((cold hands, warm heart)) EmptyLun 30 Juil - 20:49

SECOND

soulmate tu m'as devancé larmes

edit ce début est trop bien je larmes sjfbsjfkj craque
on attend tellement aedhan avec impatience que je suis trop contente qu'il t'ait tapé dans l'oeil au point que tu viennes faire concurrence alors que c'est pas forcément ton style d'habitude (oui eliott m'a dit) fire j'ai trop hâte de lire la suite tu peux même pas savoir fire iiih
du coup pour sceller la bromance je te balance ça :
https://www.youtube.com/watch?v=g0CzzjSJExY
parce que juste... je sais pas quoi dire d'autre mais faut que tu aies vu cette vidéo si tu l'as pas déjà vue mdr j'veux qu'ils soient le jour et la nuit, j'veux qu'ils soient bro envers et contre tout et j'veux qu'ils puissent toujours compter l'un sur l'autre vouala larmes bref djsbgjdsk fire j'veux que aedhan fasse des tatouages à yohan pleaaaaaaaaaaase cute
n'hésite pas à venir me voir par mp si tu as la moindre question ou même envie de papoter, si t'as discord on peut aussi parler là-bas y'a pas de souci kr
j'voulais ajouter un gif de gros hug mais j'suis tombée principalement sur des fanarts un peu hot du coup j'vais m'abstenir mdr

BREF BIENVENUE A LA MAISON iiih

edit 2 toi et moi on est LINKED FOREVER
((cold hands, warm heart)) Tumblr_pbnssxV0vo1xv8kqwo3_400

on ira aux soirées, déguisés (je te forcerai)
((cold hands, warm heart)) Tumblr_pbnssxV0vo1xv8kqwo5_r1_400

j't'emmènerai à la plage
((cold hands, warm heart)) Tumblr_pbnssxV0vo1xv8kqwo7_r1_400

on s'aimera toute la vie.
((cold hands, warm heart)) Tumblr_pagq03Dq7f1x14k2lo2_400

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Naora Kyôdo
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MessageSujet: Re: ((cold hands, warm heart))   ((cold hands, warm heart)) EmptyLun 30 Juil - 20:50

j'aime un peu trop le pv et je sais pas pourquoi mais j'ai l'impression qu'il te colle à la perfection
hâte de lire la suite, j'attends que tu postes la fiche depuis que tu es inscrit jpp

bienvenue
et j'envahirai bien tes mps hm

du love hug
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Lava Kang
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MessageSujet: Re: ((cold hands, warm heart))   ((cold hands, warm heart)) EmptyLun 30 Juil - 21:08

il est beau. ce scénario est génial. et tu écris trop bien. et voilà.
et comme tu le proposes si gentiment, je viendrais forcément faire un tour dans tes mps. ouiouioui. moustache

edit: bienvenue, aussi. et bonne chance pour la suite de ta fiche. ofc. jule
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Sydney Pearson
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MessageSujet: Re: ((cold hands, warm heart))   ((cold hands, warm heart)) EmptyLun 30 Juil - 21:20

fgsjkjfsqkb  damn  damn  damn  damn  pls  pls  pls

ici l'ancien Movses qui a changé de nom  :oopsie:

anyway j'adore vraiment ton début de fiche et j'ai trop hâte de lire la suite et de rp avec toi parce que le lien entre nos perso est trop parfait et ça va être trop bien  iiih  iiih  iiih  iiih  iiih  wow  wow  wow  wow
je vais surement te harceler par mp très très vite parce que j'ai très très hâte  bave

bon courage pour la suite et ça va être troooop bien tu vas voir bsx

also ((cold hands, warm heart)) Tumblr_oiic7kRrXZ1vne1u2o6_r1_400
the love
((cold hands, warm heart)) Tumblr_nuewtbPML01qkruj2o2_500
is
((cold hands, warm heart)) Af84c5617dd2a8ed12d66068242b5c92a2974f09_hq
REAL
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Even Stilinski
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((cold hands, warm heart)) XIo

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Citation :
j’ai pas une écriture de ouf
/syncope

ah ouais c'est comme ça qu'on écrit quand on n'a pas une écriture de ouf
ok ok tu mets la barre haut là c'pas sympa russe

BIENVENUE parmi nous, ce serait tellement parfait d'avoir ce perso joué que je ne peux que dire merci pour ton choix de scénar iiih need voir la bromance avec syd et avec yohan amour et le DRAMA FAMILIAL AVEC ELIOTT ET NAO fire bon courage pour ta fiche, si t'as des questions, comme l'ont dit les autres au-d'ssus, faut surtout pas hésiter langue
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La remarque sur le cluster c'était violent... Mais ça passe Aedhan est trop parfait. Ce scénario était très attendu. ajay
Bienvenue ! rougit inlove
J'arrive un jour dans tes mps pour parler lien. moustache
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eliott iiih iiih iiih iiih iiih iiih
j'espère que ce que j'en ferais te conviendra, hésite pas si jamais tu vois des trucs qui clochent ou autre, mais j'essaye de faire au mieux I love you
honte à moi j'avais pas tilté que c'était toi william, mais j'assume d'être votre fontaine de jouvence jule
ils ont l'air tellement heureux sur ces gifs ça me brise le coeur mdr mdr

yohan omggg omggg omggg omggg omggg
salut toi moustache (ça fait trois jours que je me dis qu'il faut que je te mp je t'oublie pas je suis juste championne de la procrastination j'ai discord et tout en plus)
je suis espionnée, où est mon intimité fire fire fire fire fire
je connaissais pas du tout cette vidéo, tu viens de me faire découvrir un truc mdr
ça sonne tellement bon, je valide, je dois signer où ? jule

naora wow ça c'est du compliment ça me touche beaucoup yeux yeux bon du coup j'espère que le reste de ma fiche sera à la hauteur cute

lava olala merci I love you puis débarque quand tu veux angel

sydney ah c'est toi le fourbe qui a voulu me tromper en changeant de pseudo neir
la pressiiiion j'espère que tu vas aimer une fois que le tout sera fini alors I love you I love you
*emoji coeur dans les yeux* pour tous tes gifs, c'est trop d'amour là damn

kassian c'est trop gentil merci sobs sobs
j'espère que tu diras encore la même chose une fois que t'auras lu la fiche en entier arrow
merci I love you

ajay désolé, ça m'a tellement frappé quand j'ai regardé qui était dans le cluster j'ai été obligé arrow hésite pas à débarquer, j'attends jule
et merci yeux

edit est-ce que je peux avoir un petit délai ? je pars en week-end imprévu de vendredi à lundi et je pense pas que j'aurai fini aujourd'hui yeux
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