Lazaro - Et la lune tomba amoureuse du soleil.

Invité

Pseudo/Prénom Comme je n'aime pas trop parler de mois, je vais la jouer courte mdr

Mon pseudo c'est ULS et j'ai 26 ans, d'ailleurs, je suis Belge stare

Généralement, je suis assez présente quand l'intégration est simple et active, sinon, disons que je ne joue pas le membre fantôme mais que je quitte erf

Je gère également mon propre forum, donc, je jonglerais sûrement entre les deux

J'ai connu le forum sur bazzart également et, même si je ne suis pas trop fane de ce genre de contexte, j'avoue que là j'ai craqué directement cute

Lazaro Alexis Cranefc : Dylan O'Brien ;

️️ BlackNight ; UFO's ; double

70%LOYAL

90%MEFIANT

60%FIDELE

50%MANIPULATEUR

95%MYSTERIEUX

70%ATTENTIF

65%IMPREVISIBLE

80%JALOUX

Nom complet Lazaro Alexis Maximus Crane Surnoms Lazar’ Naissance Né en 1990 sur la planète Terre, plus précisément sur les terres autrefois nommées Texanes. C’est un quinze Octobre qu’il a vu le jour, lors de la fête plus communément nommée Halloween. Héritage culturel Parents autrefois historiens, grands-parents pas très commodes. Il a hérité d’un héritage riche en éducation, notamment du fait de manier l’art de plusieurs combats, mais également l’apprentissage de plusieurs langues telles que le Français, l’Anglais, l’Italien ou encore l’Allemand. Statut Marié à l’âge de vingt-quatre ans, il n’a néanmoins plus de nouvelles de sa femme. Orientation Bisexuel encore inconnu, il a toujours eu cette sensation d’incomplet, de bonheur qui lui échappe malgré l’amour qu’il porte à sa femme. Finances $$$.

Univers C'est sur Altéa qu'il a atterri suite à une brèche qu'il a traversé accidentellement. Occupation(s) le métier/les études de ton personnage !Particularités Tatouage au creux de son dos, initiale de ce frère perdu, il a également le corps marqué de plusieurs cicatrices, mais aussi d’une tâche de naissance sur l’épaule droite. Il manipule également l’art de plusieurs combats, mais également le maniement du couteau à la perfection. Tempérament étrange, émotionnellement instable, il fait partie de ceux dont l’imprévisibilité fait qu’il se retrouve être un danger pour autrui. Lien(s) cosmique(s) texte ici. Keywords Mystérieux – Sombre – Agressif – Brisé – Méfiant – Imprévisible – Tourmenté – Attentif – Loyal – Sarcastique – Curieux – Manipulateur – Froid – Têtu – Obstiné – Explosif – Stratège – Débrouillard.

we are all astronauts (1) Lazaro. Héritage d’un prénom autrefois incertain, d’une identité qui le départageait de ce grand-frère d’une année seulement son aîné. Un prénom qui roule sur la langue, qui envoute, qui attire alors que le destin souhaitait le voire crever à peine avait-il pointé le bout de son nez. Arrêt respiratoire, étouffement, il fut réanimé de justesse après deux minutes considéré comme cliniquement mort. (2) Famille parfois trop absente, parfois trop présente. Il fut élevé dans ces traditions étranges, trop strictes bien souvent. Etouffant cette attraction pour les hommes, gardant celle-ci enfouie bien profondément, Lazaro s’est toujours cru hétérosexuel, niant ce regard souvent trop pressant sur les courbes masculines. (3) Combat dans le sang, grand-père violent, trop sérieux, trop paranoïaque. Il voulait le voire préparer face à cette fin du monde imminente, il voulait savoir que ses petits fils pourraient affronter vents et marrés. Secret bien gardé d’activités pas très légales, cela couta la vie à James l’aîné alors que Lazaro fut durant six mois kidnappé et enfermé dans une cave bien trop sombre. (4) Six mois passé dans l’obscurité, violenté physiquement, mentalement. Humilié, le corps bafoué de bien des manières, lorsque la police le retrouva enfin, Lazaro n’était plus le même, ne sera plus jamais le même. Cœur brisé, anéanti, le contact humain le répugna durant bien des années. (5) Frère disparu, tué, assassiné, il en garde ce tatouage pour à jamais se souvenir de lui et des mensonges des siens. Famille trop sombre, famille aux faux semblants, il tiendra à jamais responsable les siens de cette perte tragique, mais également de la perte de son âme. (6) Regrets, froideur, violences. Lazaro changea, Lazaro se renferma et ce, jusqu’à la rencontrer elle. Amoureux ou peut-être juste atteint d’une certaine affection, il l’épousa, enclin à ne plus souffrir d’une certaine solitude. Et pourtant, son cœur ne fut jamais comblé, son être ne fut jamais entier. Comme si, au fond, quelque chose lui manquait. (7) Planète qui meurt, traîné sur un vaisseau pour ses compétences certaines en médecine. Il fut l’un de ceux qui virent la mort de près, qui survirent à cet accident redoutable. Revenu au point de départ, l’âme en peine, blessures qui s’ajoutent à ses cicatrices. (8) Jumeau cosmique qu’il a commencé à voire, à ressentir. Incompréhension certaine, il a cru la folie s’emparer de lui, mais jamais il n’en parla, refusant de se faire passer pour un débile. La vie a bien changé, la loi du plus fort règne, dirige la Terre et Lazaro fait partie des requins qui n’ont pas peur de mordre ou encore, de tuer. (9) Brèche traversée accidentellement, ignorant des autres univers, il s’est retrouvé sur Altéa, planète dont il ne connaissait absolument rien. Perdu dans un univers incompris, il fut pris sous l’aile de Ajay qui l’aida à se faire une place et à comprendre le comment du pourquoi. (10) Un mois écoulé, caractère plus sombre que jamais, plus renfermé. Méfiance au rendez-vous, il enchaîne les services pour Ajay pour garder un ancrage quelconque. Femme laissée sur Terre, vie différente, il est dès lors l’un de ceux qu’on ne comprend pas.

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Ma vie, mon histoire, mes emmerdes. Et j’observe. Oui, j’observe ce monde qui n’est pas le mien, enfant curieux, enfant attentif. J’analyse une fois de plus cette situation qui est mienne depuis un mois, un mois entier. Je joue distraitement avec cette lame que Ajay m’a donnée, un cadeau pas comme les autres en quelque sorte, faisant de moi l’un des siens, faisant en sorte qu’il me prenne sous son aile protectrice. Chose que j’ai encore du mal à comprendre. Ils sont nombreux, ils sont différents, cet univers est loin de ressembler au mien, bien que quelques détails semblent attirer mon attention. Je ne parle pas…Je ne parle pratiquement jamais, en un mois, je dois avoir dit quelques mots, sans plus. Méfiant, attentif, je crains pour bien des choses mais ne montre rien, comme le bon petit soldat que je suis. Programmé, le corps meurtri, je suis comme ça depuis plusieurs années. Tête qui se penche sur le côté, je le sens à mes côtés. Il patiente, cherchant sûrement à ne pas stopper ma méditation personnelle. J’ai besoin de ça pour ne pas sombrer, j’ai besoin de ça pour ne pas complètement oublier qui je suis. Enfant de la Terre, enfant de la douleur. Ma femme doit sûrement m’attendre, mais cet univers est tellement exceptionnel et ravageur en-même temps. Une brèche…J’ai encore du mal à y croire, tellement de choses ont changées en si peu de temps, j’ai dû revoir ma vision des choses. Puis, ce garçon qui me ressemble, qui, quelques fois, m’apparaît dans un brouillard vaporeux, comme une illusion certaine. Sombrerais-je dans la folie ? Bonne question, parfois, je me le demande. Reverrais-je la Terre, ma femme, les miens ? Mais que me reste-il véritablement là-bas ? Des blessures, des mensonges, des cassures que je peine encore à reconstituer, à réparer. Oui, au final, je ne sais plus vraiment où est ma place.

Je l’accompagne, je sors de ma transe en silence pour retourner sur ce lieu de vie qui est nôtre, qui est cette nouvelle maison où je m’abrite. Plusieurs personnes y sont, les voix s’élèvent, certains se disputent comme des animaux. Ils sont tous dotés d’un pouvoir ici, alors que moi, je n’ai que mes lames, mes poings, mes connaissances et mon intelligence…Pourtant, ça semble suffire pour lui, pour que j’attire son attention, pour qu’il me garde à ses côtés. Mystère, encore un, je ne pense pas avoir quelque chose de spéciale. Une bagarre s’élève, je croise le regard de ce chef qui est nôtre. Simple signe de tête et ma lame fend les airs, glissant sournoisement entre les deux hommes qui, surpris, reculent brusquement. Sourire malsain qui étire mes lippes, avertissement silencieux. Ils n’oseront pas me toucher, pas en sa présence, j’en profite mais je sais aussi que quoi qu’il advienne, je pourrais me défendre d’une façon ou d’une autre. Ce n’est pas mon univers, ce n’est pas ma maison, ce n’est qu’un refuge en attendant de retrouver une brèche, un moyen de retourner vers ma femme, vers ma misérable existence. Je me barre vers ce qui me sert de chambre, j’ai besoin d’être seul. Je n’ai pas dit un mot aujourd’hui, comme souvent, les mots ne sont que des sons inutiles pour moi, je ne parle pas sans rien dire. Mon haut tombe, dévoilant un corps couvert de marques, de cicatrices, de blessures d’autrefois. Ils m’ont ôté mon âme, ils m’ont ôté mon innocence…Ces cicatrices, elles me rappellent qui j’ai été, qui je suis à présent et surtout, que les hommes sont tous des enfoirés et que beaucoup doivent crever la bouche ouverte. Ouai, c’est ma vision des choses, c’est comme ça que j’imagine la chose.

UC