vesta swiętowit fc : christina nadin ; ️️ balaclava ; NEPHEDE ; unique
entêtée
intrépide
combattante
discrète
ambitieuse
audacieuse
bavarde
méfiante
Nom completvesta, éphémère et anodin, tel une goutte de rosée sur une pétale de fleur. déesse du foyer, de la terre, home, contradictoire avec sa personne. tout ce qu’elle cherche, c’est quitter le semblant de foyer qui lui reste, ces ruines qui la retiennent dans un monde qui n’est plus le sien. swiętowit, symbole d’une patriarchie depuis longtemps obsolète, et pourtant, elle persiste. nom représentant le pouvoir et la protection, et une fierté disparue depuis de longues décennies. Surnoms un nom qu’elle ne supporte plus, alors pour s’en défaire, elle se trouve des alias qui ne tiennent jamais bien longtemps, le dernier en date étant tess. qui ose l’appeler par son prénom ne peut qu’accepter les conséquences de sa colère sans rechigner, et pourtant elle n’arrive à renier son identité. et puis, il y a aussi love, mais lui seul était autorisé à l’appeler comme ça, lui seul avait le droit de faire rouler ce mot sur la langue, et elle répondait. Naissance14 août, née sous le signe du lion, dotée d’une énergie et férocité débordante. 24 ans. vingt-quatre années de lutte, de survie. vingt-quatre qu’elle maudit ses parents, qui ont abandonné leurs responsabilités, préférant se morfondre dans l’oubli et l’hypocrisie des drogues. Héritage culturel l’histoire de sa famille s’est perdue au fil des générations. surement volontairement. elle n’en a que faire de ce passé dirigé par les hommes. sa grand-mère aime lui rappeler d’où elle vient, malgré ses nombreuses protestations. à quoi bon savoir, le passé ne peut être racheté. ( arabe et russe ) Statut les couvertures de son lit n’abritent que son maigre corps célibataire, et pourtant son cœur bat d’amour à s’en rompre. d’amour et de solitude, car personne ne répond à son appel désemparé, englouti par un espoir affaibli. Orientation elle combat les hommes, mais leur chair est tendre et leur chaleur enivrante. alors elle se jète dans leurs bras, quand l’angoisse devient trop forte pour lutter ( hétérosexuelle ). Finances$$$$$$.
Universnéphède, ses ténèbres et sa corruption. planète témoin de sa naissance, qu’elle aimerait quitter à jamais sans un regard en arrière. pourriture en suspension dans un ciel obscur. Occupation(s)serveuse, seul boulot légal à son registre, elle effectue à côté toutes sortes de corvées pour des gens plus ou moins louches, tâches plus ou moins dégoutantes, mais le fric est là et c’est tout ce dont elle a besoin, no question asked. Particularités ( spiderweb tattoo ) comme un insecte piégé dans la toile collante d’une araignée, les hommes tombent dans ses pièges, ou alors est-ce l’inverse ? est-elle l’insecte imprudent à en mourir ? cicatrice longeant sa colonne vertébrale, souvenir d’un désert d’émotions, une pluie de larmes sans fin, un cœur en morceaux. une chute mortelle dont la réminiscence ne cesse de lui tirailler la peau et de lui brûler l’esprit. Lien(s) cosmique(s) ( soulmate ) la douleur d’un lien sacré l’a réveillée en pleine nuit. comment l’univers peut se permettre de lui donner une âme-sœur, quand son cœur est meurtri, sans plus d’amour à donner au monde. alors, elle oublie, elle ignore les signes, cette brûlure en forme de larme qui dévale sa cheville. peu importe, dans ce monde ou dans un autre, son âme-sœur n’est qu’un mensonge, une idée malsaine. Keywords darkness ☽ vengeance ☽ lost ☽ fearless ☽ hopeless ☽ no man’s land ☽ wounded ☽ no tears left to cry ☽ survivor ☽ silence ☽ blood ☽ no peace.
we were like gods at the dawning of the world ∞ angel › lui. celui pour qui elle pourrait tout abandonner, malgré elle. lui qui est parti avec un regard excité, tourné vers un nouveau monde, masquant la peine qu’il ressentait. lui qui avait promis de revenir la chercher, de ne pas l’abandonner dans ce monde infâme. mais elle a compris. elle n’est plus aussi jeune et naïve. il ne reviendra pas, pas pour elle, pas dans ce monde qu’il a laissé derrière lui sans un dernier au revoir. à quoi bon attendre, espérer alors qu’il n’est plus qu’un fantôme du passé. le seul homme en qui elle avait placé sa confiance, avec qui elle avait baissé sa garde, et la voilà bien récompensée. elle sait mieux que de compter sur un homme pour la sortir des ténèbres. la seule personne sur qui elle peut s’appuyer à présent est elle-même. elle l’aimait, corps et âme, mais le futur la rattrape. il est temps de laisser le passé derrière elle.
∞ galaxy › les autres mondes, une légende qu’on lui racontait, petite. elle y croyait dur comme fer, elle s’imaginait la vie qu’on pouvait mener là-bas, elle s’imaginait des endroits remplis d’inconnu. c’était son conte de fée, ce qui la motivait, la fascinait, plus que tout. puis son rêve s’est brisé, il est devenu celui de quelqu’un d’autre. il est devenu lui. elle qui s’endormait tous les soirs en imaginant se retrouver là-bas, elle avait maintenant perdu le seul être qui lui était cher à cette folie. pour son bien, elle espère que ce ne sont pas que des légendes, qu’il est bien dans un autre univers. mais une partie d’elle ne croit plus à ces balivernes. il a disparu, il n’est plus. il n’est pas dans un autre monde, il n’est plus sur néphède. il a simplement disparu, en emportant le bonheur de vesta avec lui. finie sa fascination, terminées ses croyances absurdes. (avant 4036)
∞ charcoal › la relation idolâtre qu’ont les parents avec leur progéniture, vesta n’a jamais pu le comprendre. cet amour qui est supposé être inconditionnel, surmontant la peur et le temps, la mort et l’addiction. est-il partagé ou à sens unique ? vesta pense que ce n’est qu’une fable racontée aux plus faibles pour ne pas les attrister et les briser par la dure vérité. des rejetons, des erreurs d’un amour trop consumé dont la responsabilité n’est qu’une charge supplémentaire, charge lourde dénuée de sens dont les hommes et les femmes ne peuvent s’acquitter pour le reste de leurs vies. charge qui leur pèse sur le dos dès le moment où le nourrisson a le malheur de pleurer à la sortie du ventre de sa mère. vesta, abandonnée à son sort dans les bras d’une grand-mère un peu trop sénile et d’un grand-père bien trop sévère. laissée pour compter, sans un regard en arrière de ses parents qui, main dans la main, s’enfonçant dans les ronces d’une illusion fausse, une manipulation de leur esprit, un simple jeu de substances chimiques qu’ils préféraient à leur fille unique.
∞ murky › chaque personne qu’elle croise, chaque regard en coin, est un ennemi tapi dans l’ombre. le moindre faux pas de sa part et on s’abat sur elle. constamment sur ses gardes, à l’affut du danger qu’elle imagine si bien. parfois à la limite de la paranoïa. sa confiance, trop peu de personnes en ont vu la couleur. et certains ont quand même réussi à la trahir, la blesser et la briser à jamais. impossible pour vesta maintenant de donner sa confiance à nouveau. jamais complètement, jamais sans un plan, une sortie de secours, ses sens dressés toujours à l’affut du danger imminent. car vesta ne vit pas dans un monde rose, elle vit dans un monde noir et les monstres sortent du placard la journée comme la nuit, les ombres se glissent parmi les banalités et noircissent le cœur. alors vesta se bat, et elle gagne parce qu’elle n’a pas d’autre choix. elle repère ses proies tel un chasseur tapi dans l’ombre de la forêt. les cerfs sont bien vite piétinés, alors elle attend que le tigre daigne se montrer et elle lui saute à la jugulaire.
∞ daydream › son meilleur souvenir. ces nombreuses heures passées, l’un contre l’autre, leurs cœurs battant à l’unisson. par moments, elle s’autorise à rêver, laisser son esprit divaguer, s’enfuir dans des contrées imaginaires, où un soleil argenté brille dans un ciel étoilé, l’eau déversée par la pluie est translucide et dévale sa peau en un chant mélodieux. lui, qui se glisse à ses côtés, qui l’enlace et ne la lâche plus. quand tout va mal, vesta ferme les yeux et l’imagine, revenir pour elle, ne pas l’oublier, elle s’imagine elle, toujours ancrée dans sa mémoire et dans son cœur.
- (avant 4036) ton personnage était-il au courant de l'existence de dimensions parallèles ?
le doute planait, les légendes transmises par les générations imprégnaient son esprit de fantaisies. elle avait aimé y croire, pendant un certain temps, jusqu’à ce qu’il y croit un peu trop et disparaisse. alors, légende ou non, elle espère que le jour viendra où elle pourra partir, où elle aura assez de courage pour quitter sa planète natale et partir à la recherche d’un monde meilleur.
(en 4036) comment a-t-il vécu les bouleversements climatiques, le blackout, la découverte des autres planètes ?
la fin du monde est là, que disait sa grand-mère, persuadée d’avoir vu les derniers jours de l’humanité comme jadis ses ancêtres. un jour de plus, un jour sombre et froid, rempli de terreur et de survie, c’est tout ce que c’était pour vesta. elle n’y avait vu aucun présage, juste quelques conséquences absurdes qu’elle ne pouvait éviter et qui l’ennuyaient fortement. mais quand l’existence des autres planètes devint une vérité trop grande pour être ignorée par tous, une flamme éternelle se réveilla en elle. l’espoir de partir, de le revoir, la rendait mitigée entre l’excitation et la peur.
Chronologie:
14 août 4012 : naissance de Vesta. 18 septembre 4015 : abandon total de ses parents, elle est laissée à la charge de sa grand-mère et de son grand-père paternel, une vieille femme maigrichonne et un vieil homme rabougri et trop autoritaire pour son âge. ses parents sont séparés, non par le manque d’amour et les engueulades constantes à propos de la petite vesta, mais par l’amour des drogues et de l’oubli, de l’ignorance d’un monde réel pour un imaginaire plus jouissif. février 4018 : vesta veut apprendre autre chose que les corvées et faire plaisir à son grand-père en lui apportant des choses que ses faibles jambes ne sont plus capable de lui ramener. (début de l’école) juin 4020 : elle le rencontre. apollo. rayonnant comme un soleil, son soleil. 05 décembre 4020 : son grand-père meurt. maigre cérémonie de quelques personnes, sa grand-mère, trop vieille pour pleurer un homme qui la délaissait depuis de nombreuses années. vesta, enfin libérée d’un homme qui apposait une main trop ferme sur son épaule. juillet 4025 : sa grand-mère tombe malade. dans l’incapacité de lui procurait les médicaments nécessaires, vesta se voit obligée d’accepter toutes sortes de petits boulots, les uns plus ingrats et éreintants que les autres. 07 novembre 4030 : la chute. elle aurait du être mortelle, mais seule les séquelles restent, et la mort s’en va dans son manteau noir. elle ne l’a même touché, elle n’a pas osé la frôler. la petite vesta était bien trop jeune pour mourir. accident ou volontaire, nul n’en saura rien. pas même vesta et ses souvenirs cachés. l’avait-on poussé, et s’était-elle assise trop près du bord, trop confiante dans son équilibre qu’elle avait sous-estimé la gravité du sol ? juillet 4032 : elle a revu ses parents. sa mère à genoux devant sa grand-mère, de dos. elle ne l’a pas vu arriver, trop occupée à supplier pour un peu d’argent. son père est mort, d’après ses dires. elle ne sait plus que faire de sa vie. elle ne pose même pas de questions sur vesta, sa propre fille. et la colère gronde en vesta, et sa grand-mère lui fait signe de la tête de ne rien faire, mais la haine enfouie et la douleur de l’abandon remontent à la surface, et par le col, elle entraîne le maigre corps qui lui a servi, pendant quelques années lointaines, de mère. les bras dans lesquelles elle pouvait se réfugier, les bras qui la portait alors qu’elle était encore trop faible pour se tenir droite. elle la prit par le col et l’envoya à la pâture, loin d’elle et de la vie qu’elle s’était construire, le maigre confort déniché dans les recoins d’une ville sale. 4034 : il s’en va et tout ce qui reste est sa promesse, une promesse que vesta chérit de tout son cœur. « je reviendrais pour toi, je reviendrais te chercher. un jour. » maintenant : oubliée les mépris d’une vie abandonnée, son désir de partir trône dans son esprit, vibre dans tout son corps. il la pousse, la dépasse et l’englobe tout entier.
QU'EST-CE QU'ELLE EST BELLE bienvenuuuue avec ce nouveau bébé néphédien oh le début me rend tellement curieuse les idées pour le boulot et pour la soulmate, me likey héhé n'hésite pas en cas de questions, tu connais la maison ! BON COURAGE pour la suite
Bloc-note : ashley vient de passer cinq ans dans le coma + elle a tendance à laisser des petites notes un peu partout à tous les gens qu'elle aime + elle a toujours été très à l'aise dans l'industrie de la musique et ne s'est jamais laissée embarquer par ses démons + ses proches sont extrêmement importants pour elle, elle peut devenir très conne si vous essayez de vous en prendre à eux + elle est un peu drama queen sur les bords + elle porte quasi tout le temps des robes sur scène.
MAIS OMG C'EST QUI CETTE MEUF TROP BELLE ? je l'avais jamais vu, merci de me l'avoir fait connaître je suis trop contente que tu te dédoubles à la maison, et j'espère grave qu'on pourra se lier avec elle aussi bon courage pour la fin de l'écriture, mais je sais que ça va être parfait
J'AIME TELLEMENT CE PERSONNAGE déjà ta plume, un régal cette façon d'exprimer les choses et de leur donner vie, de nous projeter dans l'histoire compliquée de vesta, c'est si beau et puis tous les traits de caractère que tu as décris, chacun d'eux m'a plu et en particulier cette paranoïa qui correspond si bien à une néphédienne, à quelqu'un qui a vu la souffrance et qui sait n'être en sécurité nulle part elle est pleine de relief ta vesta, à la fois sombre mais pas déprimante ; elle donne une vibe de battante et ça donne envie de la voir terrasser tous les obstacles pour trouver ce(lui) qu'elle cherche bREF sur ce je te file ta couleur de ce pas, j'ai trop hâte de te voir la jouer have fuuuuun !