in the rapture of the midnight sun (nenya)

Invité

Sexy Muchacha Coucou les Affreux bunny

SOD c'est boooo~ alors me voici, me voilà. J'suis étudiante infirmière, j'adore Overwatch coeur

le kiff de ma vie quoi ! Ancienne geekette à World of Warcraft, j'ai plus le temps pour les jeux quoi mdr

; je ne sais jamais quoi dire de plus, donc Adios les Bitchachos !

Nenya Lenzfc : lee ji eun ;

️️ faust ; Comets ; unique

70%TIMIDE

80%PEUREUSE

65%CRÉATIVE

85%PESSIMISTE

70%PATIENTE

95%HÉSITANTE

90%CALME

55%NAÏVE

Nom complet Nenya, un prénom de circonstance, un prénom que tu portes à merveille. Petite amoureuse des fleurs et de la nature, vénérée chlorophylle, il illustre ta simplicité. Tu es la rose de minuit. Lenz, ton nom inonde les oreilles des passants, bourdonne et annonce ta modeste présence. Surnoms Aucuns. Naissance Tu as cueillis ta vingt-et-troisième rose rouge, un 13 novembre 1994, à Néphède. Héritage culturel Les origines sont comme les racines d’un même arbre de vie. Une image si belle que ta grand-mère aimait te transmettre au travers des nombreuses histoires qu’elle te racontait sur ton monde. Les hommes sont différents mais pourtant similaires dans leurs fondements. Une croyance ancrée dans ta famille aux origines coréennes. Statut Tu l’as tant aimé, tu l’aimes tant et tu l’aimeras toujours autant. Ton cœur est meurtri après tant de déceptions. Encore et toujours à cause de lui, Seth. Trop longtemps il a martelé ton palpitant avant de le badigeonner d’une couche mensongère en espérant stopper son hémorragie. Insensible à des promesses ne valant plus rien, l’indifférence rythme ta vie, si bien que ton regard se laisse porter par la curiosité, mais ton cœur ne succombe plus par mesure de sécurité. Orientation Tu es célibataire, bien que tu vis une relation ambiguë avec cet homme Seth Osborn. Comme tu es lunaire devant les beaux yeux de ce mauvais garçon qui attise le feu ardent de ton bas ventre. Finances $$$$$$.

Univers Néphède. Occupation(s) Tu aurais tant voulue faire des études pour devenir journaliste. Mais c’est derrière un comptoir que tu commercialises des pâtisseries et des viennoiseries alignées dans une belle vitrine. Petite vendeuse dans le Midtown, tu t’accroches à ce petit boulot qui remplit tes maigres finances.Particularités De nombreuses cicatrices, entailles couvrent ton dos. Ton ancien petit ami Seth est le seul a avoir vu, touché délicatement l’étendu des dégâts que ton père alcoolique t’a si longtemps infligé. Lien(s) cosmique(s) Soulmate, un lien immuable qui te relie à Seth Osbourn. Il est ton crevard préféré, cette part de toi que tu n’assumes pas et que tu chéries secrètement. Il est ce sale gosse insolent, dégueulasse et infâme, ce sale merdeux qui t’irrites suffisamment pour vouloir lui claquer sa bouche. Et pourtant, de toute sa stature il s’impose dans ta vie au travers de votre connexion cosmique. Keywords peureuse ღ méfiante ღ maladroite ღ calme ღ rêveuse ღ pessimiste ღ créative ღ rancunière ღ curieuse ღ mélancolique ღ timide ღ hésitante ღ fragile ღ observatrice ღ silencieuse ღ patiente ღ naïve ღ belle voix au chant

we are all astronauts (if only I'd never been born at all) Autumn Tale. C’est un conte qui se déroule en Automne ; où les feuilles flétrissent et déchoient des arbres, chutant au sol dans un tourbillon de couleurs chaudes. Les feuilles jaunies par la saison en déclin et à la veille de leur cycle, elles volent au gré du vent avant de s’écraser paisiblement sur le sol, puis se relever dans les airs par une brise aussi forte soit-elle, engendré par le passage en trombe d’une voiture. ; « Docteur, comment va ma femme ? Et le bébé ? » s’enquit Monsieur Lenz, assis dans la salle d’attente de l’hôpital, ne pouvant dissimuler une certaine anxiété visible sur son pâle visage. ; Le praticien se tourne alors vers le nouveau père, le visage neutre, sans grande expression sur son visage. L’incompréhension survole le visage du coréen, qui s’assombrit définitivement à l’idée de connaître une mauvaise nouvelle liée à une complication durant l’accouchement. Comment pourrait-il vivre dans sa douce ? Comment pourrait-il aimer cet enfant sans la présence de sa mère? Comment pourrait-il même supporter de le regarder autrement qu’avec mépris ? Jeune femme en éclosion, morte après avoir donné une fille à son époux. Voir cette petite fille survivre au détriment de sa mère, cela était inconcevable pour lui. ; Comprenant le désarroi naissant du monsieur, le médecin ne peut réprimer un air grave avant de déclarer à travers ses lèvres finement crevassé. « Malheureusement, elle n’a pas survécu, je suis désolé. » Parce qu’il y a, derrière sa tristesse, un élan de haine, un flot intarissable de larmes déferle de ses yeux, s’écrasant docilement contre ses pommettes humides avant de ruisseler sur ses joues empourprées. A l’annonce de cette affreuse nouvelle, il pouvait sentir comme un halo de lumière s’éteindre dans son cœur, ses rêves étaient anéantis, cet avenir prometteur qu’il aspirait tant avec sa famille venait de s’envoler en fumée. Ses larmes qui débordaient, ne voulaient tout simplement pas s’arrêter, car elles étaient la preuve de la vie de sa petite fille. Cet enfant tant détesté.

(kiss with a fist) L’histoire commence à t’allonger dans le noir, cassée et meurtrie. L’histoire commence à t’allonger dans le noir pour pleurer en silence. L’histoire commence là où tout s’écroule avec toi. Tu te sens épuisée de tout ce temps où tu as supporté les coups de ton père alcoolique. Tu ne peux plus mentir, tu ne peux plus minimiser les innombrables hématomes qui couvrent ton corps, tu ne peux plus cacher les lacérations de ton dos. Tu te réfugies dans l’idée qu’une ombre est couchée à tes côtés pour te réconforter, petite Nenya, qui ne sait plus comment te convaincre que tu n’es pas seule. Quitter ce foyer où la haine et l’amertume n’ont fait qu’animer le regard méprisant que ton père posait sur toi, toi qui semble être le portrait de ta défunte mère. Brave femme que tu as tuée, selon les dires de cet homme dévasté par le chagrin. Alors tu l’as laissé à son deuil éternel qui n’aura de répit qu’une fois son dernier souffle arraché. Tu as quitté cette maison une fois la majorité atteinte, tu as accompli la chose la plus honnête de toute ta vie. Ne plus mentir, ne plus fermer les yeux. Ne plus rêver seule.

(falling from an aching heart) Tu es ce chat noir, sombre et discret, mais surtout craintif. Ce chat qui marche à toute vitesse dans le dédale des ruelles du Midtown de Néphède, respirant la brise du soir. Un chat aux aguets, un animal sauvage en fuite. Fugue nocturne de la maison de l’horreur où tu étais battue, une échappée belle. La nuit n'est pas encore totalement tombée, mais le ciel est déjà obscur, alourdi d'épais nuages noirs. Le soleil est comme invisible, ses rayons ne percent pas la carapace brumeuse. Véritable cathédrale qui se ramasse, cumulus bas sur l'horizon qui écrasent sous leurs lourdes nuées toutes présences. L'air est électrique, presque statique ; même le vent se tait et l'atmosphère, immobile, semble attendre. Tu es ce petit bout de femme fragile. Dans chaque geste, chaque regard et chaque parole. Tout en toi respire ce besoin de protection permanente. Parce que tu es capable de tout donner pour ceux qui ne le méritent pas toujours, tu as toujours ignoré la façon de te protéger toi-même des aléas de la vie. Un coup surprise derrière ta nuque amène une vive agonie qui se transforme rapidement en un sentiment de flottement dans lequel tu te laisses aller.

L’eau glacée qui a ruisselé dans ton cou te tire de ton sommeil. Il fait si froid que tu frisonnes à même le sol, perdue au beau milieu de ce malheur qui impose sa marque sur ta peau laiteuse. La fraîcheur naissante de la pierre dense te maintient éveillée, empêchant toute chute en pâmoison. Tu es parfois dépassée par l'ère du temps. Depuis quand ton chemin t’échappe-t-il ainsi ? Tu es seule désormais. Tu emmerdes ce putain de destin et tu pleures pour ta fierté, c'est insupportable. Il y a eu une grande déchirure de tes vêtements à la fois sourde et audible au niveau de ta poitrine. Un silence funeste paralyse ta gorge, les lumières de la ville se sont éteints et seuls les faibles éclairages des appartements ont perdurés. Tu entends le bruit de la pluie s’abattre au sol, tu sens le souffle de ses murmures incompréhensibles se glisser contre ton oreille. Longtemps, l’hésitation t’a amarré à la dérive, longtemps tu es maintenue au sol alors qu’il s’apprête à t’agresser. Et là, à cet instant, tu crois mourir à petit feu sous son acte délibéré. Car il t’impose un choix qui ne résulte pas de ta volonté, car il t’impose l’horrible épreuve que celle de vouloir abuser de toi avant de te laisser comme morte. Toi, Nenya Lenz, une femme parmi d’autres femmes. Cruellement différente de ton agresseur et pourtant nous savons tous que nous ne sommes différents que du masque que nous portons. Le sien est blanc et scintillant. Il est uniforme et t’englobe telle une sphère parfaite. En son centre, un sourire. Large et sombre. Il te glace le sang. Aux côtés de ton bourreau, tu te sens dans un perpétuel embarras. Et il sourit de plus belle, étalant sa froideur devant tes yeux égarés. C’est si déstabilisant. Tes yeux se ferment alors que tu supplies d’une voix faible qu’il n’aille pas plus loin. « Hé, toi là-bas ! » Et comme pour répondre à ta supplique, tes oreilles bourdonnent à l’entente de sa voix. Une silhouette indistincte s’est mu, rattrapée par le rayonnement diffus de l’astre lunaire. Un regard compatissant, tout d’abord, entrevu à la faveur de ton corps blafard. « N’aie pas peur, je ne veux pas te faire du mal. » Et quand il vient, ta peur diminue.

Un flash blanc, le silence. Amas de ténèbres dans lesquels tu crains de rencontrer tes démons, lugubre témoins de ta simple humanité, de ton impuissance. Peur lancinante, hurlements accablants, râles d’agonie, éclaboussures sanguines sur les roses blanches et blâmes mortuaires. Ta respiration se coupe, tes muscles se crispent. Le matelas craque sous le poids de son corps allongé à tes côtés, une caresse sur ton visage, une voix qui t’appelle : « Nenya ... » Un sursaut, une sueur froide qui inonde ton front pâle, tu es essoufflée. Le souffle du vent par l’entrebâillement de votre fenêtre se fait sentir, un bruissement de draps voluptueux, et un rayon de lumière perce le ciel et inonde sa silhouette masculine. Et comme explosent les premiers rayons du soleil sur le mur blanc, sa silhouette se teint de rose et d’or. Les mains abandonnées dans le désordre soyeux de vos draps, tu ne peux t’empêcher de contempler la marche inexorable du jour. C’est là sans conteste un magnifique chef d’œuvre, dont tu es en train de te repaître, l’espace de quelques instants, avant d’entendre le rire de Seth qui interrompt ta contemplation du dehors pour mieux te ramener à la surface. « Tu oses t'endormir après l'amour ? » Tes prunelles sombres suivent et scrutent de manière sceptique la silhouette du jeune homme qui semble examiner ton état d’éveil. « Non. J’ai juste l’impression d’avoir fait un rêve super long. » Tu gémis doucement tout en te passant une main sur ton front. « Tiens, c’était quoi déjà ? Je ne m’en souviens plus … » Bien qu'il fasse jour, tu ne parviens pas à distinguer quoi que ce soit. C'était comme si l'obscurité accompagne continuellement ce lieu. Perdition. État second qui succède –indépendamment de ta volonté– la profonde réflexion dans laquelle tu es plongée depuis quelque instant. Un courant d’air vint soulever tes cheveux ondulés qui tombent sur tes épaules. « Nenya, pourquoi tu pleures ? » Surprise, tu écarquilles les yeux alors que tu sens un torrent de larmes naissant au creux de tes paupières avant de ruisseler le long de tes joues, puis s’écraser sur la paume de ta main. Tu ne saurais expliquer pourquoi, mais ce sentiment ne te quitte pas. Ce pressentiment inexplicable, inconnu mais pourtant si légitime te ronge l’estomac alors que tu en décortiques minutieusement la signification de son existence. Cette certitude que le poids de la vie ne cessera jamais d’être pesant. Malgré votre amour qui est né deux mois après qu’il ait empêché ton viol lors de votre rencontre, malgré votre cohabitation, tu ne sais comment te détacher de cette sensation de crainte qui t’étouffe. A ses côtés, tu te sens en sécurité, mais lorsque tu es seule, tu ressens comme une ombre qui plane au-dessus de toi. Tu l'embrasses en guise de réponse, car cette vie commune avec lui, tu la chérie.

(suffering for every part of him) Comme tous les soirs, tu rentres du travail à la boulangerie. Comme tous les soirs, tu t’empresses de rejoindre ce petit appartement que tu payes chaque mois à l’aide de ta maigre paye. Ce petit studio dont tu es fière, ne pouvant plus vivre aux dépends de ton petit ami qui a eu la gentillesse de te dépanner pendant deux ans. Rentrer chez toi contribue à cette indépendance que tu détiens depuis maintenant un an. Mais ce soir-là, ta routine n’a pas été au rendez-vous. Ce soir-là, ta marche s’est arrêtée, nette. Tu as croisé son regard, jolie Nenya, ce regard sombre qui t’a glacé le sang. Tétanisée, tu as retenu ton souffle. Cette nuance dans l’air, tu l’as ressenti. Puis le choc de ton corps contre le mur alors que deux hommes t’attrapent, une douleur à la fois incisive et imperceptible. Ce poids dans ta poitrine qui écrase ton palpitant et tes poumons, tapissant de cendres la cage retenant tes piteux organes à l’abri. Un bandeau sur les yeux pour te priver de la vue, un autre dans la bouche pour te priver de la parole. Cette sensation, comme une aiguille qui t’as transpercé le nombril afin de te tirer par l’abdomen dans un plongeon vertigineux. Cette piqûre qui vrille tes tripes est bien plus pernicieuse qu’un déferlement brut de roches. Et étrangement familière aussi, comme la réminiscence de ton agression d’il y’a trois ans. Aujourd’hui, tu revois encore les images de ce moment avec une précision affolante, tu entends des morceaux de conversations éparses, leurs premières paroles comme si elles résonnent bruyamment, à l’infini contre tes tympans. « Ouais, c’est cette garce ! […] Le Boss sera content. […] C’la meuf de Seth. […] On le tient. […] Il nous quittera plus pour elle. » ; Seth, il est ce mauvais garçon que tu aimes, au-delà de son insolence, de sa violence physique et de son impulsivité. Il est ce mauvais garçon qui ne cessait de te mentir pour justifier la présence des nombreuses contusions qui marquaient sa peau. Il est ce mauvais garçon qui a fini par t’avouer la vérité : il est ce mauvais garçon qui est assimilé à un gang. Vous vous êtes disputés si fort ce soir-là, vous vous êtes dit des choses horribles qui ont dépassé votre pensée. Et c’est au milieu de tes larmes qu’il a promis de tout quitter pour toi, par amour. Parce que tu es sa rose de minuit, tu es l’inconnu X qui manquait pour résoudre son équation. Il t’a embrassé comme jamais il n’a embrassé une autre femme, avec une fougue comme il n’a jamais ressenti pour une autre. La perspective d’un avenir à tes côtés ne lui semblait plus irréaliste. En quittant la mauvaise influence de son groupe, il abandonnait cette part de risque dans laquelle il t’enveloppait depuis presque trois ans. Tu ne voulais pas de cette vie, pas pour lui, pas pour vous. Car cette part de risque se réalise à l’instant alors qu’on t’enferme dans une camionnette pour mieux t’emmener dans un endroit inconnu.

Tout est noir, tu as si froid. Si froid que tu peine à te maintenir éveillée. Tu ressens l’adrénaline courir dans tes capillaires sanguins, la chair de poule recouvrir ta peau pâle d’une seconde peau. Tu l’entends hurler, marchander ta libération contre la promesse de son allégeance. Ces mots, tu aimerais qu’il n’ait jamais été prononcé. Ils étaient l’existence d’un accord malsain entre lascars des bas quartiers, d’une rupture tacite entre vous par mesure préventive. Nenya, tu es la lueur d’espoir de Seth, tu es son espérance qui dérange ceux qui ont abandonné toute bonne volonté en ce monde. Tu es cette femme qui lui amène l’envie de s’émanciper d’un groupe dangereux, tu es celle qui surpasse l’influence Heathen. Nenya Lenz, haute comme trois pommes et frêle comme une brindille, tu es cette menace qui agace les gros bras de Néphède. Tu es le trésor de Seth qu’il a abandonné devant ta porte avant de te quitter en silence. Te hisser sur la pointe des pieds pour le gifler, tu n’en as pas eu le courage, car pleurer d’amour ce n’est plus de ton âge.

(dreaming alone) Trois ans de relation, un an s'est écoulé depuis votre séparation. Tu ne peux pas reprendre les choses qui ont été dite. Tu ne diras pas que tu regrettes n’importe quel jour où tu étais sienne. Tu comptes les cicatrices qui ont été laissées dans ton cœur depuis que tu l’as perdu. Tu as eu tort de t’obstiner à croire que vous pourriez vivre sereinement votre amour s’il quittait tout. Tu as été forcée de te rendre à l’évidence que vos mondes sont bien trop différent, lui le voyou des rues macabres et toi la petite vendeuse dans une boulangerie. Tes yeux brillants mentent, tes mots disent le contraire de ce que tu penses. Tu hais la sensation de ton affection pour lui, tu détestes ce sentiment de vide lié à votre rupture, alors tu lui fais payer au centuple. Et pourtant, inexplicablement, une curieuse petite étincelle subsiste entre vous. Tout ce qui vous repousse vous rapproche aussi, inévitablement. Ce sera toujours lui et toi, alors pourquoi rêvez-vous seul ?

Invité

Stories only scars can tellYou always call me full of regret
All these years, the days go by
I've seen you fall a million times
Everybody makes mistakes
It feels so hard to watch you hurt
From the pain, a lesson learned
This is how you find your way
It feels so hard, I've been there too
I've got so much love for you, my friend
Ride or die until the end
But only you can save yourself
I wish I could save you from the pain you've been through

Sky so dark, no way through

Titre, date ou autre (facultatif) Rose pourpre, explosion d'un bouton de rose qui se flétrit de l'intérieur : nécrose interne, discrète pourriture. Noir, silence. Anesthésie de l'esprit, corps assoupi. Le sommeil, un voyage onirique qui déverrouille la mémoire profonde, les souvenirs de tous les possibles. Une voix, des cris, une respiration coupée ... Nenya ! Boom boom ! Spasme musculaire, tu te réveilles en sursaut. Ton cerveau paranoïaque t'a envoyé une décharge nerveuse, soucieux de la mortalité passagère de ton corps inerte. Je ne suis pas morte imbécile, je dormais, songes-tu en grommelant ton agacement entre tes lèvres pincées. Ta colère est aussi corrosive que l'acide, tu passes tes nerfs dans ta chevelure ondulée que tu rejettes en arrière d'un geste négligé de la main. Picotement. Brûlure, douleur lancinante qui attaque ta rétine. Tu te frottes les yeux alors qu’une pellicule aqueuse suinte du bord de ton œil et s’écrase sur les lettres noires que tu viens de tracer. L’encre se noie dans un tourbillon de couleur avant de disparaître. Et pourtant, les mots qui composent ta missive demeurent parfaitement lisibles. Interloquée, tu laisses ton regard se porter sur l’environnement qui t’entoures. Allongée dans ton lit, il semblerait que tu sois assoupie en lisant une lettre qui t’étais destinée. Une note à toi-même : cacher la tâche d’encre diluée de cette lettre, on serait capable de penser que tu baves dans ton sommeil, chose bien disgracieuse pour quiconque qui a un tant soit peu d’amour propre. Tes jambes se croisent, tes doigts tapotent nerveusement contre ta cuisse, tu réfléchis. De quoi avais-tu rêvé avant de brusquement te réveiller ? Tu n'en es pas certaine, mais tu as cru entendre une voix, sa voix, Seth t’appeler. Nenya ... C'est ton prénom, la douce appellation qui figure sur ton acte de naissance. Elle a prononcé ton nom, avec la distillation de l’essence pure de l’effroi, avec une intonation qu’on entend souvent dans une situation de panique. Tu arques un sourcil, sceptique face à cette idée qui traverse ton esprit. Tu lèves les yeux au ciel avec dédain alors que tu balances ta tête en arrière, dans un soupir lasse du monde. Qui-es-tu, Douce Nenya ? Quelle est ton histoire ?

Quand le monde s’assombrit, et la pluie tombe doucement, il est toujours là. Même aujourd’hui, sans aucun doute que tu ne peux pas le sortir de ta tête. Tu ne peux pas l’oublier, même si tu sais que c’est la fin depuis longtemps. Tu sais que c’était de la folie, tu sais que ça n’aurait pas pu tenir. Mais tu es juste déçue de toi car tu n’as pas été en mesure de mettre la main sur lui à cause de ta faiblesse. Tu n’as pas su devenir forte pour lui prouver que vous auriez pu tout surmonter malgré les menaces des Heathen. Durant les jours de pluie, il vient et il te trouve. Te torturant toute la nuit dans tes songes. Et quand la pluie commence à s’arrêter, il part. Peu à peu, petit à petit, tout s’arrête ainsi.

Date d'inscription : 06/09/2017

UHFIUERHFRIUTHGTRG LA BELLE IU!!!! aaaa

je suis joie devant ton avatar ou l'aesthetic trop trop beau de ta fiche tbe

il me tarde de découvrir ton personnage, Nenya me fascine pétille

BIENVENUE SUR SOD!! excité

n'hésite pas à contacter le staff si tu en as besoin ou pour passer sur le flood et les jeux si tu veux te détendre un peu jule

bon courage pour ta fiche petit eucalyptus :yas: bsx

Date d'inscription : 06/09/2017

IU

C'EST UN ÉNORME OUI fire

j'suis un peu une fangirl d'iu no shame love

bienvenue parmi nous et j'adore ton pseudo aussi iiih

j'ai extrêmement hâte de voir ce que tu vas nous faire de ce personnage du coup, quel monde tu as choisi, tout ça :purple:

bon courage pour ta fiche, n'hésite pas à venir nous voir si tu as des questions ou besoin de quoi que ce soit cute

Date d'inscription : 28/09/2017

IU LA DOUCEUR JE PFQOSIDFH FONDS
ET CES GIFS, LA BEAUTÉ RÉELLE
MAIS CES TROP VIDE, VITE VITE LA SUITE :purple:

BIENVENUE bae et bon courage pour ta fiche tbe

si t'as la moindre question, comme dit, on est là pour ça alors n'hésite pas rougit

et passe par le bottin si tu veux réserver ton avatar love

Invité

OMMMMG UNE MEUF DE NEPHEDE !!!! iiih

On est déjà fait pour s'entendre tkt pas siffle

, puis ton choix d'ava tout le monde en parle donc j'en rajoute une couche hey

la

beauté

courage pour la fiche miss

et bienvenue ofc huug

Date d'inscription : 06/09/2017

ELLE EST SI DOUCE OMG elle est trop cute jpp kécho

Et en plus elle est à Néphède yeux

BIENVENUUUUE SUR SOD si tu as des questions n'hésite pas à venir envahir nos boîtes à mp :shon:

bon courage pour ta fiche et j'espère que tu te plairas parmi nous coeur

Invité

@Nao Ilang - Et que dire de Jimin, ce bae quoi coeur

Merci à toi, j'espère qu'elle vous fascinera tous alors angel

@Nina Rhodes - Lilyyyyyyyyy

Merci pour le compliment :purple:

je n'hésiterais pas à vous harceler au besoin, alors ... vous êtes mal barrés mdr

@Noora Vane - Vos désirs sont des ordres, j'ai écrit jusqu'à 2h devant la TV pour vous respect

#SBAF ! Merci, je vais poser une réservation en effet, on sait jamais confus

@Nawei Lee - Néphède, ce monde me faisait du pied de fou perv

Merci à toi, on se trouvera tous un lien, car vous êtes tous perf omfg :kirby:

@Eliott Rietveld - La fatigue du matin m'a fait rire devant ton message. #débilos je crois que le smiley blanc y est aussi pour quelque chose, non mais la tête quoi jpp mdr

Merci à toi, vous êtes trooooop haaa

j'avance lentement mais sûrement pour vite vous rejoindre

Invité

j'adore le prénom et une agréable plume,
hâte de lire la suite pétille

Invité

boté des îles exotiques
té belle
comme le soleil