glowing like a solar fire ((keon))

Invité

queentease, autrefois myrtille j'ai vingt-cinq ans, je suis québécoise, je ne porte pas de chaussettes, mes coudes sont rugueux af et plus foncé que le reste de ma peau (c'est grv un de mes complexes) et mes cheveux ne sont pas assez longs à mon goût. je vais passer aussi souvent que possible, mais dès le retour à l'univ, je risque d'être moins présente parce que mon master c'est la mort. ps1. j'ai faillit oublié : ongniel is science, ongniel is life.
ps2. euh. six of crows, j'ai dû changé ma culotte tellement j'étais excitée quand j'ai vu le nom dans les inspirations coeur

keon myfanwyfc : seongwoo ong ;

️️ queentease ; Moons ; unique

100%curieux

75%lunatique

80%généreux

65%naif

60%honnête

55%envahissant

70%déterminé

50%désinvolte

Nom complet un nom qui sort de nulle part, un nom qui ne veut rien dire, deux mots qui n'avaient jamais été prononcés jusqu'à maintenant. une apparition soudaine il y a quelques mois à peine qui a entrainé le monde dans une vague de renouveau. Keon Myfanwy le génie, l’inventeur. un nom qui est massacré sur toutes les lèvres et dont mille et une rumeurs en font la star. Surnoms génie, inventeur, des mots qui le décrivent, qui tentent de représenter la complexité d'un être en un seul mot. aucun surnom dérivé de son prénom, preuve d'amitié ou d'amour. Keon a toujours été seul, Keon n'avait que son reflet dans le miroir pour lui tenir compagnie. Naissance c'est à la brunante de néodam, au centre du smog et du désespoir que Keon est né, l'héritier de rien du tout, la bête noire d'une famille n'ayant rien. vingt-quatre ans que son nom existe, murmuré, identité d'un enfant dont on a honte, d'un produit défectueux. quelques mois à peine qu'il est prononcé à haute voix, fierté à peine cachée, envie non dissimulée. Héritage culturel les yeux en amande et les cheveux ébènes d'une asie perdue. le nom et la langue glandée ici et là, une famille composée de vestiges volés, bâtie sur l'appropriation et le vol. rien n'est à vous, rien ne vous appartient réellement. aucune normes, aucune coutumes propre aux Myfanwy, les seules règles qui règnent dans le foyer sont celles de Néphède.Statut sa folie fait fuir, son caractère loufoque détruit toute relation qu'il pourrait envisager, mais Keon il n'en a rien à faire. Il préfère découvrir les secrets de l'univers que les secrets de l'amour. Orientation inconnu, il ne s'en préoccupe pas. seul l'avenir le sait. Finances $$$$$$, l'opulence d'un jeune homme passionné, d'un esprit particulier.

Univers néphède la ténébreuse, l'illégale. les rues brumeuses qui lui sont inconnues, qui l'appellent, qui ne demandent qu'à être explorées. des secrets horribles qui ne sauraient effleurer son esprit naïf, un monde entier qui attend l'occasion de le pervertir, de l'utiliser jusqu'à la dernière goutte. Occupation(s) inventeur, chimiste, thinkerer, Keon est un électron libre auquel on ne peut appliquer d'étiquettes. il fait tout et rien, tout dépend de ce qui l'intéresse, de ce qui l'attire, de ce qui le fait trépigné d'impatience. Particularités rien ne le diffère réellement des autres, Keon représente la médiocrité à son meilleur. self made, il n'a que son esprit, son imagination et une persévérance à toute épreuve. big brain, big heart, ~~big d~~. il refuse de se conformer, d'être ce jeune homme respectable que son père tente de forcer. Keon il n'a toujours que lui et s'il y a bien une personne envers qui il est, et sera honnête, c'est lui-même. Lien(s) cosmique(s) le quart d'un cluster qui s'est imposé à toi comme une illusion avant de s'ancrer dans ta réalité comme un salut, une quête, une raison de vivre. manifestation de sa solitude, de cette envie d'appartenir à quelque chose, d'être traité comme un être vivant. Le fou, le clown, le lunatique, l'homme enfant, celui qui cherche incessablement une façon de les réunir ces quatre êtres éparpillés aux quatre coins des mondes. Keywords génie, folie, passion, curiosité, solitude, inventions, hopeless dreamer, smiling angel, humour as a defense mechanism, prim and proper, free of consequences, man child, skinship, bros before hoes, too pure for the worlds, calloused hands.

we are all astronauts(( myfanwy corp. )) C’est ton nom qui orne la devanture de l’énorme bâtisse qui sert à la fois d’usine de production et de bureau pour les opérations. Elle est supposée représenter ton génie, le renouveau technologique que tu peux emmener au monde, mais elle est si loin de toi. Elle ne t’appartient pas vraiment, tu n’en es que le propriétaire en apparence. Marionnette dont on tire les fils dans l’ombre. On t’use et abuse et tu te laisses faire avec joie. Ce sentiment faux, illusoire qui te donne une fausse paix. Une impression d’être utile, d’être nécessaire à quelqu’un qui te remplit d’un bonheur malsain. Tu donnerais tout pour les autres, quitte à t’épuiser au travail, à te détruire à petit feu pour l’acceptance et la reconnaissance d’autrui. Si la compagnie représente pour toi un nouveau début, une liberté tant attendue, il ne s'agit que d'une laisse en or passée à ton cou.

(( gang & magouilles ))Ce sont eux qui tiennent la laisse, ceux qui soufflent dans ton cou, regardent par-dessus ton épaule constamment. Tu crois naïvement qu’ils sont tes amis alors qu’ils ne sont que tes géôliers. Ils attendent patiemment ta prochaine invention, ton prochain poison pour le relâcher sur le marché et récupérer tout l’argent. Tu l’ignores ou peut-être que tu fais semblant de l’ignorer, après tout, tu as peu à faire de l’argent que tu pourrais faire. Les fonds qui te sont octroyés pour tes recherches sont tout ce qui t’intéresse. Tu ignores tout d’eux, et tes questions sont répondues avec des banalités, des demi-vérités. Tu ignores qu’il s’agit d’un gang et que tes inventions ne sont pas toujours utilisées pour le bien, tu ne sais pas qu’ils utilisent tes recettes chimiques comme base pour la recherche d’une nouvelle drogue pour ravager néodam. Si tu le savais, y ferais-tu quelque chose ? Probablement que tu t’opposerais, mais ta force est illusoire, ta parole n’a aucun poids.

(( the weirdo on maple street )) Keon, tu es un être profondément brisé. D’imposantes lacunes émotionnelles t’ont laissé dépendant aux autres, à ce qu’ils pensent de toi, à leur besoin de t’avoir autour. Tes émotions sont, non seulement liées à trois autres personnes mais aussi, dictées par les actions des autres, des inconnus, des connaissances. Un compliment saura te faire sourire des semaines durant alors qu’un commentaire désobligeant viendra serrer ton cœur, te replongeant immédiatement dans cette solitude profonde qui t’a habité pendant des années. Le seul moyen pour toi d’oublier, de te changer les idées, c’est le travail, faire bouger tes doigts sur le métal dans la graisse et la ferraille. Il est difficile de lire ces changements pourtant drastiques parce que tu ne changes jamais d’expression, toujours ce sourire aux lèvres et les mots qui manquent, les mots qui planent dans l’air, ressenti mais rarement exprimés. Personne ne s’est jamais intéressé à toi assez longtemps pour détecter le changement, cette étincelle dans tes prunelles marrons qui s’éteint, la subtile force appliquée dans un sourire à l’illusion parfaite. Si tu as grandement changé à l’extérieur, devenu digne d’être propriétaire de ta compagnie en apparence, l’individu à la recherche d’acceptance et d’un amour inconditionnel n’a pas changé pour le moindre, tu es toujours cet enfant qui attend dans une pièce sombre le retour de son père, le retour de quelqu’un pour le prendre dans ses bras.

Invité

we don't need no fake magictired, alone & so far away

war of hearts

come to me in the night hours, i will wait for you, and I can’t sleep cause thoughts devour, thoughts of you consume.

Once upon a time, boy met girl and they fell in love. Coup de foudre, le coeur qui manque un bond en voyant son visage à la peau de porcelaine, ses grands yeux bruns en amande et cette chevelure ébène qui tombait avec la délicatesse de la soie jusqu’à ses hanches. L’image qui se grave dans l’esprit du voyou, qui l’empêche de dormir la nuit, qui hante ses jours et ses nuits. La belle inconnue, l’inaccessible, l’objet de ses désirs. Il l’observe dès que le temps le lui permet, dès que le gang ne requiert pas ses services. Il s’amourache de cette fille de marchand envers qui il n’a aucune chance lui, pauvre vendeur d’illusion des Heathens, mais il ne peut vivre sans elle. Alors il ment, il ment comme si sa vie en dépendait, s’éloigne de ses frères pour chasser l’amour de sa vie. Et elle le croit, elle se laisse berner par ses belles paroles, sa maladresse le rendant attachant à ses yeux de demoiselle qui se fait courtiser pour la première fois. Elle se laisse emporter par l’amour teinté de rose, par les baisers papillons sur ses lèvres en cœur. Elle aime cette illusion qu’il lui a vendu et peut-être par peur de ce qu’elle pourrait trouver, elle écarte la voix de la raison qui murmure dans sa tête lorsque les mensonges s’effritent, lorsque la réalité menace l’illusion précaire. Elle tombe enceinte à peine quelques semaines après leur rencontre, après le premier mensonge et mourra neuf mois plus tard en mettant son premier et seul enfant au monde. Elle quitte le monde le cœur léger, toujours attachée à cette illusion, à l’homme imparfait mais au cœur bon pour lequel elle s’est amourachée, l’emportant avec elle dans l’au-delà. Ne reste derrière que ce même voyou un peu plus vieux, et dont le cœur a été arraché, laissé pour lui-même dans un monde qui semble avoir perdu sa couleur. un poids lourd pèse sur les épaules du bambin, l'écrase sous l'accusation alors qu'il n'a pas encore poussé son premier cri.

I can't help but love you, even though I try not to. I can't help but want you. I know that I'd die without you.

where do we go from here

Like waking up from a fantasy in all that's left is you and me. How do you fly with no wings. How do you breathe without dreams. Where do we go from here.

Les yeux creux, le vide que sa présence a laissé qui le fait souffrir constamment, un manque qui ne sera jamais comblé, et l’enfant… cet enfant envers lequel ses sentiments sont forts, trop forts, étouffants même. Il l’aime à en mourir cette petite part qu’il lui reste d’elle. Il aime ses cheveux d’ébènes, ses yeux en amandes, sa beauté exotique qui lui rappelle sa dulcinée. Et il le haït, se sent suffoquer dès que son regard tombe sur lui, sur le meurtrier, sur celui qui lui a enlevé l’amour de sa vie. Impossible de s’en débarrasser, impossible de l’aimer. Dualité qui le pousse à s’éloigner, à fuir l’enfant. Il retourne vers ses frères, disparaît dans des tâches plus dangereuses et folles les unes que les autres pour les heathens alors qu’une étrangère qu’il pait amplement s’occupe de son bambin.

Le bambin est particulier, différent. Il observe avec ses yeux en amande, mais ne fait pas le moindre bruit, ni lorsqu’il a faim, ni lorsqu’il veut de l’attention. Il ne réagit pas aux gazouillis des adultes, seules ses prunelles noires semblent s’activer, prenant en compte les moindres détails. De nombreuses gouvernantes ont fui, effrayées par cet enfant atypique, par les silences pesants et le regard oppressant de curiosité qui leur brulait le dos. Et ce fût trop pour ce père aux sentiments déjà bien complexes. Produit défectueux, erreur… l’enfant qui était né de son amour sans fond était un échec. Son sang avait réussi à détruire la perfection qu’avait été sa bien-aimée, à la détruire elle. La culpabilité s’installa comme un poison dans son âme déjà meurtrie, annihilant ce qui restait de bon et ne laissant que l’aigreur et la haine derrière. L’alcool devient la seule façon d’oublier, de se perdre ne serait-ce qu’un bref instant. Et l’enfant se fait oublier, abandonné dans les quatre murs de la demeure afin que personne ne puisse voir le monstre difforme qui fût créé par l’amour d’un voyou.

Il a treize ans l’enfant maudit, il a grandi et si l’extérieur ressemble de plus en plus à sa mère, l’intérieur n’a que très peu changé. Il vit à travers les livres, les lit à une vitesse folle sans jamais s’arrêter, sans jamais avoir envie de faire autre chose. Il écarte les sujets qui l’intéressent moins pour se perdre dans ceux qui le passionne. Il ne parle toujours pas et on s’est fait à l’idée qu’il soit muet ou retardé… au final, il n’y a personne pour s’interroger, pour exiger une réponse, un diagnostic. Et un jour, ce n’est plus assez, il a envie de voir au-delà des quatre murs de sa prison, alors il ouvre la bouche pour la première fois, un soir que son progéniteur entre du bar complètement saoul. La surprise, les yeux qui s’écarquillent, le cœur qui manque un battement, et la main qui s’abaisse sur la joue de l’adolescent. Cette voix, copie conforme de celle de l’adulte lorsqu’il avait cet âge, qui le maudit, qui le nargue, vient appuyer là où la douleur est impossible à ignorer et la rage l’envahit, brouille sa vue dans un nuage de rouge. Et il part, abandonnant pour de bon le fruit de son plus grand regret derrière, la peau de porcelaine qui se teinte de bleus. Et ce fût la dernière fois que tu le vis.

L’enfant grandit encore jusqu’à devenir un jeune adulte. Les fonds ont cessé de venir et ta gouvernante est partie aussitôt son salaire hors de portée. La solitude de pèse plus que jamais entre ces quatre murs trop grands pour une seule personne. C’est stupide, mais tu as envie que ton père revienne, qu’il soit là quitte à ce que les coups soient présents aussi. Tu es sorti pour la première fois, ombre silencieux, fuyante. Le monde qui t’appelle, qui ne demande qu’à être découvert… et pourtant, tu combats tes envies, ne faisant des arrêts que pour acheter de nouveaux livres ou de la nourriture. Et ton monde continue de grandir au fil des écrits. Chimie, physique, mécanique, robotique, tes sujets fétiches continuent de s’agrandir, et tes connaissances ne cessent de s’approfondir. Tu t’imagines un monde parfait par son imperfection, tu t’amuses à le peupler d’êtres aux milles et unes bizarreries. Ils sont là pour toi lorsque la solitude te pèse, lorsque les larmes menacent de tomber.

In the changing wind, it echoes deep, wearing thin the heart beneath. there's no place to call our own like a drifting haze we roam.

daydream

I waited so long for something sweet like this. It's where I belong beside you in blinding bliss. I'm living in a daydream. Nothing that could faze me now.

Un beau jour d’hiver, alors que la neige s’accumulait momentanément sur le béton de néodam, ils se sont manifestés pour la première fois. Images floues qui te regardaient dans la surface réflective du miroir. Tu as cru qu’il s’agissait simplement d’une apparition de ces voix qui peuplaient ton monde imaginaire, les amis à qui tu murmurais tes états d’âmes, à qui tu partageais tes quelques hauts et tes nombreux bas. L’impression que tu avais finalement craqué, que quelque chose de fondamental en toi venait de briser s’installa comme une vérité infaillible, mais la vie continua de tourner et ton quotidien ne changea pas drastiquement. Ces apparitions, plus réelles que nature, prirent simplement une place encore plus grande dans ton cœur, comme de vrais amis, comme une vraie famille. Ils regardaient simplement, sans dire un mot, veillaient sur toi comme des anges, apaisant tes états d’âme. Il fallut du temps pour que tu ne saisisses que ce n’étaient pas un jeu malsain de ton esprit, mais bien des personnes réelles habitant d’autres mondes. Des messages écrit que tu chéris t’ont appris tout ce que tu avais à savoir sur ces différents individus pour les aimer et pour vouloir les protéger. Ils ont fait naître ce rêve de voyage interdimentionnel en toi, ce rêve qui t'anime, qui te mouve depuis.

Faded it's gone, the darkness I once knew. What could go wrong? My heart is safe with you. I'm caught up in a daydream. Nothing that could wake me now.

find you

I can hear the sound of your barely beating heart. Pieces on the ground from a world that fell apart. Just hold on It won't be long. I will find you.

Les deux mains tâchées noires de graisse, tu ouvres la porte à des inconnus. Ils disent être des amis de ton père et selon le testament qu’ils agitent sous ton nez, tout ce qui vous appartenait était maintenant à eux. Les sujets de la loi et de l’administration n’ayant jamais fait parti de tes intérêts, tu les crois sur parole, les laissant entrer et prendre possession de tout ce qui se trouve entre les quatre murs de ton humble demeure. Des babioles, une infinité de livres, quelques bijoux de famille appartenant à ta défunte mère… et des prototypes par millier. Des prototypes de nouvelles prothèses, des prototypes de nouvelles armes, de nouvelles machines… des formules chimiques qui te semblaient intrigantes mais que tu n’as jamais pu tester. Le travail d’un fou, d’un génie. Et c’est ainsi que tu gagnas une liberté conditionnelle, une nouvelle vie de pantin qui t’offres l’occasion de travailler, de tester, de créer autant que tu le souhaites.

Quelques mois plus tard, on t’a mis à la tête d’une compagnie portant ton nom de famille. Personnalité publique du jour au lendemain quand l’un de tes prototypes se vendit par millier, marionnette qu’on dirige, à qui l’on souffle son texte. Tu as cette liberté dont tu as toujours rêvé, mais elle vient à un prix et tu ne vois pas les billets que tes inventions rapportent. Tu n’en as que faire de cette richesse, tout ce que tu veux c’est de l’information. De l’information sur ce monde qui t’es ouvert pour la première fois, mais surtout sur les dimensions et les portes d’entrée et de sortie. Comme un fou, tu cours après cette obsession jour et nuit, abandonnant le sommeil pour lire un chapitre de plus, pour suivre une piste de plus. Tu sais qu’ils sont là quelque part et tu ressens ce besoin de les rencontrer, de les sauver, de les protéger. Peut-être simplement pour te convaincre que ce n’est pas la folie qui t’habite, que ton esprit ne les a pas créés. Ce besoin viscéral de savoir qu’ils sont bel et bien réels tout comme toi.

I will find you here inside the dark. I will break through no matter where you are. I'll be the light that leads you home When there's nowhere left to go. I'll be the voice you always know When you're lost and all alone. I won't let you go.

Invité

c'est vide
pourquoi c'est vide russe

bienvenue ici toi cute

(faudra que tu me dises comment se prononce ton nom de famille, j'ai trop de possibilité jpp)

et remplis moi ça nan mais

Date d'inscription : 06/09/2017

MYRTILLE

c'est vide pk tu nous fais souffrir comme ça waterfall

ton avatar est trop fab et le pseudo pétille

j'ai trop hâte de voir ce que tu prépares fire

JE SUIS TROP HAPPY DE TE VOIR ICI C'EST TROP LE BIEN JE SUIS FTRHGYTROGHIG DEVANT VOUS LES GONZES tbe

BIENVENUE SUR SOD n'hésite pas à venir nous voir si tu as des questions, tout ça moustache

BON COURAGE POUR TA FICHE keur

Invité

@hyacinth aeneris j'y bosse, jte jure *dit la meuf qui regarde des vidéos sur youtube depuis 30min*

@nashoba ilang ANNNAAAAAAAAAAAAAAA, c'est toi qu'est trop fab !!!

d'ailleurs, j'aimerais faire une plainte contre toi ! J'AI LU TES PRÉ-LIENS ET J'AI GRV CRAQUÉ POUR NELL, MAIS Y'A DU ONGNIEL QUI M'ATTENDS, JSUIS TROP CONFLICTED gaah

BREF, jtm qd même, merci à vous pour le super forum, j'étais gravé émue de voir six of crows et shadow and bone dans les inspi larmes

Date d'inscription : 28/09/2017

OMAGAD QU'IL EST CUTE jule

BIENVENUE parmi nous avec ce perso mystère, pk y'a rien russe

hâte de découvrir ce que tu nous prépares avec ton bg là, si t'as des questions n'hésite surtout pas on est là pour ça moustache

BON COURAGE POUR TA FICHE, et si jamais l'envie te prend de t'détendre le temps de préparer tout ça, le flood est à ta disposition alors n'hésite pas ananas