agacé d'une trop grande vulgarité // jax

Invité

mari ... J'aime les boucles ?
no sinon, je suis mlle abus. Enchantée ?

Je tente le scéna, j'espère que ça ira voilà thrgfed BSX. CE SCENA EST BEAU OUI. JE SUIS AMOUREUSE.

Jackson 'Jax' Talbertfc : bang yongguk ;

️️ moony ; Rockets ; double

74%HARDIESSE

65%SCRUPULE

84%HONNEUR

59%MANIPULATION

73%ASTUCE

66%EXCLUSIF

81%PROTECTION

94%BUTÉ

Nom complet Jackson - résultat d'un classique qu'il apprécie mais n'entend que dans les piètres formalités. D'une manière douce parfois, d'une manière parfois plus claquante, plus sévère, plus cruelle. Telle en était la consonance où il fut traité à la douceur d'une nuisance ! Suivit du dédain où de l'appréciation de la demande ; Talbert, monsieur Talbert si je ne m'abuse, faites attention où vous tournez le dos ! - il eut l'impression d'une fausseté par une certaine solitude, mais pense au paternel, et s'en rend fier, Jackson.Surnoms L'homme possède une préférence certaine pour l’appellation écourtée s'étant construite au fil des ans ; Jax. Telle une petite coupure rapide à chaque coup d'orbes qu'il adresse. Jax. Jax toujours présent. Jax dans la droiture, se courbant dans le mensonge dupant les nouveaux dupeurs - telle en serait, sa fonction.Naissance Né lors d'une année ronde. On eut dit 1990, on pense à la série de 9, série de l'anti-chirst ; on rigole alors. Jax ne rigole que peu, Jax n'a jamais cru en dieu. 09/09, la date qui s'allonge, la blague qui l'épuise, ainsi il soupire. Gueule un peu. Rejoins le rire, le souffle court, se dépréciant par la suite. Héritage culturel Il se rappelle parfois de papa lançant dans un rire gras qu'autrefois, on s'asseyait au sol et appelait respect pour chaque repas. Grand frère préférait les chaises pour ne pas trop courber son dos. Petite sœur à l'époque, à la douce époque où le regard percevait encore la lumière, demandait sans cesse les nouilles chinoises de papa. Traces d'asie, trace d'europe, trace de tout et de rien ; tel en était le restaurant, ainsi les origines ont suivit le cours de la phrase. Rien. Statut Couleur bleue, couleur rouge ou plus sanguine, couleur d'amer ou d'indifférence à l'aveu ; solitude présente, au bout des ongles, au bout du cœur. Telle en est la vie, ce n'est rien. Une bombe à la vie. Orientation Telle une boussole, démontrant toutes les directions possibles, mais ne choisissant que le nord. Termes déboussolés, il ne veut rien entendre, Jax. Finances $$. Débrouillardise d'or, souhaitait tout de même rester vivant, accomplir son reste mais partir sans nuls restes ; souhaitait voir la fin d'un monde trop rouge pour en percevoir le ciel. Haine à ce tout qu'il n'arrive à accepter.

Univers Altea, la malheureuse, la doucereuse qui ne respire qu'en ayant la tête riche ; il vivait à ses pieds crasseux, Jax. Il n'aime pas réellement ce monde, au vu du fait qu'il est le seul existant. Peu de choix. Occupation(s) Jax le déterminé à enterrer les actuels lucifers ; il eut infiltré Nulls. Un monde qui pue de trop, ainsi il se bouche le nez intérieurement. Envie d'en finir avec eux, alors il obéit, Jax. Remerciant la police de Cosmopolis pour la chance donnée ; droit comme un i il sera, justice faite, il a la pensée trop pleine, l'homme. Monsieur Deuces, dit-il de son identité fabriquée par les autorités. Etre au service du très certain Jack O'Diamond, le premier lieutenant du gang. Dieu, ce monde est une abomination.
Particularités On eut dit marques immondes, il eut dit traces de ma fierté en un sourire étiré ; des cicatrices, des jolis dessins nommés tatouages sur les images trouvées au hasard aux chemins de sa curieuse vie. Afin que les moqueries sourdes ne fusent plus à l'idiote remarque tatouée sur sa cuisse. Watcha lookin' at, jizzface? Malheureuse boutade ? Erreur de classe ? Il ne peut la voir, il ne peut la faire voir. Il l'observe en un soupir trop long parfois, évitant de se faire montrer du doigt par ses pairs. Pairs autrefois insultant quant à son origine d'appauvri, ainsi les eut-ils battus trop sévèrement. Jax rage de monter, Jax malin désir d'augmenter ses capacités déjà surdouées. Alors, l'entrainement monstrueux eut raison de lui. Combattant d'or, tireur d'argent, regard perçant par le cœur trop troué aux explosions. Génie parmi les génies, Jax. Il l'utilise, il en monte, il a l'âme combattante, le prétendu. Manipulateur de l'air : il apprécie respirer l'épuré, même s'il est retourné dans la pollution. Pour dame justice, lui ayant fait défaut avant. Lien cosmique cause de son horrible gêne ; l'écriture vulgaire auquel il n'a put poser mot, possession qu'il n'apprécie point. Il entend des pensées qui ne sont siennes depuis ses premières années; un tout sans sens, ainsi juge-t-il ce soulmate comme quelqu'un démuni de véritables sens. Ironie pour signifier qu'il n'a l'envie profonde de le rencontrer, pas des traits caractériels qu'il ne supporterait pas. Autrefois, cette deuxième âme était une source utopique d'une correspondance ; ce n'était qu'un autrefois, un au revoir de rêves s'appuyant d'autant plus à la vue de ces mots hideux. Jax, garçon d'un trop plein d'agacement, d'un lien plus désiré. Un autre p'tit con, une autre p'tite conne, surement. Résultat d'une ignorance. Il vit avec, il pense sans : au mieux.
Alors, à l'appel certain d'une reconnaissance, il y a peu -
Il n'accepte pas. Il ne veut pas, Jax.
Keywords c'était-l'histoire-d'un-joli-cœur-d'enfant-ayant-subit-des-coups-droits-gauches-et-qui-ne-ressent-qu'un-putain-profond ; vie odieuse, ignore-le, enfin !

we are all astronautsJax – Maître de la colère sourde, froide, peu déterminée. Il ne saurait la déterminer lui-même par le silence de cette dame. Cette amante est présente en sa personne entière ; présente dans les orbes, dans les poings, dans sa maîtrise d’or. Jax, c’est l’amour pour cette colère nourrissant l’homme, par le sourire tordu qu’il fit dans ses mensonges d’identité. Refus d’une autorité trop brutale par l’incroyable cynisme qu’est le sien. Ironie comme valeur sure ; le Jax original n’est qu’une explosion lente, une détente où l’on appuie point.
Amusant ?

Jax – Où l’homme dans les traits d’une mesquinerie certaine. Par l’entrainement, la discrétion, le jeu d’acteur presque irréprochable. Ainsi croit-on qu’il admire le gang, avec une ferveur inimaginable. Peut-être qu’il est vu comme un fanatique abruti. Ainsi soit loué, il se perce néanmoins d’intelligence par ses orbes ; comme si elles transmettaient l’opposition même de ses paroles. Un peu de haine en dessert, bien cachée.

Jax – famille des oublis. Spectres dont il pense avec un certain sourire la nuit tombée. L’amour s’eut enterré dans ses mérites, avec le certain syndrome du pourquoi moi s’énonçant alors ; Jax, cœur un peu trop seul, Jax au cœur vidé par les mémoires. Jax cœur un peu trop noir, décousu. Un peu trop cassé, en somme.
Détail insouciant ; pire latence qu’est la normalisation de la mort, dans l’affreux monde qu’est celui de sa naissance.

Jax – né dans les petites bouses classiques. Jax, mains dans la nourriture, pensée à la famille, pieds dans la boue. Les tréfonds d’Oriel comme ancienne maison, dont le retour le navre. Si laid, l’air consume ses poumons, il en perdrait presque l’habitude – par envie. Ses parents possédaient à l’époque un petit restaurant où l’on gagnait à peine son pain ; pire encore, une taxe s’avérait obligatoire pour ne pas voir trop de sangs. Par les créateurs du liquide carmins, selon les dires chuchotés de maman.
(( maman préférant retrouver l’air pur des anges lors de ses 6 ans. Maman, de son souffle un peu fatigué, je n’eus comme seul cadeau un frère s’enfonçant dans le carmin. Pour l’argent, encore l’argent coulant sur les tombes, Maman.
Dieu, non.
Je ne crois en dieu, s’en est agaçant !))

Jax – où talent de couleur précieuse, couleur aussi informe qu’est celle de l’air. Il ne saurait dire chance ou malchance, il ne pense plus aux couleurs des choses, Jax. Autrefois, Jax était fier. Famille fière, enfant fier d’être repéré comme un éventuel Warden. Malgré les mauvaises pensées à l’égard des siens, il les délaissait donc pour rapporter plus, plus tard, d’une manière plus propre que l’aïné. Jax autrefois charrié, Jax autrefois regardé d’une manière d’étranger trop curieux ou d’étranger trop souillon – Jax génie repéré, régnant par des résultats bien élévés.
Victoire de l’honneur ; qui fut valeur sienne, inscrite en son sein.

Jax – Les fantômes l’appellent dans un joli son de violoncelle, même s’il n’en eut jamais écouté. Qu’il n’est pas fanatique de musique classique, il préfère le silence aux mélodies ; seul. Par les bêtises de l’aîné, une explosion consumait l’épicerie familiale. Papa et Grand frère envolé aux oubliettes du classique. Petite sœur aussi silencieuse qu’une mélodie mise à muet ; il aimerait cependant qu’elle parle, qu’elle lui dise bonjour lorsqu’il vient lui rendre visite. Mais petite sœur dort dans le lit de soins. Petite sœur préfère dormir, que de ne voir encore les abominations de là-bas.

Jax – alors être de rage, Jax alors détruit d’un cran par sa colère. Jax l’être un peu plus enfoncé dans la réalité, à la justice vengeresse, à la justice plus blanche : à bannir définitivement les gangs de son peuple, ainsi eut-il intégré les rangs policiers. Petite sœur dort encore ((depuis 9 ans, 9 ans qu’il vient raconter le monde changeant avec l’unique douceur qu’il possède encore)), mais Jax veut offrir un monde plus blanc, pour ses jolis yeux.
S’ils s’ouvrent un jour, les jolis yeux.

Jax – petit enfant aimant le basketball ; image d’autrefois, d’une passion qui l’anime toujours, même si le temps lui manque.

Jax - l'amoureux de ses marques : de ses dessins choisis. Jax non point artiste mais admirateur de l'inspiration d'autrui. Alors, comme symbole de son seul relâchement, il aime entre chez les tatoueurs, demander leurs envies, les laisser vivre sous ses yeux. Il les voit scintiller, ainsi il admire le résultat avec fierté. Jax, avec l'art du corps comme symbole de sa liberté, de son soi qu'il fait tenter d'exister.

Jax – l’image de la nourriture en amour de transmission. Bien manger pour un corps survivant à tout ; même si les siens n’ont pas survécus, il ne peut se passer de bons petits plats qu’il confectionne lui-même. Si la valeur du père est conservée par une alimentation parfaite, il se permet de faire les nouilles chinoises de son enfance : en ajoutant des épices. L'ainé mettait beaucoup trop d’épices dans le bol du petit, afin qu’il en recrache ses restes devant son air amusé. Saveur appréciée néanmoins, et gardée ; Jax, il s’en brûle la langue, parfois, s’en est hilarant.
Peut-être aime-t-il se brûler, Jax ; même s’il n’aime les flammes par la véridique d’une explosion ayant détruit sa vie, il aimerait ensevelir l’odieux monde de cendres grises, blanches, rouges ou muettes encore ; il ne sait.
Brûler, idée qu’il hait ; alors il ne fait qu’animer les flammes par son oxygène, le cynique malheureux !

Invité

j'en arrive malgré tout à dormirque dire, c'est là l'humanité
sachez cependant que je ne sais plus rêver
ah
autrefois ?
il raconte l'histoire de sa vie à la petite sœur, Jax. C'est un jour pluvieux. Un jour où dieu pleure d'avoir créer un monde trop théâtral. Dieu, entité émue de son spectacle ? Jax raconte donc, caressant la joue de la petite devenant grande dans sa mort sourde ; il était une fois, les rires d'un oisillon dans les cendres.
Avant que les cendres certaines, ne viennent lui arracher les poumons.

1 – il fut un temps où la douleur se fit trop grande ;
Tapant de pieds dans les flaques de boues : rire, rire d'un partenaire de pensées, rire d'une similitude d'esprit faussée.
Ainsi dieu soit loué du prédestiné ; l'enfant ne sachant encore marcher fut accompagné d'une petite âme naissante, appréciée. Petite âme comme la sienne, aux pensées confuses, peu travaillées : seulement des bribes d'émotions où les deux corps grandissaient. Respect de la pensée, respect de l'image d'une personne faite pour lui. Jax autrefois petit enfant d'utopie, des futures larmes il sombrait dans un profond déni.
Demandant l'arrêt de la sentence, l'arrêt des brûlures de corps, brûlures d'âme, brûlure d'innocence.
Cet âme aimée devenue ennemie par sa vulgarité trop immonde ; il s'en accommodait avec un certain serrement à l'organe pourvu d'amour. Peut-être devenait-il grand, adolescent, ou tout bonnement trop enfant.
Watcha lookin' at, jizzface?! - provocation déplorée !
Puis ; chère sœur, là est l'ironie. J'ai ressenti la douleur de ne plus posséder de jambe, elle me lâcha si fort que j'en eut un haut le cœur. J'eus un contact avec le sol où je n'aime être plié à genoux. On essayait de m'arracher en trois, alors que je fendais encore ! Il tentait de me détruire de lui, et la douleur fut ma plus cruelle amie. Les demoiselles larmes m'accompagnaient durant de longues minutes, en dansant joyeusement ; j'avoue avoir été moins joyeux. J'ai demandé à l'autre personne de cesser ma torture, je n'étais responsable de ce lien.
Lien refusé à présent : jugé inutile, pour ma propre santé.
((Il disait qu'il n'avait pas besoin de moi, ainsi j'ai besoin qu'il ne soit pas là))
Not if I kill you first - j'ai répondu par les instants à l'époque, petite sœur, ainsi mon honneur soit loué !

2 – il fut un temps où le silence se fit trop grand ;

Papa.
Te rappelles-tu de son visage ? Un air bourru à l’éternel, grande tige de fer qui ne mangeait qu’un brin de ce qu’il confectionnait. Papa aux cheveux secs, adorant aussi les raisins secs. Papa aimant les épices d’une manière trop forte, ainsi il était fier de posséder trois enfants ne dévorant l’épicé à une vitesse incroyable.
Grand frère.
Grand frère à la tête dure. Grand frère au peu sot. Mais, à la tête dure. Il me disait que je n’avais que la gueule de dure. Que sinon, les poings, c’était à revoir.
Grand frère qui aimait voler mes nouilles au repas.
Grand frère qui reprenait le rire gras de papa.
Ce même grand frère –

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Et des désillusions, il s’effondra. Ce ne fut qu’un appel de silence dans le dialogue à l’unique. Il eut côtoyé ses propres pensées, il eut côtoyé en rêve immonde l’imagination de l’explosion ravageant les corps. Que d’un boum ne cessant de frapper, le boum de l’esprit le boum des âmes envolés ; serait-ce le silence si près de lui, ce même silence qu’il ne supporte ? Pourquoi ne supporter le silence, pourquoi ne pas s’endormir avec eux ? Il n’a pensé une seule fois au silence comme coucher final, Jax.
J’aime n’aime pas le silence.
Jax n’aime pas la musique.
Jax ne se doit d’apprécier que les sentences.
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Le silence est grand, petite sœur. Ainsi, je me permets de me briser un peu devant toi. Sinon, ne t’inquiète pas, je deviens force à mon tour. Force plus pure, force menteuse mais juste selon mes goûts. Force de vivre sous la lumière, aussi ?
J’aimerai être plus lumineux devant toi, petite sœur ; mais je n’eus ressenti le bonheur depuis un moment. Mon cœur se ternit.
Ais-je oublié mon enfance avec vous, par ce silence qui noierait la mémoire elle-même ?
Je ne sais ; j’ai comme seule connaissance que le bonheur, ce piètre chenapan, ne vise qu’allègrement. Peut-être les vieux, peut-être les sourds, mais il ne sait pas me viser, ce mécréant !
J'en resterai droit. Pour la justice, pour un monde plus blanc. Car, comme tu le sais, je pense porter toutes les formes de rouges en horreur, maintenant.

3 – il fut un temps où ma solitude se fit trop grande

Je vais dire des choses connes, petit sœur. Parce que je suis un peu con. Sincèrement con quant à l’être que je suis. Con quant à mes envies. Con quant aux degrés de la vie, où l’on considère posséder une vie.
Le sang. Le sang a l’odeur de la rouille. Le sang colle aux doigts. Le sang colle à la peau. Le sang marque, même quand il n’est pas tien. Le sang empoisonne, sauve, le sang n’est rien sans nous. Nous ne sommes rien, sans le sang.
Le sang en reste, rouillé.
La rouille est quelque chose d’usé. Le sang est usé, le sang sortit des êtres est usé. Ceux utilisant des armes de sangs sont, ainsi, usés. Leurs esprits sont usés.
Les gens sont tous un peu usés, parce qu’ils sont en vie ?
Je pense être affecté de solitude, à présent. Cela ne dérange point. Seulement, cette dame grasse prend de la place, s’installe dans mon lit, me colle et m’étouffe dans sa graisse rouillée.
Comme le sang.
La solitude est de sang. Ainsi, à cause de l’horrible monde que je dois côtoyer maintenant, je suis affecté de la solitude.
Isolé dans ceux me tuant d’un coup de rouille s’ils ont connaissance de mon identité.
Le rouge, c’est laid, n’est-ce pas ?
Pire qu’un rouge-gorge chantant ; je n’ai plus peur de la mort, par l’absence d’être chers à mes côtés. J’ai seulement peur de me noyer dans mon sang, petite sœur, si cela n’est pas trop grossier pour tes pensées encore innocentes.
((pitié, qu’on ne lise jamais dans mes pensées !))
Jax – être plus doux devant la pâle aimée. Il aimait le nacré de sa peau, Jax. Bijou qu’il ne fait qu’effleurer par une peur de l’infecter, une peur de l’ abîmer, de détruire son petit cœur par des dires qu’elle pourrait entendre dans son long sommeil. Les gangs lui apportent la haine dont il eut besoin pour se relever de dame solitude.
Ainsi, il arrive à dormir le soir, l’homme.
Seulement, le rêve se perd dans le subconscient ; se tasse dans les espoirs qu’il n’a plus.
Il ne rêve plus depuis neuf ans, Jax.

4 – il fut ce jour où le destin eut oublié ma commande !

Watcha lookin' at, jizzface?!
...
Watcha lookin' at, jizzface?!
...
Watcha lookin' at, jizzface?!

Fuck.

Il en fut si surprit que son jeu d'acteur disparut un instant.
Lui, vraiment ?

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pensées déstructurées alors ; il tape dans le mur, il tape dans son esprit à la recherche d'une boutade. Un petit être saugrenu l'ayant insulté. Un supérieur officieux qu'il se doit de supporter.
Un petit.
Cuisse qui se tord un peu sous la chaleur de la reconnaissance. Le regard se clos un instant. Le rire amer résonne. Ainsi, s'éveille une belle contraction.
Il eut demandé à dame destinée de l'épargner, mais celle-ci venait directement le narguer ;
Et ce, dans une robe rouge sang.