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 (Iseult) ☽ I'm still breathing, I'm alive

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Lorelei bonjour :$ c’est une vilaine tentatrice qui m’a conduit ici (hyacinth ♥️) et laissez-moi vous dire que j’adore le contexte, ça fait longtemps que j’avais envie de me remettre au sci-fi pétille
Je ne porte pas souvent de chaussettes :// et à priori je serai présente assez souvent, 4-5/7j ~ je vous aime déjà les chou coeur

Iseult Limfc : kim chung ha (ex-i.o.i) ; ©️️️ heresy ; Rockets ; unique
80%déterminée
75%manipulatrice
90%DÉbrouillarde
30%pudique
85%loyale
70%bornée
75%affectueuse
60%maladroite
   
Nom complet Lim, un nom qu’elle déteste, mais un nom sans importance, qui la cache, qui lui rappelle qui elle est ; personne, mais ça vaut mieux sans doute. Iseult, nommée par sa génitrice, la belle Iseult d’un conte qu’elle aimait lire, mais elle ne peut supporter ce prénom qui la raccroche aux Aeneris. Surnoms Iseul, c’est ainsi qu’elle s’est renommée, toutes les lettres prononcées. Isi pour les intimes. Naissance elle a connu ses premiers jours sous un soleil brûlant, née au matin d’un vingt août il y a de ça 21 ans. Héritage culturel des origines asiatiques qui marquent ses traits, elle voudrait les rejeter, mais elle ne connaît pas cette autre moitié qui coule dans ses veines. Père inconnu, lambda qui parfois s’immisce dans ses rêves sans visage et la curiosité s'en mêle. Elle n'est personne, aucun prestige dans son sang sûrement, mais elle a vécu seize ans aux côtés de la famille Aeneris, à New Brasilla. Aujourd'hui elle vit à Casma depuis cinq années telle une enfant déchue, mais son éducation jamais perdue, elle garde cette bourgeoisie dans l'air qu'elle expire et les regards qu'elle jette. A côté de tout ça, elle parle l’anglais, le coréen, le chinois et le grec. Statut seule, elle n’approche les autres que pour les baratiner et survivre. Charmeuse qui se laisse désirer, qui trompe et remplit les cœurs d’illusions, le sien déjà comblé par ses rêves et sa détermination. Orientation elle n’en sait rien, hommes ou femmes tous sont aptes à la séduire, mais elle est plutôt méfiante. Finances $$$$$$.

Univers Sigan, ce monde injuste où le temps fait sa loi, où sa place n’est pas et ne sera jamais, mais elle s’accroche et continue de se battre jusqu’au jour où elle trouvera le moyen de s’en aller. Occupation(s) elle enchaîne les petits boulots depuis l’âge de seize ans, en ce moment barmaid dans un club le soir, serveuse en journée. Petite voleuse habile de ses mains quand les occasions se présentent, tous les moyens sont bons pour gagner du temps. Particularités elle est tatouée d'une branche de cerisier en fleurs qui part de l'aine et qui remonte le long de ses côtes, du côté droit. Elle semble avoir une bonne affinité avec la robotique ou disons que passer de la théorie à la pratique lui a fortement plu, en cinq ans de galère. Lien(s) cosmique(s) Elle est une partie d'un tout qui est entré dans sa vie il y a cinq ans. Dans sa tête serait plus juste et si les premiers mois ont été chaotiques, de soupçons de folie en cris stridents lorsqu'elle croisait leurs reflets, elle apprécie désormais ces trois garçons qui partagent ses pensées. Ils lui ont bien plus apportés qu'ils ne le pensent, l'ont aidé à surmonter sa solitude, ses galères, ses prises de risque et c'est grâce à eux qu'elle se sent plus déterminée chaque jour. Elle serait prête à tout pour son cluster, elle se l'est jurée. Keywords fallen but still bright, optimism, beauty, games, thefts, lies, tenderness, dreams, brave (or bold), bourgeoisie, diamonds (not hers), night, loneliness, hope, strengh, fire in her veins, sweet but not defenseless.  


we are all astronauts Elle apprécie les belles choses – bijoux, accessoires, vêtements – et les belles personnes, que ce soit dans leur façon de s’habiller, de se comporter ou de penser. Elle n’a de superficiels que les apparences et peu s’en méfient, ceux-là étant ses proies favorites. Petite voleuse hors pair, habile de ses mots et adroite quand il s’agit de subtiliser des montres ou des colliers, mais maladroite avec tout le reste. On l’a viré de nombreux restaurants à cause de ça. Elle ne connaît pas la discrétion, démarche assurée et grands airs, elle n’est pas de ceux qui s’écrasent facilement. Elle ne se laisse pas bouffer par sa vie miséreuse non plus, couleurs et paillettes, elle est un peu la petite princesse des bas quartiers. Ce sont là les marques de son éducation acquise dans la haute société et qui ressortent parfois. A Casma, on l’appelle « la petite bourgeoise. » Elle a eu de nombreux demi-frères et sœurs aujourd’hui décédés, mais elle n’a jamais vraiment connu ses aînés en dehors de Hyacinth. Elle aurait bien voulu dire qu’elle n’a plus aucune attache avec sa famille, mais lui persiste et se creuse une place dans son cœur. Si elle a vendu les affaires de sa mère sans remords, elle a gardé le seul présent jamais offert par son frère : une couronne de fleurs. Elle aime danser depuis l'âge de dix ans et c'est ce qui l'a amené à travailler dans un cabaret jusqu'en 2015. Elle a pris des cours de self-défense cette même année, après avoir frôlé le drame avec un homme qui l'a suivi après le boulot. Elle a gagné en confiance et c’est ce qui la rend si téméraire à longueur de temps. D'abord spectatrice des tournois de R Fighting depuis petite, elle s'est intéressée à la robotique très tôt. Ingénieure insoupçonnée, elle participe souvent aux tournois de l'Underground R Fighting. Ce à quoi elle assiste parfois, ne font que renforcer son envie de voir Sigan changer un jour, qu'il y ait plus d'égalité et moins d'injustices. Elle en vient à trouver certains androïdes plus humains que sa propre race. Ses rêves de liberté et d’utopie la maintiennent debout, mais elle voudrait autant quitter Sigan à jamais que sauver son grand-frère des griffes de leur famille. Alors, peut-être que ce détail la retiendra au dernier moment.
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I'm aliveI won't return to the ruins
I had a one-way ticket to a place where all the demons go, where the wind don't change and nothing in the ground can ever grow. No hope, just lies and you're taught to cry into your pillow, but I survived – sia iseult
i dream of a better place


“I was born in a thunderstorm, I grew up overnight, I played alone, I played on my own, I survived” – sia Extraits d’un journal électronique ☽
Propriétaire : Iseult Aeneris Lim
Statut : disparue ✕
Dernière entrée : 18 août 2012
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« Maman, pourquoi je suis toute seule ? Il y a toutes ces chambres à l’étage, toutes ces chambres fermées à clé et ces silences dans les couloirs, jour et nuit. Est-ce que les murs sont épais ? Je n’entends personne crier, rire ou pleurer. Maman, qui sont ces gens dans la cuisine ? J’aime bien leur parler, mais leurs sourires ont l’air faux et leurs réponses ont toujours l’air programmées. Ils aiment ma compagnie aussi, je crois. Maman, pourquoi tu ne me bordes pas le soir ? Je regarde le plafond en comptant les secondes, mais je m’endors toujours avant que tu ne viennes. « Je suis venue, tu dormais. Demain, Iseult. » Je te crois encore, à ce soir alors. »

20 août 2006 – ((10 ans))


« Hyacinth s’arrête parfois quand je l’appelle, même si j’écorche son nom et que je tire trop fort sur ses chemises. Des images me reviennent la nuit, des gens qui vivaient là aussi, comme lui, mais tout ce que l’on me dit, c’est qu’ils sont partis. Je me souviens de maman qui pleurait et maintenant je le sais, qu’ils étaient mes frères et sœurs, qu’elle les laissait juste grandir. Est-ce qu’elle les aime plus que moi ? Elle ne pleure pas pour moi. Les jumeaux sont presque grands aussi, mais d’aussi loin que je me souvienne, aucun d’eux n’a jamais joué avec moi. Sin non plus mais il me regarde, ces quelquefois. C’est toujours si triste dans ce manoir, si vide, si froid. Maman, pourquoi tu ne me parles pas ? Maman, j’en ai marre de jouer à cache-cache avec toi. On dit que je suis belle comme toi, mais je ne te vois pas. Maman, maman, mère. »

13 novembre 2008 – ((12 ans))


« Je ne voulais pas y croire, alors j’ai avalé mensonge sur mensonge pour me rassurer. Mes frères et sœurs ont simplement fait leur vie ailleurs, c’est ce qu’elle me disait. Mère toi qui es si généreuse, si aimante, si tendre haha, tu as vu, moi aussi je sais mentir. Je connais tous ces murs par cœur, toutes ces portes et ces salles, même celles qu’on m’a interdit. Aujourd’hui les jumeaux sont allés voir père et je me suis cachée, dans la pièce d'à côté. Cet homme me glace le sang à chaque fois que nos regards se croisent, ses sourires me donnent des frissons et ses exigences m’ont toujours permis de filer droit, mais j’ai eu peur aujourd’hui, vraiment peur. J’ai eu mal aussi et j’ai compris. Les jumeaux ne sont jamais sortis vivants de ce bureau, leur temps volé par un homme qui n’a jamais été leur père, ni le mien. Des gosses illégitimes, tous sauf un, celui qui reste entre ces murs et qui me regarde toujours, celui qui m’a éclairé il y a une heure, celui en qui j’avais le plus confiance, qui me semblait le plus humain, Hyacinth. Comment peut-il être aussi insensible face aux crimes de nos parents ? Père ne parle qu'à lui, toujours si fier alors j’ai su, que mon heure arrivera aussi un jour. Trois ans, c’est le temps qu’on me laisse. »

12 mai 2009 – ((13 ans))


« Ils n’ont pas le droit de me refuser de vivre, ils n’ont pas le droit de réduire mon temps à néant, de m’effacer de leur vie et du monde. Mère ne m’a jamais paru aussi glaciale que ces trois dernières années, alors que rien n’a changé en dehors de ma lucidité. J’y vois simplement plus clair et je suis devenue la fille parfaite, j’ai aiguisé mes talents et j’en ai craché, des mots d’amour sans intérêt, juste pour qu’on me fiche la paix. Personne ne devait savoir ce que je prépare depuis des mois, mais il me manque toujours quelque chose pour y arriver… je ne peux pas m’enfuir seule, malheureusement. Je ne peux pas partir sans rien ni à pieds, ce monde me boufferait et une semaine de plus serait tout ce que je gagnerais. J’ai envie de pleurer parfois, de pleurer en sachant que j’aurais pu – j’aurais dû avoir plus de temps à vivre qu’un habitant moyen. Cette famille me promettait une place dorée dans la société, elle me promettait de vivre, putain ! Et aujourd’hui, je ne peux qu’espérer survivre jusqu’au lendemain de mes seize ans… »

1er mars 2012 – ((15 ans))


« Hyacinth. Peu importe notre mère, peu importe son père. Il a toujours été doux avec moi, gentil bien que distant, absent… mais j’étais sûre qu’il serait le bon choix, ma solution. Je, je me sens soulagée… je crois. J’ai assez de bijoux dans mon sac, assez de diamants pour m’offrir quelques mois de sursis. Dans deux jours, je serai majeure. Dans deux jours, je pourrai vivre seule et me promener sans qu’on veuille me ramener ici, je n’aurais plus à revenir. Dans deux jours, ce sera quitte ou double. Les rues de Casma m’attendent et je devrai sans cesse courir après le temps, mais je n’ai plus peur. Rester ici, c’est continuer de vivre en étouffant et je ne l’aurais jamais supporté, même en méritant le nom des Aeneris. Je plains Sin, je plains mon frère… et je suis désolée, de m’être servie de toi. C’est tout ce que j’ai fait, à profiter de tes bonnes actions envers moi et te laisser tomber, sans rien essayer pour te sauver toi. J’aurais pu te mettre en danger et j'ai été égoïste, mais tu sais… moi aussi, je veux vivre. Je veux qu’on me laisse une chance et j’espère que tu me comprendras… si tu entends ça un jour, eh bien… comment dire … … nos parents, je les hais et dans une autre vie, on aurait eu bien plus de souvenirs ensemble, ce sera mon seul regret. Je ne te hais pas, Hyacinth. Vis et ne m’oublie pas. »

18 août 2012 – ((16 ans))


“It's often just enough to be with someone. I don't need to touch them. Not even talk. A feeling passes between you both. You're not alone.” – Marilyn MonroeFin 2012. Elle fuit sa famille au matin de son anniversaire et se réfugia dans un quartier de Casma où un groupe d'aide l'y attendait. Elle avait tout prévu et on lui trouva un petit studio miteux, mais un endroit où crécher pour démarrer une nouvelle vie. Aussi forte était-elle, aussi débrouillarde et déterminée, elle restait une enfant parmi des requins. Une enfant malgré sa majorité, une proie facile qui s'entoura des bonnes personnes pour ne pas flancher – des jeunes comme elle, en perdition ou rejetés par la société, enfants déchus mais toujours rayonnants qui se battaient pour survivre. Les mois passèrent et elle finit par trouver son rythme, un job depuis quelques semaines, de nouveaux amis, l'indépendance, délivrance et que de bonnes choses à son sens qui la rendaient plus optimiste chaque jour. Chaque jour, jusqu'à ce fameux jour d'hiver... en décembre, elle ne saurait plus dire quand. Assaillie par des émotions contraires aux siennes et surtout plus fortes, des reflets, même des visages devant le miroir !! Des choses qui n'étaient pas elle et qui l'effrayèrent des jours, des semaines et des mois durant. Elle était même allée voir un médecin qui l'envoya chez un psy et on lui parla d’anxiété, de stress, de dépression nerveuse puis de maladie mentale, mais elle ne voulait rien croire de tout ça. Ce n'était pas logique parce qu'elle se sentait parfaitement normale et... au mieux, peut-être qu'il existait des antécédents du côté de son père biologique, mais elle ne connaissait pas son identité. Persuadée qu'il s'agissait d'un fait bien plus mystérieux et inexplicable, elle mit un terme à ses consultations. Elle tenta plutôt de parler à l'un de ces reflets un jour, un de ces trois visages étrangers, mais elle ne reçut aucune réponse, juste une émotion positive et confuse à la fois, miroir de ses propres sentiments et il lui fallut du temps pour comprendre. Comprendre que ces visages existaient vraiment, qu'il s'agissait de vraies personnes, de jeunes hommes qui avaient un nom, une vie et les mêmes questions.. Elle apprit à les connaître aux travers de messages, à travers leurs yeux lorsqu'elle pouvait prendre le contrôle de leurs corps – pas longtemps, mais c'était un peu comme des songes. Elle y découvrit l'existence d'autres mondes et avec ça, ses rêves de liberté grandirent plus encore. Ces trois garçons étaient devenus sa médecine, plus efficaces que des séances chez le psy et plus loyaux que ses voisins. Peut-être les seuls amis sur qui elle comptait vraiment, sans méfiance aucune, ses sentiments mis à nus plus souvent qu'elle ne l'aurait voulu, avant. Elle se sentirait de nouveau bien seule sans eux.

When the world says "give up", hope whispers "try it one more time" – unknownMi-2015. Vingt-trois heures et une demi-journée de gagné, elle quitte le cabaret sans une once de méfiance, soulagée d’avoir plus de temps à dépenser cette semaine et déjà trop d’envies plein la tête. Elle a marché jusqu’au bus, a fait son trajet habituel et n’a pas remarqué la présence hostile derrière elle. C’est vide à cette heure de la nuit, les boutiques sont closes et les quelques-uns qui traînent dehors l’ignorent, mais elle n’a pas entendu les pas – n’y a pas fait attention et dans cette ruelle, s’est fait piéger. Elle n’avait plus ressenti cette peur depuis des années, depuis le jour de sa fuite et dans le regard lubrique et sombre de l’inconnu, elle y vit son reflet et son propre regard horrifié. Non… elle ne pouvait pas mourir de façon si stupide, pas ce soir et elle a espéré, espéré que sa peur alerte un membre de son cluster. Qu’auraient-ils pu y faire de toutes les façons ? Lui communiquer plus de peur ? Cet homme n’est pas là pour son temps, ce n’est pas ce qu’il convoite en priorité, mais il l’aurait sûrement dépouillée après l’avoir agressée. Sans défense, encore trop jeune et trop faible, elle n’a pu que crier et se débattre en vain, acculée entre deux containers. Qui viendrait l’aider ? Ils ferment tous leurs portes et leurs fenêtres par ici, monde pourri régi par l’égoïsme et la cruauté, mais elle ne peut pas leur en vouloir. Ce n’est pas de leur faute si on les brime et elle existe partout, cette barrière entre les pauvres et les riches. Elle mord la main qui étouffe sa voix dans un dernier geste désespéré, mais avant que l’homme ne puisse la frapper, des voix les interrompent et un coup de batte l’éloigne de son agresseur. Ils sont trois et parmi eux, un visage familier. Elle l’a déjà vu dans le quartier, peut-être même ailleurs, elle ne sait plus, perdue. « On est tombé sur du gros les gars, six mois ! » S’exclame un autre et Iseult sursaute lorsqu’on lui prend le bras. « Ça va ? » Elle halète et son cœur refuse de se calmer, son esprit toujours assailli par de sales pensées, tout ce qu’il aurait pu lui arriver sans sa bonne étoile. Paralysée par le choc, elle regarde néanmoins la scène avec pitié. « On lui laissera quelques heures, même s'il ne les mérite pas. » Sans doute. « Aller, va-t’en ! » Cinq heures offertes par ce jeune garçon, elle n’en demandait pas tant. // Elle a passé les jours suivants à douter, pourtant ce monde elle le connaît, ses dangers plus que tout le reste, mais il lui fallait sûrement le vivre pour en saisir les risques. La détermination ne fait pas tout, alors elle est devenue plus forte et si toute personne sensée serait devenue plus craintive, Iseult n’a fait que gagner en témérité.

2018. Cinq ans qu’elle vit à Casma et qu’elle regarde l’injustice courir les rues sans pouvoir rien y faire, qu’elle voit l’envers du décor et que sa haine se remanifeste parfois, pour sa famille, New Brasilia, le système… mais elle n’en perd pas ses sourires ni son optimisme. Au contraire, elle rayonne et profite de chaque jour, chaque heure avec l’espoir de quitter Sigan un jour. Elle cherche ces portails dont elle a entendu parler et qui peuvent être son échappatoire, mais elle n’a pas non plus tout le temps du monde pour ça. Elle court déjà après son père biologique depuis plusieurs mois, désireuse de savoir d’où elle vient et encore une fois, avec l’espoir futile qu’elle pourrait le retrouver et le connaître. Il vient sûrement de New Brasilia et tout ce que les tests ADN lui ont révélé, sont les origines latines – italiennes même – qui parcourent ses veines. Elle a enquêté, entre les associés de son beau-père et les lieux que sa mère fréquentait dans les années quatre-vingt-dix, mais à moins d’un miracle, c’est comme chercher une aiguille dans un champs de foin. Elle ne perd pas espoir pour autant, ce n’est pas dans sa nature de baisser les bras, pour rien et toujours, toujours elle gardera espoir. L’espoir est ce qui la maintient en vie depuis une dizaine d’années et il ne meurt jamais.
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ma beauté
bb chat noir kr

omg
omg
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ily okay coeur
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Eliott Rietveld
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aaaaaaaaw mais elle est super cute omg tbe et puis sigan je dis oui moustache bienvenuuuue sur sod ! si tu as des questions, n'hésite surtout pas à venir envahir nos boîtes à mp :shon: bon courage pour ta fiche et j'espère que tu te plairas parmi nous kr
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hyacinth » mon bb kr
ily too  coeur  pétille  

eliott » héhé merciiii, trop de cutance help
je n'hésiterai pas huug
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Nao Ilang
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C H U N G H A JE HURLE ELLE EST TELLEMENT MAGNIFIQUE CETTE FILLE OMG JE SUIS EN PLS omg ta gazelle a l'air trop trop cutie, hyrfrrtgtrg, il me tarde de lire la suit de ta fiche pétille BIENVENUE SUR SOD hh passe sur le flood et les jeux si le cœur t'en dit jule bon courage pour ta fiche!! fire keur
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chungha est d'une beauté ; les occupations sont priceless hearteu bienvenue sur sod, et bon courage pour ta fiche honey ! moustache
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chungah tbe tbe tbe
oh btw ton pseudo me dit trop un truc mais j'arrive pas à mettre la main dessus gaah gaah gaah en tout cas bienvenue sur sod coeur coeur coeur bon courage pour la suite kr kr
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@Nashoba Ilang ~ J'avoue que je crush beaucoup sur cette demoiselle craque
MERCIII inlove et j'y penserai :oopsie:

@Boa Wang ~ park sora l'est tout autant jule mercii jolie cœur  kr

@Nuo Ilang ~ oui chungha ** mercii coeur coeur
neir, on s'est sûrement vu sur hm ? :purple:
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OMG MAIS OUI T'ES SUR HM???? bunnies bunnies bunnies
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