Downtown | London

Invité

meteorites.toujours aussi accro à son triumvirat de super nana et un peu plus amoureuse de SOD à chaque fois qu'elle s'y perd. Ca valait bien un petit DC n'est ce pas? siffle

London Hastingsfc : zendaya coleman ;

️️ milles rêves; Moons ; unique

85%Extravertie

65%Lâche

95%Ambitieuse

80%Opportuniste

50%Philantrope

60%Cachotière

90%Diplomate

70%Garce

Nom complet Hastings. Nom prestigieux, synonyme de richesse et de faste, d'une vie bucolique emplit de voyages. London, hommage à la citée disparut, on y rattache milles et une significations, jamais une âme. London, c'est un nom hasardeux, une référence à laquelle on ne songe même plus. C'est ce qui interpelle, qui grave les esprits et les coeurs. Surnoms Smoke, pour le voile bleutée qui enfumait autrefois les rues de la capitale oubliée. Lo, Lou, Londy, Lottie, Dee,des surnoms, London, elle en décompte par centaines et pourtant, tous demeurent impersonnels. Naissance Un 12 janvier, nuit froide, nuit noire, égarée quelque part, dans une clinique privée de Sigan. 19 ans déjà, putain de déchéance pour une gamine déjà trop grande. Héritage culturel Diversifié, presque trop pour qu'elle trouve la force de réellement s'en soucier. De l'exotisme qu'on se plait à réaménager à chaque fois qu'on en tire une certaine nécessité, au fil des mensonges, la liste ne fait que se rallonger, on y tord sa propre perception jusqu'à tout oublier. Statut Plus personne officiellement. Il n'y a personne, qui a réussi à avoir le coeur de London. Seulement l'effleurer, à coup de promesses et de baisers. Un beau brun, qui a réussit à planter ses griffes sur la toile encore vierge de son âme. Un beau brun, qu'elle a laissé un matin, qu'elle retrouvera le lendemain, pour fuir lorsque leur avenir commun deviendra certain. Parce que c'est London, parce qu'elle fuit. Elle s'enfuit. Avant même que les problèmes ne commencent. Et London, elle ne peut pas se poser avec un androïde, papa ne l'acceptera jamais. Alors elle reste sans attaches, sans tendresse. Ca l'use un peu, ça la casse un peu plus, parfois. Orientation Les hommes. Parce qu'elle aime la virilité peut-être plus que la douceur. La force plus que les caresses. C'est London, c'est mystérieux, bordélique, et ça attire tout l'monde Autant que ça rebute.Finances $$$$$$.

Univers Siganaise à l'intérêt limité pour toutes ces petites choses qui s'écartent du cercle de ses commodités. Occupation(s) Vloggeuse voyage, consommatrice, produit de la consommation et overdose de produit éphémère. Elle vous vend ses destinations comme un panneau publicitaire et génère les clics avec la violence d'un coup de tonnerre. Et puis parfois, elle est cliente mystère, vigie silencieuse qui d'un sourire en coin souligne que vous ne faite que de la merde, tout ça pour préserver la réputation de sa mère Particularités Un tatouage siganais qu'on dissimule derrière une épaisse montre au montant exorbitant, décompte des ans qui passent sans qu'on y accorde une grande importance, intimement persuadée de la fortune de papa et maman qui peuvent tout acheter, même le temps.Lien(s) cosmique(s) Une soulmate, le soutient émotionnel qu'elle a peiné à obtenir, son partenaire d'affaire, son frère d'âme si ce n'est de sang et sa moitié, elle en est intimement persuadé. Keywords Sassy Queen - Routarde - Princess please - Lady Hastings - Dirty Money - Smoking Bird - Big Girl - Champagne - What the fuck is beer? - Fille à papa.

we are all astronautsIl y avait encore quelque chose d'innocent, dans ses yeux d'enfants Si elle ne vivait pas de ses voyages, London aurait très certainement finit photographe. Avec son fil d'actualité coloré, ses vidéos aux teintes échaudés. Une vie de rêve, une vie mondaine aux coupes de champagnes toujours pleines dont les rires et l'ivresse se dompte au rythme infernal de leurs fêtes. Et London, elle pourrait presque s'y habituer, à la solitude. Celle qui vient l'étreindre tard dans la nuit, lorsqu'elle s'abandonne aux drap au parfum d'oublis. Elle est entourée London, de connaissances, d'une bande vague d'inconnus dont les sourires et les étreintes sont aussi impersonnels que les surnoms dont on l'affuble. Smoking Bird. C'est son fardeau, sa marque de fabrique, son entreprise. Smoke. Comme la fumée qui s'effile entre les doigts. Celle qu'on croit deviner, celle qu'on croit connaitre jusqu'à l'âme mais qui au fond, fatalement, nous échappe.

C'était des petites manies, des caprices de sale gamine London, elle a horreur des voitures. De l'odeur de la gomme qui s'échauffe contre l'asphalte, de tenir un volent entre ses doigts. Elle se noie parmi la foule, s'écrase dans les transports au milieu des autres, au milieu du peuple. C'est même devenu un jeu, d'imiter le son des sonneries du bout de ses lèvres pincés. A les voir se précipité comme des affamés sur un objet inanimé comme si leur vie en dépendait. Cynique, peut être. Puérile, très certainement.

Mais y'avait aussi tous le reste, ces choses qu'on murmure du bout des lèvres Mais papa, il n'était pas très tolérant. Tout comme maman. Maman et papa, ils ne pouvaient pas comprendre. Papa et maman, ils la voyaient encore comme une enfant. A qui il fallait toujours le dire, qu'un humain se doit de mépriser les androïdes, à sans cesse lui rappeler que ces choses là sont des machines. Qu'elles ne sont que programmer, que décemment, elles ne pouvaient pas aimer. Alors ce n'est pas bien grave, si on les exploite, si on trafique malgré les larmes de crocodiles. Parce qu'on ne peut pas faire souffrir un amas de branchements et de fils.

Parce que le monde n'est pas binaire, mais c'est plus facile de la qualifier de foutue peste Alors elle a ce côté impitoyable London, l'avis radical. Elle aime ou déteste, accueil ou rejette, aide ou écrase, élève ou abaisse, jamais d'entre-deux, extrême jusque dans la violence de ses sentiments. Mademoiselle ne recule devant rien pour effacer l'objet de ses contrariétés et peut déployer des trésors d'imaginations pour entériner ce qui a ses yeux représenterait un obstacle à l'accomplissement de ses projets. Parce que London, elle passe avant tout le reste. C'est ce que la vie lui a enseigné, ce qu'elle s'était efforcé d'appliquer. Personne n'était prêt à saigner pour elle, alors elle n'était prête à saigner pour les autres. C'est soit fort et tais toi avec London, elle n'exigeait jamais moins de sa propre personne.

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Dear heart,could you carry a little less pain?
You're dripping like a saturated sunrise

A body can be anything we say it is.Elle avait presque quinze ans, lorsqu’elle décida de commencer un régime un peu spécial. Elle entreprit de trier les aliments, dédaignant certains plats trop gras ou ne mangeant qu’en faible quantité. Ses rapports avec ses parents s'étaient refroidit, il était rare de la voir faire grâce de sa présence dans la demeure familiale. London évitait ses parents comme ses parents évitaient London.… Son père manifesta bien quelques inquiétudes, lorsqu'il parvenait à lui accorder son attention le temps d'un déjeuner, se demandant pourquoi elle mangeait peu, pourquoi son adorable fille gardait une apparence enfantine, dépourvue de formes féminines. Alors London souriait et agitait ses mains en riant face à l'absurde, le rassurant, commençant à mentir et à nier les prémices de son anorexie. Elle ne voulait pas voir qu’elle refusait de manger pour ne pas devenir une femme parce qu’être femme signifiait des choses trop étrange pour elle, elle n’avait pas aimé comment un membre de son groupe de danse contemporaine l’avait regardé. Elle n’aimait pas comment certains homme la détaillaient, observant ses légères formes, son corps onduler lorsqu’elle dansait ou les caresses empressés de son copain. Elle ne savait pas pourquoi les regards sur son corps, la dérangeait quand on la touchait, quand on disait qu’elle grandissait, devenait une femme…tout cela lui faisait peur, la faisait fuir. Elle ne voulait pas être une femme, refusait l’idée de ressembler à sa mère alors elle avait choisi de contrôler son corps, de refuser de le nourrir, se moquant bien si elle s’enlaidissait.
London, elle s'était raccrochée à une enfance révolu, se meurtrissant par simple habitude.
it hurt like a knife inside because there was no alternative except to hide as long as possibleEt puis London, elle l'a eut lui.
Et lui, c'est celui qui a marqué son esprit, un peu plus fort, un peu plus durement que tous les autres. Lui qui est resté gravé dans sa chaire. Pourquoi lui. Pourquoi pas un autre. Peut-être parce que se soir là, elle aurait pu s'foutre en l'air. Elle aurait peut-être fait exprès, de foncer dans un arbre, en riant plus fort que tous les autres soirs, en s'disant que de toute façon elle ne serait juste un nom de plus dans la rubrique nécrologique, un chiffre noyés au milieu de milliers de statistique. Peut-être. Surement. Mais non. Parce qu'il lui a pris ses clefs, ce soir là. Il lui a dit, qu'elle devrait pas, s'abimer. Qu'elle devait être plus jolie avec de vrais sourires. Plus nette. Mieux faite. Mais c'était juste London, London bordel. London paumée. Souriante où pas. Et ça, peut-être qu'il ne l'a jamais compris. Qu'elle était brisée. Que malgré les bravades, elle peinait à s'y retrouver. Et London, elle s'y est abandonné. Elle s'est agrippée à lui. Avec son sourire, elle l'a fait tomber. Dans l'amour, dans la déchéance de ses décadences. Des merdes par centaines, qui se sont écoulés de leurs veines. Dans ces soirs, dans ces nuits. Ensemble, à s'embraser sous le ciel grisé. A divaguer, avec le palpitant déglingué, la gorge écorchée. Les yeux qui pleurent en silence, allongés. Avec toutes ces merdes. Qui vrombissent dans le silence de leurs mensonges. Qui rendent accro. Comme elle, devenait accro à lui. A sa présence, à ses mains dans ses cheveux, sa voix à son oreiller, ses mains sur ses reins. A les vouloir, tant que ça. A vouloir tout de lui, peut-être même sa vie. Et ça, c'est l'attraction qui à chaque fois devient plus forte. Avec les corps qui se mêlent, qui se cognent. Les mots qui ne coulent plus, qui laissent les corps s'entrechoquer, l'esprit s'effondrer, la raison s'étioler. Et London ne dort pas. Elle ne dort pas souvent. Mais encore moins, cette nuit là. London qui se rend compte. Qu'un jour, elle le détruit. Comme son père avait fait avec tous ces semblables, parce qu'elles ne sont pas humaines ces choses là. Qu'à force, elle le rendre comme elle. Un mensonge, lui aussi. Qui sourit même lorsqu'il n'en a pas envie. Trop comme London. Trop de London pour un coeur qui n'aurait pas dû pouvoir battre si fort. Bancal. Et elle ne voulait pas de ça pour lui. Ca lui fendait le cœur, un peu. D'imaginer qu'un jour elle pourrait bien finir par l'amocher. A le blesser jusqu'à ce qu'il en vienne à le détester. Alors elle fuit London, elle voyage à travers le monde. Elle sourit à la caméra, sourire d'ivresse, sourire grivois. Elle sourit au manque comme elle se rit du vide. Elle se repait de la gloire comme de la plus délicate des friandises. En songeant que ces choses là, le matériel, toutes choses superficiels, lui suffisent.

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(laisse moi édit ça demain, j'tiens juste à dire que la première place sur ta fiche même si tu n'es pas ma soulmate sous cette tête me revient de droit moustache