EVENT SIGAN ☾ décembre 4035

Elle a cette colère, en elle, qui lui vient de l'incompréhensible. Et elle en ressent pour une multitude de choses, de l'incompréhension. Baby Blue est l'une de ces choses. Baby Blue et son départ, et sa manière d'agir, et de sourire, et de faire semblant. Elle sait, la blonde. Elle sait que les gens mentent, souvent. Mais Baby Blue, elle l'a rarement vu mentir. Elle l'a vu trop honnête au point de le détester, autrefois, et trop fleur bleu aussi. Sauf que pour le coup, quand elle le voit sur le grand écran, il fait fleur artificiel. Et elle le déteste, pour ça. Loni, elle le détestait avant pour être plus humain qu'elle ne l'était, alors qu'elle voulait l'être, et maintenant, elle le hait car il fait faux. Trop faux.
Elle cligne des sourcils, surprise et surtout, choquée, quand il ne lui demande si elle veut un autographe. Loni, elle le dévisage, elle a envie de lui cracher au visage, de lui griffer son joli minois et aussi de pleurer, en même temps. un aut - pardon ? Elle s'exclame fort, à se pencher légèrement vers lui, comme si elle avait mal entendue. moniseur est rendu prétentieux à un tel point que la première question qu'il pose, c'est si je veux un autographe ? Un rire quitte ses lèvres. Il est empli de mépris. et ça va les chevilles ? Elle secoue la tête de gauche à droite. À côté d'eux, les gardes du corps s'approchent. L'un pose une main contre le bas de son dos, pour l'inciter à s'éloigner, mais Loni repousse vivement son bras et par vieux réflexe, crache vers lui à la manière d'un chat. Le garde du corps, un peu perturbé, lance un regard à son collègue puis à Baby Blue. Loni le regarde, aussi. t'as beau être joli, tu ressembles à un mensonge. Elle repousse encore le garde du corps d'un mouvement de bras, et s'éloigne de quelques pas, non sans s'approcher de Baby Blue. Elle est trop proche, maintenant. Elle attire des regards.  et j'espère que t'en as le goût continuellement sur le bout de la langue. Et si elle aborde un corps différent, ses yeux portent le même bleu. Le même jugement.

en gros:

Jaz n'avait pas très envie de devoir se traîner un garde du corps sur les talons. Son label n'avait pas très envie de l'autoriser à venir à la manifestation ceci dit donc l'offre était à prendre où la laisser. C'était y aller avec Freddie ou rester à la maison. Il y a moins d'un an, la question ne se serait même pas posée : Jaz serait restée à la maison parce que sa mère ne l'aurait jamais laissée venir, garde du corps ou pas. Soutenir la cause androïde ou même n'importe quelle cause politique est du suicide professionnel d'après elle. Mais Jaz aime les androïdes, plus exactement elle aime des androïdes qui sont ses amis, ses béquilles, des membres de son équipe bien souvent, autant dire donc qu'ils sont un peu comme de la famille. Donc elle a voulu venir. Et sa l'avis de sa mère n'a pas été demandé. « On va voir Ashley ? » Lupe aussi est là, c'est une évidence. Elle lance des regards à Freddie de temps à autre, glisse à l'oreille de Jaz des plans pour lui faire faux-bond, mais Jaz pense qu'il fait suffisamment peur avec sa grande carrure, ses muscles et son regard sévère pour que Lupe se contente de plaisanter. Malgré Freddie, Jaz est contente d'être là, parvenant à passer à peu près inaperçue dans la foule, (sûrement parce Freddie effraye quiconque le reconnaît et essaye de s'approcher) et Jaz ne sait pas si ça va durer mais pour le moment c'est déjà ça. Elle est contente d'être là, à crier les slogans égalitaires avec les autres, les doigts d'une main liés à ceux de sa meilleure amie, tandis que de l'autre elle tient une petite pancarte électronique. Elle n'a jamais fait de manifestation avant. Elle aime bien, quoique sa petite moue en cet instant précis puisse laisser penser au contraire. « Si tu veux… » Pas qu'elle n'apprécie pas au moins un petit peu Ashley, mais elle trouve que Lupe parle vraiment beaucoup d'elle quand même. Ceci dit c'est joli comme son visage s'illumine devant son approbation et leur doigts se resserrent quand elle la guide à travers la foule, yeux rivés sur son téléphone. Quand Lupe les relève c'est pour s'arrêter devant Ashley, minuscule à côté d'un type que Jaz n'a encore jamais vu. Étrange puisqu'il lui dirait presque quelque chose. « Salut ! Moi c'est Jaz. » Il a l'air de l'avoir reconnue, mais bon. « Hé!! T'étais pas à mon mariage toi ?»

Spoiler:

Il se dit que c’est une bonne chose, de lui proposer un autographe. Après tout, c’est une fan, et lui proposer un autographe est probablement la meilleure solution pour qu’elle s’en aille. Enfin. Qu’elle le laisse retourner à la marche à laquelle il ne veut pas vraiment assister. Il aurait préféré être au dortoir, et regarder les gens marcher à la télé. Ou s’entrainer. Il a pas eu le temps de s'entraîner récemment. Pas au point de plus sentir ses circuits, pas au point d’avoir besoin de se recharger. Et vraiment, mais vraiment, ça lui manque. C’est pas une bonne chose, manifestement, de lui proposer un autographe. Elle réagit plutôt mal, très mal. Elle parait surprise, d’abord. Peut-être que c’est pas une fan. Peut-être finalement, que c’est une hater ? Baby Blue a entendu parler d’eux. Mais c’est souvent des gens qui sont anti androïdes, aussi. Et si c’était son cas, elle serait pas de ce côté là, mais de l’autre. C’est bizarre. C’est bizarre aussi parce qu’elle lui parle comme s’ils se connaissaient. D’avant. Alors qu’il est sûr de l’avoir jamais vu. Sa présence, est, rassurante, et dérangeante, et c’est étrange. Mais il la connaît pas. Et lorsque les gardes du corps commencent à s’intéresser à elle, elle les repousse violemment. Et ça inquiète Baby Blue. En temps normal, il laisserait faire et en profiterait pour retourner près de ses pairs, mais là, y’a un truc. Il veut pas qu’elle soit blessée. Il comprend juste pas pourquoi.
Elle continue de parler, et chaque mot semble terriblement faux, mais sonne terriblement vrai. Comme s’il s’agissait d’une vérité d’un monde parallèle, c’est bizarre. Et Baby Blue a pas envie de réfléchir, est même pas sûr d’être dans la capacité de trouver une réponse à un questionnement comme celui ci. Essaye pas, du coup. La regarde, la sent s’approcher. Et il voit ses yeux, et les regarde, les observe. Avant de sourire aux gardes du corps. “Merci. Je crois que Beau Blue a un soucis avec une fan.” C’est pas vraiment vrai, mais c’est Beau Blue, ça pourrait rapidement arriver. Avant de se retourner vers la fille. “Tu t’appelles comment ? Est-ce que tu t’appelles Loni ?” Baby sait pas d’où ça lui vient. Baby sait pas. C’est juste le prénom qui semble flasher en néon dans ses circuits. Loni. Et un chat. Blanc. C’est trop bizarre.

en gros:

La foule est vraiment compact il se dit. La nervosité se lit sur tous les visages malgré les nombreuses célébrités présentes. Jack se dit que c’est plutôt bien aussi qu’ils y soient. Il sait qu’elles ne se mouillent pas trop de peur d’être trop politiques parfois, mais c’est important qu’elles soient là aujourd’hui. Il ne peut pas s’empêcher de se montrer un brin protecteur envers Ashley. Sa petite taille fait qu’elle peut être facilement bousculée. Ils sont bientôt rejoints par deux jeunes femmes. Ashley a l’air de les connaître, Jack se contente de sourire poliment. Il devient un peu plus pâle en reconnaissant Yasmeen Vane. Il a été à son mariage en tant que serveur. Il la connaît de réputation aussi. Il se sent un peu intimidé. « Salut ! Moi c'est Jaz. » Il hoche la tête. « Hé!! T'étais pas à mon mariage toi ?» Il lui sourit et hoche de nouveau la tête. « Jack. J’étais serveur oui. » Son regard glisse un peu vers Ashley et l’autre femme. Jack penche un peu la tête sur le côté lorsqu’il remarque le regard de la brune sur la chanteuse. C’est mignon. « Votre mariage s’est bien passé ? Enfin je veux dire… tout s’est bien pensé ? La cérémonie tout ça ? » Fait-il en bafouillant un peu. Ils attendent toujours le signal de départ de la manifestation alors pourquoi ne pas faire la conversation en attendant.

Spoiler:

Elle a cette colère en elle, Loni. Elle se fiche du monde autour d'elle, de ce qui peut arriver ou ce qu'ils peuvent bien penser. Ou alors, elle en a bien conscience mais elle choisit de l'ignorer, car la peur lui déforme déjà continuellement le ventre et que, si elle a appris une chose, c'est que vivre dans la peur n'est pas agréable. Alors, elle est là. Elle est dehors alors que certains la traquent, et elle est face à Baby Blue qui joue la star et elle hurle, même si elle attire les regards. En vérité, elle lui en veut d'être parti. Elle lui en veut d'avoir oublié. Loni, elle a peur d'oublier, un jour. Elle a eu peur qu'on la brise ou encore, qu'on efface sa mémoire. Et elle déteste Baby Blue car elle se doute, c'est peut-être ce qui lui est arrivé. Il est lui, il n'est plus lui. Il est un des milliers d'écho qu'il peut être.
Et puis, il dit son prénom. Loni s'arrête, une seconde, avant de devenir une vraie furie. Elle lève le menton plus haut, encore, et croise ses bras contre sa poitrine pour le dévisager pendant de longues secondes. Peut-être. qu'elle finit par dire avec méfiance, à le regarder attentivement avant de regarder derrière elle de manière suspicieuse, comme si quelqu'un avait pu lui souffler la réponse. Quand elle ne voit personne de louche, son regard revient vers Baby Blue. Et si j'étais Loni ? Qu'est-ce que ça fera ? Elle a connaissance des souvenirs qui refont surface, surtout vu ce qui est survenu avec Mew, il y a un moment. Il oublie des choses, encore, ou plutôt, il ne se souvient toujours pas. Mais que des détails qui sont futiles et pour lesquels, forcément, elle ne peut s’empêcher de faire tout un plat. Est-ce que ça changerait quelque chose pour la petite idol en carton que tu crois être ? Elle plisse des yeux, à l'observer, et attend sa réponse avec impatience. Et elle continue, en même temps. Tu connais peut-être mon prénom mais est-ce que tu te connais. je crois pas.

en gros:

Elle est jolie. Mais elle lui fait peur. Il regrette quasiment instantanément d’avoir envoyé les gardes du corps protéger un Beau Blue qui n’en a probablement pas besoin. L’un d’eux est resté avec lui, et Baby Blue voit, il voit qu’à son regard, il risque d’avoir des problèmes en rentrant, pour avoir entretenu une conversation aussi proche de quelqu’un ne faisant pas partie du groupe. Il sait aussi que dés que des téléphones commenceront à se sortir, ou des appareils photos, Baby Blue devra retourner bien sagement avec les autres. Parce qu’il peut pas être pris en photo en train de tchatcher avec une fille random. Les fans sont forts pour s’inventer des trucs qu’existent pas. Il en a déjà fait les frais, et il a pas envie que ça recommence. C’est pas fair, pour Seth, qui, à côté, n’a rien le droit de dire sur leur relation. A chaque fois que les membres du groupes lui montrent une photo, un commentaire, parlant de ses possibles relations amoureuses, Baby Blue se sent coupable. Et il veut pas que ça arrive de nouveau. Et personne ne le veut.
Loni, elle dit qu’elle s’appelle peut-être Loni. Baby Blue prend ça comme une réponse positive. Même s’il sait pas d’où ça vient, parce qu’il sait qu’il ne s’en souvient pas. Le prénom a juste roulé sur sa langue. Comme une habitude. C’est étrange. Il aime pas vraiment beaucoup ça. Il hausse les épaules à sa question. Pas grand chose, il suppose. Qu’elle s’appelle Loni ou pas, ça changerait pas grand chose. Après tout, il se souvient même pas de qui est Loni, et de pourquoi il se souvient du prénom. Il arrête d’y penser, ça lui fait mal. Physiquement, ça lui fait mal. En tout cas, Baby Blue remarque qu’elle est méchante. Vraiment, vraiment, méchante. Ce qu’elle dit semble toujours dit pour blesser, et c’est, well, pas cool, vraiment. Alors Baby Blue change de sujet. “Je suis Baby Blue. Mais. Pourquoi t’es là ? La cause des androïdes te touche ?” Parce qu’après tout, il sait toujours pas qui elle est, si elle est humaine, ou pas. “Il est où le chat ?” Le chat blanc. Qui traîne dans ses souvenirs, accroché au prénom de Loni. Il aurait aimé le voir, le chat blanc.

en gros:

Comme pour se donner une contenance qu’il ne perdait que sur un seul plan de l’univers, l’androïde s’était mit à reluquer le fusil d’assaut VX-45B8 que portait un des militaires présent un peu plus loin.
Nostalgie, jalousie ?
Si Sid avait été capable de baver, alors que Bobby était justement en train de lui dérouler un plan parfait qui n’aurait jamais lieu dans l’heure, il serait certainement en train de le faire.
Il écoutait bien évidemment sa femme, un poil malheureux d’avoir à lui clouer le bec alors qu’il s’essayait à un grossier chantage — « M’oblige pas à aller faire du gringue à tes collègues humains, je suis certains qu’ils sont plus corruptibles que toi… » « Je vais la refaire plus simplement. » il mange sur ses derniers mots, le soulevant sous les aisselles pour le mettre à sa hauteur, lui souffle une promesse sur le nez. « On fera tout ça quand je rentrerai. » et lui attrape les lèvres dans un baiser volé. « Non négociable, bébé. »

Bobby qui rétorque quelque chose à cet instant précis, sitôt suivi par une remarque d’un de ses collègues à sa droite.
Quatre paire d’yeux se braquent sur le malotru qui s’était permit une remarque sur leur scène de ménage.
Don’t you dare judging my wife, you moron.
Scène qui ne manqua pas d’être remarquée par un groupe de trois anti-androïdes qui furetaient dans la masse. Pain béni.
Ils relevèrent avec hargne la prétendue violence du policier androïde sur un manifestant pacifique, exaltant leur rancœur sur une erreur d’interprétation, avivant la tension sous-jacente sans autre forme de procès.

Bobby avait eu vite fait de retrouver ses pieds au sol et son cerbère, lui, s'était aussitôt glacé dans un aplomb défensif.

let's get it started:

Tu commençais à passer pensivement en revue les policiers alignés de part et d’autres de Sid, quand ce dernier te soulève par les aisselles. L’initiative te désarçonne à tel point que tu restes coi alors qu’il te colle un bécot à la vue de tous. Ta conserve adorée ne cessera de te surprendre.

Et t’es pas le seul, d’ailleurs, sauf que son collègue est loin d’en avoir les oreilles cramoisies. « Oh, Schtauffen, t’es mignon mais t’évites ce genre d’impudeur en public, s’il-te-plaît… » Si l’androïde prend aussitôt la mouche, tu la laisses voler à trois kilomètres au-dessus de ta tête inhabituellement peignée, pour être sur le point de lui rouler le patin du siècle, par pur esprit de provocation.
C’est au moment anodin où tu avais les lèvres tendues comme l’arrière-train d’une poule que les anti-androïdes décident de débarquer. « Hé, regardez ! Le robot attaque un vieillard sans défense ! »

Tu te glisses entre le petit groupe et ton char d’assaut de compagnie : « Eh, j’vous permets pas d’me traiter d’vieillard.. . et accessoirement, il m’attaque pas, il est avec moi » et un pro-androïde de se saisir de l’occasion pour te sauter sur le poil. « Nan mais ça va de vous approprier un NVMQMC ! » « Un ènvé-quoi ? » « Non Vivant Mais Quand Même Conscient ! Vous croyez qu’on gueule pour quoi ? C’est pas le marché aux esclaves ! »

Tu lèves les yeux au ciel, te laissant malmener par le col, préférant te taire pour l’instant, plutôt que de lui expliquer que tu étais peut-être l’humain qui accordait le plus de droits audit androïde, surtout au plumard...
Et les deux groupes de se prendre le bec, avec toi au milieu, qui te presses naïvement contre le poitrail de ton compagnon, dans l’espoir un peu vain que ça allait empêcher la machine de guerre de ton coeur d’obéir à son programme de boulot.

En retard, voilà ce que tu es et ce n’est pas simplement quelques minutes de retard qui passeraient inaperçues. Non, c’est une rencontre du conseil, cette instance où tu as encore toutes tes preuves à faire et dans le pire moment possible. Après tout, Sigan s’entre-déchire depuis la disparition du représentant androïde et tu doutes que manquer la réunion du conseil allait améliorer les choses autant pour la situation générale que pour ta réputation personnelle. Ça ne t’a pas empêché de passer beaucoup trop de temps avec tes parents, essayant - en vain - de rassurer ton père sur les démarches que tu entreprenais pour l’entreprise familiale.
Le problème, c’est qu’au-delà du retard de départ, tu te retrouves aux prises avec une situation qui risqueraient de te mettre d’autant plus en retard : une manifestation. Déconnectée des réalités - un reproche que l’on te faisait bien souvent ces derniers temps - tu n’y avais même pas pensé. Ce qui ne l’empêche pas de te bloquer le chemin vers le conseil et compliquer ton entrée. Peu habituée à la fonction, tu ne sais même pas s’il y a une autre façon d’y entrer. Alors tu t’avances en espérant ne pas te faire reconnaitre.

en gros:

Tu veux réduire les chances de te faire arrêter, parce que t’étais un immigré clandestin dans cet univers-là. Généralement, quand tu te faisais interpeller, tu t’arrangeais toujours pour que ce soit aux alentours du district de Sid, histoire que ce soit lui, Jensen ou Zenia qui s’occupe de ton cas (chacun ayant d’ailleurs une manière bien à lui de composer avec la notion de traitement de faveur).
Pour sauver ta misérable peau, tu décides donc de jeter aux lions une pauvre passante qui n’avait rien demandé, prétendant qu’il s’agissait là d’un grand ponte du monde politico-androïde. « Dites, j’veux pas interférer dans votre petite scène de ménage, mais ce serait pas Haw-eh-Dawkins junior là-bas ? » (tu avais appris la liste des gros poissons de l’industrie siganaise, histoire de ne pas passer pour un rustre lors de soirées importantes. Une fois n’est pas coutume, tu avais vu (un peu trop) juste : malheureusement pour elle, il s’agissait réellement d’un grand ponte. De fait, ta supercherie marche à merveille, puisque les vautours autour de toi déménagent jusqu’à @Grace Dawkins pour lui chercher des noises, lui demandant avec vigueur de prendre position sur la question qui agitait le reste de la dimension. Pour une fois que l’un de tes plans foireux marche, tu n’en reviens pas. Tu vas pour demander de nouveau à Sid s’il peut te laisser passer, moyennant un retour à la maison des plus fêtés, qu’il te passe devant de sa démarche aussi gracieuse qu’un tank en terrain boueux, prêt à appréhender et donc protéger l’individue que tu avais mise dans une mauvaise passe. « Oh bah non, reviens bébé ! »