freak. not a monster (neo)

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charlieMCK mes chaussettes sont blanches pour que mon cher et tendre garde les noires et arrête de piquer les miennes. Mes coudes sont doux, comme tout l’reste (ewi) sauf mes cheveux parce que je les coupe plus et je les décolorent alors ils décèdent. sinon j’bosse comme instit’ remplaçante alors des fois j’ai plein de taff et des fois pas donc wala. du coup je sais pas pour ma fréquence de connexion.

Neo Viciousfc : watkin tudor jones ;

️️ unicorn ; NEPHEDE ; unique

70%ATTENTIONNE

90%NONCHALANT

80%INTELLIGENT

70%JALOUX

70%PROTECTEUR

70%VIOLENT

60%PATIENT

100%BEAUF

Nom complet ~~Galaad Meer~~ perdu dans le temps, effacé des registres informatiques, et certainement des mémoires, même si ça ce n’est pas vraiment de son fait. Il est devenu Neo Vicious. Genre nouveau nom pour une nouvelle vie de vices. #lahype Oui, c’est un type à l'imagination débordante et très (peu) original. Surnoms Neo. C’est suffisamment cours comme ça. Mais il arrive qu’on l’appelle autrement genre “éh”, ou “toi là-bas” ou encore “mec”. Mais sinon, c’est juste Neo, et c’est bien suffisant. Naissance Il est né un 19 septembre dans les appartements en haut des tours de Neodam, et il a 37 piges Mais tout le monde s’en fout, lui le premier. Héritage culturel Français, hollandais, russe, il est issue d’une oligarchie mélangeant les origines occidentales. Son prénom original originaire de la légende Arthurienne. Mais il a oublié depuis longtemps les histoires que sa mère lui racontait le soir. Et ça ne l’intéresse pas. Le passé ne l’intéresse plus. On peut noter qu’il a pris l’accent d’une communauté à laquelle il n’appartient pas du tout, mais il est bizarre de base alors on ne le lui reprochera pas les “niger” qui ponctue ses phrases... Presque pas. Statut Alors ça, c’est un grand mystère ... disons qu’il se retrouve fréquemment dans des situations qui ressemblent vaguement à une vie de couple, et que ça ne dure jamais très longtemps. Orientation Hétérosexuel. Normal quoi. Non ? Finances $$$$$$.

Univers Néphède. Dans la joie et le bonheur du smog, inspiré à plein poumons, entre les fumées de nicotine et les vapeurs d’opium. Occupation(s) Ancien hacker officieusement et prothésiste officiellement, il a fini par claquer la porte de l’entreprise. Maintenant il nage avec les requins. Les Sharks lui ont libéré le terrain de jeu niveau implantation, innovation et manipulation des prothèses bioniques. C’est pas toujours très clairs ses magouilles, et certainement pas déontologique. Mais c’est … intéressant. Particularités Il a modifié tellement de parties de sa propre anatomie qu’il sait plus très bien ce qui est d’origine à force. Il a pour projet de modifier son pénis mais il a pas encore les couilles d’y toucher (c’est bon le jeu de mots ? ok.) Autre modification corporelle à peine moins glauque, il a de nombreux tatouages dont des écritures imitant celle de sa défunte fiancée. Qu’il a encodée récemment. Dans un droïde. Qu’il a aussi modifié physiquement. Longue histoire. Lien(s) cosmique(s) Il sait que Maaike, malgré combien il l’aimait, n’était pas son âme soeur, et s’il s’acharne à essayer de la ressusciter, il lui reste cette pensée désespérée mais réconfortante qu’il y a une autre femme pour lui quelque part. Qu’il pourra aimer autant, et guérir un peu. Il sait aussi qu’il y a d’autres gens autre part. Dans d’autres mondes qu’il a vu grâce à eux. Un nouveau niveau de conscience, de connection et de connaissance. Keywords shark + dr frankenstein + prothèses + hacker + bisounours + coeur brisé + fiancée droïde + prostitute lover + poing dans ta face + opium + motherfucker

we are all astronauts
Neo Vicious Neo est apparu instantanément quand Maaike est morte. Une overdose d’être Galaad Meer, le type dont les proches s’autodétruisent. Stop. Il a tout de suite construit des murs autour de lui, à la va vite pour contenir la super-nova qui l’aurait cramé vivant. La lumière éteinte pour une deuxième fois au fond de ses yeux noirs, sous des sourcils éternellement froncés désormais. Il a laissé son appart’ et sa vie en l’état, juste après avoir effacé son nom de tous les registres électronique récents. Plus rien, juste pour arrêter d’exister. Ou recommencer, en laissant toute cette merde loin derrière. Un simple reboot en somme. Quoique ce ne soit pas une franche réussite.

Sharks Il nageait avec les gros poissons bien avant de faire définitivement le grand saut. Dans sa lutte pour les fonctions motrices de sa dulcinée, c’est avec les ingénieurs peu déontologiques du gang qu’il a élargi son champ d’action et de compétences. Quand il a tout plaqué, son taff y compris bien sûr, il a rejoint les requins. Dr Frankenstein ou Bad Samaritan, c’est le genre de surnom qu’on murmure dans son dos en ricanant dans le milieu. Neo, il ne peut pas s’empêcher d'absorber les émotions de ses clients, et d’faire au mieux pour que ça aille. Quoique cela puisse impliquer, y compris des greffes humaines. Il y est aussi le premier à sauter sur l’occasion dans le glauque vient frapper à sa porte. Son dernier kiff portant sur les prothèses bioniques animales, sur les humains. (Qui ne tripe pas sur les meufs à oreilles et queue de chat ? Toi ? Ah. Bon.)

Prostitute lover Il a un faible pour les putes Neo. Et les strip-teaseuses. Pour ces meufs qui ressemblent à Maaike. Un vague syndrome du sauveur, ou un manque béant à combler. Mais il fait de son mieux pour respecter ces nanas. Pour leur filer un coup de main. C’est fréquent qu’il en héberge une, ou deux. Jusqu’à c’que ça glisse vers une relation trop ambiguë, dans un ersatz de ce qu’il a vécu. Mais elles ne sont pas à lui. Et quelque part, il ne le supporte pas. Sans doute la trouille de l'abandon qui le fait dérailler. Alors il cogne dessus pour pas qu’elles aillent voir ailleurs. Et forcément, elles finissent par le laisser croupir dans son coin. Il ne sait plus aimer Neo.

Dreamcatcher Y a eu un temps, il long moment, où il n’y avait plus que ça qui comptait. Son taff, le froid, la mécanique, les greffes, du sang mais on s’en fout. Et à côté le rêve, avec elle qui continu de danser encore et toujours dans un coin de sa tête. Alors quand il avait fini le taff, il rentrait à la maison, alignait les rails et retrouvait une chaleur factice. Il retrouvait leurs raps, leurs danses, leurs rires. Mais dans les faits, il n’y avait que son rire sinistre qui résonne seul en écho contre les murs gris de son trou à rats. Il aurait sans doute fini par s’effacer du monde, englouti dans les entrailles du rêve, s’il n’était pas tombé sur elle.

Echo Les rues de Neodam regorge de singularités, qui n’ont plus rien d’original pour peu qu’on y passe assez de temps. Mais il y a eu elle. Une sorte de robot humanoïde, fracassé sur le béton. Un signe de vie et les mécaniques qui s'essoufflent avec l’électronique qui décline. Il l’a ramené à la maison Neo, pour voir. Parce que ça l’intéressait. Il a débranché la bestiole pour que rien lui pète au nez. Il l’a réparé. Et il l’a modifié. Pris de folie de ressusciter sa bien aimée. Il l’a transformé physiquement. Et puis encodé le caractère de Maaike dans un programme informatique. Des images de leurs passé commun. Deux ans de labeur juste pour qu’elle revienne. Quand elle s’est réveillée, elle est devenue Echo. Assez fou pour la réincarner, pas assez pour croire que c’est vraiment elle. Elle qui est la même, sans se souvenir vraiment, sans ressentir l’amour que Maaike lui portait. Alors il attend Neo. Depuis deux ans, il attend. Il la garde auprès de lui, il s’occupe d’elle, et il espère qu’un jour tout redeviendra comme avant.

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Galaad Meerwhere is a monster not a monster ?
is there a world without ya ?

heartbreak

Le monstre qui m’aimait Galaad... Oui. Galaad. Je l’ai toujours appelé ainsi, je n’ai pas connu Neo de mon vivant. Celui que j’ai laissé derrière moi, c’était Galaad, alors je le nommerais ainsi. Jusqu’à ce que je disparaisse de son histoire. Et de celle du monde.

Galaad est né loin, très loin de la strate dans laquelle il a atterrit. Essentiellement, voire uniquement par ma faute. C’est étrange de voir à quel point on peut détruire une vie avec de l’amour. De voir la chute des gens heureux, et d’alors comprendre le confort de ceux déjà tombés et qui ne souhaitent pas remonter. Galaad n’était pas de ces rats auquel il appartient maintenant, contrairement à moi. Il est né là-haut. Tout là-haut dans les étages des vertigineuses tours de l’Uptown de Neodam. Là où vont vivre l’oligarchie de Néphède qui ne veut pas voir sa vue gâchée par l’existence grouillante et pestilentielle de ceux d’en bas. Il est né avec toutes les cartes en mains pour devenir un membre du sénat, comme son géniteur. Toutes sauf un cœur parfois plus gros que sa tête plutôt bien remplie, alors voilà. Parfois il loupe un battement, et tout s'effondre.

La première fois que son cœur a eut un raté, c’est quand sa mère est morte. Une mort lente et inexorable, celle où le corps se retourne contre son propriétaire, les cellules qui se suicident, et qui propagent le mal en métastases pandémiques. Ça a été la lumière qui s’éteint dans le monde doré de Galaad, la seule vraie lumière chaleureuse qui s’éteint. Les contes sur la chevalerie passée, les légendes d’un autre monde et d’une autre époque qui se taisent et s’effacent de sa mémoire. Et le joug du patriarche qui pèse soudain davantage sur sa nuque. Il n’avait que dix ans quand son père l’a envoyé en pension. Trop occupé pour s’occuper d’un gamin triste avec un évident manque d’ambition. Sans doute une immense déception. Une blague récurrente dans la bouche de Galaad. « Je sais, je sais, j’suis une immeeennnnse déception ». Bien qu’il ne m’ait parlé qu’une seule et unique fois de son père. Et ce n’était pas en bien. Ni en mal. Plutôt comme s’il parlait d’un lointain parent. Sa toute récente mort n’y aura sans doute rien changé. Je crois que pour lui, il est mort ce jour où il l’a jeté hors de la maison. Et que ce sentiment était tout à fait réciproque. Sinon son père aurait fait quelques recherches quand Galaad a disparu de la surface de ce monde. Mais rien. Jamais plus le moindre contact.

Il aurait dû entreprendre des études prestigieuse, Galaad. Faire quelque chose de grand dans le monde de la politique.. Mais il n’avait pas ce type d’intelligence-là. Et que très peu de tact avec l’humain. Vraiment. Ni même avec moi. Il est trop sensible d’un côté, et trop terre-à-terre de l’autre, pas fichu de trouver un juste milieu. Alors à cette époque d’abandon, c’est dans la froide logique des circuits électriques, du codage informatique, et de la mécanique qu’il s’est réfugié. Il était doué. Il l’est toujours d’ailleurs, peut-être plus que jamais, peut-être pour de mauvaises raisons. Sans doute. Moi. Jamais je n’avais regretté d’avoir croisé sa route. Mais maintenant oui.

Il était ingénieur dans l’énorme industrie de la prothèse bionique quand nous nous sommes rencontré. En tout ca sur le papier. Il s’est longtemps contenté d’appliquer bêtement les procédures imaginée par les autres. Même s’il méprisait la bassesse des techniques employées, et de leur manque d’humanité. Mais il n’avait aucunement l’envie d’y faire quelque chose, d’améliorer quoique ce soit, de la vie des autres ou de la sienne. Il se contentait de flotter. Il flottait, dans une routine bien rodée, dont la monotonie étouffait ses éventuels épanchements sensibles. Il avait renoncé à tout ça, aux émotions, à la chaleur disparue en même temps que sa mère. Et puis nous nous sommes croisés. Enfin c’est un euphémisme. J’étais un rat, une petite bestiole d’en-bas qui vivotait de ce qu’elle pouvait, vendant son corps à ceux qui voulaient bien le louer pour la demi-heure. Il l’a fait, Galaad, mais quand les trente minutes se sont terminées, il n’est pas parti. Il a payé pour une de plus, et une autre, et une autre. Sans plus me toucher une seule fois. Nous avons juste parlé. Seulement parlé. Au fond, cela n’avait rien de très étonnant, la plupart des types qui passaient entre mes jambes cherchaient plus quelqu’un dédié à leur personne un instant pour tromper la solitude. Plus que pour se vider les couilles. Mais il est revenu, tous les soirs, pendant des heures, sans me toucher. Et je l’ai vu changer. Rire aux éclats au point que j’ai dû le faire taire pour ne pas être entendu par les voisines ou le patron. Je l’ai vu étouffer une larme quand il m’a écouté lui conter ma triste petite existence. Et oui, je suis tombée bêtement et éperdument amoureuse de cet homme. L’histoire de Cendrillon a survécu à des millénaires d’existence, parce que nous toutes en bas, on ne peut qu’y croire si on ne veut pas sombrer dans le désespoir.

Je l’ai aimé sans rien attendre de lui. Sinon qu’il n’arrête jamais ses visites. Qu’il vienne pour toujours éclaircir quelques heures de ma vie. Mais il s’en est pas tenu à cela et a racheté ma liberté. Il m’a offert plus que la vie que j’osais à peine rêver. Il m’a apprit à lire et à écrire, mais aussi à exiger ce que j’pouvais mériter, à m’affirmer et à cesser de me laisser conduire par le bout du nez par ceux qu j’estimais plus puissants que moi. Dont je légitimais ainsi l'emprise sur ma personne. Lui aussi a continué à changer. Il a continué d’apprendre à vivre et ressentir. Et à m’aimer aussi désespérément que je l’aimais. Notre monde était infiniment simple. Hissé 8 étages au-dessus d’un restaurant asiatique de Midtown, dans lequel j’étais alors serveuse. Notre monde était rythmé par la musique, nos battles de rap pourries pour savoir qui allait faire la vaisselle. Et la danse. Et l’amour. Et le sexe (beaucoup de sexe). Dans la brume toxique de Neodam, nous n’avions besoin de rien, ni d’argent, ni d’opium, ni de DC parce que notre rêve c’était nous. Et j’ai eu la chance de la vivre jusqu’au bout. Ou le malheur d’y mettre un terme.

C’est con. Quand c’est apparu, nous ne l’avons pas compris. Nous nous sommes moqués de ma maladresse. Parce qu’il ne pouvait rien nous arriver de mal. C’était impensable. Mais ensuite c’est la fatigue qui est apparue. Les vertiges. Les troubles de la vision. Tout ce que j’ai tenté de lui dissimuler. Jusqu’à c’que je finisse par me pisser dessus sans même m’en rendre compte. Sclérose en plaques. Le verdict est tombé, sonnant comme un glas sinistre entre les tempes de Galaad. Je l’ai entendu résonner en écho à la sombre dégénérescence de sa mère. C’est là qu’il a commencé à sombrer. Très lentement, très insidieusement, suffisamment pour qu’en 10 ans de maladie déclarée, je ne m’en rende compte que trop tard. Mais ça a commencé logiquement. Quand mes vertiges m'empêchaient de tenir debout, il a remplacé mes systèmes d’oreille interne par des prothèses. Quand je ne supportais plus les aléas des nerfs de mon bras droit, il l’a changé aussi. Le sien avant. Parce que j’étais terrorisée. Alors il s’est amputé lui-même, pour ne pas que je sois seule. Et moi ensuite. Quand mes jambes ne me portaient plus, il les a changées. Quand mes yeux n’y voyaient plus clairs, il les a changé aussi. Et toutes les autres partie de mon corps décidées à me flinguées, il les a changées. Pour que je vive normalement. Mais il n’y avait plus de rires. Plus de danse. Plus de rap. Plus de sexe. Plus rien, juste une course comme la dégénérescence inexorable de mes nerfs. Jusqu’à la folie. La sienne désespérée, et la mienne de le voir sombrer et de me voir déshumanisée.

« Merci » C’est tout ce que j’ai eu le courage d’écrire, et au fond, je n’avais bah grand chose d’autre à lui dire. Alors c’est tout ce qui est resté inscrit sur mon papier d’écriture rose sur la table du salon. Et j’ai sauté par la fenêtre. Galaad s’est disloqué en même temps que moi sur le bitume de Neodam. Et puis il y a eut Neo.

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toi là-bas a écrit:: Il a pour projet de modifier son pénis mais il a pas encore les couilles d’y toucher (c’est bon le jeu de mots ? ok.)

JPP DE TOI facepalm

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je sais que tu m'aimes, chut

~~s'il est gentil, Grim peut-être le droit de donner son avis~~
~~Grim + Galaad ça fait GG, allé salut~~

Invité

Il a pas besoin de Nene pour GG, son deuxième prénom c'est Gunner nanana

Et trop d'honneur mais il veut pas donner son avis. Il veut même pas savoir.

Invité

salaud.

Invité

je ????
ok mais arrêtez de me tuer. d'abord georgia puis toi jpp sérieux
ce gars ?? ce nom ?? en plus un shark serieux faudra un lien avevavec max et cliff ok
bienvenue ici et hate de lire la suite I love you