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 stay with me until the end + lupe

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gaëlle Impératrice du nouveau monde dans un univers alternatif, complètement tarée à l’imagination pire que débordante, je vais sur mes vingt-sept ans en Juin et franchement, j’ai pas hâte… même si je fais dix-neuf ans. Sinon, je suis dingue de kpop, de série, de cinéma, de cuisine. Je voue un culte aux chats, on ne peut qu’adorer ces boules de poils. J’ai un moi psychique violent mais, sinon, j’suis une guimauve qui adore faire des câlins et distribuer de l’amour partout dans le monde. Et n’ayant pas une vie des plus trépidantes, je pense que je serai régulièrement sur SOD que ce soit sur téléphone ou sur ordi parce que je suis une grosse accro du net. Ah et vive les crêpes, les licornes arc-en-ciel, les soldes, les peluches et les sept amours de ma vie en plus de bae. Je peux vous louer un grand-frère si vous voulez.

Lupe Castellane fc :Mimi Elashiry; ©️️️ sial & toxic dream ; Rockets; unique
80%AMBITIEUSE
69%BAVARDE
90%LOYALE
70%NARQUOISE
85%PERSPICACE
50%ARROGANTE
92%DEBROUILLARDE
70%OBSTINEE
   
Nom complet Castellane Lupe, elle appartient à l’élite, à ces familles réputées, à ceux qui dirigent plutôt qu’à ceux qui se font exploiter. Une longue vie lui est garantie mais, elle ne l’a jamais crié sur tous les toits, tout comme elle se sert le moins possible de son nom, lui vouant une certaine rancune depuis qu’ils ont abandonné sa mère à sa soi-disante folie. Lupe adore sa mère et prête à tout pour la protéger, la défendre contre le monde entier, contre sa famille sans forcément franchir trop de lignes. Elle ne veut pas être rejetée par le clan Castellane, elle ne veut pas se retrouver déshéritée et dans l’incapacité d’être le bouclier de la femme qui lui a donné la vie. Surnoms Raccourcir un prénom aussi court frôle la mission impossible. Lupe n’a pas de surnom à proprement parlé. Rien d’officiel et les rares personnes qui ont essayé de l’interpeller par un ‘Lu’ hideux ont vite compris qu’il ne valait mieux pas recommencer. Par contre, la miss a bien un pseudo dans un autre milieu, she-devil. C’est la gente masculine étouffant dans leur jalousie qui l’ont nommé ainsi. Rien d’affectueux là-dedans et pourtant, Lupe a appris à s’habituer à ce nom, voir même à l’apprécier quand elle aligne les victoires aux jeux vidéo ou qu’elle participe aux tournois de R Fighting. Lupe, c’est un mix entre féminité et masculinité assumé. Naissance Lupe a vu le jour alors que le soleil inondait la pièce le 16 juillet 1998, une journée chaude d’été. Le soir-même, un orage avait éclaté comme si l’univers avait décidé d’accueillir l’enfant avec le plus de bruit possible. Pas un cri n’avait coulé quand le premier coup de tonnerre avait grondé dans le ciel. Dix-neuf ans que Lupe savoure chaque seconde de sa vie en sachant parfaitement qu’elle est loin d’être terminée, son compteur le prouve. Quand il atteint un nombre beaucoup moins élevé que sa condition le permet, c’est uniquement à cause d’elle et de sa tendance à se fondre dans la masse quand elle quitte les hautes sphères pour les quartiers les plus pauvres. Héritage culturel Lupe ne s’est jamais intéressé à son héritage culturel, trop de nuances et d’origines différentes. Elle préfère vivre sa vie comme elle l’entend, suivre les traditions de sa famille plutôt que déterrer des vestiges d’un passé qu’elle ne connaît pas. Elle sait que certains de ses ancêtres venaient d’Afrique du Nord et que d’autres vivaient en Amérique Latine mais, son savoir se limite à ces deux infos peu capitales à ses yeux. Elle préfère vivre dans le présent, imaginer son futur plutôt que de creuser le passé. Statut Être en couple n’est pas l’activité favorite de Lupe. Elle a déjà eu des histoires éphémères mais, l’âme sœur, elle n’y croit pas. Elle préfère le célibat à une vie sentimentale remplie et pas forcément, épanouissante. Elle a la preuve avec ses parents, être unis à quelqu’un ne garantit pas le bonheur et à chaque fois qu’on lui demande des nouvelles d’un possible copain, elle ne prend même pas la peine de répondre. Puis, au fond, à choisir entre les hommes et les femmes, elle préfère être avec une femme. Elles sont plus faciles à vivre, moins incompréhensible. Orientation Vaste sujet dont Lupe n’a pas forcément la réponse. Son regard s’est déjà perdu sur des courbes féminines tout comme sur des torses plus masculins et pourtant, elle n’a jamais eu envie de leur sauter dessus. Elle est plus sensible à la personnalité, aux regards, à l’âme des gens plutôt qu’au physique pur et dur. Probablement que Lupe est pansexuelle, même si les femmes la fascinent davantage que les hommes. Un peu plus, en tout cas. Finances $$$$$$

Univers Sigan Occupation(s) Les paysages qui l’entourent l’inspire. Lupe prend des clichés de tout et de rien depuis qu’elle est enfant. Elle aime capturer des moments de vie ou la nature dans ses moments les plus impressionnants afin de les garder sur papier glacé. C’est une photographe, une artiste qui sait donner de l’émotion dans ses photos, une passionnée. Il n’est pas rare de la voir mitrailler son monde dans les moments de fêtes ou dans la vie de tous les jours. Lupe a toujours les yeux grands ouvert afin de ne rien rater, de ne pas passer à côté de la beauté, même à petite échelle. Elle a déjà mis sa passion au service de magazine mais, ce n’est pas son activité préférée, les photos de mannequins à moins qu’ils dégagent quelque chose de particuliers. Particularités Chez les femmes du clan Castellane, la beauté naturelle n’existe pas. Que ce soit des modifications mineures ou majeures, il y a toujours quelque chose d’artificiel chez elles. Lupe ne fait pas exception à la règle. A ses seize ans, elle s’est fait grossir les lèvres, remonter le nez et affiner ses pommettes. Rien de bien spectaculaire en soi mais, ça lui a suffi. Ses changements, elle les a choisis et elle se sent mieux depuis qu’elle a ce nouveau visage. Lien(s) cosmique(s) Depuis 2012, sa vie s’est retrouvé liée à celle de cinq autres personnes. Son Cluster (Ashley, Scar, Joshua, Galileo,...) . Rien n’est facile quand on se retrouve à cohabiter en quelque sorte avec de quasi-inconnus mais, à force, Lupe s’y fait peu à peu, nouant des liens qu’elle n’aurait pas cru possible. Des liens forts et même si l’entente n’est pas toujours au sommet entre eux, elle est prête à tout pour ces cinq personnes, ils font partie de son monde, de sa vie et les laisser derrière n’est pas une option. Et il y a sa soulmate quelque part dans cet univers bien plus vaste qu’elle croyait, Lupe n’a beau ne pas croire aux âmes-sœurs, sa Soulmark située sur sa cheville droite, lui prouve le contraire. Ce lien existe bel et bien, cette personne est quelque part et un jour, il/elle la trouvera. Un jour, ses rêves étranges ou cette silhouette floue qu’elle voit de temps en temps finiront par prendre sens. Et Lupe ignore si elle doit s’en réjouir ou non… Keywords #trustissue #picture #friendship #protective #games #rfighter #lifelover #elite #artist #fearless #dearmom #freedom  


we are all astronauts (1.) Lupe est plus proche de sa mère que de quiconque dans sa famille. Elle ne se sent pas toujours en phase avec eux, même si elle ne le montre pas de peur des conséquences. Elle fait bonne figure, jouant à la fille modèle pendant les grandes occasions, quitte à devoir enfouir cette impression d’évoluer dans une cage dorée, sensation qu’elle abhorre au plus haut point. Si elle joue ce rôle d’héritière idéale, c’est pour sa mère et uniquement pour elle. La jeune femme a conscience que si elle dérape trop au point que les scandales s’enchainent sur sa personne, elle risque énormément. Se voir déshériter est quasiment une phobie chez elle.  (2.) Lupe a le goût du risque, elle aime l’adrénaline, le danger… c’est une passion, un amour interdit. Elle n’hésite pas à descendre dans les bas-quartiers pour rencontrer l’autre partie de son monde, se composant un rôle, modifiant quelque peu son histoire. Elle s’est fait des amis là-bas, elle est connue d’une certaine manière, se montre serviable quand il faut. Pour certains, Lupe, c’est un ange tombé du ciel. Pour d’autres, c’est une fille à protéger parce qu’à force d’avoir peur de rien, elle risque de tomber dans des pièges. C’est une énigme sur pattes qui va et vient, toujours avec une explication au bout des lèvres quand on s’interroge sur son absence. A force, plus personne ne dit rien mais, si ils savaient la vérité, elle se demande comment ils réagiraient, ces gens qu’elle a appris à aimer. (3.) Au-delà de la photographie, la brunette a un autre talent artistique. La peinture. Elle ne se lasse jamais de peigner des paysages, parfois même des paysages qu’on ne voit nulle part à Sigan, issu uniquement de ses rêves ou des portraits de personnes qu’elle a déjà rencontré physiquement ou mentalement. Elle a l’impression de poser des souvenirs précieux sur papier. A une époque, elle avait perdu goût à la peinture mais, depuis la formation de son Cluster, elle a connu un regain d’intérêt dans cette activité. A présent, c’est essentiel à ses yeux. Peu de personnes savent qu’elle a repris la peinture, ne souhaitant pas qu’on trouve ses œuvres et devoir répondre à un nombre incalculable de questions dû à ses peintures étranges pour les Siganais un peu trop fermés d’esprit. (4.) Rester à ne rien faire ne correspond pas à la Castellane. Elle a besoin de bouger, d’utiliser ses mains, de tester des choses, de faire ses propres expériences. L’immobilité la tue. Elle a de l’énergie à revendre, la gosse. Peut-être que dans une autre vie, elle était hyperactive que ce problème subsiste légèrement dans sa vie actuelle. Elle ne sait pas d’où vient ce besoin de se renouveler mais, elle fait avec. C’est le genre à commencer quinze trucs en même temps et à mettre un point d’honneur à tout terminer. L’échec n’est pas de mise chez les Castellane, l’échec n’est de mise nulle part quand on appartient à l’élite, à ceux qu’on regarde avec des yeux admiratifs ou envieux ou haineux. Son arrogance, elle le tient d’eux. (5.) Lupe ne fait pas partie de cette catégorie de personne qui change pour les autres. Elle a très peu de considération pour le regard des autres, elle se moque de ce que son image peut renvoyer. Changer pour faire plaisir à autrui ne lui apporte rien, elle le sait très bien. Qu’importe les chuchotements sur son passage, les rumeurs, les commentaires négatifs parce qu’elle est passé par la case chirurgie esthétique et que sa beauté n’est plus naturelle… Tout ceci lui passe par-dessus la tête. Les changements qu’elle a opérés, c’est elle qui en a décidé. Certes, c’est sa famille qui a payé le coût des opérations, cadeau pour son anniversaire mais, pour le reste, elle est la seule maîtresse de ses décisions. Qu’on ne la prenne pas pour une personne superficielle qui modifie son apparence pour plaire au plus grand nombre, qu’on ne s’imagine pas qu’elle est la marionnette de quelqu’un, elle a horreur de ça. La soumission, Lupe ne connaît pas. (6.) Ce n’est pas une experte, ni l’ingénieure de l’année mais, elle s’y connaît un peu en robotique, suffisamment bien pour créer des robots presque à la pointe de la technologie, seulement presque. Ses bébés qu’elle utilise pendant les tournois de R Fighter et elle a déjà donné quelques coups de mains à des joueurs, des amis avant tout, pas des inconnus lambda. Ce n’est pas régulier, plutôt rare même, cependant, Lupe apprécie ces moments où chacun oublie ses problèmes, ses emmerdes pour se concentrer sur tout autre chose. Elle sait qu’une de ses tantes trouve ce passe-temps un peu trop masculin pour une fille digne de ce nom mais, Lupe lui a bien fait comprendre que ce n’est que son avis et que si elle avait besoin de conseil, elle viendrait la voir. C’est la seule fois où le sujet a été abordé avant d’être rangé dans affaires classés jusqu’à la prochaine remarque. (7.) Son hygiène de vie n’est pas un modèle à suivre. Ce n’est pas que la miss est une droguée ou quelque chose dans le genre mais, c’est particulier. Elle peut passer des journées à prendre des repas équilibrées et colorées que l’Androïde de la maison prépare avec soin et s’essayer à des repas beaucoup moins diététiques deux jours après, sans compter que c’est le genre à manger plusieurs fois par jour sans le moindre remords. Si ça ne se voit pas, c’est simplement à cause de la suractivité de Lupe et du sport qu’elle fait régulièrement. Elle a déjà testé les produits illicites mais, ça reste occasionnel. Etre sur son petit nuage pendant un temps, c’est génial mais, la suite est moins idyllique. Elle reste prudente, à part pendant ces soirées où tout dérape, où alcool et drogue se côtoient et où la débauche est reine de la soirée. (8.) Lupe est loin de ces personnes qui pensent que la violence résout tout sans pour autant être une pacifiste voulant enterrer les conflits avec un bouquet de fleurs artificielles. Elle est calme en apparence mais, parfois, elle dépasse les bornes. Parfois, cette violence insoupçonnée qui l’habite ressort d’un seul coup. Parfois, elle a l’impression qu’elle a du mal à se contrôler, même si c’est rare qu’elle blesse physiquement les autres, préférant les mots plutôt que les coups. Le mal physique, elle se l’inflige à elle-même quand plus rien ne va, quand tout déborde, quand sa tête est un tel bordel qu’elle ne comprend même plus ses propres pensées. Lupe, c’est un volcan en sommeil, le genre qui fait mal quand il se réveille, le genre qui détruit tout sur son passage. (9.) Au contraire de la moitié de l’élite, Lupe ne sait pas comment se comporter avec les androïdes. En général, elle reste polie quand elle croise les androïdes travaillant dans la maison familiale et évite de les traiter comme des parasites indignes de son intérêt. Ils ont déjà la vie suffisamment compliquée comme ça, inutile de rajouter une couche. Et en même temps, elle a du mal à concevoir qu’un androïde soit complètement libre, tellement ils sont utiles et arrangent leurs vies. Bien sûr, personne dans sa famille n’est au courant de sa position partagée à ce sujet, surtout pas son père qui s’imaginerait que c’est encore une idée stupide que sa ‘femme’ a mis dans la tête de sa fille unique. Elle sait très bien ce que son géniteur pense des robots et des androïdes, ce n'est pas avec un homme comme lui qu’une amélioration de la vie des androïdes risque d’arriver… (10.) Sa confiance envers les autres est loin d’être garantie. Elle connaît son monde, elle sait qu’une majorité est prête à n’importe quoi pour atteindre le sommet, que la moindre opportunité peut servir, même si ils ont déjà tout. Tout comme elle sait que dans les bas quartiers, personne n’est à l’abri de quoique ce soit alors, forcément, accorder sa confiance à n’importe qui ne fait pas parti de ses aptitudes. Elle doute même de certaines de ses fréquentations. En fait, ceux qui ont sa confiance aveugle se résume à ses meilleurs amis, son cluster et sa mère. Les autres ont encore du chemin à faire avant de réussir à se faire une place dans le cœur de la jeune femme, certains n’y arriveront jamais. Se sentir trahie est quelque chose d’abominable, elle a le résultat en face d’elle à chaque visite qu’elle rend à sa génitrice et elle refuse de vivre un truc pareil. Dommage que la trahison vienne souvent des personnes dont on est le plus proche.  
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Castle of glasslyrics de chanson
i don't believe in fairytales


dear mom Du haut de ses neuf ans, Lupe observait sa mère avec des yeux inquiets. Cette dernière lui offrit un petit sourire se voulant rassurant mais, ça ne la calmait pas. Elle était souffrante. Lupe le savait et comme toujours, elle ne savait pas quoi faire pour que sa mère se sente mieux. Elle détestait quand sa mère était souffrante parce que c’était toujours elle qui s’occupait de Lupe, pas son père. Lui, il n’était jamais là, trop occupé avec son entreprise de haute technologie, spécialisée dans le domaine médical. Lui, il se fichait de l’état de sa femme et ne devait probablement pas se rappeler de l’anniversaire de sa propre fille. Alors, forcément, la petite brunette ne supportait pas quand sa mère allait mal. « Maman… tout va bien ? » « Ça va aller, ma chérie, tout va bien, ça va passer. » Le ton confiant de sa génitrice calma légèrement la gamine qui retourna à son tableau, tout en gardant un œil sur sa mère, priant pour qu’elle ne fasse pas un malaise. Sa mère lui avait déjà dit que quelqu’un lui parlait, qu’une femme l’encourageait, la rassurait quand rien n’allait. Lupe se doutait que l’état de sa mère devait être dû à cette femme, peut-être qu’elle n’allait pas bien et que ça se répercutait sur elle. Lupe restait une enfant intelligente et même sans poser la question qui lui brûlait les lèvres, elle était persuadée d’avoir raison. Au bout d’un moment, sa mère la rejoint, un petit sourire sur le visage en voyant l’œuvre de sa fille. Elle posa une main sur son épaule, provoquant un mouvement de tête de la part de Lupe. « Je vais mieux, désolée de t’avoir inquiétée mais, il ne fallait pas, ma chérie. Tout va bien et c’est très beau ce que tu peins » Le talent de l’unique enfant des Castellane était indéniable. Elle reproduisait ce qu’elle voyait, tout en ajoutant des détails qui sortaient de nulle part. Elle s’inspirait des récits incroyables de sa mère sur cet autre monde. A chaque fois, Lupe écoutait religieusement Amara Castellane quand elle lui parlait de ses rêves, de cet univers inconnu. Elle adorait ses moments privilégiés et ne s’en lassait jamais. Elle ne voyait pas sa vie sans ce petit moment mère-fille un peu particulier. Ça lui paraissait dingue de vivre sans.

Lupe avait douze ans et son monde tremblait violemment. Elle regardait avec effroi sa mère emmener au loin. Elle ne comprenait rien. Les phrases, qu’on lui soufflait pour expliquer le pourquoi du comment, n’avait aucun sens. Pas pour elle, pas pour Lupe qui savait que sa mère n’était pas folle comme son père semblait le croire ou peut-être qu’il savait que sa femme était tout à fait saine d’esprit mais, qu’il s’en fichait. Les bruits de couleurs avaient toujours eu une grande importance pour Andreas Castellane, pour cet homme qui ne pensait qu’à son statut et à sa réputation, pour cet homme d’affaire à la fibre paternelle en voie d’extinction. « Elle n’est pas folle et tu le sais parfaitement ! » Ce qui ne devait être qu’un murmure se transforma en exclamation, faisant retourner son paternel qui l’observait avec un sourcil haussé. « Lupe, ta mère entend des voix dans sa tête. J’ignore quelle stupidité t’a-t-elle raconté pour te faire croire qu’elle n’avait aucun problème mais, ta mère est malade. Est-ce que j’entends des voix dans ma tête ? Non. Et as-tu déjà vécu ce genre d’expérience ? » Il attendit la réponse à sa question alors qu’il la connaissait parfaitement mais, c’était un moyen pour prouver sa théorie, pour tenter de mettre le doute dans l’esprit de sa progéniture. Un « non » s’échappa des lèvres de la jeune fille. « C’est bien ce que je pensais. Personne dans cette famille n’a vécu ce genre de phénomène avant ta mère. N’est-ce-pas une preuve suffisante de l’instabilité de ta mère ? Crois-moi, je suis désolé d’arriver à de telles extrémités mais, c’est pour son bien, pour notre bien à tous. Personne n’est capable de s’occuper d’un cas comme celui de ta mère dans cette maison. Son problème ne fera que s’aggraver si on ne fait rien. » Beau discours. Il jouait au mari soucieux alors que c’était de la pure comédie. Les seuls domaines qui le rendaient soucieux, c’était sa réputation et son entreprise qui se devait de grandir encore et encore. « Dans ce cas, j’espère qu’elle ira mieux, un jour et je n’aborderai plus le sujet. » Lupe ne pensait pas un mot de ce qu’elle venait dire. Elle jouait la comédie, elle jouait le rôle de la parfaite héritière, endormant le moindre soupçon de son géniteur. Ce dernier venait, d’ailleurs, de disparaître dans son bureau.

« Je te sortirais de là, maman, je te le promets. » Une promesse que Lupe se jurait de mener à bien, par des moyens légaux si possible. La faire sortir illégalement ne ferait qu’aggraver la situation et les conséquences seraient probablement désastreuses sur sa vie. Chaque fois qu’elle venait rendre visite à sa mère, Lupe s’assurait qu’elle allait bien, se sentant trop coupable de n’avoir toujours pas trouvé le moyen de faire revenir sa génitrice à la maison. Enfin, maison… Pouvait-elle encore considérer la demeure familiale comme sa maison, puisqu’elle habitait dans son propre appartement, ne venant que de temps en temps voire sa famille ? Elle ne savait pas. Au pire, elle hébergerait sa mère chez elle, ce ne serait pas un problème. Elle ne risquait pas de s’appauvrir en ayant une personne supplémentaire dans son chez-soi, son compteur le prouvait tous les jours. Tout comme les stocks d’années qu’elle gardait précieusement en cas de problème. « Maman, est ce que tu as déjà vu ta jumelle cosmique ? » Jumelle cosmique, Cluster… Ces termes lui étaient inconnus, avant, ou du moins, elle les connaissait très peu. Depuis 2012, depuis qu’elle avait son Cluster, les choses avaient changé et Lupe faisait régulièrement des recherches là-dessus pour comprendre ces liens étranges. Elle s’habituait encore à avoir sa vie liée à cinq personnes. Les choses étaient plus faciles pour Ashley et Galileo puisqu’elle pouvait les croiser à Sigan mais, c’était plus compliqué quand elle pensait aux trois autres membres de son Cluster. Ce n’était pas pareil. « En face en face ? Je ne l’ai jamais vu. Et je doute pouvoir la voir, un jour, mais je sais qu’elle me soutient et c’est plus important. » Lupe hocha la tête avant de contempler sa mère. Elle semblait aller mieux, aujourd’hui. Ce n’était pas toujours le cas. Le fait que son époux, son âme-sœur, l’avait interné dans cette clinique, lui avait fait énormément de mal. Comme une blessure ouverte incapable de guérir, une blessure invisible dont on ne pouvait pas faire grand-chose. D’autre fois, à cause des médicaments, elle comatait au point qu’avoir une conversation était impossible. Ces moments-là étaient les plus difficiles à vivre pour Lupe. Elle en voulait à son père. Elle en voulait à son incapacité d’aider à sa mère. Elle en voulait même au concept d’âme-sœurs qui faisait plus de mal que de bien. Elle détestait que sa mère aille si mal mais, refusait de le montrer. La quitter pour rejoindre son appartement devenait un véritable parcours du combattant quand Amara était dans un tel état de faiblesse. Cependant, aujourd’hui, elle semblait aller bien et Lupe se contentait de cette certitude.


distance is bearable La patience ne faisait pas parti des vertus de Lupe mais, elle faisait des efforts en attendant sa meilleure amie. Elle savait que les raisons de son retard ne devaient être dû qu’à sa tyran de mère ou à son emploi de temps surchargée, ce qui revenait exactement au même. Parfois, Lupe se demandait si madame Vane savait que sa fille était une humaine, et non, une androïd. La question était légitime tellement le train de vie de Yasmeen allait à cent à l’heure. Ou peut-être que sa mère n’était pas dotée d’un cœur. Une possibilité plus que probable et qui expliquait énormément de choses. Quand elle voyait la vie de sa meilleure amie, ses obligations à ne rien faire qui risquait de déclencher un scandale, ses entrainements jusqu’à des heures impossibles, les fans hystériques qui pouvaient lui rendre la vie infernale si ils le désiraient… Lupe n’enviait pas du tout la vie de Jaz et ne comprenait pas les gens qui rêvaient d’être des stars, des esclaves au service des médias plutôt. Un soupir s’échappa des lèvres de la Castellane alors qu’elle voyait les minutes s’égrenaient et aucun signe de l’autre brune. Par réflexe, elle regarda son téléphone à la recherche d’un message d’annulation mais, rien n’était en attente de lecture alors, elle referma l’appareil et se perdit, à nouveau dans ses pensées. Au bout d’un moment que Lupe jugea presque interminable, Jaz fit son apparition. « Je suis contente que tu sois venue » Sous-entendu qu’elle s’attendait au contraire et pourtant, c’était bien un sourire sincère qui se dessinait sur le visage de la jeune femme, désormais majeure depuis quelques mois. « J’imagine que tu dois être complètement épuisée parce que tu as été forcée de te surmener alors, promis, pas de soirée de folie, ce soir. » Un petit sourire et la belle embarqua sa meilleure amie en la prenant par la main avant qu’elle ne dise quoique ce soit. Cuisine cinq étoiles, série à gogo et bavardages au programme. Rien de bien incroyable mais, c’était nécessaire pour Lupe, nécessaire de retrouver sa meilleure amie avant qu’elle lui échappe à nouveau ou pour de bon.

Le portable de Lupe s’alluma, interrompant la jeune femme en pleine révision de son robot. Elle maugréa légèrement avant d’écarquiller les yeux et de déserter l’atelier, direction l’hôpital. Encore un malaise, encore cette maladie sournoise qui frappait sa meilleure amie une énième fois. Lupe avait arrêter de compter les allers-retours de Jaz dans cet établissement. Elle avait l’impression d’être la seule à s’inquièter, voir à angoisser sur l’état de santé de la chanteuse. Elle voyait déjà les médias s’accaparer de la nouvelle, à moins qu’on se soit occupé de les faire taire. Probablement même. Ça ferait irrémédiablement tâche de savoir que Jaz souffrait d’anorexie à cause d’un management un peu trop poussé, d’une course à la perfection un peu inhumaine. Lupe eut un sourire sans joie en imaginant les conséquences d’une telle info sur la famille Vane. Ce serait un bordel sans nom mais, elle se foutait de la famille Vane pour le moment. Seule Yasmeen était au centre de ses préoccupations. Seule Yasmeen comptait, rien d’autre. La jeune femme finit par arriver à destination, manquant de bousculer le personnel médical dans sa précipitation. L’état de Jaz lui fit mal au cœur. « Hey… je suis arrivée aussi vite que j’ai pu. » « Désolée de t’avoir dérangée. » « Ce n’est pas comme si je faisais une activité particulièrement passionnante... » Mensonge. Elle adorait travailler sur ses robots, les perfectionner du mieux qu’elle pouvait. Cependant, la brune qui reposait sur le lit était bien plus importante que tout ça. C’était sa sœur d’une autre mère. Celle qu’elle adorait autant qu’elle l’agaçait. Sans Jaz, elle ne serait pas tout à fait Lupe. C’était un fait, une réalité. La distance n’aurait pas raison de leur amitié, de leur lien indéfectible. « Je sais que c’est impossible avec ta mère, que le répit est un souhait inaccessible pour toi mais, fais attention… je tiens à toi, tu sais. » Peut-être qu’elle devrait lui dire plus souvent qu’elle l’aimait…


warrior princess « Tu t’es fait battre par une fille, j’hallucine. » Lupe jubilait en voyant le garçon, qu’elle venait d’écraser au dernier jeu de combat, se faire engueuler par ses potes. La fierté masculine et ses règles à la noix. Elle avait dix ans et attendait patiemment que le vaincu se retourne pour la défier à nouveau, persuadé que c’était un simple coup de chance. Comme prévu, ils se retrouvèrent à nouveau dans une réalité virtuelle parce que les garçons, surtout ceux-là, étaient prévisibles à en pleurer et encore une fois, une défaite s’ajouta au compteur de son adversaire, puis une autre et encore une autre. « Je comprends pas… Si t’es si nul, pourquoi tu t’obstines à me défier ? T’es une cause désespérée, même tes potes le confirment. Je peux t’aider à être moins nul, si tu veux. Je garantis rien parce que t’es vraiment pas doué mais, apparemment, les miracles, ça existe. » A chaque fois qu’elle soulignait à quel point son talent frôlait le zéro, l’expression du vaincu changeait peu à peu. Il était vexé et un peu en colère aussi. Ses émotions se lisaient tellement facilement. Il ne faudrait pas qu’il se mette aux jeux d’argent, il risquait de tout perdre dès la première partie. « Sois pas jaloux, ça arrive de tomber sur plus fort que soi. Il faut savoir accepter la défaite. » C’était presque ironique d’entendre une phrase pareille de la bouche de Lupe et de son esprit de compétitivité qui n’acceptait pas l’échec au risque de péter un câble monstrueux. « J’suis pas vexé, puis j’suis sûr que tu as triché et j’étais pas dans un bon jour non plus. La prochaine fois, ce sera toi qui sera battu. » « C’est beau de rêver quand même… » Une énième petite remarque destinée à le faire enrager. Lupe l’aimait bien, au fond, mais elle ne pouvait s’empêcher de le taquiner. De toute manière, il lui rendait bien quand il avait l’occasion de le faire. Une amitié vache d’enfant qui se développait loin des regards désapprobateurs des parents.

La concentration était de mise en cette soirée calme. Lupe examinait avec soin son second robot. Le silence environnant n’était brisé que par de la musique en fond sonore. Du classique. Un genre qui l’apaisait et c’était primordial d’être zen quand il s’agissait de faire de la robotique. Elle avait bien précisé à tout son répertoire qu’elle ne voulait être perturbée sous aucun prétexte, à part si c’était grave. Du coup, quand elle entendit des éclats de rires suivi de pas qui se rapprochait, Lupe ne put s’empêcher de lever les yeux au ciel. « Alors sweetheart, tout va bien ? Tu gères ? Besoin d’aide ?» « Tu rêverais que je t’appelle à l’aide, je suis sûre, que je me transforme en princesse en détresse attendant que son prince charmant vienne la délivrer… Désolée, babe, je n’ai toujours pas envie d’être une princesse qui sert à rien. » Un sourire en coin vient éclairer le visage du nouveau venu qui n’attendit pas son feu vert pour la rejoindre et déposa un baiser sur ses lèvres. « Qui t’as dit que tu pouvais me rejoindre ? » « Moi-même. Tu ne fais pas assez tyran pour que je t’obéisse. » Lupe se perdit dans ses pensées en observant son petit-ami. Enfin, elle ne savait pas si elle pouvait le considérer comme tel… C’était plutôt une amitié avec extra ? Une amitié romantique ? Lupe l’ignorait. La seule chose évidente, c’est qu’il n’était pas son âme-sœur et qu’actuellement, il trafiquait elle-ne-savait-quoi sur son robot. « Pas touche ! Tu vas tout casser. » « Je ne casserai rien, j’suis plus doué que toi en ingénierie. » Un point pour lui. Ils n’étaient pas du même monde. Lupe appartenait à l’élite et lui vivait d’une autre manière. Il savait qui elle était et la peur qu’elle se fasse agresser était bien réel. Link savait qu’elle se défendait sans l’aide de personne mais, il n’aimait pas la savoir dans le coin. « Pourquoi tu viens ici t’occuper de tes robots ? » « T’en fais pas, c’est temporaire mais, au moins, c’est tranquille ici…et je te l’ai déjà dit, rien ne m’arrivera. Je suis jamais seule, après tout. »


six lives Encore à l’hôpital. Cette fois, ce n’était pas Jaz le problème, c’était quelqu’un d’autre. Une fille auquel Lupe n’aurait jamais pensé qu’un jour, elle serait proche d’elle. La rivale de Yasmeen dans le monde de la musique, Ashley. Ashley qui dormait depuis beaucoup trop longtemps aux yeux de Lupe et aux yeux des autres qui perdaient peu à peu espoir qu’elle se réveille, un jour. Il n’y avait que la brunette qui croyait dur comme fer au retour de la star parmi les vivants parce qu’elle était liée à elle d’une manière que la moitié des gens ne pouvait comprendre. « Pourquoi tu ne te réveilles toujours pas ? Je sais que tu m’entends, tu me l’as prouvé… en me faisant vivre la peur de ma vie par la même occasion. Les gens commencent à perdre espoir et tu sais ce qu’il se passera si ils finissent par se faire une raison, n’est-ce pas ? » Ils la laisseraient partir. Une hypothèse inenvisageable pour la Castellane, un cauchemar éveillé. Elle avait appris à apprécier Ashley à travers leurs conversations à quatre mains, elle s’était attachée à cette dernière sans avoir vraiment eu l’occasion de passer du temps en sa compagnie. Lupe ne voulait pas qu’elle parte et à cette pensée, quelques larmes se pressèrent devant ses yeux. Larmes qu’elle chassa rapidement. Ashley avait besoin qu’on lui transmette de la joie, de l’espoir, de l’affection, de la sérénité, du bonheur et non, de la tristesse. Ce genre de sentiment négatif ne l’aiderait pas à s’en sortir, ne la pousserait pas à retrouver la surface. « Tu n’es pas toute seule, Ashley. Tu ne le seras plus jamais. On est tous là pour te soutenir mais, on a besoin que tu fasses des efforts de ton côté. Tu ne peux pas t’en aller, pas maintenant. Je te l’interdis. » Non, elle ne pouvait pas. Lupe, Scar, Gali, Sasha, Joshua… surtout Joshua, ils avaient besoin d’elle. Elle ignorait les conséquences de la perte d’un membre au sein d’un Cluster et personnellement, Lupe ne voulait pas les connaître, pas aussi tôt. Le mieux, ce ne serait jamais, néanmoins, la jeune femme savait qu’elle en demandait trop dans ce cas précis. Personne n’était immortel, même ceux de son peuple mourrait tôt ou tard. « Alors, je t’en supplie, ouvre les yeux. » Rien. Son souhait ne s’exaucerait pas aujourd’hui. Au fond, elle le savait que ça ne serait pas pour maintenant, elle le sentait. « Tu as encore du temps, Ashley, je peux te l’assurer mais, ne tarde pas trop quand même. Tu me manques. » C’était débile à dire alors qu’elles n’avaient rien vécu de concret. Cependant, elle ne se trompait pas sur le sentiment qui étreignait son cœur. C’était un manque évident, un besoin qu’elle ne comblait pas et ça faisait mal. Tellement mal…  
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Yasmeen Hedat-Vane
Yasmeen Hedat-Vane
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JAZ VANE LP: break free (ariana grande), I'm a slave 4 u (britney spears), hurricane (halsey), oops! I did it Again (britney spears), sit still, look pretty (daya), sometimes (britney spears), blue jeans (lana del rey), oath (cher lloyd), one last time (ariana grande), baby one more time (britney spears), problem (ariana grande), pacify her (melanie martinez), overprotected (britney spears), dark paradise (lana del rey).
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omggg omggg omggg omggg omggg omggg omggg
emo emo emo emo emo emo emo

CE DÉBUT EST PARFAIT snape
je tbe tbe tbe tbe tbe
merci encore mille fois de tenter ma Lupe d'amour omg, inlove inlove inlove j'ai trop hâte de mettre nos plans à exécution ça va être trop bien iiih iiih iiih
courage pour la suite craque craque craque :shon: :shon: :shon:
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Yohan Pearson
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LUPE fire fire fire fire fire fire fire fire
CE SCÉNARIO iiih iiih iiih iiih

bon, si tout se passe bien... je repasse par là très vite, avec une autre tête, pour une proposition perv BOUGE PAS JE ME DÉPÊCHE. ananas
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@Yasmeen Vane - ce scénario vend du rêve, en même temps. fallait que je sois à la hauteur iiih wow et oui, notre duo va être génial. du drama, des feels, de la jalousie quand Jaz aura décidé de s'éloigner pour de bon haha ça va être grandiose iiih merci d'avoir imaginé ce perso, t'es perf :purple:

@Yohan Pearson - oui, Lupe est dans la place gaah fire ce scénario a l'air d'être vraiment attendu :oopsie: et j'aime les propositions alors hâte que tu reviennes avec ton autre tête pour me proposer ton idée perv cool ça va être cool, je sens. je t'atteeeeeeeeeeeeends :purple:
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Sami Hedat
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LUPE. iiih iiih iiih iiih iiih iiih iiih TELLEMENT CONTENTE DE VOIR CE SCÉNARIO TENTÉ. waterfall :kirby: hh help hâte qu'on se haïsse s'aime. jule
BIENVENUE PARMI NOUS et bon courage pour ta fiche. minikr iiih
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ouuuuuh comme l'a dit jaz' sur le flood des invités (oui je stalke, même pas honte) pour les liens t'as pas de soucis à te faire, j'compte t'agresser comme il faut quand tu seras validée voir avant si besoin :oopsie:

bienvenue ici en tout cas et c'est beau de voir ce scénario tenté ohlalah iiih coeur
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@Sami Alucard - la fameuse âme-soeur de Jaz :oopsie: ils vont s'adorer, nos deux bbs, dans une autre vie What a Face nan mais, y'a encore moyen que les choses s'arrangent, j'suis sûre angel notre lien va être top, je le sais haha

@Hyacinth Aeneris - jongdae, l'amour de ma vie dans une autre vie inlove kr :purple: mais oui, j'ai cru comprendre qu'un lien s'imposait entre Hyacinth et Lupe qt ils sont l'élites, après tout cool n'hésite pas à venir me harceler par mp si je mets trop de temps à ton goût à faire ma prez happy
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Eliott Rietveld
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gn ce scénario, jpp j'ai trop hâte de lire vos rps là iiih bienvenuuuue officiellement sur SOD du coup kr je suis contente que tu craques pour le forum et pour ce personnage (elle est si belle ngiogenaiognoez), si tu as des questions n'hésite pas à glisser dans nos boîtes à mp coeur bon courage pour cette fiche et j'espère que tu te plairas parmi nous cute
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@Eliott Rietveld - je crois que tu vas devoir patienter un peu pour les rps, tellement je risque de mettre un peu de temps à finir ma fiche, je veux qu'elle soit parfaite inlove et y'a des trucs où je sais trop quoi mettre, genre pour le Cluster, je sais pas si je dois développer à fond puisqu'il est pas encore fait mais, je vais y arriver fire mais, oui, Lupe est sublime, et j'suis sûre que je vais me plaire sur SOD iiih :purple:
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