poison kenny.

Invité

Pseudo/Prénom mads hatter, parmi tant d'autres… Rolling Eyes

24 ans soon, la vieillesse dans la tête. yeux

(nan cépavré, je serai jamais vieille. wesh

) étudiante en webdesign et fort occupée. erf

j'espère que j'aurai le temps de faire votre connaissance et d'vous aimer comme vous l'méritez. bed

Kendra « Kenny » Siakafc : nyané lebajoa ;

️️ .nephilim ; Asteroids ; unique

Protectrice

Blasée

Attentionnée

Impulsive

Douce

Indécente

Sensible

Sarcastique

Nom complet Kendra Siaka. Ronronnement qui s'attarde sur les lippes, les effluves exotiques qui chatouillent les narines. Elle a l'odeur d'une froide nuit d'hiver dans le Sahara. Elle a les syllabes qui s'amoncèlent au bord de ses lèvres pleines, les miracles et les mirages au bout des doigts. Elle a l'intensité qui brille dans ses opales d'obsidienne, la rage au creux de son ventre plat, les phalanges défoncées à force de se les abîmer contre d'autres chairs regrettées. Surnoms Kenny délire, Kenny déchire. Kenny s'amourache, Kenny arrache. Kenny défonce, Kenny dénonce. Kenny qui n'a pas sa langue dans sa poche, Kenny et ses poings tendus. Kenny qui serpente sur les lèvres, poison violent qui s'insuffle dans les souffles. Naissance Quartiers grincheux et poussiéreux recouverts de plantes dévastées d'Althea qui l'ont accueillie et l'ont tout de suite aimée. Princesse déchue, princesse décapitée, princesse dépitée… Kendra la sorcière à l'amour inconsidéré pour les ronces décharnées et acérées plutôt que pour les fleurs colorées qui embaument les myocardes fanés. Un 5 février qui l'a faite hurler, pleurer, déprimer… L'a presque tuée, étouffée dans les bras des futurs tyrans. Fratrie héritée, seule héritière des gênes femelles, princesse hissée. 22 pommes empoisonnées croquées avec avidité, la mort toujours évitée, et pourtant amourachée... Héritage culturel Griffures et hématomes qui s'additionnent sur la peau chocolatée. Le regard dédaigneux lancé à la peau déchirée et violentée, les tissus qui se ressoudent lentement par sa seule volonté. Elle manipule les corps autant que les esprits, Kenny. La douleur n'a jamais été son ennemie. Utilisation un peu trop poussée de ses capacités pour l'aider à décompresser, à gagner, le don dont elle ne saurait être privée. Asider, gamine surprotégée par la fratrie, incapable de la laisser être analysée par la société. Elle est différente, Kenny… Mais elle la cultive, sa différence. Monstre aux crocs découverts, babines saillantes et affamées qu'elle cache derrière un minois affable. Jolie poupée aux accents incendiaires, aux prouesses imaginaires. Statut Liberté, incompréhension, angoisse. L'amour, c'est pas franchement pour Kenny. Kenny, elle a besoin des corps qui s'enchaînent, s'entraînent dans une danse perdue d'avance, des corps décharnés par le besoin de s'aimer ou de s'accoupler. Mais Kenny, elle veut pas donner son cœur à quelqu'un. Kenny, elle veut rester libre… malgré les œillades souvent jetées nonchalamment vers des courbes trop gracieuses pour être regardées. Orientation Elle sait pas Kenny, elle sait plus. Faut dire qu'elle s'est jamais vraiment posé la question. Corps-outil, corps-couteau, corps-fourreau. Elle s'abîme dans les étreintes passionnées, s'abîme dans les corps défoncés. Et pourtant, le palpitant qui se serre douloureusement à l'idée qu'elle se donne à d'autres, qu'elle se complaise dans ces parties de jambe en l'air décadentes et dévorantes. Finances $$$$$$.

Univers Altea. Occupation(s) Street Racer. Kenny s'adonne aux plaisirs, toujours plus sirupeux et libidineux. Kenny s'amuse, Kenny oublie. L'adrénaline qui serpente dans ses veines comme une drogue, dopamine qui la fait soupirer d'extase, les hormones avec lesquelles elle joue et dont elle dépend pour vivre. Les conversations osées, les jeux désespérés, tout pour continuer d'exister dans ce petit groupe qui lui permet de respirer. Et l'odeur doucereuse des fleurs qui viennent l'entêter alors qu'elle mâchonne des chewing-gums à longueur de journée en lisant des centaines de BDs. Particularités Malgré toutes les fois où Kenny a suscité ses capacités, elle demeure une coquille brisée. Les cicatrices blanchâtres zèbrent sa peau, stigmates des combats passés, stigmates des risques prisés. Kenny qui ne sait que vivre dangereusement, Kenny qui ne sait que vivre outrageusement. Les cheveux colorés, les opales teintées par quelques lentilles de contact empruntées, la décadence comme seule alliée. Lien(s) cosmique(s) Les volutes vaporeuses d'un rêve étrange qui se dissipent dès lors que les opales rencontrent la lumière du début de la journée. L'impression constante d'être liée à quelqu'un, à quelque chose. Un visage qui ne quitte jamais ses pensées et qu'elle est pourtant persuadée de n'avoir jamais rencontré. Et puis ce tatouage qui orne son poignet, ce tatouage qui s'est mis à chauffer dès lors qu'elle a posé ses opales sur sa peau ivoirine. Kenny sait ce que sont les soulmates. Kenny ne comprend pourtant pas comment elle peut être liée à deux personnes aussi opposées. Keywords ~~girls like girls~~ † sleepover † glory days † wathever it takes † broken dolls † cigarets after sex † venus in furs † scrawny bodies † come as you are (but i'll maybe not take you) † scars † r u mine ? † comfortably numb † mortal jewels † lust † drive…

we are all astronauts
poison ivy : Elle maîtrise pas les éléments ni les plantes, Kenny, mais c'est pas l'envie qui manque. Elle s'invente quelques fantasmes inspirés des super-héros, s'imagine invincible, s'imagine mère nature. Elle prend la grosse tête, se donne des grands airs, s'invente une vie. Elle mélange les fioles, experte des poisons comme l'on pourrait collectionner les timbres... Kendra aime se perdre dans les mélanges, aime se perdre dans les mixtures étranges. Elle ne les utilise jamais, ô sacro-sainte vierge effarouchée dépourvue de sa pureté. Peut-être même que les poisons n'existent même pas. Peut-être qu'elle ne fait qu'inventer... Monde de mensonges dans lequel elle se noie, plantes grimpantes qui s'attachent à ses jambes pour l'emmener dans les limbes.

peau laiteuse : Cuisses ouvertement dénudées. Chewing-gum qu'elle ne cesse de mastiquer lentement, presque amoureusement, la langue qui s'amourache de la mixture étrange. Elle déambule dans les rues sur des talons trop grands, des talons qu'elle ne maîtrise pas, manquant de se retrouver les fesses contre l'asphalte froide et dégueulassée par le passage. « Kendra se dénude pour quelques billets. Et si tu paies assez, elle fait même des extras. » Les mots s'échangent, les astuces se paient, et Kendra se fait de l'argent facilement en ouvrant les lèvres... Parfois même les jambes. C'est pas pour tout le monde, Kenny c'est pas une prostituée. C'est juste pour quelques habitués... Pour quelques losers qu'elle se plaît à délester de quelques billets.

brotherhood : Soupirs. Lassitude. Blasitude. Ils sont cinq. Ils sont costauds. Ils sont précieux. Ils sont curieux. Ils sont protecteurs. Ils sont trop. Ils sont pas assez. Ils sont eux et c'est déjà bien. Ses frères, ceux qui l'ont façonnée, initiée, ceux qui tueraient pour la protéger. Kendra, petite dernière de la fratrie, fille tant désirée, princesse choyée. Les aînés se font âgés à présents, à la tête d'une nouvelle famille, et Kendra feint d'être désintéressée. Kendra ne veut pas aimer, même eux, juste à moitié. Elle leur laisse les miettes de son amour fraternel, essaie de respirer, de prendre une indépendance qui n'a que trop tardé. Ils accepteront jamais les risques qu'elle prend, ils accepteront jamais que quiconque puisse la salir... Pas même elle-même.

rouge sang : Elle a la violence décadente, la violence adorée, la violence chuchotée. Les poings qui s'arrachent sur la chair tendre de ses adversaires, toujours choisis au hasard, toujours choisis dans la précipitation du moment. Elle sait pas se canaliser, Kenny. Elle sait pas se calmer. Y'a que Nell qui y arrive. Que Nell qui sait trouver les bons mots... Mais Nell, elle est pas là tout le temps. Kenny, elle peut pas juste frapper dans un sac de sable. Y'a un voile rouge qui se dépose devant ses opales sombres, un voile rouge qui fait taire tous ses autres sens pour ne laisser que l'envie de tuer. Elle a peur d'elle-même, Kenny, quand elle prend conscience de ce qu'elle s'apprêtait à faire. Un jour, ça va déraper. Peut-être même que ça a déjà eu lieu... Peut-être même qu'elle a tué. Colère sourde qui bat à ses tympans, fait disparaître tout le reste. Les frères qui lui ont appris à se battre... Les frères qui auraient dû s'abstenir de la métamorphoser. Chenille devenu monstre.

Invité

ViolenceDéchéance
S'écha(r)pper.

La mélopée macabre qu'entonne le palpitant, tambourinements qui rappellent les sifflements guerriers. Les chairs qui claquent les unes contre les autres, bruit infiniment érotique aux oreilles de Kendra. Ses métacarpiens se teintent bientôt de vermeil dans une toile toute particulière. Sa peau cendrée et boisée qui entame une danse funeste, mélange de brun et de rouge violacé. Mélange d'hématomes qui ne vont pas tarder à fleurir à la surface de la peau, mélange de douleur qui fait déjà trembler d'extase la gamine aux lèvres pleines et aux accents mélodieux malgré des mots-couteaux. Papillon dévorant les chairs, s'abreuvant du Styx pour s'émanciper, pour s'évader, liberté galvanisée.
Sa peau se zèbre bientôt de tâches sombres. Son souffle est court. Ses opales sombres sont à peine entrouvertes. Elle tourne autour de sa proie, jolie lionne aux crocs et aux griffes acérées. L'issue du combat ne fait aucun doute : Kendra frappe et frappe encore. Les effluves se mêlent, diffusent. Les sangs fusionnent.
Le corps tombe.
Le palpitant s'arrête calmement.
La paix (malgré les couleurs toujours plus rougeoyantes) qui recouvre le minois.
Peu à peu, le voile tombe. Peu à peu, la réalité revient lui grignoter le bout des doigts, les quelques neurones qui parviennent à écarter le brouillard qui s'était insinué partout pour la faire pénétrer dans un monde chimérique.

Le choc.
La main qui vient recouvrir les lèvres sombres.
Elle a gagné.
Kendra a tué.
Le myocarde qui devient un tombeau de glace alors que la nuit éclaire, macabre, le corps inanimé.
Elle a envie de hurler.
Elle a envie de pleurer.
Elle a envie de s'échapper.
Des voix (murmures lointains) crient à ses oreilles. Elle ne réfléchit pas davantage, prend ses jambes à son cou, fuit dans la nuit noire. La lune la suit, accusatrice, unique juge de son crime infâme.
Clap, clap, clap. Le bruit de ses pas sur l'asphalte abîmée alors qu'elle rejoint les plus bas quartiers de la ville. Elle se repose contre un mur, dans un coin sombre... Et regarde ses blessures.
« Qu'est-ce qu'il s'est passé... ? »
Elle murmure, la voix rendue rauque, presque rocailleuse. Cordes vocales à vif, cordes vocales abîmées par le gravier avalé. Elle n'a rien compris, Kendra.
Elle ne comprend toujours pas.
En un claquement de doigts, sa volonté, sa réalité, on a altéré. En un claquement de doigts, Kendra s'est dissipée, Kendra s'est effondrée pour ne plus laisser qu'un monstre assoiffé du sang d'autrui.
Violence.
Déchéance.
Culpabilité.
Démence.
Détresse.
Vitesse.
Elle court, court encore, jusqu'à perdre haleine. Où aller... Que faire...
Elle refuse de se soigner grâce à ses dons. Les cicatrices qui apparaîtront bientôt lui rappelleront à jamais cet acte immonde qu'elle a commis.
Oublier.
Défoncer.
Les poings qui la démangent encore, un bar dans lequel elle vient pourtant se perdre. Un mâle qu'elle aguiche en quelques œillades, en quelques palabres, par quelques syllabes. Un mâle auquel elle s'accroche pour la soirée, un mâle qui lui fait effleurer la voie lactée.
Elle déteste ça, Kendra. Elle déteste se perdre dans d'autres draps. Elle déteste sentir des mains rugueuses et des excroissances dérangeantes contre sa peau.
Mais elle a nul part où aller, Kendra.
Elle peut pas en parler à Fahad. Elle peut pas en parler à Nashoba. Elle peut pas en parler à Sonny. Qu'est-ce qu'ils vont penser... ? Et Nell.
Nell pureté.
Nell adorée.
Nell qui n'a de cesse de la subjuguer.

Kendra honte. Kendra nausées. Kendra dévastée. Kendra esseulée d'avoir osé laisser le monstre s'exprimer.

S'écrouler.
Il est là. Impossible mais tangible. Il est là. Elle s'arrête, incapable d'esquisser le moindre mouvement. Il ne la voit pas. Ses opales la détaillent mais il ne se se souvient pas. Pas vraiment. Il fronce les sourcils. Elle a les lèvres entrouvertes, les consonnes qui s'additionnent sur le bout de la langue. Un pardon révérencieux et irréel qui se dresse contre les dalles blanches de ses dents.
Il la contourne. Il la frôle. Courant électrique qui la parcourt, les entrailles secouées de spasmes, les nausées qui s'écrasent contre ses lèvres.
« Attends... »
Il s'arrête. La dévisage. Elle ne sait pas quoi ajouter. Il n'y a rien à dire. Plus personne à maudire.
Elle se souvient de ses opales ouvertes sur la nuit. De sa bouche déformée en un cri silencieux, de ses pommettes griffées. De son corps couché sur le béton froid et sali par des années de passages effrénés.
« Non, rien. »
Le visage de la métissée se ferme. Ses prunelles sombres pourraient le tuer pour du vrai, rattraper ce qu'elle a loupé. Rattraper ce qui l'a tant hanté. Elle n'est pas sûre de ne pas rêver. Elle n'est pas sûre de ne pas avoir sombré dans une folie déguisée.
Les sourcils de l'inconnu se haussent. Elle aimerait s'excuser. Elle aimerait lui expliquer... Expliquer quoi ? Qu'elle ne sait pas se contrôler quand la rage et la soif de sang se mélangent dans son organisme ? Vampire dépourvue de crocs. Vampire qui ne sait expier ses pêchés qu'en faisant couler le liquide carmin. Elle veut surtout lui parler. Faire connaissance. Se racheter...
Surtout alors qu'elle a l'impression désagréable de le connaître depuis des années. La peau qui la démange quand il ne cesse de la regarder.
C'est comme si le monde disparaissait.
Et elle a l'étrange sentiment que s'ils venaient à se côtoyer, le bourreau deviendrait la victime. Qu'il aurait bien plus d'emprise sur elle qu'elle n'en aurait jamais sur lui.
Elle ne comprend pas pourquoi il ne l'insulte pas. Pourquoi il n'essaie pas de l'assassiner. Peut-être qu'il ne fait que l'analyser... Peut-être qu'il viendra pour lui faire rejoindre les contrées désolées du royaume des Morts.

Mais avec lui, maintenant, elle ne ressent qu'une profonde et étrange paix. Avec lui, maintenant, elle est capable de respirer. Avec lui, maintenant, elle se sent étrangère à elle-même.
Avec lui, tout n'est plus que paradoxes, tout n'est plus qu'un amas de chairs déphasées.

S'essouffler. Le cœur douloureux. Le cœur qui agonise. Elle est là, belle, parfaite. Elle est là, peau diaphane, peau laiteuse, peau-pureté. Elle est là, allongée, elle est là, à l'embrasser. A l'embraser. Kenny se relève brusquement. Kenny quitte le plateau de tournage, le cœur sanguinolent. Incompréhension.
Son cœur s'emballe. Son esprit n'est plus qu'un cataclysme. Elle s'approche, lèvres pleines, lèvres rosées, son opposée.
« T'approche pas. »
Elle grogne.
Nell hausse les sourcils sans écouter sa partenaire.
« Recule ! Je refuse de continuer. »
Elle hurle. Sa peau la démange. Sa peau la dérange. Étroitesse qu'elle ne comprend pas, qu'elle n'a jamais ressenti. Sa peau s'échauffe.
Nell, elle est belle. Nell, elle est parfaite. Nell, elle est surfaite. Nell, elle est hors de portée. Nell, elle est douce. Nell, Nell, Nell...
L'envie de la continuer de la toucher.
L'envie de s'échapper.
L'envie de comprendre.
L'envie de demeurer idiote.
L'envie de tout arrêter.
D'aller le retrouver.

Sans Nell, Kenny ne serait rien. Sans Nell, Kenny n'aurait pas de partenaire. Pas de point d'accroche. Kenny serait sans doute derrière les barreaux pour une longue durée et depuis un certain temps. Alors elle a pas le droit, Kenny, de la repousser. De la ravager. De la blesser.
Mais elle le fait.
Kenny expulse tout le fiel qu'elle a en elle. Paroles dénudées de cœur, tout pour la faire s'en aller. Les punchlines s’amoncellent à la lisière de sa bouche, s'épanchent, explosent à l'air libre.
Kenny, elle la déteste, Nell.
Aujourd'hui, pour la première fois de sa vie, elle ne peut pas supporter de la regarder.
Sentiment oppressant qui prend possession de son être tout entier... Sentiment qu'elle devra repousser, et les excuses proférer, pour ne pas perdre son duo sacré... Une autre journée.
Cœur écartelé.

S'émanciper. Les gants de cuir qui frottent sensuellement contre le cuir du volant. Le ronronnement du moteur qui la fait frissonner. Nell ne s'est pas pointé. Faut dire que Kenny n'a pas été tendre... et le courage d'aller s'excuser n'a toujours pas franchi la barrière de ses lèvres. Elle n'avait rien fait, Nell, pourtant. Juste sa bouche sur la sienne. Juste sa peau contre la pulpe de ses doigts. Juste ce sentiment écrasant d'être à sa place... Et d'être déplacée.
Kendra ressert sa prise sur le volant de la voiture de sport. Elle passe une main ravageuse dans ses boucles colorées. Une femme vient se perdre entre les voitures, ses drapeaux claquant les uns contre les autres à cause des bourrasques qui viennent les secouer. Le regard de Kenny se fait acéré. Alors que les tissu des drapeaux flirte avec le macadam, Kenny écrase l'accélérateur. La voiture dérape légèrement alors que Kenny grogne légèrement. Adrénaline qui lui fait lentement perdre la tête alors qu'elle conduit dangereusement, slalomant entre les autres voitures. La victoire ne fait aucun doute : Kenny ne perd jamais.
Et si jamais ça devait arriver... L'adversaire en question ne ferait pas long feu. Bataille qui fait rage, bataille qui lui échauffe le sang. Accro aux hormones, accro à la douleur, accro à tout ce qu'il y a de pire en ce monde...

Kenny dévastation.
Kenny chaos.
Kenny personnification d'Eris, déesse de la discorde.

Date d'inscription : 06/09/2017

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

MON BB KENNY LA PLUS BELLE LA PLUS PARFAITE LA PLUS BADASS fire

omgggggg déjà crié ma joie côté invités et par mp mais jE CRIE ENCORE PARCE QUE TU ME RENDS TROP HEUREUSE ET J'AI SUPER MEGA HÂTE DE FAIRE DES PLANS AVEC TOI OMGGGGGGGGGGG BIENVENUE DANS LE COIN n'hésite pas si t'as des questions aaaa