hurricane in the brain (joshua)

Date d'inscription : 19/03/2018

bermudes./audrey j’suis moi, j’vous aime, bisous.

Joshua Rheefc : woo ji ho ;

️️ SIAL ; Moons ; unique

85%PERSEVERANT

70%SOLITAIRE

95%ATTENTIONNÉ

90%LOLJUDGY

85%LOYAL

80%CHARMEUR

89%DISCRET

78%CASSANT

Nom complet Joshua, il a jamais porté de jugement de valeur sur son prénom. Il a pas été élevé dans une ambiance où il avait vraiment l’impression qu’on lui laissait le choix, d’aimer ou non, son prénom. Puis y’a Rhee. Rhee la tentative de sauvetage d’un gamin face aux requins de la presse à scandale. Jenkins il aurait du s’appeler. Nom de famille du paternel, et nom de famille empli de reconnaissance. Mais non. Parents intelligents, parents protecteurs de la santé mentales de leurs enfants. Surnoms Il en a eu des surnoms, Josh. Ceux qui lui en donnaient se sont jamais casser l’cul à être originaux. JJ pour ceux qui s’amusaient à lui rappeler son ascendance. Jenkins carrément, parfois. Mais de tous ces surnoms auxquels il n’a jamais vraiment prêté attention, y’en a un qu’a compté. Qui compte. Un qui l’a touché au coeur et qui y est resté accroché. Love. Naissance Encore 24 ans, plus pour longtemps. Né le 2 Avril 1993 dans un hôpital particulièrement protégé et huppé de Central City. Héritage culturel Quand il était gamin, il s’posait des questions sur son héritage culturel, Joshua. On lui rabâchait qu’il était le fier descendant d’un créateur de génie. Mais le petit Joshua de moins de sept ans, ça l’intéressait pas trop, ça. Ses origines d’avant, au contraire, il a fait des recherches. Il a posé des questions à la famille. Et c’est la mère de son père, finalement, sénile, qui lui a répondu. “Tu as des origines d’un pays qu’on appelait l’Asie autrefois. Un pays avec pleins de petites villes. Et toi, tu viens de la ville Thaïlande.” Joshua a pris ça comme dû. Il a des origines de Thaïlande. Statut Célibataire si on lui demande. Mais Joshua, il a jamais vraiment compris l’importance de mettre un mot sur des sentiments. Il est seul, mais les sentiments sont toujours là. Quitte à créer des mots pour décrire des états, que quelqu’un lui donne le mot qui correspond au sien. Un mot décrivant tous les sentiments contradictoires qu’il ressent à l’heure actuelle. Orientation Il a eu une longue relation avec un garçon. Et il pourrait affirmer qu’il est homosexuel si y’avait pas cette cloche, dans son estomac qui se réveille à chaque fois qu’il voit un post-it et qu’il sourit en imaginant ce visage qui l’a écrit. Bisexuel. Finances $$$$$$.

Univers Né et réside à Altéa. S’il y a bien une famille qui, pour sûr, est Altéenne, c’est la sienne. Occupation(s) Chirurgien pédiatrique, il opère les enfants, de la naissance, à leur adolescence un peu près. Il est jeune, trop jeunes, diraient de vieilles mauvaises langues moins douées que lui. Il travaille aussi en tant que médecin “de passage”. Quand les gens savent pas ce qu’ils ont, c’est case Joshua avant d’aller voir des spécialistes. En général, ils sont assez à l’aise et en profitent pour parler des liens cosmiques qu’ils entretiennent avec des gens d’Altéa ou d’autres mondes. Particularités Fiertée de sa famille, il est Warden en manipulation du corps. Il est doté d’une mémoire incroyable depuis tout jeune. Il se souvient d’environ 98% des choses qu’il vit au quotidien, incluant les gens qu’il rencontre, qu’il croise dans la rue, tout comme les situations, mots, musiques qu’il entend, et les choses qu’il voit. Et alors que Joshua a jamais été tatouage ou piercing, y’a quelques années, une marque est apparue entre ses deux épaules, dans son dos. Il a jamais été très étoiles, mais c’est une constellation, sans aucune doute. Lien(s) cosmique(s) Y’a une soulmate quelque part. Qu’il ne connaît pas. Et la seule expérience de soulmate qu’il ait eu ne lui donne pas vraiment trop l’envie de la rencontrer rapidement non plus. Mais elle est moyennement importante, dans sa vie, cette soulmate. Mais y’a le cluster. Il a mit du temps à s’adapter, à sortir de ses habitudes, à laisser ces gens rentrer dans sa vie, et plus ou moins littéralement, dans sa tête. Finalement, il est heureux de l’avoir fait. On choisit pas sa famille, on choisit pas son cluster. Et s’il avait pu choisir, il aurait rien changé. Keywords droiture - enfants - famille - médecine - mémoire - amitié - calme - maturité - déconnade (aussi).

we are all astronauts Il prend le carnet qu’il a prit soin de cacher sous son matelas, à la coloc, l’ouvre, et observe, regarde, relis. Il a un post-it à la main, ce sera pour la première page blanche qu’il trouvera.

“bon, j’ai beau te laver les dents, le goût de la clope s’en va pas alors je te rends ton corps TOXIQUE - bel exemple pour un médecin en devenir, je dis BRAVO. (bon en vrai je te taquine MAIS QUAND MÊME) (mon grand-père fumait aussi, ça me fait bizarre de sentir cette même odeur sur toi bref). t’as de la chance que je sois pas là au quotidien pour t’enlever cette merde des mains, tss. BONNE JOURNÉE ET CONTINUE DE TE TUER A PETIT FEU, IDIOT. - Ash.”

Je t’embrouille, okay ?

Il fume depuis qu’il est jeune. Café/Cigarette, ça l’tenait éveillé pendant ses nuits blanche de révisions. Il était le plus jeune, il devait montrer à tout l’monde qu’il méritait d’être là, avec ses gens de deux à trois ans de plus que lui. Et l’habitude est resté. Pendant les années d’études de médecine, pendant les entraînements de Warden, Joshua avait toujours une clope à la main.

“TU ES UN ENFANT. j’arrive pas à y croire. au début j’ai juste ri, et ensuite j’ai vu le paquet entier de sucettes sur ton bureau + tous les bâtons dans ta poubelle. J’AI PERCÉ TON SECRET. désolée mais je vais être obligée de te foutre la honte toute ta vie. ce sera notre petit secret ;) ;). promis je le dis pas à Gali, il tournerait ça direct en truc très sale. bref. je note. je note. c’est cute. - Ash”

C’est pas cute. C’est une saleté d’habitude.

Un jour, un gamin qu’il avait soigné lui a proposé une sucette. Et depuis, c’est une habitude. Clope, sucette ou bâton de sucette, Joshua a toujours un truc entre les lèvres. Souvent des sucettes, quand il est seul. Souvent des cigarettes, quand il l’est pas.

“ton gars là, il fait des blagues un peu borderline…. je l’adore, du coup. je pense qu’il t’a trouvé très drôle ce soir, je lui en ai raconté des bonnes. j’ai vu qu’il avait racheté des cigarettes et du café pour toi. oh, et un paquet de sucette, bien sûr. ça se voit qu’il te connaît par coeur, je trouve ça vraiment beau - j’ai jamais eu de meilleure amie, comme ça. tu vas encore me trouver cheesy mais prends soin de lui, ça compte, ces choses-là - Ash.”

C’est un type bien, oui. Il croyait que j’étais bourré. Merci à toi.

C’est son rocher depuis son enfance. Y’a cette famille, qui depuis des générations, grandit en parallèle des Jenkins. Il en fait partie. Ils ont cette relation qu’est normale, entre les deux familles. Son père l’a avec le père de Joshua, sa mère avec la mère de Joshua, sa petite soeur avec la petite soeur de Joshua. C’est deux familles sur la même route, qui ne se lâchent jamais la main.

“y’a ton… ex qui est passé. je savais pas trop quoi lui dire, j’ai fait du mieux que je pouvais, il avait l’air fatigué et pas bien du tout. il est pas resté longtemps, il devait partir pour un entraînement ou un truc comme ça… ça se voit qu’il a confiance en toi, au moment où j’ai ouvert la porte j’ai eu l’impression que y’avait un masque qui tombait, il avait vraiment besoin de toi. c’est peut-être pas mes affaires mais… passe peut-être le voir, plus tard? bisous. - Ash.”

Merci.

Yohan. Il a été le premier. Et ça l’dérange pas de le dire. Joshua avait seize ans à l’époque, il était pas à l’âge de la première fois. Pas du premier amour, pas du premier baiser, et pourtant. Il aime le dire, le crier sur tous les toits. Ouais, ce garçon, ça a été le premier, et le seul, pendant longtemps. Peut-être qu’aujourd’hui, ça l’est encore, un peu, le seul.

“je savais pas que c’était comme ça pour toi aussi - les photographes, tout ça. ça me paraît tellement fou que vous soyez aussi suivis - mais tu vas me dire, je connais pas grand-chose à Altea, faudra que tu m’expliques mieux un de ces jours, quand t’auras le temps de te poser pour écrire. bref, ils commençaient à être grave étouffants et ça m’a un peu choquée - j’espère que tu fais attention à toi. en tous cas y’avait un joli brun qui te faisait grave de l’oeil derrière son objectif.. je pense que t’as une touche. j’dis ça, j’dis rien ;) - Ash.”

Ouais j’le connais. Il me drague depuis trois ans. C’est un con. ;)

Les médias, sa famille a grandit avec. Depuis l’ancêtre, leurs moindres faits et gestes sont recueillis sur papier dans les journaux. Pas forcément le genre informatif, plutôt les magazines gossip. Ils y sont habitués, et ça les dérange pas. Enfant, on s’étonne. Ado, on se rebelle (mais sans faire de vague). Jeune adulte, on comprend, et on joue. On donne l’image qu’ils veulent.

“alors… on ignore encore beaucoup de choses l’un sur l’autre, je sais, mais c’est quoi cette maison DE MALADE dans laquelle je me suis réveillée ce matin? j’ai pas trop osé ouvrir la porte de peur de croiser quelqu’un à qui je saurais pas parler ou que je reconnaîtrais pas mais… c’est chez toi aussi? t’es resté dormir chez quelqu’un (si oui sorry, mais la personne était plus là à ton réveil)? ça avait l’air d’être chez toi, y’avait des photos, des fringues, tes baskets… mais j’croyais que t’habitais en coloc? je suis perdue! -Ash”

Ahah. C’est chez moi. Enfin, chez mes parents.

Deux maisons. Deux endroits de vie. L’officiel, avec les parents, la petite soeur. La maison clichée qu’on trouve dans les magasins de meuble. La maison où on prend les photos de famille quand y’a des grandes fêtes. Et l’officieuse. La coloc, celle qu’on appelle “chez soi”. Celle où on se sent réellement en sécurité. Celle qu’est cachée, que personne, vraiment, ne connaît.

Finalement, il colle le post it sur la feuille vide qui suit, et sourit.
“je pensais que ton chien me détestait mais je crois que je me suis trompée. tu te souviens quand il m’aboyait dessus comme si j’étais une malpropre (d’ailleurs, c’est incroyable à quel point les animaux sentent les choses)? bah maintenant quand je regarde ta télé (d’ailleurs c’est quoi ces programmes chelous que vous avez sur Altea omg?) il vient poser sa truffe sur mes genoux (enfin tes genoux, mais bref, t’as compris) et il me laisse même lui caresser la tête. bientôt il me préfèrera à toi, fais gaffe… ;) j’espère que tu vas bien et que t’as pas fumé dans ma chambre - Ash. ♡”

Aucune chance. La truffe sur les genoux, c’est même pas un début d’appréciation.

Neige, c’est pas très original comme nom, pour un chien blanc. Mais par manque d’imagination, et surtout, principalement, par flemme de se casser la tête pour le nom d’un chien, Neige ça a été. Il s’y est vite fait, le beau grand chien blanc. Un chien énorme, qui fait peur, parfois. Qu’est beaucoup trop câlin, souvent. Un chien qui est là depuis longtemps. Un chien sans lequel Joshua, c’est plus vraiment Joshua.
Maître gaga.

Date d'inscription : 19/03/2018

AS A FAMILYwe love

Il s’appelait Morec Hotchner. Il avait huit ans. Il a pas survécu à la chirurgie. Un truc tout con de mauvais dosage de l’anesthésie. Et Joshua, il perd rarement son sang froid. En sortant du bloc, il était calme. Frustré, triste, d’avoir perdu une vie, de pas avoir pu faire quelque chose. Mais calme.
Puis il a parlé aux parents. Qui l’ont blâmés. Qui lui ont envoyé toutes sortes d’insultes à la figure. Ils avaient raison. Il a échoué. Et leur fils est mort. Il leur fallait un responsable. Joshua s’est dévoué. “Notre fils. Notre beau fils. Il avait déjà pas une vie facile. Il devait juste se faire opérer du genoux. Oh, mon Morec. Avec son asthme déjà.”
C’est ça, qui a énervé Joshua, et qui l’a conduit où il est, dans la salle de conférence de l’hôpital, à frapper contre les murs. Oh, pas violemment. Juste assez pour déverser sa colère contre l’incompétence de ces parents, contre leur stupidité.
Quand ton fils à de l’asthme, idiote, tu le dis à l’anesthésiste.

Il finit par s’asseoir autour de la table. Il a appelé Avi. Il viendra le chercher. Et ils iront à la coloc. Et Joshua ira dormir, un peu. Pour arrêter de penser. Quand il vit des trucs comme ça, il peut pas s’empêcher de penser qu’il est pas le seul à l’vivre. Et il peut pas faire vivre une culpabilité, une colère pareil aux autres. C’est injuste. Ils le méritent pas, eux.
Il passe devant la salle d’attente, en sortant de l’hosto, voit des filles ricaner en regardant des photos de lui, prises y’a quelques semaines. Ca le fait sourire. Et il sait qu’Avi sourit aussi, à côté. Parce que ces filles sont belles, mais qu’elles perdent leur temps à regarder des photos. Alors que si elles avaient été un peu plus intéressées par le vrai monde, elles l’auraient vu passer, juste à quelques mètres d’elles.
La voiture, les vitres teintées. Avi au volant. Joshua est censé s’asseoir derrière, c’est probablement ce que ses parents lui demanderaient de faire. Les hypocrites. Tout le monde sait qu’ils sortent même conduire eux-même quand ils ont le temps.
La seule qui le fait, de s’asseoir derrière, c’est Julia. Mais parce que la soeur d’Avi s'assoit derrière avec elle. Elle “aime pas conduire”. C’est la première de la famille d’Avi qui se prend pour une princesse. Ca dérange personne.

Avi s’arrête à un kiosque. Joshua lève les yeux au ciel, et tape sa tête contre le dossier de son siège. Son ami remonte à bord, et il sourit, lui balance un tas de magazines. Connaissant Avi, ils parlent tous, à un moment ou à un autre, des Jenkins. Ou des Rhee. Surtout, des Rhee. La dernière génération pour le moment.
Joshua les feuillette, pendant le reste du trajet. Ils enchainent bêtises sur bêtises, mensonges sur mensonges, débilités sur débilités. Ils sont ridicules.
Il sourit, rigole, se moque gentiment. Retient tout ce qui est faux. Il sera forcé d’en parler aux responsables qui s’occupent de protéger l’image du grand créateur Jenkins. Il s’en veut, un peu. Les personnes ayant écrit ça risquent de se retrouver sans travail, trop rapidement, juste pour un mot de travers.
Avi se gare, brutalement. Rien de nouveau. Il sort, ouvre la porte, et Joshua se faufile, discrètement. Personne sait qu’il habite ici, officieusement. Et moins les gens seront au courant, mieux ce sera pour tout le monde. Même si, au final, ils pourront toujours déménager, si besoin est.
Canapé confortable, verre de soda à la main, sucette à la bouche, et Joshua se retrouve à confier l’histoire du petit Morec à Avi. Avi, il a toujours été moins calme que Joshua, c’est pour ça qu’ils s’entendent bien.
Il crie au scandale, se lève, hausse la voix, fait les cent pas. Et Joshua, toujours assis sur le canapé, en tailleur, la sucette en bouche, le suit des yeux. Il voudrait pouvoir exprimer ce qu’il ressent comme Avi le fait. Mais il y arrive pas. Parce que même s’il est en colère et frustré, il pense à Morec.
Morec, que Joshua soit en colère ou pas, de toute façon, il est mort.
Et la colère n’y changera rien.

L’horloge sonne, c’est l’heure de sourire. C’est l’heure d’aller retrouver la famille pour manger. C’est l’heure de retrouver les gens qu’il aime le plus au monde, et de les partager avec le monde entier.
Les flashs crépitent quand il arrive à la demeure. Pour eux, il vient tout juste de sortir du boulot. Il sourit, mais n’en fait pas trop. Il prend l’air dérangé, quand il considère que c’est trop. Même si, au final, c’est toujours, trop. Mais que leur donner ce qu’ils veulent, c’est éviter qu’ils prennent ce qu’on veut surtout pas leur donner. La vie privée, les secrets, parfois honteux.
Il a protégé Yohan, un minimum, comme ça. En leur donnant des sourires, en répondant à des questions inutiles. Pour pas qu’un type, ayant pas de sujets à écrire sur la fameuse famille, cette semaine là, les prennent lors d’un rendez-vous, d’un moment privé. Ces moments là, ils sont à eux, pas au monde entier.
Le père, la mère sont là. Les parents d’Avi, aussi. Joshua sourit parce qu’il sent la réserve de son ami à courire dans leur bras. Il le comprend. Lui aussi, voudrait courire dans les bras de ses parents. Mais y’a cette réserve, qu’ils ne peuvent pas dépasser. Parce que l’amour éprouvé, ce n’est pas à partager.
Julia est en retard, comme toujours. Elle arrive après quinze minutes. Sourit, salut, prend des selfies. Elle signerait des autographes si on lui demandait. Joshua lèverait les yeux au ciel, si un objectif était pas braqué sur lui. Alors à la place, il sourit tendrement à sa chère soeur, l’accueille avec un “bonsoir” réglementé à la seconde.

La porte se ferme, finalement, et les flashs disparaissent.
Maison alors témoin devient maison chaotique. Les parents disputent la môme, d’avoir - encore - refait son numéro. Avi et Joshua se moquent. La soeur d’Avi reste dans son coin, les bras croisés, un sourire au coin des lèvres, à demi, toujours à demi. Les parents d’Avi essayent de calmer le jeu. Retiennent le père quand il devient rouge tomate, retiennent la mère quand elle menace de passer sur la table pour atteindre sa fille.
Ce n’est pas n’importe quoi, même si ça en a l’air. C’est juste une famille, simple, avec ses plaisirs, ses défauts, ses problèmes, et ses colères. Julia, en est la cause, en général, de la colère. Un colère un peu trop vraie pour être complètement naturelle. Mais parce que la colère, comme la déception, la tristesse, est un sentiment qui ne peut pas être montré, pendant la grande partie de leur vie.
C’est juste une famille. Heureuse, famille. Famille qui paraîtrait si imparfaite de l’extérieur, si on la voyait comme ça. Parce que les parents son excessifs, parce que le fils a pleins de défauts, parce que la fille en a encore plus - personne dira le contraire.
Mais Joshua a aucun doute sur ça. C’est exactement ces choses là qui font que sa famille l’est, parfaite.

Date d'inscription : 16/01/2018

JE SUIS FIRST OMG OMG OMG
tu peux pas savoir comme j'étais déjà salée d'avance à l'idée que quelqu'un me pique la place mdr

(*regarde gali, sasha, scar et lupe avec insistance*) MON JOSHUA EST ENFIN LA iiih

j'ai l'impression qu'on en parle depuis tellement longtemps que... c'est presque irréel craque

mais je suis trop heureuse, trop heureuse, on va faire du love et du angst et des feels avec ashley tu vas voir, ça va être trop bien je iiih

en plus zico encore une fois je... j'y avais pas pensé comme une grosse débile et il est si parfait ? jpp tbe

MERCI MERCI MERCI de t'être penchée et d'avoir pris ce scénario je meurs qsjfbjksfqbsjf iiih

Date d'inscription : 30/09/2017

TOI ET MOI ON AURAIT PU S'AIMER TOUTE NOTRE VIE larmes

en vrai j'ai déjà mal à l'idée de jouer le lien avec yohan, les faire souffrir c'est mal... mais qu'est-ce que ça va être bon iiih

JE SUIS AUSSI DEUXIÈME SUR TA FICHE C'EST BEAU fire

tellement tellement hâte swkjfbqskjf fire

bref t'es parfaite en joshua et dsjbgjkdsgbskjd je l'aime yohan l'aime aussi love

Date d'inscription : 06/09/2017

J'ai capté ce matin que ça faisait déjà bientôt trois semaines mdr

Je me laisse plus avoir maintenant

rererererebienvenuuue à la maison

Invité

la nana est instoppable seigneur dieu

Date d'inscription : 26/11/2017

Tamina Vane a écrit:

moof af jpp pétille

re

nous faudra un lien avec alex dis donc jule

Invité

J'AVAIS PAS VU
C'EST HONTEUX
je reviens avec gali bientot mais I love you

Date d'inscription : 20/02/2018

donne moi ton cœur baby ton corps baby
donne moi ton bon vieux funk
ton rock baby ta soul baby
chante avec moi je veux un homme like you
bad boy tu sais que tu me plais
un homme like you

Invité

Scar Kolisnychenko a écrit:: donne moi ton cœur baby ton corps baby
donne moi ton bon vieux funk
ton rock baby ta soul baby
chante avec moi je veux un homme like you
bad boy tu sais que tu me plais
un homme like you

boi, on va rocker le monde entier tous ensemble yooo