Domnall •• No place to go back to

Invité

Analiila/Aubane Je suis contente d'avoir enfin trouvé un forum avec un contexte qui me donne une idée de perso avec Jude Law, ça fait limite dix ans que je veux le jouer en rp esh. Sinon je vais venir autant que je peux même si là dans le mois à venir ça va être chaud serré parce que c'est pas que les partiels mais voilà.

Domnall Sechnaillfc : Jude Law ;

️️ addicted tragedy ; UFO's ; unique

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Nom complet Domnall Sechnaill, un nom qui avait autrefois de la valeur mais qui a tout perdu de sa superbe. Plus grand monde ne connaît encore le nom désormais, sinon parmi les plus riches et plus vieux. Surnoms Certains l'appellent Dom, il aime pas trop mais il dit rien. Pas comme s'il avait vraiment des amis de toute façon. Naissance 43 ans auparavant, durant l'été, dans l'une des plus grandes et riches villes qui existent. Héritage culturel Il n'a plus grand-chose de toute façon et il a oublié la plupart de ce qu'il avait appris. Sa famille avait un amour pour l'histoire du vin, mais il s'est intéressé désormais à plus bas alcool que cela. Statut Célibataire, certains diraient veuf bien qu'il n'ai jamais été marié par le passé. Orientation Homosexuel. Finances $$$$$$. Il a tout perdu il y a des années maintenant

Univers Sigan. Occupation(s) Voguant de métier en métier, parfois pas les plus reluisants,
il s'est fait virer de beaucoup d'endroits. Ca fait maintenant deux mois qu'il a réussi à garder son job de serveur dans un restaurant mais qui sait combien de temps cela durera.Particularités Souvent dans un état lamentable à cause de son addiction à la Joker's Powder et à l'alcool. Il a un tatouage, un puzzle en deux pièces, celles-ci étant séparées. Lien(s) cosmique(s) Cluster cosmique (Brau, Namid, Bylun & Nod). Keywords Dépression. Brisé. Tragédie. Amour perdu. Ruine. Addiction. Oubli.

we are all astronauts 01Domnall est né dans une famille riche. Le temps n’a jamais été un soucis. A peine son compteur enclenché, le voilà déjà avec près de cinquante ans à vivre et à utiliser pour se faire plaisir. Il ne se pose jamais de question quant à la cruauté de ce système, trop aveuglé par le grand nombre de chiffres alignés sur son bras. Il a la belle vie, pour lui les gens qui n’ont que quelques jours au compteur ne sont rien. Juste des personnes qui ne savent pas comment s’en sortir dans la vie. 02 Être parent est une chose un peu étrange. On donne naissance à un nouvel être humaine, quelqu’un de plus jeune, que l’on voit changer devant soit. Et soudain, tout se fige. Les parents ressemblent à leurs enfants comme s’ils étaient nés le même jours. Comment se comporter encore comme le parent ou comme l’enfant lorsque l’on est deux adultes faisant les mêmes choses et se comportant de la même façon ? Alors on se détache. Au bout d’un moment, on est plus vraiment parents et enfants, on est des connaissances, des amis si on a de la chance. Domnall n’a jamais été proche de ses parents, il ont fini par presque devenir des inconnus. Alors assez vite, il hérite. Le concept n’est plus le même chez les riches, après tout il n’y a presque pas de morts. L’héritage, c’est ce moment où on prend son indépendance, on emmène une partie du patrimoine des parents pour en faire son propre patrimoine. Alors Domnall vit seul dans sa nouvelle riche et grande maison, en charge de la subsidiaire de l’entreprise de sa mère. La vie normale d’un homme riche. 03 Et puis vient Mael Runway. Un type qui n’a plus de famille, qui vit comme il peut d’autant de boulots qu’il peut trouver. Leur rencontre est le fruit du destin. Domnall doit pour une fois se rendre sur place, il veut voir l’avancée des travaux pour le nouveau bâtiment de sa subsidiaire. Mael est l’un des types du chantier de construction. Il supervise que les machines font bien leur travail, parfois soulève des choses que celles-ci ne pourraient pas attraper correctement. Il a un tatouage de pièce de puzzle sur le bras. Comme Domnall. Un mot échangé, et le puzzle de chacun est complet. Deux hommes différents, pourtant destinés. 04 Leur relation est fusionnelle et pourtant parfois tellement conflictuelle. Un homme qui se fiche des pauvres, l’autre qui déteste les riches. Et pourtant ils se voient, se revoient, jusqu’à ne plus se quitter. Mael emménage dans la grande maison et son compteur se remplit grâce à Domnall. La vie parfaite s’ouvre à lui et soudain il l’embrasse. Dix ans, cela dure. Dix ans de bonheur, parfois d’engueulade, mais toujours de réconfort à la fin. Jusqu’à ce jour, où Mael retourne comme souvent dans son ancien quartier pauvre. Il a trop d’années pour songer un jour en arriver à bout alors il veut aider ceux qui risquent de mourir. Plusieurs fois déjà, Domnall l’avait accompagné. Il avait même donné de ses propres années. L’amour rend bon, il faut croire. Mais ce jour-là, il est seul. Et les gens ont faim de vie. Il suffit d’un type qui prend le dessus sur lui qui s’est ramolli ces dix dernières années, et sa vie est aspirée presque totalement. A une minute prêt. Pas assez pour aller où que ce soit, pas assez pour faire quoi que ce soit. Seul dans une rue désormais déserte. Juste le temps d’appeler la personne qui compte le plus. Des derniers mots et puis le néant. 05 Il n’est plus le même. Il a tout perdu dans la drogue. La Joker’s Power le rend heureux quelques minutes mais dès que l’effet s’estompe il replonge dans le gouffre. Et il reprend. Et il replonge. Un gouffre sans fin dans lequel il se donne l’impression de réussir à être heureux. Il peut regarder le puzzle séparé sur son bras et tout de même sourire. Mais il replonge. Toujours. Alors il achète, sans cesse, sans cesse. Jusqu’à ne presque plus avoir d’années. Jusqu’à revendre sa subsidiaire pour un peu de bonheur en poudre supplémentaire. Jusqu'à plonger jusqu'à ses parents dans la ruine dans son comportement auto-destructeur, néfaste pour lui et pour tout le monde. Et puis il ne peut plus payer la drogue aussi souvent alors à la place il bois. Ca n’a pas le même effet, mais ça en a un. Tout pour oublier. Tout pour cesser d’exister tel qu’il est. Mais jamais rien pour simplement cesser d’exister. Trop lâche pour mourir, mais trop détruit pour survivre.

Invité

Life is a long fallThrough y eyes, time goes by like tears
We each exist for but a short time, and in that time explore but a small part of the whole universe

Titre, date ou autre (facultatif) histoire ou anecdotes.

Invité

JUDE LAW.

Je l'ai pas vu joué depuis une éternité au moins. Et un siganais je suis trop curieux de savoir ce que tu vas en faire. Ce vide c'est cruel. Mais déjà ta première partie m'envoie du feels.
Bienvenue sur SOD. :mdrr: