(orion) l'illusion veine de nos destins.

Invité

sharkloé. / chloé j'mapelle toujours chloé, je suis toujours là grâce à audrey bae, j'aime toujours les lapins. et je suis toujours love love de ce forum.

Orion Heelshirefc : dylan minnette ;

️️ unicorn ; Moons ; unique

20%EMPATIQUE

80%HAUTAIN

30%TOLÉRANT

60%SARCASTIQUE

70%DRÔLE

90%MANIPULATEUR

80%EXTRAVERTI

60%LÂCHE

Nom complet une brûlure sur les lèvres, sur la langue. orion heelshire l'homme aux mille et une voix. l'homme aux mille et un visage. douce mélodie au creux de l'oreille de ses plus grands fans, de ses admiratrices. arrière-goût amer dans la gorge de ses détracteurs. il se moque bien, orion, de savoir dans quelles circonstances l'on prononce son patronyme. tout ce qui l'intéresse c'est que l'on parle de lui. Surnoms pas de surnom, c'est orion. le visage hautain, le rictus en coin. pas de surnom pour ne pas attirer ses foudres. sans amitié, pas de familiarité. le regard noir, les lèvres pincées si le murmure d'un surnom vient chatouiller son audition. pas de surnom, juste orion. Naissance d'après lui le plus beau jour du monde, le jour de sa naissance. le petit prodige il a laissé l'air emplir ses poumons un certain vingt-quatre décembre. le jour perfide remonte à vingt ans, le sourire de ses parents, son premier cri. et peut-être le début des malheurs de certains, tant mieux pour lui et tant pis pour eux. Héritage culturel il se moque bien de l'identité culturelle de ses ancêtres orion parce que toute sa petite vie tourne autour de lui-même. pourquoi se préoccuper de son passé, tout le monde devrait être penché vers son futur. il soupire, il lève les yeux au ciel quand ça évoque des origines. quand ça évoque les anciennes religions. ça l'intéresse pas. on lui a dit qu'avant l'on croyait en dieu. il continue d'y croire, différemment. parce que pour orion le seul dieu qui existe c'est lui-même. il crache sur le passé. la tête à claques est tournée vers l'avenir. Statut il s'épouserait lui-même si c'était possible mais il se contente d'être célibataire. il ne cherche pas l'amour, du moins il ne cherche pas à en donner. le cœur de pierre. inaccessible, il se refuse à toute forme d'attachement. orion il ne veut pas donner de sa personne, on lui a dit que l'amour ça faisait mal. il est pas masochiste orion, la douleur c'est pas pour lui. pauvre petit cœur lâche et fourbe. Orientation seuls les corps féminins se glissent entre ses draps, entre ses bras. ses lèvres épousent les courbes délicates des poupées aux longs cheveux pour tirer plaisir et déviance. Finances $$$$$$ fortune créée de lui-même, la délicate odeur de la richesse qui vient titiller ses narines et le rend encore plus hautain. l'âme diabolique pense que le monde est à ses pieds, que le monde est à genoux devant lui simplement parce que l'or brille au fond de son regard.

Univers néphède la grisâtre et pourtant vagabond des autres mondes. électron libre et marionnette de sa célébrité, la tête brune aime foutre la merde c'est un fait mais se refuse de la foutre que dans un seul univers. Occupation(s) voix enchanteresse aux mille octaves, orion c'est celui qui donne vie aux personnages. orion c'est le doubleur de film d'animation. petit connard qui se cache derrière un métier si enfantin, un métier adorable et pourtant. il est la preuve qu'un monstre peut se dissimuler derrière chaque sourire, derrière chaque rire. Particularités des mots voluptueux et de tendres caresses, les armes fatales pour son âme de manipulateur. derrière son sourire engageant et charmeur se cache la bestialité d'un assoiffé de pouvoir. un volonté de diriger sa propre vie, de diriger celles des autres. sur son avant-bras droit elle s'étend de toute sa splendeur, cicatrice blanchâtre synonyme de vestige. et pourtant elle resplendit encore la marque altérée. peu voyante mais toujours là. derrière cette longue cicatrice sur son avant-bras.Lien(s) cosmique(s) il ne sait rien d'elle, il ne veut rien savoir. pauvre soulmate victime de ses caprices, de ses agissements dangereux et pitoyables. pauvre âme en peine, âme brisée par la marque altérée, la marque abîmée à l'arme blanche. il se refuse à l'amour, encore plus à un amour imposé. membre d'un cluster pour lequel il n'a aucun respect, le gang des bridés qu'il aime les appeler, le gang débridé peu-être. vie liée à d'autres personnes, ça le met en rogne. Keywords caprices ϟ danger ϟ manipulation ϟ contrôle ϟ splendeur ϟ imitation ϟ pouvoir ϟ célébrité ϟ cœur de pierre ϟ instabilité ϟ méchanceté ϟ sale gosse.

we are all astronauts le prince choyé par ses parents il évolue dans un milieu qui lui convient parfaitement.
peut-être un peu trop.
enfant pourri, enfant gâté il a toujours le rictus moqueur en coin des lèvres. orion c'est un petit prince, orion c'est le gamin devenu star beaucoup trop tôt, trop rapidement. orion il met des étoiles dans les yeux. orion ses yeux à lui brillent dans le malheur des autres. il est riche orion, riche comme un prince. mais depuis son enfance il a toujours tout ce qu'il veut.
il réclame, il obtient. et ça n'a pas changé.
encore moins dans son métier.

de sang-mêlé orion vit dans le mensonge depuis son enfance.
plus maintenant parce qu'il connaît enfin la vérité. orion c'est l'enfant d'un viol. il a finit par le découvrir, sa mère s'est confessée. mais il veut pas le croire, lui. que son paternel est un violeur. on lui a pourtant rentré dans le crâne. sa mère n'est qu'une victime parmi d'autres mais il ne veut pas le croire. son père qui fait tant pour lui, son père qui l'aime serait un méchant homme ?
non.
il préfère se retourner contre sa mère, se surprendre à penser que peut-être. peut-être qu'elle ment.
tout simplement.

bertie crochue orion il est presque divisé en deux.
orion est deux personnes distinctes. le orion public, la petite star adulée grâce à ses voix qui subliment les personnages de dessin animé. ça c'est le orion aimé, ça c'est le orion qui plaît aux gens.
ce que les gens pensent qu'il est.
orion le drôle, orion le comique. celui qui sourit, celui qui apporte la joie.
personne ne soupçonne qu'il n'est qu'un petit con prétentieux. comment pourrait-on le soupçonner quand il prête sa voix à l'héroïne d'un film primé ?

sectumsempra orion il a tenté d'enlever sa soulmark.
elle s'étendait le long de son avant bras, il ne reste qu'un vestige. il se moque totalement de connaître l'état de sa soulmate à l'heure actuelle, sûrement déprimée et peut-être même devenue folle.
quand on lui demande d'où vient l'immense cicatrice sur son bras il répond pas.
après tout, pourquoi parler d'un accident. personne ne veut entendre des souvenirs douloureux. et tout comme les viols de son père sont cachés grâce à sa célébrité, les dégâts sur la marque le sont également.

éclair de feu il voyage entre les mondes.
les passages il en connaît l'existence encore et toujours grâce à sa célébrité, les avantages du showbiz. enfin ça c'est ce qu'il dit aux gens qui voyagent aussi, la vérité elle est toute autre.
mais il préfère mentir plutôt que dire la vérité.
ça l'arrange bien d'ailleurs, parce qu'orion c'est un petit con qui pense que foutre la merde dans un seul monde n'est pas suffisant quand il peut la foutre un peu partout.
et si en plus il peut mettre la main sur sa soulmate pour s'en débarrasser complètement il ne peut qu'en profiter.

carte du maraudeur en fait ses connaissances sur les autres mondes viennent pas de sa notoriété ou connerie du genre.
des mensonges. elles viennent de ses parents.
enfin, sa mère. et son père adoptif. ils sont comme des chercheurs sur les autres mondes. pas vraiment appréciés par le gouvernement.
pas du tout, peut-être même.
orion il est tombé sur leurs recherches un jour alors il a tout enregistré dans un coin de sa tête. mais il cherche pas à s'en mêler. il veut pas se faire tuer à cause de leurs conneries.
l'hypocrisie, quand on voit l'état de son bras. mais ça creuse un petit peu plus le fossé entre eux et lui.
parfois il se demande, orion.
il se demande quand il aura une famille enfin normale.

Invité

douces brûluresIl me semble parfois que mon sang coule à flots,
Ainsi qu'une fontaine aux rythmiques sanglots
je me tâte en vain pour trouver la blessure
la fontaine
de sang
un vieil amour ranci, charmant et sépulcralDes murmures à peine audibles, des soupirs. Il relève la tête, son regard divague. Son regard pétille, son regard passe de sa mère à son père, puis de son père à sa mère. Dans ses petits doigts d'enfant il serre machinalement la peluche en forme d'ourson blanc, il l'approche de sa petite cage thoracique pour la plaquer contre son cœur.
La main de sa mère dans sa chevelure de jais lui arrache un sourire aux lèvres, il renifle. Le revers de sa main libre passe sur ses yeux pour balayer les larmes. Descend sur sa joue droite, joue humide.
Crise de larmes. Disputes. Insultes.
Un frisson traverse son corps. Ça tape dans son crâne. Les souvenirs défilent devant ses yeux. Il les ferme, quelques instants à peine. Sous ses paupières closes il revoie les images. La main de sa mère toujours plongée dans sa tignasse est rassurante. Réconfortante. Je t'aime, maman. petite voix, pas de coffre. Une voix morne et lente, une voix sans assurance. Et pourtant si sincère. Il l'aime, sa maman. Il se tourne, le petit garçon, vers la deuxième silhouette masculine présente dans la pièce. Il enroule ses bras autour de ce corps imposant. Il enfonce sa petite tête dans le ventre de son paternel. Il renifle à nouveau. Je t'aime, papa. petit rire.
Il se sent à nouveau bien, confiant plutôt.
Il serre fort son père dans ses bras, il serre fort sa mère dans ses bras. Puis il commence à s'éloigner pour monter les escaliers. Au bout de son bras pend l'ourson en peluche. Il s'arrête quelques secondes à la première marche pour refaire ses lacets. Il faudra qu'on lui dise la vérité un jour. entend-t-il alors il relève la tête. Est-ce qu'on parle de lui ? Il fronce les sourcils, hausse les épaules. Ses parents ne savent pas qu'il est dans l'escalier, ça ne le regarde pas. Première boucle. Quand il sera plus grand. deuxième boucle, il serre, remonte les escaliers au pas de course. Sans savoir que cette discussion va rester dans ses pensées.
Ou en tout cas va y faire écho un jour.

Ils sont mes serviteurs et je suis leur esclaveIl fait les cent pas.
Le cœur tambourine si fort dans sa poitrine qu'il a l'impression qu'il va s'en extirper. Qu'il est même au bord de ses lèvres. Il est angoissé Orion, ne sait même pas où se mettre alors se contente de marcher devant l'immense bâtiment qui se dresse devant lui.
Les jours précédents il a souvent imaginé cette rencontre. Il s'est posé de nombreuses questions, savoir si il voulait réellement aller au bout de sa décision. Mais il n'a pas envie d'être lâche cette fois-ci.
Alors il braque son regard sur la porte d'entrée. Il ne cille pas. Jusqu'à voir la silhouette imposante de son vrai père. Le plus perfide des hommes peut-être. On lui a raconté. Les sévices de sa mère, on lui a raconté qu'il est l'enfant d'un viol. Que son père est un violeur et son père est là juste face à lui.
L'homme s'arrête et se retourne, croise son regard et comprend à qui il a affaire. Y'a comme une tension palpable dans l'air et pourtant Orion il s'approche de son paternel, il sent les larmes couler le long de ses joues. Il se bloque à quelques mètres à peine, la jeune femme au bras de l'homme s'éloigne pour laisser les deux se faire face. La veine de son cou il la sent distinctement se gonfler, en colère. Puis il éclate en sanglots.
Bordel, il fait face à son véritable père.
Papa. On lui a menti, pendant des années on lui a rentré des mensonges dans le crâne. Son père n'est pas le gentil bonhomme qui l'a élevé. Son père est un violeur. Mais son père il est là face à lui, il sent ses bras puissants entourer son corps. Et là il se dit qu'il a quand même envie de le connaître son père.
Même si c'est un connard, son père.
Peut-être qu'il a du bon en lui quand même, peut-être que le viol c'était aussi un mensonge. Il est perdu, Orion. J'aimerai te présenter du beau monde, j'aimerai t'aider à lancer ta carrière. pour rattraper le temps perdu.

Je découvre un cadavre cher, et sur les célestes rivages je bâtis de grands sarcophages Prend le couteau.
Hésitation, peur se lisent dans ses yeux. Il avale sa salive avec difficulé.
Prend le couteau.
Les mains moites, la nuque douloureuse. Il papillonne des yeux, a l'impression qu'il va tomber dans les pommes.
Prend le couteau. cette fois il obéit. Il attrapa la lame tranchante, le souffle court et la respiration saccadée. Il a l'impression que les images défilent devant ses yeux sans les comprendre. Il ne sait même pas où il est. Un odeur désagréable chatouille ses narines. Il ferme les paupières quelques secondes, tente en vain de calmer sa respiration mais n'y parvient pas, il peut distinctement entendre les pulsations de son cœur.
Il pose ses yeux sur la lame.
Elle lui renvoie son reflet.
Il regarde son bras, la marque qui s'étend au dessus de ses veines et se décide enfin. C'est trop dur. Il refuse de s'attacher à quelqu'un et encore moins par la force du destin, il ne veut pas de soulmate. Alors il se dit que peut-être. Peut-être un se découpant la peau du bras ça va disparaître.
Il plante la lame. Immédiatement le sang commence à couler. Il croque dans sa lippe pour camoufler la douleur, gratte sa peau ensanglantée et la lacère. Il a comme l'impression d'entendre un cri féminin dans sa tête. Il se fait des idées.
Il souffre.
Et finalement tombe dans les pommes avant d'avoir terminé le travail. Il devra apprendre à vivre avec la marque.
Et sa soulmate avec son nouvel état pitoyable.