maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi (cloe)

Invité

.crumble/sevde coucou me balancez pas des pierres please le forum est trop canon et trop attirant et ce scénario est toujours aussi parfait pour ne pas recraquer encore yeux

cette fois-ci c'est la bonne I love you

Cloe Brunifc : anya taylor joy ;

️️ DΛNDELION ; SIGAN ; unique

65%FEARLESS

70%LUNATIQUE

70%CALME

30%NAÏVE

50%ENGAGÉE

50%TROUBLÉE

40%HONNÊTE

60%SUSCEPTIBLE

Nom complet à l'origine cleo bruni, elle préfère désormais être appelée cloe. code produit GB-XXCB-14APR14. Surnoms le plus souvent, c'est juste clo. ou alors colibri : dans la tradition aztèque, les âmes des guerriers morts reviennent parmi les vivants sous forme de colibri. cloe aime bien cette image, c'est comme ça qu'elle se fait appeler chez les black wave. elle sait très bien que cleo n'est pas revenue, aussi qu'elle n'est pas elle, et que par conséquent cette symbolique s'avère totalement fausse. mais c'est plus fort qu'elle, c'est implanté dans ses programmes, cloe ne peut s'empêcher de penser à cleo. Naissance dix-sept ans depuis quatre ans, dix-sept ans pour toute la vie. cloe n'est pas née, elle a été activée. c'était le quatorze avril deux-mille quatorze d'après gali. elle se souvient simplement d'une douce chaleur sur sa peau artificielle, et du bruit, beaucoup trop de bruit. Héritage culturel jcloe n'est rien d'autre qu'un assemblage de matériaux de haute-technologie. elle aurait aimé avoir une histoire à raconter, elle-aussi, et ne pas devoir se contenter des souvenirs qui ne lui appartiennent pas. alors elle écoute. elle écoute ces personnes dont les vies paraissent banales mais qui pourtant la fascinent. Statut célibataire, perdue dans une quête impossible, à la recherche d'une âme-soeur qui n'est pas la sienne. pour cleo. et un peu pour elle aussi. Orientation elle ne s'est jamais réellement posé la question, bien qu'elle ait toujours été attirée par la gente masculine.Finances $$$$$$, elle ne vit pas bien, mais pas trop mal non plus.

Univers sigan. Occupation(s) cloe est employée dans une structure spécialisée dans l'accueil des personnes âgées, et malgré un salaire ne reflétant pas tout son travail, elle se plaît parmi eux. elle passe beaucoup de temps à écrire également, pour ne pas perdre pieds. Particularités cloe est un androïde, copie presque parfaite de la défunte cleo bruni. elle s'est d'ailleurs fait tatouer la même marque que celle-ci. Lien(s) cosmique(s) cloe n'en possède pas, mais cleo était l'âme soeur de leon vaughn. Keywords colibri, alexandrie, écriture, androïde, liberté, injustice.

we are all astronauts (AMOUR) Cloe aime penser qu'elle est née du fruit l'amour. Pas le genre d'amour traditionnel, et encore moins comme Cleo ou les autres enfants Bruni. Celui d'un frère pour sa petite soeur. C'est différent peut-être, mais bien réel. Et ça a suffi pour lui donner vie à elle. Sans Cleo, Cloe ne serait pas. Mais Cloe ne veut plus de tout ça. Elle veut qu'on l'apprécie pour ce qu'elle est. Elle veut que Gali l'aime pour Cloe, et non pas pour le fantôme raté de Cleo. (ECRITURE) Cloe écrit. Elle écrit beaucoup. Pour ne pas s’oublier, ne pas se perdre dans ces souvenirs hantant son esprit mais qui ne sont pourtant pas les siens. Parfois, ce ne sont que quelques mots sans grande importance, comme ses pensées sur la journée qui vient de se terminer, mais aussi des sujets plus sérieux. Son avis sur la situation actuelle, celle des femmes, des androïdes ou encore du système du temps qu’elle poste anonymement dans un de ses nombreux blogs perdus dans l’immensité d’internet. On la connaît sous le pseudonyme d’Alexandrie, en hommage à la grande Reine Cléopâtre, ayant vécu ses derniers instants dans cette ville égyptienne mais surtout pour Cleopatre Bruni. (ENGAGEMENT) Cloe a pris position dans des débats divers et variés, sans pour autant oser ou vouloir s’affirmer plus. Elle se plaisait dans cette situation avant d’être chaque jour confrontée à une forme d’injustice différente. Elle n’était peut-être pas faite de chair et de sang, mais ça ne l’empêchait pas d’avoir ses propres pensées, d’être blessée par des agissements quelconques ou ressentir une joie intense. Parfois, elle se considère plus humaine que certains humains eux-mêmes. Alors un jour, elle s’est dit que ça devait s’arrêter. Que les conversations polies, les débats houleux n’étaient plus suffisants. (AME-SŒUR) En tant qu’androïde, Cloe ne peut pas avoir d’âme-sœur, tout simplement parce qu’elle ne possède pas d’âme. Pourtant, la sensation d’être liée à quelqu’un ne lui semble pas inconnue. Et c’est ce que Cleo ressentait également avant de mourir. Elle savait que, quelque part dans ce vaste univers, une personne n’attendait qu’elle, comme elle n’attendait que cette personne. Alors Cloe s’est mise en tête de retrouver cette moitié, pour Cleo, mais aussi pour essayer d’étouffer cette culpabilité qu’elle ressent en essayant d’oubliant la part de Cleo qui vit toujours en elle. Peu de temps après s’être séparée de Galileo, la jeune femme s’est fait tatouée la même marque la défunte Bruni : une tâche rosée de la forme d’une paire d’ailes sur sa clavicule gauche. Elle avait passé des nuits à essayer de la dessiner parfaitement, en fouillant dans sa mémoire chaque élément s’y rapportant. Parfois, elle avait l’impression que ça ressemblait à une sorte de papillon ou bien un ange. Et l’idée que ça soit les ailes d’un ange lui plaisait plutôt bien.

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where is my mindIT'S A GOD-AWFUL SMALL AFFAIR TO THE GIRL WITH THE MOUSY HAIR
there's a starman waiting in the sky

14 avril 2014 Tout était noir. Tout était froid. Tout était vide. Tout était silencieux, si silencieux. Et puis d’un coup, ça a été un tourbillon de couleurs lui écorchant la rétine, des sons attaquant ses tympans et une agréable chaleur venant réchauffer sa peau. Des images envahirent son esprit, des passages d’une histoire qu’elle ne connaissait pas mais qui, comme dans un film, devenait de plus en plus clair au fil des minutes. Des voix s’élevèrent au loin, jusqu’à ce qu’elle ne se rende compte qu’elles étaient juste à côté d’elle. Les sourcils froncés, elle jeta un œil interrogateur sur le reste de la pièce et un homme aux cheveux noirs l’observait dans un coin, les bras croisés, le regard remplis d’émotions qu’elle ne parvenait pas à distinguer. Une tristesse finit par l’envahir sans qu’elle n’en comprenne véritablement l'origine, suivit d’une joie intense. Si grande qu’elle avait à la fois envie de rire et pleurer. « Gali ! » lâcha-t-elle avec un immense sourire aux lèvres. « Gali, c’est si bon de te retrouver ! » Elle se leva d’un bond et traversa la pièce pour le serrer dans ses bras. Des secondes, des minutes, ça lui avait tant manqué, à Cleo, d’être si près de son frère.

14 août septembre Assise à même le sol, Cleo attendait que ses batteries ne soient de nouveau pleines. La patience n’avait jamais été son fort, avant, et la petite fille qu’elle était recherchait toujours à vivre des aventures diverses et variées. Elle n’avait plus le choix désormais. Les nuits étaient longues, si longues que par moment, elle avait la sensation de perdre la tête. Incapable de rêver, de s’évader le temps de quelques heures seulement, Cleo ressentait une fatigue totalement artificielle. C’était une fois de plus via les nombreux souvenirs de la véritable Cleo qu’elle parvenait à reconstituer toutes ces sensations qu’une machine ne pouvait inventer. Alors elle avait fini par attraper un calepin et combler ces heures de solitude en écrivant. Ecrire pour garder les yeux véritablement ouverts, pour ne pas se perdre dans un passé qui n’était pas le sien. « Gali, t’es enfin réveillé ! » Cleo avait perdu le compte des minutes, des heures. Elle se souvenait juste s’être levée un moment pour rejoindre la cuisine et essayer de cuisiner un petit-déjeuner correct. Elle avait opté pour des pancakes au chocolat avec un grand verre de jus de fruits pour Gali, auquel elle avait ajouté le petit remontant que son frère avait beaucoup trop l’habitude de prendre ces derniers temps, et un grand verre de lait pour elle. « Tu bois du lait maintenant ? » Elle haussa les épaules et eut un petit sourire. « Apparemment j’aime le goût, contrairement à… » Et elle s’arrêta avant de pouvoir terminer sa phrase, se rendant compte que ce qu’elle voulait dire n’était pas tellement approprié. Un regard désolé et des excuses informulées plus tard, elle l’invita à boire une gorgée de son jus de fruits et un large sourire se dessina sur les lèvres du jeune homme. La vraie Cleo n’aurait jamais fait ça. Elle le connaissait, peut-être pas mieux, mais d’une manière différente. Et elle l’aimait plus que tout pour oser lui faire du mal, mais elle avait ce besoin de savoir comment c’était arrivé. « Gali… Est-ce que tu pourrais m’expliquer comment je… comment Cleo est morte ? C’est important pour moi de comprendre pourquoi. » Pourquoi c’est arrivé, pourquoi ça l’a poussé à la créer elle, pourquoi ? « Non, oublie. Je… je suis désolée. » bafouilla-t-elle avant de se lever pour débarrasser le peu qu’il y avait à débarrasser sur la table. « C’est d’accord. Mais à une condition. » Il marqua une pause. « Une fois que le souvenir sera implanté dans ta mémoire, ne m’en parle plus jamais. » Et elle hocha la tête. Elle accepterait toutes ses conditions, dès l’instant où elle pouvait combler ce vide qui la hantait un peu plus chaque jour.

28 novembre 2017 Cleo s’était sacrifiée pour sauver Galileo. Elle avait vidé la totalité de son compteur pour transférer son temps à la seule personne qui comptait véritablement pour elle. Et elle avait pu ressentir toute la culpabilité de ce dernier, la tristesse, la colère qu’il avait ressenti des semaines, des mois et encore aujourd’hui. Elle comprenait mieux la manière dont il la regardait par moments, lorsqu’il était perdu dans ses pensées, sans s’en rendre compte. Cleo aurait voulu qu’il n’ait jamais ressenti le besoin d’activer une pâle copie de sa défunte sœur, même si ça signifiait qu’elle serait restée dans le silence, dans le noir pour toujours. Mais les choses s’étaient déroulées autrement. Cleo était morte, mais elle, elle était bien là. Cette vie lui appartenait, elle n’était pas celle de Cleo. Elle pouvait la vivre comme bon lui semblait. Peut-être était-elle née d’une manière différente, mais ça ne l’empêchait pas d’avoir sa propre conscience, ses envies, ses projets rien qu’à elle. Et petit à petit, Cleo était devenue Cloe. Cloe Bruni, avec une personnalité bien à elle, différente de la Cleo qu’il avait toujours connu. Et elle méritait d’être plus qu’une simple copie, une version deux. Cloe était unique. Tout comme Cleo l’avait été.

08 juin 2018 Elle s'en était allée. Elle avait décidée de tout laisser derrière pour se construire une vie qui lui était propre. Elle était également perdue. Tellement qu'elle n'avait pas su où aller les premiers jours. Elle avait d'abord erré dans les rues, les larmes aux yeux, lorsqu'elle n'était pas au travail. Elle était heureuse, et à la fois terriblement triste. Parce qu'elle savait que Gali allait lui manquer. Il lui manquait déjà, à vrai dire. Mais elle savait également qu'elle devait le faire, aller de l'avant. Même si ça impliquait un changement aussi radical. Cloe avait fini par trouver le chemin d'un refuge, auprès de personnes acceptant de la guider les premiers jours, lui apportant ce qui ressemblait le plus à un foyer. Et puis, une identité. A leurs yeux, elle n'était que Cloe. Personne n'avait jamais connu Cleo. Elle se répétait sans cesse que cette situation n'était que temporaire, mais elle avait fini par s'y plaire. Assez pour ne plus vouloir s'en aller.

20 juillet 2018 « Je suis tombé sur un article plutôt intéressant aujourd’hui. Quelqu’un qui poste sous le pseudonyme d’Alexandrie. Déjà entendu parler ? » Elle secoua légèrement la tête, tenta de garder une expression neutre. « Non pourquoi, je devrais ? » Il haussa les épaules et lâcha un petit rire. « Juste pour savoir. J’aime bien ses idées. » Les journées passaient et Cloe n’entendit plus jamais parler de ce fameux blog. Elle ne prit d’ailleurs pas le risque de réécrire quoique ce soit, encore beaucoup trop méfiante pour révéler cette partie de sa vie. Au fond d’elle, elle avait pourtant une envie folle de faire un pas avant, tenter le tout pour le tout et prier très fort pour que ça lui ouvre une nouvelle porte. « Je peux te parler cinq minutes ? » Le jeune homme lui fit signe de la suivre, dans un petit coin un peu à l’abri des regards et surtout des oreilles indiscrètes. « Et si… et si je te disais que ces articles correspondent plus ou moins à mon état d’esprit ces derniers temps, est-ce que t’aurais… quelque chose à me proposer ? » Son interlocuteur la fixait d’un air dubitatif, les bras croisés. « Pour agir enfin, ne pas juste attendre et se résigner. » Il se râcla la gorge, laissa un petit sourire s’afficher sur ses lèvres. « Peut-être bien. »

25 août 2018 On lui avait parlé d'un test, quelque chose pour prouver sa volonté de changer les choses mais surtout sa fidélité. Quelque chose de fou, qui lui donnait la sensation de renaître. C'était un sentiment d'excitation qui envahissait son corps tout entier, mêlé à une certaine anxiété. Ce n'était pas un stress paralysant, mais plutôt moteur. Et elle n'avait qu'une hâte, commencer enfin. Elle ne savait peut-être rien de ce mouvement, mais était bien consciente que la réussite de cette mission pourrait lui fournir le billet d'entrée tant convoité. « Leon, on vient de la trouver au niveau vingt-trois, à essayer de saboter le système de surveillance. » Un homme costaud, atteignant presque les deux mètres lui tenait fermement le bras. D’un mouvement brusque, là voilà à quelques pas seulement d’un homme blond d’une vingtaine d’années. « Qu’avons-nous là ? » Un rictus se dessina sur les lèvres de ce dernier. L’entreprise pour laquelle les Vaughn étaient de grands actionnaires était sous la menace d’une cyberattaque depuis quelques semaines déjà. Une importante équipe de sécurité avait été déployée pour empêcher des indésirables de mettre à mal le business des androïdes, soulevant de nombreuses controverses dernièrement. Et ce dernier semblait satisfait que cette disposition porte ses fruits. « Un androïde plutôt audacieux. » Doucement, il s’approchait sans la quitter du regard. « Plutôt réussi même. Probablement un produit de chez nous. » Elle se retint de rire nerveusement, mais le dégoût pouvait aisément se lire sur son visage. Cloe n’était pas un simple produit exposé sur l’étagère d’un magasin ou du marché virtuel. Elle soutint son regard et finit par rire, vraiment, honnêtement avant de se calmer. « Vous pensiez vraiment que ça serait aussi simple ? » Nouveau rire, moqueur. Elle planta son poing dans le torse du Vaughn, puis l’autre. « Ce n’est pas de moi dont il faut se méfier. » lâcha-t-elle finalement. Et ce dernier s’avança lentement, doucement vers elle pour l’attraper par le tee-shirt et la plaquer violemment sur le mur le plus proche. « Tu devrais te montrer plus prudente. » La respiration haletante, un détail attira immédiatement son attention et parce que la situation ne pouvait pas être pire, elle tenta le tout pour le tout. « Ça fait si longtemps que… que je te cherche. » Elle justifia ses paroles en lui montrant cette marque sur la clavicule, exactement au même endroit que Leon. Et les yeux de ce dernier s’écarquillèrent, de surprise ou bien d’horreur. « Un problème ? – Dehors. Dehors, tout de suite ! » Cloe prit une profonde inspiration, cet élan de folie venant de lui sauver la vie ou bien au contraire, la condamner. Cette boule au ventre n’avait rien de rassurant, mais Cloe sentait qu’elle avait réussi à le toucher. Elle ne savait pas ce que c’était d’avoir un lien si fort avec quelqu’un, si c’était pareil que celui qui l’unissait à Cleo, et une partie d’elle espérait que la mort de la Bruni ait laissé une plaie béante dans son palpitant. « Tu vas regretter d’être venue ici. Et la personne à l’origine de cette abomination aussi. » Il ne lui avait fallu que quelques secondes pour scanner le code barre au niveau de sa nuque et remonter jusque Galileo. « Cleo Bruni, sur la demande de Galileo Bruni. » Cloe ne parvenait pas à définir ce qu’elle lisait dans son regard, une profonde rage ou bien de la tristesse. Un mélange des deux probablement. Et la boule au creux de son ventre avait laissé place à une véritable peur. « Il n’est en aucun cas responsable de mes agissements, il ne sait rien. S’il-te-plaît. J’ai pris la fuite, pour être moi-même, Cloe, et pas Cleo. » Elle balançait ces quelques paroles à une vitesse folle, ne laissait pas le temps à son interlocuteur de répondre. « Sa sœur lui manquait, tout simplement. Il voulait juste combler ce manque qui le mettait à mal chaque jour. C’est normal, c’est humain. C’est… c’est peut-être ce que toi aussi tu as ressenti. Tu… tu ne peux que le comprendre. » Le visage de Leon était de nouveau déformé par la colère qui le brûlait intérieurement. « Donne-moi une seule bonne raison de ne pas t’inactiver. Une seule ! » lâcha-t-il difficilement. « J’ai fait ça pour Cleo. Essayer de te retrouver parce qu’elle rêvait de rencontrer enfin son âme-sœur. Et aussi pour permettre à cette personne d’en savoir un peu plus sur elle. » Mais elle ne s’attendait sûrement pas à ce que l’avis de cette âme-sœur soit aussi tranché. Que malgré le lien si fort qui unissait Leon et Cleo, qu’il représente tout ce que Cloe détestait chez le genre humain. « Si tu veux éviter que ce cher Galileo n’ait des ennuis, tu ferais mieux de m’écouter : dis-moi tout ce que tu sais sur le mouvement à l’origine de cette attaque merveilleusement ratée. » Il fit quelques pas en arrière et attendit, les bras croisés. « C’est bien ça le problème. Je ne sais rien de plus que vous. On m’a simplement dit d’entrer dans le bâtiment et de m’aventurer au vingt-troisième étage avec un boîtier factice. » Elle savait pertinemment qu’il ne la croirait pas, que désormais, ses moindres mouvements seraient épiés du fait de cette puce implantée sous sa peau.