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 Hyunjeong ❃ free playful lion in a savage world

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Hyunjeong ❃ free playful lion in a savage world Empty
kwonhyo Que dire que dire..  ghost  
J'ai 21 ans, j'habite en Bretagne heum..
Mes coudes sont tous doux et j'ai une fréquence de connexion assez.. importante je pense?  confused Fin il devrait pas y avoir un jour sans que je me co au moins deux à trois fois grand minimum hm (sauf si je finis à l'hosto là je garantis rien :oopsie: )
J'ai découvert le fo' grâce à ma future femme  hh et je suis donc venue avec et pour elle :purple:
J'adore le contexte, le design, tout, tout, tout  inlove GJ aux admins pour leur travail  inlove

Hyunjeong L. Yunfc : Lee Dong Min (Cha Eun Woo - ASTRO) ; ©️️️ idk ;Rockets; unique
85%OPTIMISTE
70%TÊTU
25%OBÉISSANT
50%BRUYANT
90%VIF
18%INTROVERTI
08%CALME
85%EGOISTE
   
Nom complet Hyunjeong Lukas Yun ( 윤 루카 현정 )
Surnoms Lukas, Hyun ou tout autre diminutif de ses prénoms comme bon vous semble
Naissance 10 août 1995 à 02h46 dans Néodam - 23 ans cette année
Héritage culturel Depuis sa tendre enfance il baigne dans une culture qu'il ne connait que des dires de ses parents, des obligations à suivre qui noient un être humain, des règles qui vous transforment en robot taillé pour une société qui n'est pas; une culture qu'il trouve dépassée et incompatible avec sa façon d'être.
Pourtant, il parvient à parler à la perfection ces trois langues: l'anglais, le chinois et le coréen. Un héritage dont il n'arrive à voir grand intérêt sans qu'il n'arrive à s'en débarrasser, c'est ancré en lui, dans ses systèmes, ses neurones, rien ne peut l'enlever après avoir du les travailler si longtemps.
De la culture qu'on lui a inculquer, seule une chose aura su retenir son attention: le taekwondo. Discipline nationale de son pays d'origine, il s'y plongera corps et âme pendant de longues années sans qu'un seul instant il ne parvienne à penser abandonné. Aujourd'hui encore, dès qu'il y parvient, il s'exerce pour s'améliorer encore et toujours en quête d'une perfection qu'on lui a malgré lui rentré dans le crâne.
Statut Célibataire au cœur incapable d'aimer et pourtant déjà fermement ancré en un lieu qu'il ne parvient à atteindre
Orientation Hétérosexuel
Finances $$$$$$.

Univers Néphède
Occupations Serveur dans un café & Caterpillars ☇ S'il n'est homme dont le nom est attaché au terme « responsabilité », assurément celui-ci peut être lié à celui de « vente ». Sa capacité à fuir rapidement en cas de besoin, sa belle gueule, son air frivole et heureux en toutes circonstances, qui ferait meilleure égérie pour vendre un produit tel que l'Opium?
Particularités Adepte du freerun 1er dan de Taekwondo Il a une excellente capacité à cicatriser qui rend les quelques blessures qu'il a pu avoir totalement invisibles Signe de son appartenance aux Wonderlanders, un tatouage se trouve sur son épaule droite. La montre à gousset bien entendu mais également un lapin en costume bleu. Un animal connu pour sa rapidité à fuir et une couleur qu'il affectionne tout particulièrement. Paraîtrait que derrière la grisaille du ciel de Néphède se cacherait un ciel d'un bleu incomparable.. C'est en tout cas ce qu'on lui a répété de longues années.
Lien cosmique Soulmate - Des rêves qui le réveillent de plus en plus, des images qui le marquent. Il ne sait à quel moment quelque chose l'a touché, pour lui, c'était depuis toujours pourtant l'idée lui semble étrange, impossible. Comment un homme comme lui parviendrait à avoir un soulmate quelque part? Pourtant elle est bien là, la soulmark. Pourtant, ils existent bien, ces rêves récurrents avec elle en protagoniste principal. Et pourtant, cette idée, elle ne parvient à s'ancrer dans son esprit.
Keywords #freerun #korean #shoesmania #crocofriend #taekwondo #happyvirus


get to know me Depuis aussi loin qu'il se souvienne, ses songes sont habités par la présence d'une femme dont il ne connait ni le nom, ni l'âge ni l'origine.
Commençant non loin de la seconde vertèbre et sous celle-ci, finissant plus loin dans son omoplate gauche et au niveau de la quatrième vertèbre, une tâche de naissance en forme singulière de croissant de lune. Hyunjeong l'ignore, ses parents l'ont appris bien plus tard, mais il s'agit là de sa soulmark.
Il a commencé le freerun à l'âge de 11 ans, d'abord en faisant n'importe quoi pour s'amuser avec les infrastructures de la ville puis c'est devenu une passion et, enfin, un moyen de s'échapper efficacement en cas de conflits
Le taekwondo et lui se sont rencontrés à l'âge de 9 ans. Il avait tellement énervé son paternel à lui posé des questions que ce dernier à voulu lui mettre une raclée pour lui faire comprendre d'arrêter de s'y intéressé. Manque de chance: ça a eut l'effet inverse.
Il croit aux Aliens dur comme fer et veut vraiment en rencontrer un jour, pour discuter, faire ami-ami, découvrir leur mode de vie et partager le sien avec eux.
C'était il y a quelques années à présent, ce moment où il a rejoint les Wonderlanders. Plus précisément, quatre ans; peu après ses 19 ans. Sa famille n'est toujours pas au courant, ses escapades nocturnes sont masquées par nombres excuses qu'il rend jour après jour de plus en plus réalistes malgré lui.
Il se plait à dire qu'il vit en collocation avec une certaine Cocco, un être très sociable, avec lequel il dort très souvent, à qui il parle et avec laquelle il joue. Il s'agit là de son varan crocodile obtenu à ses 18 ans qu'il ne peut laisser enfermé dans son terrarium alors son appartement est entièrement aménagé pour madame. Des troncs d'arbres font parfois office de chaises, des plantes poussent à profusion ici et là, tout un terrain de jeu tant pour l'un que pour l'autre. Et si ces bestioles ont la réputation d'être agressives, bien éduqué et habitué à la présence de l'homme, il peut être aussi adorable qu'un chiot; l'exception près étant que Cocco, au moins, ne mord pas.
Récemment, son petit cœur à flancher pour un petit tamia abandonné, un mâle qu'il a renommé Eddy. Trouvé lors d'une sortie dans la forêt rousse, il l'a observé plusieurs heures avant de décréter que l'animal avait certainement été abandonné par sa mère (ou que celle-ci avait du se faire tuer). Une pièce de son appartement a alors été entièrement transformer pour l'animal afin qu'il puisse s'y sentir comme chez lui, en pleine nature et; bien évidemment, il est formellement interdit de le faire rencontré Cocco sous peine de dire adieu au petit tamia...
Lorsqu'il avait 16 ans, des proches lui ont fait essayer la DC, soit disant un rite de passage qu'il devait passer et qu'il approuvait moyennement. Il n'a pas besoin de prendre quelque chose pour sortir du quotidien morne des habitants lambda de Néphède, pourtant il s'est prêté au jeu. Une fois, une seule; jamais plus il ne recommencera. Paraîtrait qu'il était totalement remonté comme une pile, dans un monde bien à lui et totalement délirant; totalement incontrôlable. Pour son bien et, surtout, celui de son entourage qu'il n'hésite pas à entraîner dans ses trips quelle que soit la forme qu'ils revêtent dans celui-ci: ne jamais plus recommencer.
Dans ses passions éphémères, celles qui ont fait battre son cœur violemment mais qu'il a finit, pour une raison ou autre, par arrêter, on retrouve: les courses de moto (peu après avoir eu son permis), l'EXY (pendant une grande partie de son adolescence), le dessin (quand il était petit, à cause de son père), la VR (pour un laps de temps très court), le BMX (pendant quelques mois, mais le freerun est bien plus utile et rapide alors il a abandonné tout simplement)
Sa mère, nommée Im Sun Hi, est âgée actuellement de 50 ans. Sa santé est plutôt faible, à cause de cela, elle tend à éviter de sortir de chez elle au maximum. Ses efforts sont plutôt restreints sous peine de dormir de longues et interminables heures ou de devoir faire de nombreuses siestes tout au long de la journée. Néanmoins, elle reste une personne plutôt douce, n'ayant jamais un mot plus haut que l'autre, très conciliante puisqu'elle ne cherchera jamais le conflit.
Son père, le dessinateur Yun Ihn Kyang âgé de 52 ans, travaille autant qu'il peut chez lui afin de surveiller la santé de sa femme mais aussi de l'aider si jamais elle tombe malade. Ses travaux étant publiés en ligne et envoyés par mail à son supérieur offrent donc beaucoup d'avantages à l'homme bien qu'il subisse énormément de pression de celui-ci parfois. Heureusement, sa santé et ses nerfs sont très solides tous deux, permettant à Ihn Kyang, malgré son âge, de poursuivre sa passion tout en satisfaisant son supérieur de ses œuvres. Néanmoins, il lui arrive d'être sec et ferme dans ses propos, une façon d'évacuer le surplus de stress qu'il reçoit de son travail certainement.
Faute de tenir sur place, il a décider d'arrêter l'école après le lycée et le baccalauréat ( filière S sous peine de se faire tuer par son paternel, avec une mention bien dont l'origine reste encore, au jour d'aujourd'hui, un grand mystère de la vie..) en poche. Ainsi, il a eut plusieurs travail: barman pendant de longs mois, un contrat pour être égérie d'une marque d'implant, réceptionniste dans un hôtel mais ça n'a pas durer bien longtemps, cascadeur dans quelques films ou court métrages grâce à ses habilités de freerunner, préparateur en parapharmacie mais ça aussi ça n'a pas durer longtemps, pour enfin avoir un contrat durable dans un café et réussir à s'y tenir sagement jusqu'à présent.
Son premier nom compose des caractères sino-coréens: 炫 (hyun/hyeon) qui signifie "brillant" ou encore "briller" afin que leur enfant ait un avenir radieux, voire, une personnalité qui sache briller dans un monde sombre tel que Néphède; et de 貞 (jeong) qui, lui, signifie "chaste", "loyal" ou encore "vertueux" afin que leur fils reste dans le droit chemin et n'entreprenne d'actions qui nuiraient à autrui, sa famille ou tout simplement à lui-même.
Quant au second, Lukas il est celui qu'il utilise lorsque son interlocuteur rencontre des difficultés à prononcer son premier prénom. Signifiant "lumière" ou encore "celui qui apporte la lumière", ses parents ont une nouvelle fois voulu apporter cet espoir de voir leur enfant grandir sereinement et, même, apporter la joie autour de lui. Mais sa mère, plus superstitieuse encore, a fortement appuyer auprès de son mari, lui assurant que leur enfant serait "ambitieux" et "indépendant" à être nommé ainsi, sans oublier qu'il aurait un avenir brillant de succès, c'est en tout cas ce que la voyante lui a annoncer quand elle a émit l'option "Lukas" comme prénom pour son enfant..
Il est fils unique. Non que l'envie d'avoir un autre enfant ne soit présent chez ses parents, mais sa mère est bien trop faible physiquement pour espérer supporter une seconde grossesse.
One of a kind90% Vif ☇ Son esprit carbure à 100 à l’heure, son cerveau surchauffe, les pensées s'enchaînent sans un instant de répit. Vous pensez qu’il pourrait révolutionner le monde avec ses idées foisonnante? Oh non… Ce ne serait assurément pas une bonne idée, Hyunjeong, ce ne sont pas des pensées utiles qui occupent son esprit mais bien des choses totalement futiles, parfois, c’est simplement pour savoir quand il doit sauter d’un toit à l’autre pour se réceptionner correctement, parfois c’est savoir s’il doit donner une ou deux souris à Cocco pour qu’elle garde la ligne. Mais au milieu de ce brouhaha se cache malgré tout une capacité d’écoute, celle qui le fera vous répondre sérieusement et brusquement lorsque juste une seconde avant c’était à tout autre chose qu’il pensait.
Mais sa vivacité n’est que mentale, physiquement, il sera celui qui ne manquera jamais le fameux « réflexe! » quand vous lui lancez quelque chose; c’est aussi celui qui rattrape toujours les objets qui tombent avant qu’ils n’atteignent le sol, celui qui s’amuse à titiller le crochet d’un serpent pour retirer le doigt juste avant la morsure. C’est aussi ce type qui parviendra à improviser au dernier moment dans son escapade pour éviter un mur ou un véhicule, voir même une personne. La vivacité, une qualité primordiale pour lui s’il ne veut finir six pieds sous terre.
86% Égoïste ☇ Très certainement un trait de caractère propre à beaucoup de néphédiens et visiblement: il n’y a pas réchapper. Loin d’être égoïste au point de faire souffrir les autres, il faut malgré tout admettre sa tendance à privilégier ses désirs sur ceux des autres. Envie de voyager dans tel endroit? Il fera tout pour vous y contraindre d’une façon ou d’une autre. Envie de passer du temps avec quelqu’un qui devrait se trouver ailleurs? Il kidnappera s’il le faut. Néanmoins, il s’assurera que la personne avec qui il est passe tout de même un bon moment, il s'accordera à ses goûts en partie si besoin. Egoïste mais pas totalement non plus.
85% Optimiste ☇ Un trait que ses parents avaient voulu lui transmettre de par son nom, une partie de son caractère que, assurément, ils avaient prédit à la perfection. Tandis qu’autour de lui évoluent ces gens aux visages renfrognés, grandissant dans une aura négative à souhait; lui, il respire, il vit, la vie n’est aussi morose que la noirceur de Néphède peut laisser croire. Si votre vie se trouve dans une mauvaise phase, ne sera-t-elle pas, forcément, plus heureuse par la suite? Ne devriez-vous pas travailler dur pour la voir s’éclaircir si elle ne le fait d’elle-même? Garder l’espoir, se convaincre que tout ira mieux ensuite et voir le positif, des bons moyens de garder le sourire en toutes circonstances que jamais, certainement, il ne pourra oublier.
78% Honnête ☇ Tourner autour du pot, rien de plus énervant. Si quelque chose doit être dit, alors disons-le! Si un avis est demandé, alors soyons le plus franc possible. Tel est son crédo, que cela plaise ou déplaise, il n’hésitera un seul instant à dire le fond de sa pensée et il se fiche pas mal des répercussions que cela pourrait avoir. Vous ne vouliez entendre la vérité? Il ne fallait pas demander après tout. Même si parfois, il n’hésitera pas à donner son avis sans que vous ne l’ayez consulter pour cela, mais pardonnez-le, il avait besoin de l’exprimer et c’est sorti tout seul. Disons que ça lui a échapper..
70% Têtu ☇ Dès lors qu’il a une idée en tête, il est presque impossible de la lui retirer du crâne. Borné, il fera tout ce qu’il faut pour mettre en oeuvre ce à quoi il a pu penser, s’il pense avoir raison alors vous devez très certainement avoir tort. Un brin insupportable? Probablement… Mais il serait peut-être plus facile de le voir comme un enfant un brin capricieux, tout homme n’est-il pas un enfant quelque part?
61% Impatient☇ Là aussi, très probablement un trait de caractère propre à beaucoup de néphédiens: l’impatience. Dans une ville où tout change si vite, où tout évolue en un battement de cil, pourquoi attendre pour avoir ce que l’on désire? Si Hyunjeong désire quelque chose, c’est sur le moment, tout de suite, il peut attendre quelques instants mais jamais bien longtemps sous peine de faire comprendre à son interlocuteur combien il ne supporte cette situation.
50% Bruyant ☇ Le bruit fait parti intégrante de la vie de Néodam, cette ville qui semble ne jamais dormir, ne jamais se reposer. Entre bruits de klaxons et voix qui créent un brouhaha sonore constant, il n’y a rien de véritablement étonnant à le savoir être si « bon vivant ». Car c’est ainsi qu’il se perçoit, un être qui sait profiter de la vie, et profiter, n’est-ce pas aussi s’exprimer librement? Alors il libère ses poumons de la pollution de Néodam, alors sa voix porte, qu’importe l’endroit, qu’importe les gens avec qui il se trouve; s’il vient à être un peu trop enthousiaste, alors vous l’entendrez assurément. Bien qu’il tend à faire attention lorsqu’il doit travailler chez les wonderlanders, afin de ne déranger et de ne pas trop attirer l’oeil sur lui, mais ça lui arrive de dérapper parfois..
25% Obéissant ☇ Un trait de caractère qu’il n’arrive à développer convenablement, c’est contre sa nature dans un sens mais une obligation d’un autre. S’étant toujours senti libre, l’idée de devoir obéir à des ordres lui semble tellement étrange, bizarre, oppressant presque. Il n’a pas besoin d’être tenu par la main, il n’a pas besoin de conseils ou d’ordres, pourtant, dans son travail, il est bien obligé de courber l’échine. Doucement, il apprend, parfois, il ne peut réprimer sa nature mais assurément, une petite partie de lui est là, prête à écouter ce qu’on lui dit.
18% Introverti ☇ Un trait de caractère qui le définit assez mal dans l’ensemble, mais n’avons-nous pas tous un facette cachée? Alors oui, il aime retrouver son varan crocodile en train de faire la carpe sur une branche plus que d’avoir à côtoyer des personnes à longueur de journée parfois, assurément cela le ressource après une bonne journée de travail même simplement au café. Parce que côtoyer des gens tous les jours, du matin au soir parfois -et même la nuit lorsqu’il vient à travailler pour le gang-, c’est épuisant l’air de rien, lorsque certains clients se plaignent d’avoir trop de ceci ou pas assez de cela dans leur commande et que tout ce que tu désire après la troisième fois c’est lui renverser son foutu café sur la tronche pour qu’il ferme, enfin, sa bouche et se satisfasse de ce qu’on lui sert mais tu sais que tu peux pas, c’est frustrant, fatiguant. Alors une part de lui l’aime son appartement lorsqu’il finit ses journées, un petit havre de paix dans lequel il reprend des forces pour affronter le lendemain..
11% Vulgaire ☇ « Putain », « merde », « fais chier »; ces expressions et bien d’autres sont monnaie courante de ce qui passe ses lèvres au quotidien. Mais de là à imaginer qu’il pourrait insulter quelqu’un, c’est très peu probable, excepté s’il vient à vraiment le penser pour x ou y raison; là rien n’est garantit avec son honnêteté sans faille.
08% Calme ☇ Hyunjeong ne fait parti de ces personnes qui peuvent rester sur place lire un livre pendant des heures, il n’est pas non plus de ces personnes qui savent attendre sagement pour quelque chose. Non, lui, il est dans la rapidité, l’action, toujours en perpétuel mouvement sous peine de se sentir en trop plein d’énergie, il pourrait être comparé à une pile électrique tant il ressent ce besoin vital de bouger. Bouger pour se défouler, se défouler pour garder une paix intérieure, faire quelque chose tout et n’importe quoi sous peine d’imploser. Il est de ceux qui savent stresser les plus empathiques car toujours là à donner l’impression d’être sous tension, d’être stressé, alors que c’est ainsi qu’il se sent le mieux et le plus serein.
Useful (ornot) fact boxSigne astrologique ☇ Lion (élément feu)
Chiffre préféré ☇ 7
Chiffre détesté ☇ 4
Couleur préférée ☇ Rouge & bleu
Couleur détestée ☇ Noir & gris
Animal préféré ☇ Le lapin
Animal qu'il déteste ☇ Les fourmis
Saison préférée ☇ L'hiver
Saison qu'il déteste ☇ L'été
Boisson préférée ☇ Boissons énergétiques
Boisson qu'il déteste ☇ Café
Nourriture préférée ☇ Sandwich
Nourriture qu'il déteste ☇ Les oeufs
Il nourrit Cocco deux fois par jour
Eddy a droit à une session dressage une fois par jour, le soir avant d'aller dormir (parait que ça permet de mieux mémoriser?)
Il prend des douches matin et soir. Le matin il se lave le corps, le soir les cheveux
Il a un ordinateur qu'il n'allume jamais
Il a le permis, mais c'est tellement plus rapide à pied que bon.. il l'utilise pas non plus
Il déteste les photos, les vidéos, tout ça.. ho-rrible.
Il sait cuisiner, il prend juste pas le temps de le faire
Il pourrait aimer le café mais avec énormément de sucre
Il adore jouer avec le feu, au sens propre du terme
Il arrose ses plantes matin et soir
Il fait ses abdos pendu à une grosse branche d'arbre chez lui
Il chante sous la douche mais c'est pas encore ça..
Son frigo est généralement vide
Il fuit dès qu'il sent l'odeur de la cigarette, c'est lourd, ça pique, c'est mauvais pour la santé, nan vraiment: faut fuir
Il peut beaucoup dormir
Il paie son appart' tout seul et ses parents se demandent comment
Ils ne sont d'ailleurs jamais venu chez lui, sinon ça serait pas aussi... verdoyant
La seule vaisselle présente chez lui se trouve être un verre, un bol, une assiette.. quoi que l'assiette, ça fait un moment qu'il ne l'a pas vu quand même...
Il insulte en coréen ou en chinois
Il ne petit déjeune JAMAIS mais il mange beaucoup dans la journée
Il tient moyennement l'alcool.. bon ok, il tient pas super bien
Il ne touche jamais à la drogue, pas comme si il avait besoin de ça pour être ailleurs de toute façon
Il ne regarde jamais de films ou de série, il est incapable de tenir sur place..
Pareil pour les jeux vidéos d'ailleurs
Parfois il lui arrive de se dire qu'il devrait méditer.. et il essaie, position du lotus, les yeux fermés, le souffle calme et maîtrisé.. et il arrête après moins d'une minute parce que « putain, on s'fait chier! »
Il adorerait avoir les yeux verrons, parce que c'est classe quand même..
Il sait miauler et imiter le varan crocodile.. très sexy
Il a deux portables: un pour le boulot, un pour le perso
Il n'est pas très partisan des prothèses et des implants bioniques, son corps est très bien comme ça pour le moment
Il ne sort jamais sans son sac à dos
Il est allergique à la pastèque, aux framboises et aux fraises
Les musiques classiques l'endorment
Il adore les bonnets, mais les bonnets ne l'aiment pas (comment le pourraient-ils aussi quand il court et s'agite dans tous les sens sans s'en soucier un seul instant? ), il adore aussi les keffiehs qu'il met souvent au niveau de son nez, ainsi, il a l'air d'un ninja. Et c'est cool les ninja! En plus d'avoir l'impression -placebo- que l'air qu'il inspire est filtrée.
Il a déjà eu à demander des autographes à son père, parce que c'est pas tous les jours qu'on rencontre le fils d'un dessinateur.
Hyunjeong dépense beaucoup d'argent en chaussures et pantalons chaque mois.
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No farewell
We'll meet again
I’m still going somewhere
To an unknown place, to an unknown hall
I’m doubting this moment, between dreams and reality
In the irregularity that’s hard to understand
There’s a story that’s deeply hidden
It’s being awakened from a deep sleep
My seventh sense

B-Day ☾ A sunlight was born surrounded by darkness ☾ another beginning
#Happy
Baby lion

Néphède. Douce pénombre teintée d’une grâce unique ; si quelques secondes vous accordiez à celle-ci, que dans votre contemplation vous n’observiez ce qui vous entourait avec jugement mais avec cet organe qui battait dans votre froide poitrine ; probablement celle-ci saurait vous atteindre. A l’instar de ces reptiles à la peau de jais, ceux qui possédaient venin si mortel qu’une morsure pourrait décimer dizaine d’homme à elle seule ; sa singularité pourrait s’immiscer subtilement au creux de votre cœur. Un refuge pour elle qui n’apporterait morosité ou danger, son seul désir serait d’apporter refuge à ceux qui se trouveraient en son sein. Que toutes âmes se trouvant sous ce ciel qui protégeait d’une éternelle grisaille ces astres timides qui n’osaient s’affichaient sous nos yeux puissent trouver place où se sédentariser, lieu où vivre paisiblement en communauté avec autrui. Mais de ce candide souhait muet d’une terre accueillante, qu’en restait-il à Néodam ? N’entendez-vous le bruit de cette course, ces pas qui se montraient bien plus pressés que tous ceux qui vous entouraient ? Alors que contre votre épaule un choc se produisait et se répercutait telle une goutte à la surface d’un liquide dans l’ensemble de votre corps, que vos pieds, jusqu’alors fermement ancrés dans un goudron aussi sombre que toute chose en ce lieu, commençaient à tituber afin d’offrir stabilité à un organisme à la dérive ; votre regard se tournait instinctivement vers celui qui bouleversait ce petit équilibre que vous aviez créé. Entre les doigts agiles de cet homme : un sac à main. Oh vous n’étiez des plus aguerris pour mettre un nom ou un prix sur cet objet, cet univers était bien loin du vôtre tout comme il était loin du mien, mais assurément vous pouviez affirmer qu’il n’était nullement sien. Sa course précipitée, son souffle agité, son allure qui se désirait aussi furtive qu’un caméléon ; ce n’était dur de comprendre la véritable origine de ce bien. Pourtant… votre main ne se levait pour l’attraper et le stopper. Votre regard ne savait montrer haine ou dédain pour cette personne. Votre conscience ne savait s’inquiéter pour cette femme qui venait de subir cette infraction. L’ennui. Dans sa forme la plus dangereuse : l’indifférence. Cette femme qui, sur ses épaules, portait fourrure afin de stopper l’éternelle pluie de cette ville de s’abattre sur ses vêtements au prix outrageusement trop élevé, qui portait à son cou bijoux bien trop précieux pour se trouver ainsi exposés au regard de tous, celle-ci même qui ne pouvait sortir sans couvrir l’épiderme de son visage de nombre produits afin d’apparaitre « belle » aux yeux d’autrui. Cette personne vous ne la connaissiez, ses cris ne parvenaient à vos oreilles. Ou plutôt, ils y parvenaient mais couvert d’un brouhaha propre à Néodam, une agitation digne d’une fourmilière à taille humaine. Des bruits de pas, de course, des paroles étouffées, des cris lointains, le bruit des voitures, des klaxons et ces embouteillages sans fin, la musique des boutiques environnantes, les slogans de pubs pour implants qui passaient sur écrans géants contre ces immeubles dont le sommet ne pouvaient parfois être perçu de si bas. Tout allait bien trop vite ici, le nombre de personne au mètre carré affolait les compteurs, alors pourquoi devriez-vous vous arrêtez pour une pauvre quinquénaire qui pourrait, de toute évidence, acheter un autre sac dès à présent sans mettre dans le rouge son compte en banque ?

Néodam, ville synonyme d’indifférence et d’égoïsme. C’était là que j’avais vu le jour vingt-trois ans auparavant dans un hôpital, ce jour-là, comme tous les autres, la pluie s’abattait en fine gouttes sur les infrastructures de la ville. Paraitrait que ce jour-ci mon géniteur – un homme à l’allure aussi banale que bon nombre de néphédiens, bien que son apparence plutôt négligée et casual pouvait parfois attirée l’œil de ceux pour qui aspect visuelle révélait bien plus que ce qu’elle ne devrait – bien trop sensible pour assister ma mère dans son travail, avait passé les premières heures à compter les gouttes une à une se glissant, avec une lenteur déconcertante, le long des stalactites couvrant le rebord supérieur de la fenêtre contre laquelle il se trouvait. Les heures suivantes furent, quant à elles, passées à user le graphite de ses crayons dans l’unique but de couvrir de couleur, de traits et de motifs, les pages de son calepin ; selon lui, il était parvenu à trouver une nouvelle histoire ce jour-là et en avait esquissé les personnages jusqu’à ce qu’enfin sa femme ne lui revienne, éreintée et le teint blafard. Assurément, Sun Hi devait avoir passé les heures suivantes à dormir paisiblement dans sa chambre d’hôpital, bercée par le doux crépitement de la pluie. Une douce symphonie que ma voix accompagnait pendant de longues et interminables minutes bien loin de celle qui m’avait mis au monde; nourrisson déjà turbulent à peine avais-je rencontré pour la première fois ce monde hostile qui, pourtant, semblait si accueillant pour l’être fragile que j’étais. Il était deux heures quarante-six du matin lorsque je vis pour la première fois la lumière qu’exerçaient les néons sur mon nouvel environnement, un blanc vif qui ne portait de nom à l’époque mais qui savait capter mon attention plus que toutes ses ombres et formes étranges qui se mouvaient devant mes pupilles ; que pour la première fois je respirais cet oxygène que j’ignorais encore chargé de particules alourdissantes, ici c’était une odeur étrange qui parvenait à mes narines, presque désagréable ; la première fois que le son de la pluie parvenait à mes oreilles encore obstruées par le liquide dans lequel j’avais grandi ces neufs derniers mois.
Ainsi débutait ce long périple dans lequel j’avais été jeté malgré moi
Y-Day ☾ Don't mind it, run, laugh, live & follow my heart ☾ me
#passion
freerun
#playful
roll & roll

Est-ce que j’ai oublié quelque chose? Une question qui germait dans mon jeune esprit tandis que mes doigts refermaient, soudainement, bien plus lentement mon sac à dos. Alors que ma position je ne changeais d’un poil, un genou - partiellement dénudé par le tissu déchiré de mon vêtement - reposait sur le sol frais de ma chambre et l’autre, replié, accueillait mon coude; c’était dans mes pensées que je me plongeais momentanément. Une réflexion destinée à m’assurer que le contenu du sac était entier, que rien ne manquait sous peine de ne pouvoir pratiquer lors de l’entraînement de cette après-midi.

J’avais 15 ans à cette époque et mon coeur battait pour deux disciplines bien distinctes mais toutes deux très sportives, la première se trouvait être l'EXY. C’était pour celle-ci que je me préparais en ce samedi, un sport des plus violents qui inquiétait ma mère dans un premier temps mais peu à peu, celle-ci s’était habituée à me voir rentrer avec des bleus ou des marques dues aux entraînements. D’ailleurs, en me relevant pour poser mon sac sur l’épaule, je sentais la dernière en date: un hématome qui ornait mon biceps droit, assez profondément ancré dans mon corps pour que je le sente en utilisant mon muscle aussi légèrement, mais pas assez douloureux encore pour me stopper dans mes mouvements. Ces derniers me guidaient hors de la chambre, direction le salon où ma mère se trouvait dans le canapé, une tisane à la main tandis que mon paternel travaillait sur sa tablette graphique pour finir dans les temps ce mois-ci encore. Le regard fatigué et souligné de cercles légèrement bleutés de ma maternel se posait sur moi, un vague sourire étirait ses fines lèvres en me voyant prêt à partir. « Amuses-toi bien à ton entraînement Hyun. » soufflait-elle à mon égard encore une fois, comme à son habitude. Avant, c’était de l’inquiétude qui passait ses lèvres, des demandes de faire attention à moi, d’éviter de me blesser; à présent, elle semblait savoir combien il était inévitable de revenir avec des bleus de ces entraînements, mais aussi que ces quelques marques ne savaient m’arrêter ou m’affaiblir. Sans doute, avait-elle renoncé à me voir dans un cocon surprotecteur. Ce genre de choses n’étaient faites pour moi de toute façon…

« Je rentrerais un peu tard, on a une réunion après l'entraînement. T’as besoin de quelque chose en course sur le retour?  » Les magasins n’étaient sur ma route, mais en passant par quelques raccourcis qui m’étaient propres, j’arrivais à ne prendre trop de temps pour m’y aventurer si besoin. Pourtant, encore une fois, ce fut par la négative que ma mère me répondit, un simple et léger mouvement de tête qui reflétait pourtant combien mon attention la touchait. « P’pa, tu pourrais me mettre 200 cryptostellar sur mon compte? » Je savais cette période comme étant la pire pour demander ce genre de choses à mon paternel, la tension était à son comble, son niveau de stress frôlait les limites du raisonnable et pourtant… j’étais bien obligé de le faire. D’ailleurs, il quittait enfin les pixels de son écran pour m’offrir de l’attention. Un regard qui montrait son agacement face à ma demande, une lueur ferme qui me prouvait combien j’allais devoir me battre pour obtenir ce que je désirais.  « Encore? Pourquoi t’en as besoin? » Comme prévu, le voilà bien sec dans ses propos malgré lui. Je ne lui en voulais, j’avais l’habitude, chaque fin de mois était similaire de toute façon, alors au fil des années je m’y étais habitué. Je n’y faisais même plus attention.  « J’ai b’soin de chaussures. Les dernières sont mortes. » répondais-je avec une honnêteté sans faille tandis que je m’approchais pour me saisir d’une orange reposant sur la table basse. Si dans un premier temps je m’amusais à la lancer en l’air à l’instar d’un jongleur professionnel, bien vite, je dus m’arrêter en voyant l’air assassin de mon père. Si le fruit venait à tomber sur sa tablette c’était assurément la fin de ma courte existence… Alors je m’arrêtais et reculais d’un pas pour être certain de n’avoir à subir cet air encore plus longtemps. Fou mais pas téméraire pour autant… pas avec lui tout du moins.  « Tu sais combien de paire de chaussures tu bouffe à l’année? Combien ça revient cher? Trouve un boulot et paie-les toi!  » Qui prendrait un jeune de mon âge pour travailler? Mon père n’avait toujours la tête sur les épaules, peut-être, me pensait-il plus vieux déjà que je ne l’étais? Ma taille était bien grande déjà pour un adolescent de mon âge d’un autre côté…  « P’paa! s’te plait… Je serais attaquant pour la compétition à v’nir si tu m’les paies.  » Je savais mon entraîneur avec cette idée en tête, je me savais avec l’envie de le devenir, cette promesse n’était un marché que je passais avec lui mais bien un abus de ma part. Je le savais que deux semaines auparavant j’avais demandé la même somme pour les mêmes raisons, je savais que j’abusais à agir ainsi néanmoins il s’agissait là de ma sécurité! Que se passerait-il si je sautais d’un immeuble et que mes chaussures aux semelles usées glissaient? C’était la chute mortelle assurée! J’étais prêt à parier qu’il préférait payer une paire de chaussure qu’un enterrement, beaucoup moins cher, beaucoup moins demandeur en temps, sans oublier ma mère qui serait totalement dévastée.. Non vraiment, il préférait la paire de chaussures. Un sourire victorieux ornait mes lèvres, sûr de moi et ma mère venait m’appuyer en renfort pour n’avoir à écouter un débat trop épuisant pour elle entre les deux hommes de sa vie. L’instant suivant, je recevais un message sur mon portable qui annonçait que mon compte venait d’être crédité, une bataille rapide, simple mais efficace.  « Merci, j’y vais! A c’soir. »

Ainsi je quittais la demeure familiale rapidement, non que j’étais en retard pour mon entraînement, loin de là - le combat s’était avéré plus court que je ne l’avais espéré aujourd’hui -, j’avais purement et simplement une envie incontrôlable de sortir. Toute ma matinée je l’avais passé enfermé dans ma chambre, bouquins sous les yeux, ma nature ne savait le supporter, j’avais assez vu de murs; maintenant ce qu’il me fallait c’était de l’aventure, de l’action, de l’air frais. Même si Néodam ne savait apporter cet air pur et rafraîchissant des ventilations de notre maison, celui-ci me faisait bien plus de bien que tous les autres car évocateur de libertés. Sur mon nez j’hissais mon keffieh et c’était le début de l’aventure pour moi. A peine avais-je mis un pied dehors que, déjà, le monde se bousculait sous mes yeux, mais je ne faisais parti de cette foule. Jamais je ne m’y fondais. Mon regard se posait sur le rebord à ma gauche, quelques instants plus tard c’était à son sommet que je me tenais. Une impulsion et je sautais sur la barrière en fer de l’autre côté, me fichant pas mal de ceux qui auraient pu craindre pour leur sécurité pendant ce saut. Ma réception était parfaite malgré mes semelles arrivant en bout de vie, tant mieux, je pourrais survivre jusqu’à ma boutique préférée ainsi. Perché en équilibre sur la barrière, j’avançais avec aise pendant plusieurs mètres loin de l’agitation et des bousculades néphédiennes oppressantes. Sûr de moi, je profitais même de cette tranquillité pour me délecter de l’orange précédemment cueillit sur la table basse.

J’avais 15 ans à cette époque et mon coeur battait pour deux disciplines sportives: la seconde s’avérait être le freerun. L’habilité de se mouvoir librement, en dehors du temps, des conventions, loin de l’agitation de Néodam. Utilisé son corps pour glisser, sauter, grimper, nul besoin de matériel, nul besoin de quelqu’un; une liberté totale et unique qui s’offrait. Apprivoisé ses peurs pour en faire, non pas un frein, mais un trampoline sur lequel rebondir toujours plus haut, les contrôler pour savoir où se trouvait la limite à ne franchir, apporté une assurance indéniable. Un style de vie au quotidien qui transformait l’univers si morose de Néodam en un terrain de jeu macroscopique. Une façon de vivre qui me suivait depuis maintenant des années, qui m’avait valu nombreuses blessures, nombreux problèmes également; mais qui, sans que je ne le sache encore à cette époque, saurait me sortir de bien des ennuis, m’apporterait de nouvelles expériences et de nouvelles rencontres au fil du temps.

D-Day ☾ The awake sense's still here, slowly leading me to my destiny ☾ You
#her
soulmate

Quittant la surface humide et glissante de la douche italienne de mon appartement, c’était sur une tout autre matière que ma voûte plantaire se déposait à présent. Une texture bien plus moelleuse et stable, un duveteux tapis que j’avais pris soin d’étendre avant de pénétrer sous l’eau chaude quelques instants auparavant. Probablement, un choix des plus judicieux à voir comme je m’agitais sur celui-ci puisque, à coup sûr, c’était d’une chute que le carrelage m’aurait gratifié si je ne l’avais couvert. Oh je n’étais performer sous la douche ou à la sortie de celle-ci, loin de là, pourtant mes gestes revêtaient l’aspect d’une étrange danse, un certain rituel qui implorait les Dieux auxquels je ne croyais de m’accorder grâce et pardon pour un tel péché si ma voix ils entendaient en cette soirée de désespoir. Roulant sur mon mollet, se glissant sur cette peau précédemment si propre, un liquide rougeâtre qui trouvait son chemin vers un tapis, lui aussi, précédemment propre.  Qui sur Néphède avait eu l’idée de rendre aussi douloureux une blessure une fois passée sous l’eau? Alors ce soir, je ne ferais Caterpillars, je ne ferais serveur mais bel et bien danseur jusqu’à avoir trouver la trousse à pharmacie rangée quelque part dans la pièce. « Aaah ça pique! ça pique, ça pique, ça pique! » Des mots que je répétais inlassablement comme si ceux-ci se trouvaient être les paroles accompagnant cette étrange danse. Ici et là, sur le sol si blanc que mes pieds trempaient à leur passage, venaient également se déposer multitudes de gouttes de sang avant d’enfin mettre main sur le Saint Graal. Alors sur le tapis je m’asseyais, vers l’extérieur de mon mollet je portais mon attention afin d’observer l’étendu des dégats tandis que mes mains s’occupaient d’ouvrir la boîte si durement trouvée. Tranchant avec la blancheur de ma peau, une ligne si clairement précisée malgré l’hémoglobine qui s’en échappait et se mélangeait à l’eau couvrant encore en partie mon corps. Je ne savais à quel moment celle-ci s’était formée dans mes aventures de la journée, la douleur je n’avais ressenti un seul instant avant qu’elle n’entre en contact avec des molécules d’H2O. Probablement un accident de parcours, encore un. Alors pour récupérer au plus vite, je prenais soin de la traiter comme un professionnel de la médecine le ferait: avec beaucoup d’attentions. Ma peau je séchais, le désinfectant j’appliquais avec, il fallait l’avouer, beaucoup de générosité, une compresse tenue d’un bandage afin d’absorber le sang qui oserait continuer son aventure pendant mon sommeil et la machine repartait de plus belle.

Vêtu d’un simple boxer, les cheveux encore humide et un brin en bataille du sechage rapide que je leur avais offert, je me dirigeais vers la chambre avec quelques… embûches sur le chemin. Beaucoup trouveraient mon appartement impossible à traverser, beaucoup s'énerveraient au bout de plusieurs jours de devoir supporter une telle chose - pour les plus patients d’entre eux car certains ne tiendraient une soirée - mais pour moi, c’était comme un dernier jeu avant d’aller me reposer. Me faufiler entre les branchages verdoyants, sauter sur le plus gros tronc de la maison pour grimper sur le comptoir de la cuisine dont l’utilisation normale se voyait proche du néant et me diriger ainsi vers la porte de ma chambre. Un chemin que je connaissais bien depuis le temps, une habitude que j’avais pris sans le moindre soucis et qui serait en sens inverse dès mon réveil. Bien que ce dernier, encore une fois, risquait d’être plus tôt que nécessaire. Mais de cela aussi, j’avais l’habitude. « Cocco! Tu vas bien ma belle? » Patientant jusqu’à mon retour comme la sage fille qu’elle était, c’était allongée sur mon lit que je retrouvais l’animal dont le museau se levait à entendre ma voix. Sa langue goûtait l’air avant de s’approcher du rebord moelleux où je la rejoignais afin de lui offrir quelques caresses d’avant dodo. Dans la nuit elle risquait de partir rejoindre la verdure de mon appartement, mais dans mes premiers instants de sommeil, elle m’accompagnait et s’occupait de me réchauffer alors que mon corps fatigué, lui, se refroidissait instinctivement. Et cela ne manquait pas, comme tous les autres jours, ce fut contre mon flanc qu’elle s’installait, tête sur l’oreiller libre de mon lit deux personnes, les yeux guettant vers la vitre face à l’agitation  sans fin de Néodam.

C’était dans ce brouhaha lointain mais bien présent que mes paupières couvraient mes iris de leur matière opaque. Plongé dans l’obscurité la plus totale, bercé par la douceur des draps; il ne fallait bien longtemps à ce corps fatigué pour plonger dans les bras de Morphée. Alors je partais à la rencontre d‘une dimension qui n’avait de matière autre que celle de l’esprit, un pays que chacun construisait: le monde des songes. Ou, en tout cas, c’était le lieu vers lequel mon sommeil aurait dû m’orienter pour les heures à venir, comme toute personne normale sur cette planète. Pourtant, de mes nuits, je ne retenais d’aventures contre les aliens envahisseurs et dévoreurs d’humains, je ne retenais des songes que seuls les adultes pouvaient se permettre, je ne retenais de course poursuite réaliste avec les forces de l’ordre avant de disparaître dans un écran de fumée pour me retrouver sur une plage. Rien de tout cela, mes rêves s’avéraient plutôt calmes et… interactif, c’était le mot. La pièce où mes yeux s’ouvraient n’était ma chambre ou tout lieu que j’aurais pu reconnaître mais depuis tout ce temps j’avais bien arrêté de chercher à identifier l’endroit où je m’étais les pieds car totalement vain. Alors à la place, je la cherchais, elle. Celle qui, malgré les lieux changeant, malgré les années passantes, s’avérait toujours la protagoniste principale de mes songes sans exception aucune. Et encore une fois, je la retrouvais ici, dos à moi aujourd’hui. Je ne savais si matière j’avais dans ces rêves, pourtant, je me sentis sourire en la voyant. Je ne connaissais son nom, jamais sa voix n’était parvenue à mes oreilles, j’ignorais si nous parlions simplement la même langue et pourtant, je me sentais vivant en la retrouvant une nouvelle fois ici. Sur sa silhouette mes yeux s’aventuraient sans faille, marquant les courbes de celui-ci dans mon esprit si bien que je pourrais assurément les redessiner une fois réveillé; observant sa chevelure ébène se mouvoir au gré de la brise qu’offrait, sans doute, la fenêtre ouverte, et m’arrachant l’envie d’y plonger mes doigts tant elle semblait soyeuse; détaillant les gestes que je pouvais percevoir d’ici dans leur plus imperceptible mouvement pour y voir une grâce bien différente de celle qui émanait de nous autres freerunners.

Puis ce fut la pénombre à nouveau, un bref instant, pour m’offrir l’opportunité d’admirer ce minois qu’était le sien. Dans mon esprit, plus que sa silhouette, c’était lui que je gravais au fer chauffé à blanc, car bien le seul me permettant d’être certain de son identité une fois que nous nous rencontrions -si ce jour devait arriver-. Alors mes iris s’aventuraient sur sa peau de porcelaine, remarquaient combien celle-ci semblait si parfaite, dénuée de la moindre cicatrice, de la moindre petite marque sans qu’un excès de cosmétique ne soit à constater. De son épiderme passé au crible, c’était ensuite son regard, qui semblait croisé le mien, qui captait mon attention. Des iris d’un marron si prononcé, un regard qui fut si brillant que le voir ainsi ternit aujourd’hui m’attristait. Toi dont j’ignorais le nom, avais-tu des ennuis? Quelque chose te peinait-il? Jamais, probablement, n’aurais-je remarquer ce détail réveillé car bien trop excité à l’idée d’enfin rencontrer celle qui hantait mes songes depuis mon enfance, mais ici, en ce lieu où seule occupation j’avais était bien de l’observer, comment pouvais-je l’ignorer? Alors un pas j’effectuais vers elle, ou tout du moins, j’avais la volonté de le faire, je voulais mouvoir ce corps bien que j’ignorais s’il existait véritablement mais il ne bougeait. Et face à moi, ce fut un rayon de soleil qui s’offrait, malgré ce regard qu’était le sien, ses paupières se mouvaient de telle sorte qu’un sourire je devinais naissant sur son minois. A quoi pouvait-elle bien penser pour sourire de la sorte? Sur la pulpe de ses lèvres aux teintes rosées je déposais mon regard une fois de plus, m’assurant que les courbes de celles-ci je retenais également avec minutie. Connaître ainsi chaque petite parcelle de son corps, chaque expression de son visage, n’était-ce passible de prison dans la vraie vie? Un stalker… Je devais en être un. Pourtant, ici, je ne risquais rien, alors je me le permettais encore un peu pour détailler la structure exacte de son visage avant de m’attarder à sa tenue, ou en tout cas, c’était le but, mais mon attention fut plutôt captivée par les courbes de son corps caché par tant de tissu. Mes pupilles aventureuses partaient alors en quête d’une parcelle de peau, aussi infime fût-elle, afin de satisfaire ma curiosité d’homme plus proche de l’adolescent dans ce domaine. Je n’avais d’expérience avec les femmes - était-ce là l’origine de ces rêves? - et pour cause, à peine prenais-je conscience de mes pensées qu’une gifle je m’affligeais. Pervers que j’étais.

Autour de moi je regardais alors pour me distraire, la pièce je détaillais sans grand intérêt: je ne connaissais l’endroit; et à regarder par la fenêtre, rien n’était visible. Comme si une censure s’effectuait malgré tout, celle qui m’interdisait de replacer ce lieu dans la vraie vie pour me concentrer sur cet ange qui hantait mes rêves. Alors mon regard se détournait vers elle, je ne savais combien de temps nous avions aujourd’hui, m’offrirais-tu une nuit entière en ta compagnie? Enfin vers elle, je m’approchais, main tendue à hauteur de son visage bien que timide. D’ailleurs celle-ci se voyait légèrement tremblante d’anxiété, allais-je partir si je venais à la toucher? Le sentirait-elle? J’ignorais si elle était réelle et pourtant, j’avais envie d’y croire; pourquoi rêverais-je de cette femme depuis tant de temps autrement? La distance s’amenuisait, mes phalanges s’approchaient dangereusement de son visage avant que mes paupières je n’ouvre une nouvelle fois. L’obscurité la plus totale, le brouhaha de Néodam dans les oreilles. Sur mon réveil, une heure et demi était passée seulement et à mes côtés, Cocco avait disparue déjà. Sur le plafond que je devinais malgré la pénombre je posais mon regard, abattu. J’aurais pu passer plus de temps avec elle si je n’avais oser ce geste, peut-être même que j’aurais pu enfin l’entendre parler, connaître son nom, le lieu où elle vivait… Un soupir franchissait la frontière de mes lèvres et mes mains venaient cacher mon visage un instant, je regrettais mon geste. Alors la prochaine fois que je la verrais, pour sûr, je ne m’y reprendrais...

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Hyunjeong ❃ free playful lion in a savage world Empty
Jtm ptikr kr coeur
*passe en mode furtif*

J'ai juste encore rien écrit dans ma fiche en comparaison russe tbe larmes
*retourne s'enterrer*  rain
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William Griffiths
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Hyunjeong ❃ free playful lion in a savage world Empty
AH OUAIS déjà bien rempli tout ça, je suis contente de vous voir débarquer iiih bienvenuuuue officiellement sur SOD du coup jule si tu as encore des questions tu sais où nous trouver, sur le ask ou dans nos boîtes à mp faut pas hésiter kr courage pour la fin de ta fiche, j'ai hâte de lire tout ça :shon: j'espère que tu te plairas parmi nous ptikr
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Joshua Rhee
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Cette fiche oo oo oo
Bienvenue coeur
Bonne chance pour ce qu'il te reste à écrire cute
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Hyunjeong ❃ free playful lion in a savage world Empty
Ma femme coeur Moi aussi je t'aiiime inlove huug haaa
Comme je t'ai dit: beaucoup de fact idiots sont présents dans cette fiche facepalm

William > Merci :purple:
J'hésiterais pas, merci beaucoup kr
J'espère que ça te plaira craque (et que tu trouveras informations intéressantes pour expliquer que William ait accepté Hyunjeong chez les Wonderlanders aussi facepalm )

Joshua Merci cute kr
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Nina Rhodes
Nina Rhodes
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Hyunjeong ❃ free playful lion in a savage world Empty
MAIS OMG ON A DE LA LECTURE J'AIME ÇA iiih
bon, déjà de base on était obligés d'avoir un lien parce que on est tous les deux des wonderlanders, mais ton passage sur le freerun m'a donné grave des envies de liens qui remontent à plus tôt que le gang fire nina fait du parkour depuis des années - depuis sa pré-adolescence - et c'est via ça qu'elle a vraiment construit son identité, s'est découverte, et a découvert néodam... du coup faut absolument qu'on essaie de faire un truc par rapport à ça, je les imagine déjà se faire des sessions iiih BREF bienvenue enfin parmi nous et bon courage pour la fin de cette fiche (même si t'es suffisamment à fond pour pas en avoir besoin je crois) iiih je suis trop contente love
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Hyunjeong ❃ free playful lion in a savage world Empty
Je pensais pas qu'il y aurait d'autres freerunners tiens! :o On se trouvera un p'tit truc en lien avec ça alors, dès que j'aurais ma jolie couleur sur le dos bouncy
Merci beaucoup pour ton accueil en tout cas cute J'essaierais de finir ma fiche asap fighting
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J'ai pas encore tout lu mais je viens te décerner la médaille de la bonté : Tu arroses tes plantes tous les jours et Hayden en est ravi nab nab nab cries damn

J'ai trop hâte de voir la femme et le profil supra détaillé c'est génial pour meetic granny Du coup, je m'en vais lire la suite mais les plantes c'était important de le préciser, merci larmes bunnies
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Hyunjeong ❃ free playful lion in a savage world Empty
Jpp XDD non mais ouais, c'est important d'arroser ses plantes russe puis bon, cocco et eddy ils seraient pas super contents de vivre dans des plantes en train de mourir aussi :/
"La" femme :o comment t'en parles wsh, c'est ma femme, pas la oo russe et puis tu meetic pas avec elle russe emo (y a pas le emo auquel je pensais, mais osef XD) (mais le profil viendra pour sûr, t'inquiète) (mais tu meetic quand même pas avec ma femme)
T'es passé juste pour les plantes jpp ptn facepalm XDD
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