i'm unholy, i want you to know it (ollie)

Invité

woop/alicia c'est encore moi, noa. j'ai succombé au dc stare

je suis là et j'y suis bien ! des bisous hearteu

Olivia (ollie) Czernyfc : deborah ann woll ;

️️ lolitaes ; UFO's ; double

45%INDEPENDANTE

60%GRINCHEUSE

90%LOYALE

30%VULNÉRABLE

40%INTRÉPIDE

75%SUSCEPTIBLE

35%PERFECTIONNISTE

50%LUNATIQUE

Nom complet olivia, vestige d’un passé enterré. souvenir douloureux de ce qui aurait pu être. difficile de porter un prénom touché par la mort. thornton de naissance. czerny d’adoption. tu es plus du second que du premier. massacré dès la première syllabe, tu dis que vous un êtes un peu pareil ; vous êtes des écorchés. Surnoms ollie, pour les habitués. les amis et les autres. olive, par tes parents, par ton père adoptif. seules les bouches chéris ont le droit de te nommer ainsi. au diable le reste. Naissance un 13 novembre 1990 brumeux, le tambour pluvieux jouant contre la fenêtre d’hôpital. déjà vingt-sept ans que tu craches tes poumons. Héritage culturel tu n’as pas grand souvenirs de tes parents, pas plus que tu n’as idée de ton héritage génétique. tu sais que tu as neodam dans la peau, que tu y appartiens corps et âme malgré son mauvais caractère. mais c’est bien ce qui vous rassemble. Statut célibataire volontaire. tu partages le lit de certains élus pour oublier. tu as peur d’aimer, peur de te donner, peur de te faire jeter. Orientation t’as goûté au deux. le genre des autres c’est pas ce qui te dérange, c’est leur connerie. Finances $$$$$$. tu te paies une chambre de bonne dans le midtown, mais tu l’aimes bien ton petit coin de paradis. tu fais attention à tes économies, tu comptes et recomptes. t’as jamais roulé sur l’or mais tu sais que le bonheur ça se paie et honnêtement t’en aurais bien besoin.

Univers suffocante néphède. Occupation(s) c’est pas que ce qu’on appelle une vocation, c’est surtout l’habitude et la stabilité de l’emploi. t’es mécanicienne dans une usine clandestine, et ce depuis tes sept ans. tu t’occupes de la fabrication de prothèses mécaniques de qualité plus ou moins douteuses. des fois tu répares, à la demande des habitués, des clients du coin. malgré les failles sanitaires du site, t’es plutôt du genre propre et minutieuse. t’as jamais fait autre chose de ta vie, et puis faut l’admettre t’as des doigts de fée, alors c’est pas demain que tu vas quitter ton petit enfer tranquille. Particularités une prothèse grignotant jusqu’à ta hanche remplace ta jambe gauche. ça couine, ça gratte, c’est de trop. elle te rappelle que Tim est parti. alors tu la rejettes. Elle est toujours couverte, à l’exception de ta cheville, visible sous les ourlets retroussés de tes jeans. Souvent tu lances des regards noirs à ceux qui s’attardent un peu trop sur son aspect métallique. Puis de toute façon c’est pas ta jambe et ça le sera jamais. + une constellation de tâches parsème ta hanche gauche. néanmoins seule la moitié de cette fresque à subsister à l’accident, l’autre partie est aujourd'hui remplacé par le métal froid. au fil des années de nouveaux repères sont apparus, jusque cinq ans auparavant. en suivant un tracé précis, la constellation du scorpion se tatouait sur ta peau. ta soulmark passée sous silence. Lien(s) cosmique(s) sans eux tu ne serais rien. ils t’ont sauvé, ils t’ont porté quand tu pensais ne jamais remonter. ils ont comblé le manque d’Astrid et de Tim. ton cluster fait partie intégrante de ta vie. tu n’es pas toujours facile avec eux, à les ignorer par caprice, leur rire au nez par malice. mais ils te connaissent, ils savent que tu es une ruine mais ils t’acceptent entière et brisée ; pour tout ce que tu es. + il y a cette autre partie de toi que tu as du mal à nommer. qui est cette personne qui se présente en rêve, en vision ? qu’elle est cette réalité qui te donne l’illusion d’être un tout ? soulmate c’est le mot qu’ils emploient. fardeau conviendrait mieux. Keywords cigarettes + idgaf + solitude + trainwreck + ghosts + scratching + tool box + denial + painkillers + family + guilt.

we are all astronauts (cosmic love) tu te souviens du hurlement que tu as poussé lorsque le visage d’une inconnue a déformé tes traits dans le miroir. groggy sous l’effet des médicaments, tu n’as pas eu la force de briser cette image sur la surface réfléchissante. au bout de quelques minutes, vos regards se croisent, s’accrochent. qui est-elle ? aujourd'hui ils sont cinq à partager ton quotidien, à t’apparaître au gré des jours, toujours au moment opportun. ils sont ta seconde famille, ta béquille durant ces dernières années éprouvantes. tu aimes leur rendre la pareille, la promesse d’un lien indéfectible. tu as eu beau essayé de rompre le contact avec ces autres âmes, or la solitude a eu raison de toi et tu n’as jamais su les couper de ta vie. comment aurais-tu pu de toute façon ? tu as déjà perdu ta famille deux fois. et puis il y a Johanna, la première du clan et celle dont tu te fais une mission de soutenir. tu sais la peine et la douleur de la perte d’une partie vitale de soi, de ce fait tu ne peux t’empêcher de lui tendre une main secourable.

(no goodbyes) t’as pas eu le temps de leur dire au revoir. de leur dire à quel point tu les aimais, et que la vie sans eux ça n’en valait pas la peine. tu ne parles jamais de tes parents biologiques, les traits de leur visages, leurs voix, leurs toucher s’efface peu à peu de ta mémoire et tu es incapable de limiter les ravages du temps. à de nombreuses reprises tu t’es surprise à imaginer une vie avec eux. sans la cohue, sans la mort. ils te manquent. ils représentent une vie qui n’a plus lieu d’être, d’espoirs évanouis, la fin d’Olivia Thornton. et tout ça, c’est de ta faute. si tu n’avais pas fait ton cinéma, les jours auraient continué de couler tranquillement.
tu te blâmes de les avoir tuer. tout comme tu prends la responsabilité de la disparition de Tim, si seulement tu ne l’avais pas poussé à t’accompagner à cette rave party. ce n’est pas comme si tu l’avais invoqué ce tremblement de terre, que tu avais fait s’écrouler la vieille bâtisse mais c’est encore ton égoïsme qui a tranché.

(family portrait) il y a Astrid, il y avait Tim. il y a papa et Miguel. Astrid avait élu domicile quelques mois avant vous, ramassée parmi les enfants cachés de l’usine. Miguel est le fils biologique mais mal-aimé de votre père, Diego. Personne ne l’appelle par son prénom à la maison, juste papa. puis il y a Tim et toi, les deux jeunes orphelins inséparables.
vous étiez un trio inséparable mené par la ferveur chaotique d’Astrid. vous cumuliez les conneries, parce qu’il fallait bien se rebeller contre la cruauté de cette vie, de cette société. Astrid, elle lacérait tout ce qui l’entourait par les mots, les coups, les lames. elle brûlait d’un feu destructeur. Tim vous suivait car il craignait la solitude plus que tout. c’était pas le plus courageux des trois mais c’était le plus raisonnable. il avait toujours un sourire triste, le coeur gros de chagrin. toi tu faisais la dure, influencée par le comportement délétère de ta soeur aînée, sauf que t’as jamais osé dépasser certaines limites. tous trois teniez papa en haute estime. jamais il n’a porté la main sur vous, ni n’a haussé le ton malgré vos conneries. ce qui faisait mal c’était sa déception, celle de vous avoir failli malgré tout. longtemps vous avez dû subir la jalousie de Miguel. c’est douloureux voir son père t'oublier au profit de trois têtes étrangères. il vous en a fait voir de toutes les couleurs, et puis il s’est calmé. il a choisi de vous protéger.

(leg of steel) elle t’agace cette jambe, ce foutu membre de métal. tu n’en prends pas soin, la graisse parfois quand les couinements deviennent insupportables. malgré la qualité de ta prothèse, tu refuses de lui porter l’attention qu’elle mérite, quitte à souffrir d’un prurit handicapant. tu la couvres, les robes et les jupes tu les as foutu à la beigne. t’en auras plus besoin. et c’est à peine si tu lui jettes un regard car elle te fout la rage. ça t’es déjà arrivé de t’en prendre à un pan de mur innocent juste pour la bousiller un peu, la saleté. personne n’y touche, personne ne regarde (le mec que tu as insulté vertement dans le métro s’en souvient encore), personne n’en parle. pour tout dire, tu as la sensation de porter le fardeau de la disparition de Tim. qu’elle te rappelle jour comme nuit, que tout est de ta faute.

(misc) t’es accro au café et à la clope. tu carbures à la caféine, et tu es une vraie terreur sans ta dose matinale. il en va de même avec la nicotine, vaut mieux pas être dans le coin quand t’es en rade. la café te permet de palier à tes insomnies, fréquentes depuis la pose de ta prothèse (et le décès de Tim). (+) depuis que tu as emménagé dans ton propre appartement, tu as radicalement modifié ta nutrition. plus de viande, ni de poissons, ou de protéines animales dans ton assiette. tu as adopté un régime vegan. (+) vous aviez l’habitude de vous retrouver, avec Astrid et Tim, autour d’une table le temps d’un match d’exy dans un bar du midtown. tu continues d’honorer cette tradition de temps en temps, le coeur mélancolique. (+) ton casier judiciaires est loin d’être vierge. plusieurs délits mineurs y figurent, telles que des agressions ou des dégradations de bien. la majorité de ces faits sont de l’histoire ancienne, et datent d’une période de ta vie chaotique ; l’adolescence. (+) tu as récemment acquis un poisson rouge. ça t’apaise de l’observer faire sa petite vie dans son aquarium. tu l’aimes bien Albert, c’est un chouette poisson. (+) à tes dix huit ans tu t’es essayée à la prostitution. personne ne t’a forcé la main, c’est de ton propre gré que tu as choisi de tenter l’expérience. le besoin de se délier des chaînes de la minorité et goûter à l’indépendance en dehors des murs de la maison familiale. c’est toi qui prend le contrôle de ta vie. t’appellerais pas ça l’expérience du siècle, d’ailleurs ça n’aurait pas duré plus de quelques rencontres mais tu as posé les premiers briques de ton individualité. (+) sans le cluster Tim aurait été mort et enterré, l’espoir aussi. puis tu as appris l’existence de ces mondes, de cet univers en expansion. et d’autres histoires que tu n’aurais jamais gobé auparavant. alors tu t’es mise à croire en l’infime possibilité que ton meilleur ami ne soit plus sur Néphède mais prisonnier d’un autre monde et tu y crois dur comme fer. Astrid te dit que tu vis dans le déni, que ce sont des fadaises et qu’il serait temps d’accepter la dure réalité. or tu n’es pas prête d’abandonner et quitte à t’appuyer sur des espoirs fantaisiste, car tu sais que c’est ce qui te garde en vie. (+) Astrid a foutu le camp peu de temps après l’accident. tu ne sais pas trop ce qu’elle devient, à part pour quelques sms échangés et des rencontres de plus en plus éloignées les une des autres.

Invité

i feel numb in this kingdombut I've come prepared
Resolved for my life to wear a funeral suit
Everything's sunny but the sunshine fades away

1995 - Vous prenez la route pour les vacances, pour retrouver pépé et May. Toi ça t’intéresse pas. Non ce que tu veux c’est jouer avec ton chien Cheddar, planqué dans le coffre de la voiture. Il couine alors tu pleures.
« that's not fair ! Cheddar is really sad. » tu bougonnes, refermant les bras contre ta poitrine en forme de contestation. T’es pas une gamine facile, t’aimes qu’on te traite comme une princesse, que chacun de tes souhait soit exaucé. Ils ne sont pas très autoritaires papa et maman, ils ne se rendent pas compte que te laisser les mener par le bout du nez les ont damnés. Ils tentent malgré tout de te raisonner, les voix s’élèvent dans l’habitacle d’acier. La tempête gronde. Au milieu de ce tourbillon d’éclats, tu occupes toute l’attention avec la rage comme microphone. Les pleurs du chiens, les cris de possédés permutent à la raison. Une dernière incantation pour se sauver de cette furieuse litanie. Trop tard.
« JOSEPH ! » à peine le temps de conjurer le sort qu’un camion défonce la carapace métallique.
Trois corps inertes gisent sur le pavé.
Et le tien.

1997 - Une main d’enfant dans chacune des siennes. Il quitte l’orphelinat accompagné de Tim, et toi. Cela fait deux ans que tu traines dans les couloir de ce bâtiment délabré, et pour la deuxième fois tu passes les grilles de la cour. Enfant impossible au tempérament tempétueux, personne n’avait pris la peine de s’arrêter sur ton cas, et ça te convenait bien. Des bruits de couloirs sur le sort réservé à certains pensionnaires donnaient froid dans le dos. Entre les cas de prostitutions enfantines, de paires maltraités puis remis entre les mains de l’établissement. Ou pire.
Mais la vérité c’est que tu n’es pas prête à changer de papa, et de maman. A leur dire au revoir pour de bon. Puis cet homme c’est pointé, et d’un claquement de doigts, Tim et toi étiez sortis de ce trou à rats pour en rejoindre un autre. Tu te demandes pourquoi toi, alors qu’il t’a aperçu cracher sur cette autre fille. Elle t’avait bien cherché celle-là avec ces moqueries en douce, et ses airs supérieurs. De la rage dans le sang, c’est ça qui te faisait tenir sur tes guiboles décharnées. Ils ne savaient à quel point ça te lancinait au creux du ventre, mais qui n’avait pas connu la mort entre ces murs. Même ce nouvel individu possède cet air tourmenté de ceux qui l’ont côtoyé. Il sait. C’est peut être pour cette raison que tu n’as pas peur au moment de passer le portail, que tu ne te retournes pas pour faire tes adieux à l’orphelinat.
Tu es entre bonnes mains.

2000 - « give me the screw driver. »
« no. »
« please Tim. »
« I said : no. »
« I already apologized and that’s not my fault I’m this good, ok ? »
« he hates you now Ollie. »
« shut up Astro. »
« say it again and it’s not in your hand that she’ll find the screw driver, dumbass. »
Il la fixe d’un air offusquée, avant de tendre le fameux outils en direction de sa soeur, qui ne peut s’empêcher d’afficher un sourire triomphant. A vous entendre, une guerre mutuelle semble faire rage entre vos trois fortes têtes. C’est, en réalité, une complicité fusionnelle.
Après vos journées d’écoles, vous vous retrouviez dans l’usine désinfectée afin de vous occuper de détails que seules de petites mains avaient la capacité de résoudre.
Vous aviez tous les trois entendus papa admettre que la seule raison qu’il vous ait pris sous son aile était en vérité pour vous protéger des dérives du grand patron. Vous n’êtes pas les seuls gamins d’atelier, mais vous êtes de loin les mieux entretenus. Dans cet atelier des affaires pas très net se produisaient sous silence, personne n’en parlait pourtant tout le monde savait. Toi ce qui t’importait c’était d’être avec Astrid et Tim, vos parties de rigolades, vos embrouilles de mômes, vos chaparderies enfantines mais surtout, les défis bidons que vous vous lanciez et que tu étais certaine de gagner, de temps en temps par la triche comme aujourd’hui. Quelques minutes plus tard, vos rires éclatent dans les locaux vétustes, ça rend le travail moins pénible. C’est tous les jours comme ça, le matin vous partez pour l’école, puis vous vous rendez directement ici, pour finir par rentrer avec papa. C’est votre vie, et vous l’acceptez avec votre candeur étrillée d’enfants.

2012 - Une chambre d’hôpital. Non, le luxe d’une chambre d’hôpital. Doucement, tu clignes des yeux dans l’espoir de faire apparaître les murs noircis de l’appartement. Rien ne change, l’antiseptique te pique encore le nez et le blanc oppressant, de ce genre d’établissement de santé, t’irrite la rétine. Le monde tourne autour de toi, c’est un manège de blanc et de têtes.
« where am I ? »
« hey, hey, don’t move. everything is under control. »
Les mots semblent lui peser. Il n’est pas sûr de lui. Il tient ta main dans la sienne pour te rassurer, pour te faire comprendre qu’il est là et qu’il ne lâchera pas. Il te faut quelques secondes avant que l’angoisse ne te prenne à la gorge.
La mémoire te revient par bribes. Le grondement. L’éboulement. Les cris. Tim. Ses mains cherchent à trouver les tiennes dans un geste desespéré. Un dernier dernier regard échangé.
« where is Tim ? » la panique t’envahit, tu cherches son visage parmi ceux présents dans la pièce. Tout s’embrouille. Tu tentes, malgré l’étourdissement, de te relever. Au même moment, l’absence de sensation t’électrise. Ton teint déjà pâle perd encore de la couleur, et tu relèves tes prunelles azuré sur l'homme qui t'as élevé. Le désespoir te rend livide.
« dad… dad, I can’t feel my leg, I… »
Il pose un regard las, marqué par la tristesse, sur le drap, au niveau de ta jambe gauche. La fatigue et le manque de sommeil perceptibles creusent ses traits. Il paraît vingt ans plus vieux.
« they couldn’t find him, I’m so sorry Olive. and your leg… your leg was crushed. » La sentence est tombée.
Tes sanglots déchirent le silence. Plus personne n’ose parler.
Ton monde vient de s’effondrer.

2015 - C’est ta sixième clope de la journée. T’essaies de diminuer ces derniers temps. Sans succès. Dos contre le mur, tu tires sur ta cigarette. Une bouffée de toxines emplie tes poumons. Une porte claque, la silhouette bedonnante de ton père s'extirpant de l'environnement suffocant de l'usine. Il souffle. À son tour il sort de quoi se défoncer les poumons avant de te rejoindre. Sans autre forme de préambule, tu lui balances ce que tu as sur le coeur.
« Miguel is dealing. »
« i know. »
« why do you let him then ? »
« he’s old enough to take care of himself, and that’s what paid your prosthesis btw. Plus you seem to quite enjoy it yourself. »
D’un geste synchrone vous tirez ensemble sur vos cigarettes. Tu ne réponds pas car tu n’as rien à rétorquer. C’est vrai. Tu en profites. Miguel te le refile à moitié prix parce que tu es ce qu’il a de plus proche d’une sœur, surtout après le départ d'Astrid. C’est une affection mutuelle. Ce n’est, certes, pas le meilleur grand frère mais il fait de son mieux pour t’offrir son soutien, même si cela prend la forme d’opium. Ça te calme les nerfs, ça te fait oublier les démangeaisons qui te prive de sommeil et ça noie les cauchemars. mais tu ne veux pas qu’il continue sur cette pente savonneuse, qu’il se fasse un avenir sur le dos des autres. ce n’est pas lui. mais a-t’il seulement un autre choix de "carrière" dans la miséreuse Neodam ?
« why do you care ? »
« i don't. he's your son though. »
emmitouflés dans vos manteaux vous regardez les passants se frayer un chemin parmi les détritus. tu n’oses pas porter tes prunelles vers le vieil homme, néanmoins tu es capable de lire son sourire à travers ses mots.
« yeah, but the thing with you Olive, is that you actually do care. »

2017 - Sur ta paillasse un petit miroir est placé à juste distance, de façon à encadrer parfaitement ton visage. Ta réflection ouvre les portes d’autres contrées, de cités interdites. Si tu as posé l’objet là, ce n’est pas un hasard, tout comme le miroir de poche que tu trimbales avec toi. De cette manière tu n’es jamais seule. Aujourd’hui n’est pas différent des autres jours, vissée sur ton tabouret tu t’occupes d’un bras salement endommagé. Ton attention s’attarde sur les petits détails que tu avais l’habitude de résoudre à l’aide des tes mains d’enfants. Aujourd’hui tu refuses qu’un quelconque gamin s’approche de ta surface de travail. Pas questions de perpétuer ces coutumes sans âmes. Par réflexe, tu relèves les yeux en direction du portail réfléchissant sur lequel se dessinent un rang de bouquet de fleurs. Tout particulièrement, des orchidées. Tes fleurs favorites. Avant Johanna, tu n’en as jamais vu de telles.
Un sourire qui se décuple, le tien mêlé aux leurs. C’est rare de voir les traits de ton visage se relaxer. Toujours cet air de malotrue comme masque. Avec eux tu n’as pas besoin de cette façade, ils savent, ils comprennent.
Ils sont là.

Invité

mah une nouvelle sur néphède I love you

j'ai hâte de voir la suite, et puis cette fille, quoi precious

rebienvenu bg yeux

Invité

ollie

Date d'inscription : 07/09/2017

MAIS COMMENT ELLE EST BELLE EN BLONDE tbe

REBIENVENUUE avec ton nouveau bébé, en plus nephede im crying nab

jte jetterai mon tc dans les pattes (d'ailleurs avec noa il nous faudra un lien aussi wsh, d'où on n'en a pas même jule

)
fighting pour ta fiche superman

Date d'inscription : 19/03/2018

(re)
ça fait un bail que j'avais pas vu deborah sur un forum wow. cute

bonne chance pour ta fiche

Date d'inscription : 20/03/2018

~~"et mon mot sur ma fiche ?"~~
non je plaisante même si t'es une vile tentatrice qui m'entraine dans la faiblesse.

~~(plein de lapins juste pour toi)~~

Date d'inscription : 05/01/2018

Deborah

je l'aime tellement cette fille est beaucoup trop belle cute

rebienvenuuuue à la maison :shon:

je suis contente que Néphède se peuple de plus en plus ptikr

courage pour cette fiche et have fun avec la demoiselle jule

Date d'inscription : 06/09/2017

ON PARLE
DE LA BEAUTÉ
DE CETTE MEUF ????

iiih

les gens sont beaux à Néphède je meurs tbe

rebienvenue avec la maison, je suis grave contente encore une fois que tu fasses un nouveau personnage à la maison, et j'espère que tu vas t'éclater avec elle aussi fire