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 inutile de s'mentir l'homme est un connard, je sais ça s'dit pas c'est trop noir mais ça m'empêche pas d'y croire (marlow)

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black madness on m'a dit viens on est bien et j'ai vu de la lumière alors je me suis inscrut'  cutiepie sinon je suis une geek assumée donc je devrais ramener mon boul assez souvent  kisseu

Marlow D. Briggsfc : Adelaide Kane ; ©️️️ tumblr & SKATE VIBE ; Asteroids ; unique
70%IMPULSIVE
85%MANIPULATRICE
60%ORDONNEE
90%SALOPE
20%DISCRETE
55%CRUELLE
65%AVIDE
80%TETUE
 
Nom complet Briggs, c’est le secret, les syllabes qu’elle n’ose plus prononcer la poupée aux yeux fardés. L’identité froissée, le nom qui ne claque plus sur les palais depuis des années. Le mystère derrière l’apparence, la faille de cette défaillance. Puis y’a Marlow, l’écho de la douceur qui se noie dans la rancoeur. Marlow et ses maux grandiloquents, Marlow et ses désirs mirobolants. La gamine aux diverses façades, aux noms malléables. La jolie, la poésie, la pourrie… Surnoms Et y’a les surnoms qui sifflent entre les murmures, les « eh ma jolie », les « eh chambre 408 », y’a les visages différents qui prennent les devants, qui s’immolent sur les lèvres acidulées pour un peu de pêché. Et cette poupée, celle dont on ne sait que les courbes et les déliés, celle dont les prénoms changent à chaque soirée. Danny puis Pansy. Julie puis Fanny. Ça tourne sans cesse, ça agresse les esprits en détresse. C’est un masque changeant sous le temps qui brûle lentement. C’est un fantasme qu’on veut capturer pour mieux se l’approprier... Naissance Vingt six hivers à contempler l’enfer. Damnation sous les néons bipolaires et les galères outrancières. 17 mars 1991. Date de la condamnation. Premiers pas de la môme aux saveurs du calvaire. Héritage culturel L’accent qui se dérobe de ses lippes pincées, sucrerie de souvenirs lointains, d’une origine gommée par les années, presque oubliée. Ça chante entre ses canines aiguisées, un vent anglais qui vient sans doute de cette pauvre mère effacée du foyer. Celle qui contait les histoires sous la lune argentée, quand les astres en désastre ne suffisaient pas à la calmer.  Statut Néant dans le palpitant. Le souffle brûlant des nuits qui s’enchainent dans les bras d’étrangers, dans la chaleur des fantasmes inavouées. La poupée elle vogue entre les draps et les fracas. Car l’amour n’est qu’un alibi pour tromper l’inertie. Connerie qu’on vante comme un paradis mais qui résonne comme un enfer dans les tympans de la fière. Simulacre d’un mirage inaccessible malgré les songes lisibles. Orientation Y’a les traits singuliers, les brûlures des corps en parfaits accords, les douceurs qui s’immolent contre le palais, les langues qui dansent jusqu’à la nuit tombée. Et la poupée qui se berce entre les soupirs et les chairs martyrs. Filles ou garçons. Tant qu’il y a la passion, tant qu’elle se meure de frissons.  Finances $$$$$$. Les heures défilent sous le carrousel des secondes qui s’effilent. Compteur insatiable d’une beauté animale. Y’a assez pour qu’elle puisse rêver, assez pour se crever d’un luxe déraisonné. Juste assez pour que le confort ronge les remords.  

Univers Beauté numérique aux saveurs d’artifices. Ça grouille ici, la journée et la nuit. Quand les esprits s’effacent sous les néons ébahis. Technologie arrogante, mensonge d’un univers de travers. Paradis superficiel où les publicités s’entassent dans le ciel. Sigan. La société contrôlée et les puces incrustées dans la chair pour maintenir l’équilibre précaire. Occupation(s) Le corps moulé dans la dentelle, le sourire en guise de merveille, les prunelles figées sur la prochaine proie à dévorer. Poupée qui attend son repas avec émoi, les jambes croisées et le rictus carnassier. Escort mensongère qui sait se faire désirer, qui joue de son charme pour attirer les brebis égarées. Elle a le goût acidulée des princesses immaculées malgré sa fonction dépravée. Comme une contradiction qui impose la fascination. Elle attend sagement les frictions et les frissons. Quand elle impose son canon sur la tempe des avortons. Clients qui rêvent d’un peu de libération entre les reins de l’abomination. Ils s’enferment dans la toile de l’araignée, quand ils sont à sa portée. Fragiles contre sa carcasse damnée, quémandant pour un peu de toucher. Et le charme se défait. Quand l’escroc apparait. Qu’elle vole des minutes pour un peu plus d’années à persister. Quand elle menace de les tuer si jamais ils osent s’exprimer, ou de les balancer à leurs chères fiancées. Particularités Etoile dans le ciel de bitume, elle brille dans le silence entier. Salope au coeur entier, bien qu’on pourrait s’y tromper, elle a la carapace des rapaces. Bouclier que les années ont forgé, quand les corps sont tombés sous la misère et la précarité. Et elle, elle a résisté au milieu de cette société acharnée. Entre la mort et la vie. Entre l’envie et la folie. De s’envoler vers les hautes lumières, vers ce paradis superficielle et artificielle. Pauvre môme bornée qui ne veut pas s’avouer la vérité, qui faute pour respirer. Y’a quelque chose de casser au fond, bien enterré. Une amertume, une fissure que personne ne peut renfermer. Alors y’a ce maquillage qu’elle dessine, comme une peinture de guerre, les habits démentiels qu’elle enfile pour quelques soirées cruelles. Les marques encrées, les tatouages du passé qu'elle montre que quand elle oublie de les effacer sous un fond de teint bien trop affamé. La routine qui s’assouvit avec une drôle d’inertie. Lien(s) cosmique(s) Lien dérangeant qui la consume lentement quand Morphée s’invite dans ses draps le temps d’un instant. Puis le visage inconscient, les traits ignorants de l’inconnu. Cohue qui consomme l’ingénue quand elle voudrait éradiquer ce charme perdu. Mais le destin qui est malsain, qui ne veut pas de son refrain. De poupée glaciale qui ne croit pas en l’amour stable. Y’a la frustration et le désir, la condamnation et les soupirs. Entre interdit et envie. Puis la vie qui reprend le même schéma lassant. Et les rétines qui changent de teintes par instant, comme un rappel incessant. Qu’il y a quelqu’un qui l’attend. Dans un autre monde ou dans une autre dimension. Quelque part où elle ne pourra plus dire non.  Keywords bitch, opportuniste, manipulatrice, escroc, canon entre les crocs, beauté amère qui bouffe la misère, danger qui aime jouer, salope pure qui s'invente un monde sous l'usure de la luxure. 


we are all astronauts
( mr. sandman ) La poupée se tient entre les étoiles éparses, le coeur en désastre. Sous les astres qui s’effacent sans audace, sous les murmures agaces qui s’oublient entre les ruelles vivaces. Bout de vie qui s’effile entre les prunelles ébahies, entre le luxe et l’envie. Entre le vrai et le faux. Entre l’ignorance et l’inconscience. Y’a que cette innocence qui crève les rétines de sa mère qui la traîne, loin des rêves et des fantasmes acidulés, pour un peu plus de rationalité. Car les billets ne tombent pas du ciel goudronné et que les constellations n’écoutent plus ses supplications.  Et que la misère est son calvaire. Maman elle se tue à la tache, quand sa fille joue à la lâche.

( i was never there ) Puis y’a l’escroc, la fille cachée, la gamine qui se retrouve entre ses filets. L’inconnue qui impose sa cohue dans cet univers distordu. Elle a les traits doux et les cheveux corbeaux, doux écho de cette mère qui cache ses maux. Elle lui dit que c’est sa demi soeur, elle n’y croit pas, ça lui crève le coeur. Et y’a le dégoût, cette saveur dégueulasse qui se mêle à cette carcasse lasse. L’envie d’être la seule et l’unique, pas le désir de partager ce foyer malgré la précarité. Cette haine incontrôlée qui n’aide pas la gamine à avancer. Qui l’enfonce à errer dans sa lâcheté, à rester aveuglé quand le monde est sur le point d’imploser. Car y’a la maternelle qui traîne des pieds, depuis qu’elle est née. Et il semble qu’un boulet soit attaché à sa jambe ensanglantée.  Le poids de cette môme qui fait comme si de rien n’était, qui ne voit pas les efforts accumulés.

( graveyard whistling ) Et la faucheuse, drapée de son noir élégant, elle rôde sous le temps. Sous le compteur artificielle qui compte les secondes superficielles. Les minutes s’écoulent presque trop rapidement sur le poignet de la maman. Puis un jour ça devient important. Le sablier se retourne frénétiquement. Tic tac. Compte à rebours. Puis l’instant du non retour. Les vautours qui se sont nourris de sa dépouille. La mère elle s’endort la nuit mais elle ne se réveille plus le jour. Elle est étendue sur ses linceuls blancs, le regard figé face au vent. La lutte finie, le temps en inertie. Y’a des zéros sur sa chair, signe de sa fin sans échos. Et ça cogne dans la tête de l’enfant, ça hurle un sentiment impuissant. La frustration, la colère, la tristesse, la condamnation. On ne se rend compte de ce qu’on a, qu’une fois qu’on le perd vraiment. Putain de proverbe dont elle se moquait, mais dont elle comprenait chaque lettres à présent que la mort avait frappé.

( heart shaped box ) Et la môme est projetée dans cette société avec cette morveuse damnée. Demi soeur pour laquelle elle n’éprouve plus de la rancoeur mais bien de la compassion face à ses erreurs. Y’a comme un pacte qu’elle se doit de respecter. Ce truc qui fait que la poupée devient bien plus qu’une gosse capricieuse et envieuse. Mais bien une adulte qui comprend enfin les affres de cette ville délabrée. Spectatrice devenant actrice, qui s’enlise face aux risques. Elle se sait jolie la folie. Elle sait aussi qu’elle est prête à tout pour gagner des heures, pour elle et sa soeur. Alors elle commence à trainer, à chercher où elle peut bien se restaurer de ce temps prématuré. Puis l’échiquier s’installe, tandis que la reine danse dans un équilibre instable. Elle vend ses charmes la poupée pour des secondes, elle fait rêver les gars bien éduqués avec ses tenues osées. Puis y’a le canon qui s’impose sur les tempes, la peur qui rampe, et les heures qui tremblent.

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call out my nameI said I didn't feel nothing, baby but I lied I almost cut a piece of myself for your life...
those violent delights have violent ends féroces
intimes


Tout doucement, dans la nuit,
Le voile s’efface quand les gens bien endormis s’envolent dans leurs rêveries.
Puis il y a cette poupée,
Celle qui supplie pour oublier ou pour effacer
Ses mémoires du passé qui font du mal à ses sentiments contrastés.
Elle, la jolie, la moisie qui se terre entre les draps pour s’immoler sous les fracas,
Sous les ecchymoses des corps à l’abandon,
Sous l’osmose des carcasses à l’unisson.
Elle a le soupir silencieux quand on creuse ses reins du même refrain,
De ce requiem de volupté dans lequel elle aime se bercer.
Marlow ou la fille facile des bas quartiers.
Marlow ou l’escort qu’on ne peut emprisonner.
Ça sonne dégueulasse à ses tympans,
Ce blase dérangeant, étiquette bien accolée à son front brûlant.
Et y’a le canon qui n’est pas loin,
Le revolver qu’elle tient bien souvent entre ses mains.
Pour gagner du temps, pour contrer la réalité et imposer sa vérité.
Mais il reste caché quand elle crève sous le toucher,
Quand sa poitrine se soulève sous l’effet.
Car elle a besoin de brûler Marlow, de s’enflammer sous ses maux.
Pour éradiquer le visage d’une mère perdue,
Pour immoler la précarité d’un foyer tordu.
Désir de respirer.
De ne plus avoir à prier un dieu auquel elle ne croit pas vraiment pour persister.
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*dégaine son pass VIP soulmate*

mine.
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Eliott Rietveld
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Adelaïïïïde iiih j'aime tellement cette fille tbe bienvenuuuue sur sod ! si tu as des questions n'hésite pas à glisser dans nos mps jule bon courage pour ta fiche et j'espère que tu te plairas parmi nous kr
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Noor Vane
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BIENVENUUUE PARMI NOUS AVEC CETTE BEAUTÉ FOIFDSHF
en plus ce ship ?? que vous nous annoncez ?? mais trop canon OMG je meurs tbe tbe tbe absolument fan du choix de nom de famille, et cette plume, damn, ce début wat
j'en veux pluuuuuus, toujours plus, courage pour la suite de ta fiche et n'hésite pas en cas de questions heysexy tu peux aussi passer par le flood si le coeur t'en dit ++ réserver ade dans le bottin pour être tranquille le temps de boucler I love you
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    Sigan est floodé ohlala c bo
    bienvenuuuue
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Naora Kyôdo
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je

shook shook

et je

omg omg

mais

dafuq dafuq
(pcq j'en veux tellement ++)

et puis le love quoi tbe
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@Adrian Ricci < * lui donne en ronchonnant*
and u are mine too.

@Eliott Rietveld< je suis jolie hein perv merci beaucoup et je n'hésiterais pas danse  hh

@Noora Vane < MERCI ET ON EN PARLE DE TA BEAUTE STP
enfin ship ship hein j'ai pas choisi de l'avoir en soulmate bitchplz jotem jean claude me frappe pas arrow ahaha danke pour tous ces jolis compliments j'adore ton pseudo aussi c'est tout doux et de ce que je peux lire dans le profil ça brûle la rétine de beauté oh inlove encore merci ahah et du coup je l'ai réservé sait on jamais :purple: huug

@Tamina Vane < Ah mais c'est la soeur du coup langue Merci ma jolie haaa bave

@Naora Kyôdo < mais
keur
et
yooo yooo yooo
puis
precious precious precious precious precious
(t'inquiètes ça va arriver bunny )

love sur toi petite chose trop mignonne ptikr
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Joshua Rhee
Joshua Rhee
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Pseudo : bermudes.
Avatar : woo do hwan.
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Bloc-note : cluster+azaleayohan

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je suis pas passée. pourquoi je suis pas passée ?
adelaïde coeur
et ce début de fiche tbe
welcome et bonne chance pour la suite perv
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la beauté dans le jacuzzi yooo
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