kissing strangers (milan)

Invité

rainy le retour parce que j'ai glissé l'idée de revenir and i got attacked.
hmm

milan loik kollmorgenfc : lee minho ;

️️ dandelion ; UFO's ; unique

75%RÉALISTE

65%ENVAHISSANT

50%DYNAMIQUE

40%PARESSEUX

70%HUMBLE

55%ENVIEUX

60%OBLIGEANT

90%DÉPENSIER

Nom complet entièrement dépouillé de ton identité à la naissance, nouveau nom apposé sans hésitation par ceux prenant possession de ton existence. milan pour apporter un vent de douceur par ta mère qui a ensuite ajouté le prénom de son paternel, loik. de ton père, tu n'as hérité que du nom doré des kollmorgen. Surnoms de préférence aucun, tu n'es pas une personne très appréciatrice de l'utilisation de surnom à ton égard. Naissance né un quinze novembre, l'une des régions pour berceau selon le peu d'informations laissées sur celle-ci. enfant d'altea élevé dans la capitale, une vie soi-disant bien plus confortable que ce que tu aurais pu connaitre là d'où tu viens et l'impression d'avoir tout juste entamé la vingtaine qui déboule trop vite. Héritage culturel origines asiatiques soulignées par les traits physiques distinctifs, aucune mention de celles-ci ne vient traverser les lèvres de la famille. pour seul héritage celui produit par l'adoption, les récits qui ne sont pas ceux de ton sang sont ceux appris pour ne pas s'oublier. si c'est de l'allemagne que découle tes parents, toi tu n'en sais rien. Statut célibataire dans le confort de la vie ainsi pour l'instant. Orientation difficile d'ignorer la réalité, de comprendre que ta préférence va pour ceux du même sexe, mais tu marches sur tes propres préférences en espérant qu'un miracle survienne. gay inavoué, le placard n'a rien à voir avec la honte, mais avec l'évidence que tu ne pourras jamais avoir un enfant biologique avec un autre homme. Finances $$$$$$.

Univers altea pour berceau, originaire des régions desquelles tu n'as aucun souvenir pour avoir été aussitôt emmené vers la capitale. Occupation(s) obligé, forcé. tes propres rêves écrasés, jetés, pour mieux emprunter la direction imposée par le duo parental. étudiant en ingénierie, la motivation insuffisante sans pour autant avoir une seconde option. Particularités altéan moyen, un norm, une autre déception aux yeux de tes parents que tu ne puisses pas être meilleur que ce que tu es. l'eau est ton élément, son utilisation presque inexistante si ce n'est que pour usage rudimentaire qui se manifeste principalement sur la formation rapide de glaçons pour agrémenter une boisson. Lien(s) cosmique(s) aucun. Keywords art, night sky, whisky, blooming, broken dreams, escapade, wings.

we are all astronauts ne parle pas trop fort, n'élève pas la voix. toujours le même ton, le calme même dans la tempête. l'importance des apparences avant le dévoilement des émotions. il ne faut pas montrer ses faiblesses, éviter de s'exposer ouvertement et garder le contrôle en tout temps. bien paraître est le mot d'ordre, le premier règlement à suivre. mais toi tu vois le monde autrement, tu ne vois pas l'importance de toujours être vêtu proprement, aimant le confort d'une paire de jogging et d'un simple t-shirt. simplicité balayée dès que le regard des parents se tournent dans ta direction, pression importante qui pèse sur tes épaules. tu n'aimes pas le stress constant, désirant plus que tout trouver ton propre confort tout en sachant que c'est un rêve hors de portée. ne cours pas, cesse de gigoter. énergie débordante endormie à coup de médicaments pendant l'enfance. tu n'as rien d'un hyperactif, simplement un cœur un peu enfantin qui désir vivre et explorer. trop énergique pour ceux qui t'ont élevé, besoin de contrôle sur tes mouvements jusqu'à ce que tu comprennes que tu peux faire semblant. jouer le jeu de la consommation médicamenteuse, masque calme adopté entre les quatre murs, celui-ci ne tarde pas à tomber dès que tu te sens hors de leur emprise. tu passes plus de temps loin du domicile que l'inverse, redoutant chaque instant où il te faut revenir au bercail pour ligoter cette fausse impression de liberté. concentre-toi, travaille plus fort. pression sur les efforts, attentes sur ton excellence jamais atteintes malgré ta bonne volonté. tu ne partages pas cette vision que pour réussir la seule clef est de travailler comme un forcené. davantage dans la ligne de pensée qu'il faut penser paresseux, mais efficace, tu préfères prendre le chemin le plus court pour économiser du temps.

(my self worth is not determined by others) l’aveu silencieux, l’entêtement plus puissant que le doigt menaçant. malgré tout survit la force intérieure de croire en cette personne que tu es. tu subis, tu acceptes, tu ne dis rien, mais tu sais être plus que les mots utilisés à ton égard. un rappel quotidien fait à ce reflet que tu croises dans le miroir chaque matin. demain ira mieux même s’il est encore loin. l’espoir se meurt en attendant le miracle, mais la flamme crépite sous les escapades qui font vivre. tu es quelqu'un. peut-être pas l’individu le plus important que la planète portera sans pour autant être le plus misérable. le prince construit à partir de la poussière a appris à faire la part des choses, à trier le vrai du faux entre les mots des parents. (one day it won’t hurt anymore) tu vois le sourire sur le visage des autres enfants qui courent se fondre dans les jupes de leur mère quand la vie leur tape sur la tête. différence marquée, fossé profond entre leur réalité et la tienne. tu n’as jamais atteint leurs attentes, mais ils n’ont pas été à la hauteur des tiennes. l’âme cherche désespérément cette impression de famille mise à l’écart pour présenter un trophée doré qui tarde à briller. une valeur digne de l’objet précieux déniché dans des fouilles pénibles qui brisent le sourire accrocher à tes lèvres. il y a cette envie au fond de toi, celle de faire mieux, de faire ce que tes parents n’ont pas fait avec toi. tu veux te prouver qu’il est possible d’aimer sans attendre en retour, de prendre soin d’autrui sans lui imposer le poids de ses décisions. désir d’avoir un enfant propre à toi bien présent, indiscutable. volonté freinée par cette réalité que l'élément manquant à l'équation n'évoque rien de spécial de ton côté. pourtant fruit de l’adoption, tu refuses cette possibilité future, convaincue que tu finiras bien par faire chavirer tes préférences amoureuses. (but you've got stars in your eyes) la curiosité s'estompe, s'efface, mais elle ne meurt jamais complètement. la nuit pour voile, le plaisir de l'air frais et le couvert de l'anonymat. la nuit n'attend rien de personne, libre de voguer librement sans être assailli de la moindre question. habitude forgée dès les premiers instants de l'adolescence, fuir le domicile en douce lorsque la maison tombe endormie. si seulement tu savais dessiner les paysages offerts, les vues multiples ne se capturent que dans ta mémoire à défaut de se forger sur le papier, mais ce n'est pas grave. il y aura toujours quelqu'un pour accomplir ce que tu ne peux faire. tes parents n'y voient pas l'intérêt, mais tu collectionnes les tableaux. les peintures s'entassent dans une pièce inutilisée en attendant le jour où tu pourras les accrocher dans ta propre maison.

(fun facts) i. bien qu'habitué à la nourriture de qualité, tu choisiras toujours un cheeseburger confectionné à la hâte dans un endroit à la salubrité douteuse avant n'importe quoi d'autre. ii. pour seul goût un peu plus sophistiqué celui de l'alcool, ton choix se pose sur du whisky ou rien du tout. certes, tu n'as pas l'âge légal, mais qui viendra t'arrêter chez toi ? iii. talent insoupçonné, tu as développé le don de déverrouiller les portes classiques sans l'usage d'une clef. cette habilité te sert surtout à entrer par infraction chez tes proches au beau milieu de la nuit. iv. détenteur de lunettes, elles prennent la poussière dans le fond d'un tiroir pour la simple et bonne raison que tu préfères voir le monde en mauvaise qualité que de te balader avec celles-ci sur le nez. tu pourrais porter des lentilles, mais tu es convaincu que si tu t'endors par inadvertance avec, elles se retrouveront coincées à l'arrière de tes yeux. v. amateur de bains moussant, tu peux barboter des temps records tout en profitant parfois de l'occasion pour claquer une sieste du même coup. vi. fascination pour la végétation, il n'est pas rare que tu fasses l'achat personnel de plantes pour coloniser peu à peu divers endroits - autant à la maison que chez les autres.

Invité

hiraethsilence is the most powerful scream
you gotta kill your mind to stay alive
please don't be mad at me ne pose pas trop de questions. toi, extirpé de la poussière pour être placé dans le reflet des richesses. vie améliorée pour laquelle il te faut être reconnaissant. ne pose pas de questions sur tes origines, sur qui tu es. ta famille est celle que tu connais, celle qui ne te ressemble pourtant pas et qui montre les crocs lorsque tu daignes jeter un regard par-dessus ton épaule. il te faut noyer les curiosités. broyées à contre-cœur, les dents serrés et l'amertume au fond de la gorge. interdiction formelle de chercher à savoir qui sont ceux qui te sont liés par le sang, de découvrir pourquoi tu as été offert à plus fortunés.

les questions se meurent peu à peu, se taisent dans le silence. les années de l'enfance perdent en couleur, le rappel à l'ordre si constant qu'il en devient routinier. ne va pas là-bas. reste ici. évite de t'éloigner. l'intérêt porté dans la direction forcée par ces parents qui ne manquent pas une chance de te rappeler ta chance. les doigts qui passent dans tes cheveux non rien d'affectueux. poison versé derrière des voix douces. ton identité originelle effacée jusqu'à la moindre goutte, celle désirée estampée dans la peau à coup de remontrances pour ne laisser que les traits physiques en évidence du manque d'appartenance à cette lignée. les murs sont froids, l'ambiance pesante et les obligations se multiplient. les responsabilités flagrantes, le moindre choix déjà fait pour toi. pas besoin de penser, tu n'as qu'à agir. ton chemin est tout tracé afin de marcher dans les pas de cet enfant biologique qu'ils n'ont jamais eux. sans nous tu ne serais rien.

pantin. poupée de chiffon. pion sur l'échiquier, celui qui n'a aucune chance de victoire face à l’ennemi plus puissant. gestes surveillés, jamais tout à fait libre en dépit de cette impression qui miroite au bout du couloir. l'oiseau dans sa cage ne cherche pas son envol, il attend un jour meilleur. de toute façon, il n'irait guère loin avant de se buter à la porte verrouillée. ils sont capables de tout pour te garder où ils veulent te voir, amour parallèle à leurs actions, souvent contradictoires.

jeu affectif, jeu de manipulation. climat toxique clair sous ton nez qui ne veut pas lutter. l'escapade plus simple à trouver en se plongeant dans l'alcool. le whisky pour ami, pour amant. le contrôle minime de l'eau ne servant qu'à agrémenter ta boisson de glaçons toquant contre le verre. déception constante, tu n'en fais jamais assez pour eux. la barre trop haute et la main qui ne veut pas entendre d'excuses lorsqu'elle s'écrase contre ta peau. le cœur attend dans un rythme lent ce jour qui ne semble pas venir parce que l'esprit sait que les actions ne peuvent être exécuter maintenant. dépendant du compte bancaire, dépendant des avantages parentaux. impossible de tout quitter sans une promesse de stabilité, mais aussi la peur de se mouiller. la crainte de tout perdre, alors il te faut jouer le jeu. il te faut accepter les mots durs et le jeu de domination qu'ils t'infligent. tu trouves divers moyens de passer le temps, de rendre l'attente moins pénible tout en essayant de taire cette voix au fond de ta tête qui te demande si tu auras un jour le courage de tout abandonner, de couper les ponts pour partir vivre de ton côté. parce que malgré tout, tu sais qu'ils seraient capable de jeter ta vie aux enfers.

au moins, tu vis en dehors des murs de la maison. parfois trop naïf, trop doux pour mener tes aventures sans problèmes, mais tu sais apprendre de tes erreurs. chaque mauvais pas est une indication d'où diriger le suivant afin de progresser vers l'avant. qu'est-ce qui pourrait t'arriver de pire qu'être cloîtré dans un futur qui ne t'intéresse pas ?